Magyarország Emberi Erőforrások Minisztériuma az Eötvös Loránd Tudományegyetemmel közösen pályázatot hirdet miniszteri ösztöndíjra a 2017/2018-as tanévben magyarországi felsőoktatási intézmények nappali munkarendű
felvételt nyert ukrán állampolgárságú, magyar nemzetiségű hallgatók számára.
A pályázati kiírás tartalmát az Emberi Erőforrások Minisztériuma, az Eötvös Loránd Tudományegyetemmel együttműködve dolgozza ki, és a pályázatot a Beregszászi Agora Információs Központ és az ELTE lebonyolítói közreműködésével hirdeti meg.
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17 százalékkal nőtt az első félévben az új járművek értékesítése a tavalyi év azonos időszakához képest – közölte tegnap az autógyártók és -importőrök egyesülete. A növekedés annak köszönhető, hogy februártól a kormány eltörölte a környezetvédelmi illetéket, emiatt jelentősen olcsóbb a használt autók forgalomba helyezése.
Sur le fleuve Congo, le projet de Grande Inga – équivalent de 24 centrales nucléaires – pourrait satisfaire 40% des besoins énergétiques du continent africain. Sa réalisation est prévue à 250 km de Kinshasa sur le fleuve. Sa réalisation, qui devra suivre plusieurs phases, se heurte toutefois à de nombreuses difficultés dans un pays – la RD Congo – caractérisé par son instabilité politique quasi endémique.
L’idée d’exploiter les capacités hydroélectriques du fleuve Congo est ancienne. En 1925, le Colonel Pierre Van Deuren publia un rapport sur la mise en valeur intégrale du fleuve dans la région des cataractes par la construction des barrages de régulation. Il prévoyait en plus de barrages, des centrales hydroélectriques et une industrie lourde centrée sur l’électrométallurgie et l’électrochimie. On lui doit aussi la création du Syndicat d’études du Bas-Congo (SYNEBA) qui estima en 1931, dans son rapport au ministre des Colonies, qu’il était possible de construire à Inga des installations de production d’énergie électrique satisfaisant tous les besoins de la colonie belge, « même dans un avenir très éloigné ».
S’il venait à être réalisé, avec un coût voisin de 50 à 80 milliards de dollars, ce gigantesque projet de six barrages – installé sur le site exceptionnel des chutes d’Inga qui débitent selon les saisons entre 30 000 et 60 000 m3 d’eau par seconde – pourrait produire jusqu’à 40 gigawatts d’électricité, soit deux fois plus d’énergie que le barrage des Trois Gorges en Chine, ou l’équivalent de plus de 24 réacteurs nucléaires de troisième génération. De quoi bouleverser la donne énergétique régionale puisque l’énergie serait exportée jusqu’en Afrique du Sud mais aussi vers le Nigeria, voire plus au Nord vers l’Egypte, pour, en théorie, satisfaire 40% des besoins du continent.
Le projet est ainsi présenté comme le moyen d’« illuminer l’Afrique ». Grand Inga figure parmi les projets prioritaires de la Communauté de développement d’Afrique Australe (SADC), du New Partnership for African Development (NEPAD) et du Conseil mondial de l’énergie (CME).
Projet inscrit dans le très long terme, « Grand Inga » prévoit plusieurs phases d’extension des capacités de production électrique. En un premier temps, 22 000 hectares de terres seront submergés par la rivière Bundi, un affluent du fleuve Congo, pour alimenter les onze turbines du futur mégabarrage « Inga III » et produire 4 800 mégawatts, puis dans un second temps, 7 800 MW. Et ce ne serait qu’un début. Cinq autres barrages sont ensuite prévus pour achever le rêve du « Grand Inga » et ainsi produire les 40 000 MW escomptés.
En gestation depuis plus de dix ans, Inga III – d’un coût total estimé à 12 milliards de dollars – a été ressuscité en 2013 par la promesse faite par l’Afrique du Sud d’acheter plus de la moitié de la production d’électricité du futur barrage, garantissant de la sorte une viabilité financière au projet. Deux consortiums étrangers ont été sélectionnés pour faire une offre unique : China Three Gorges Corporation et SinoHydro (Chine) et ACS et Eurofinsa (Espagne). Le contrat de concession qui sera signé chargera le concessionnaire de trouver les financements, de construire, d’exploiter et de commercialiser l’électricité produite.
