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La famine sévit désormais dans plusieurs régions du Soudan du Sud

France24 / Afrique - Mon, 20/02/2017 - 12:05
Le gouvernement sud-soudanais a annoncé, lundi, que la famine sévissait désormais dans plusieurs régions du pays, tandis que la sécurité alimentaire de la moitié de la population pourrait être menacée d'ici à juillet 2017.
Categories: Afrique

Amazon va créer plus de 1 500 emplois en France

France24 / France - Mon, 20/02/2017 - 12:05
Le géant du commerce en ligne a annoncé, lundi, qu'il prévoyait de créer 1 500 emplois en France et 5 000 au Royaume-Uni en 2017.
Categories: France

« Merkel se rapproche de Varsovie pour mieux rassembler l’Europe »

HU-LALA (Hongrie) - Mon, 20/02/2017 - 12:04
Le 7 février dernier, Angela Merkel s’est rendue à Varsovie sur fond de contentieux européen concernant l’État de droit en Pologne. Entretien avec Christophe Gauer, franco-polonais, consultant senior pour un cabinet franco-allemand en communication stratégique et en affaires publiques. Alors que les médias polonais soulignent le succès de la visite d’Angela Merkel le 7 février dernier à Varsovie, les médias allemands semblent plus réservés. Quelle est la portée de cette rencontre entre la chancelière allemande et les principaux dirigeants polonais sur la relation germano-polonaise ?

Il est encore trop tôt pour le dire mais cette rencontre prouve au moins que Berlin et Varsovie sont de nouveau disposés à dialoguer. En soi, cela constitue déjà un tournant après des mois de tensions bilatérales. Les deux pays commencent à se rendre compte qu’ils ont besoin l’un de l’autre et cherchent donc à normaliser leurs relations. C’est tout le sens de cette visite.

Du côté de la Chancelière, l’objectif était clair : elle souhaite se rapprocher de Varsovie pour pouvoir mieux rassembler une famille européenne menacée de toutes parts, entre Poutine, Trump, le Brexit et bien sûr les élections françaises, qui causent pas mal de craintes à Berlin. Pour elle, isoler Varsovie dans ce contexte ne sert à rien. Mieux vaut lui tendre la main, quitte à tenter de l’influencer par la suite.

La Pologne, quant à elle, cherche surtout de nouveaux alliés face à Poutine. Elle souhaite aussi normaliser ses relations avec Bruxelles et enterrer si possible les procédures de sauvegarde de l’Etat de droit à son encontre. Dans un cas comme dans l’autre, l’Allemagne peut être un allié de choix, qu’il vaut mieux caresser dans le sens du poil. La présidente du Conseil Beata Szydło a d’ailleurs été tout à fait cordiale avec Angela Merkel.



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La Pologne n’est-elle pas tentée de réactiver l’axe Paris-Berlin-Varsovie face à Moscou?

Certainement. Les Français ne s’en rendent pas bien compte, mais les Polonais ont de véritables craintes vis-à-vis de la Russie, surtout après le Brexit et l’élection de Trump. Les déclarations anti-OTAN du président américain ont été très mal perçues à Varsovie, qui a l’impression ne plus pouvoir compter sur les Etats-Unis comme avant. Quant aux Britanniques, ils ont toujours été en pointe contre Moscou sur le dossier ukrainien. Leur départ est également ressenti durement.

Il est donc logique que la Pologne cherche aujourd’hui à se rapprocher de l’Allemagne. Après tout, Merkel reste le seul grand leader européen à prôner la fermeté face à Poutine, bien plus que la France, toujours soupçonnée de russophilie. En outre, Berlin a fortement augmenté ses dépenses militaires l’an dernier, ce qui n’est pas passé inaperçu à Varsovie. Preuve que les choses changent, Kaczyński a d’ailleurs fait des déclarations détonantes dans sa dernière interview au Frankfurter Allgemeine Zeitung, où il s’est dit favorable à ce que l’UE se dote de capacités nucléaires.

Geste inhabituel, Angela Merkel a rencontré Jarosław Kaczyński, qui n’occupe aucune fonction exécutive – pendant plus d’une heure à l’Hôtel Bristol.

En rencontrant Kaczyński, Merkel a agi de manière pragmatique. Elle reconnaît implicitement que le véritable homme fort de la Pologne aujourd’hui, c’est lui. Et de fait, c’est bien Kaczyński qui tire les ficelles. Il est à l’origine de toutes les grandes initiatives de ces deux dernières années, le président Duda et Beata Szydło lui doivent leurs postes.

Quels étaient les enjeux de cette rencontre entre Merkel et Kaczyński ? Est-ce là une tentative pour surmonter les divergences entre la CDU allemande et le PiS polonais ?

Il ne faut pas se leurrer, les divergences restent encore fortes. Mais Merkel et