Néanmoins, le mauvais entretien ainsi que les problèmes financiers qu’ont connus les barrages existants Inga I et Inga II, de même que le coût des réseaux de distribution, soulèvent des nombreuses questions sur les risques de rentabilité d’Inga III et a fortiori de Grand Inga. Dans un rapport de juin 2017, l’ONG californienne International Rivers porte une sévère estocade au projet : « Inga va enfoncer la RDC plus profondément dans la dette, tandis que d’autres pays et les investisseurs internationaux vont récolter les bénéfices ». Le meilleur scénario, qui prévoit des revenus annuels de 749 millions de dollars, est jugé irréaliste car basé sur l’absence de dépassement de budget, sur des prix élevés pour l’électricité générée et des pertes faibles de transmission. La contribution de l’Etat congolais de 3 milliards de dollars porterait la dette publique actuelle de 6,5 à au moins 9,5 milliards.
Pour l’heure, moins de 9 % des Congolais ont accès à l’électricité. La production d’Inga I et II, d’une capacité totale de 1 775 MW, stagne à moins de 500 MW. Ils tournent au ralenti, obérés par la mauvaise gestion et le déficit de la maintenance. Un plan de réhabilitation entrepris en 2003 a absorbé 200 millions de dollars d’aide de la Banque mondiale. Il en faudrait désormais 900 millions pour permettre à ces deux barrages l’exploit jamais atteint de fonctionner à plein régime.
La géopolitique va jouer un rôle dans ce projet. La Banque africaine de développement s’est imposée comme chef de file du côté des bailleurs de fonds, avec une attitude pour le moins flexible envers un Etat jugé fragile et donc à fort risque. De son côté, la Banque mondiale a décidé fin 2016 d’interrompre ses financements à l’assistance technique de tous les projets d’Inga. Elle est en effet insatisfaite par le montage institutionnel et opérationnel du projet, et s’interroge également sur la faisabilité de la construction du « plus grand barrage du monde dans un des pays les plus instables du monde ».
Laconiquement baptisée "déplacement en région" sur l'agenda du Président, la visite sur la base aérienne 125 d'Istres permettra au chef de l'Etat de s'adresser de nouveau aux militaires. Il sera accompagné par Florence Parly, la ministre des Armées, et le général Lecointre dont c'est la première sortie en tant que CEMA.
Selon l'entourage du Président cité par l'AFP, après une présentation des Rafale, Mirage, AWACS et autres avions de ravitaillement qui participent à la composante aérienne de la force de dissuasion, une visite d'infrastructures sensibles et un déjeuner avec les équipages "d'alerte", Emmanuel Macron s'adressera au personnel de la base. Il "réitèrera son soutien aux armées, rappellera qu'il a beaucoup d'ambitions pour elles dans un contexte international difficile tout comme ses engagements de campagne sur l'augmentation du budget de la défense".
Il s'agit de sa seconde visite consacrée à la dissuasion depuis son élection. La première l'avait conduit début juillet à bord de l'un des quatre sous-marins de la composante océanique de la force de dissuasion, Le Terrible. Hélitreuillé, il avait effectué une plongée de quelques heures au large des côtes françaises.
Istres.
Qu'y fait-on ? Selon le colonel Rougier, patron de la BA125, cité par La Provence, "d'abord la mission de dissuasion nucléaire, avec une zone où on retrouve les avions, un site hautement protégé des Forces aériennes stratégiques, avec les Mirage 2000 et les ravitailleurs C135 ; et une zone encore plus protégée, nucléaire, dans lesquels les avions tiennent leur alerte. On trouve ici tous les piliers de la dissuasion aéroportée, c'est le seul endroit". Istres permet aussi de "projeter des forces, de la puissance, sur les terrains d'opération et de protéger le territoire, intérieur et à l'extérieur".
Er gilt als „nukleare Option“ der EU: Artikel 7 des Vertrags von Lissabon wurde bisher noch nie ausgelöst. Nun droht die EU Polen damit.
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Diplomaten werfen Ankara vor, Deutsche als Geiseln zu missbrauchen. Nach der Verhaftung eines deutschen Menschenrechtlers in der Türkei verschärft die Bundesregierung ihre Gangart.
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A külügyminisztérium figyelmeztetést adott ki azon román állampolgárok figyelmébe, kik Bosznia-Hercegovinában tartózkodnak vagy oda készülnek utazni, hogy az ország középső és déli régióit vegetációtüzek sújtják. A hatóságok tűzoltóautókkal és helikopterekkel próbálják megfékezni a lángokat. A szaktárca a www.meteoalarm.eu oldalt ajánlja az utazók figyelmébe, valamint a Călătoreşte în siguranță applikációt is, mely által tájékozódhatnak az érvényben lévő figyelmeztetésekről.
July 19, 2017 (KHARTOUM) - Sudanese security agents Wednesday have blocked hundreds of Darfurians students studying in the White Nile State outside the Sudanese capital where they intended to protest against punitive measures by their university.
According to the opposition sources, over 1000 students of University of Bakht Al-Ruda (UB) in White Nile State resigned from the university and decided to travel to the Sudanese capital to demand the release of their colleagues accused of killing two police officers during violent student clashes last May.
After failing to stop the protesters in Ed Dueim town where the university is located, the National Intelligence Security Service (NISS) blocked the protesters in Sheikh Alyacout area near Jebel Awliya south to the capital Khartoum on Tuesday.
Sudanese opposition parties and armed groups condemned the blockade of the university students outside Khartoum where they spent the night in the open. Amnesty International also denounced the bad treatment of the protesters and called to "protect them and ensure that their grievances are heard".
Also, a delegation of the opposition parties visited the protesters and decided to provide them with the needed support. Further, they decided to form a legal committee composed of lawyers to follow up the issues of Darfur students.
The protesters demand the release of 10 students accused of killing the policemen. Also, they want the readmission of 14 other students who were expelled from the university.
During the recent years, the NISS used to target students from Darfur region and suspect them of supporting the hold out armed groups.
In a related development, the Sudanese Congress Party (SCoP) said the security services arrested the four-member delegation in Jebel Awlyia after their visit to the protesting students in the afternoon.
The arrested are Ibrahim al-Sheikh the former chairman of the opposition party and the member of the SCoP Central Council, Abu Bakr Yousef, the political secretary, Amani Malik, deputy human rights secretary and Mwahib Magzoub the party political secretary in Khartoum State.
On Wednesday morning, security agents arrested, Suleiman Khalifa Dinari, SCoP deputy head in Khartoum State. However, he has been released 5 hours after.
(ST)
A 16 hajóból álló PET-armada hatalmas mennyiségű szemetet gyűjtött össze az V. PET-kupán. A csapat idén a Tisza Dombrád – Tiszalök közötti szakaszát járta be ártéri hulladékok után kutatva. A közösségnek közel 8 tonnányi PET-palackot és egyéb hulladékot sikerült bezsákolnia. Ennek több mint fele, 4500 kilogramm, leválogatott és újrahasznosításra alkalmas.
A kezdeményezéshez csatlakozó bodrogi csapat 4 nap alatt 679 kilogrammal járult hozzá a sikerhez. A hulladék partra szállítását a PETényi Szemétevő Szeméthajó segítette – írják közleményükben a szervezők.
A PET-kupa csapata a versennyel a Tisza folyamatos, Romániából, Ukrajnából és hazánkból a folyóba kerülő szennyezettségére kívánja felhívni a figyelmet. A távlati cél nemzetközi együttműködés az ismétlődő PET-palack-áradat megállítására és a Tisza mellékfolyóinak kitisztítására.
Az idei jó teljesítmény köszönhető az előzetes hulladékmonitoringoknak, a rekordszámú hajónak és önkéntesnek, valamint a PETényi Szemétszedő Szeméthajó hathatós szemétszállító közreműködésének.
„A verseny messzemenőkig beváltotta a hozzá fűzött reményeket a bodrogi takarítókülönítmény, a Zöld Kör és a kárpátaljai Papilio Természet- és Környezetvédelmi Egyesület csatlakozásával. Azt is hatalmas sikerként könyveltük el, hogy a szelektált hulladék jelentős része újrahasznosul. Jövőre még több párhuzamos környezettisztító akciót szeretnénk szervezni és segítenénk a szennyezés forrásánál.” – idézte a közlemény Hankó Gergelyt a PET-kupa projektvezetőjét.
A közlemény szerint az év eleji jeges árral érkező hulladékáradat nyomait hónapok óta takarítja a Felső-Tisza-vidéki Vízügyi Igazgatóság (FETIVIZIG), de még így is rengeteg palack maradt a kalózok számára. A két szervezet közösen szervezte a Kupa előszedését, amikor is a vízügyes kollégák egy frekventált helyre vitték az önkénteseket, hogy ott szedjék meg a hajóépítéshez szükséges palackok egy részét.
A PET-kupa ötletgazdája, a Természetfilm.hu Egyesület elnöke és a PETényi Szemétevő Szeméthajó megálmodója, Molnár Attila Dávid elmondta: „Ezalatt a kalandos, vidám, ugyanakkor fárasztó hét alatt a verseny 250 résztvevője összesen 140 köbméter, azaz 1000 zsáknyi hulladéktól tisztította meg a Tiszát.”
Először történt meg a folyami mikroműanyag mérése is a PET-kupa életében.
Eine DIW-Studie zeigt: Union und SPD sind Mainstream-Parteien mit ähnlicher Wählerschaft. AfD und Linke ziehen Geringverdiener an. Und eine Partei versammelt sorgenfreie Demokraten.
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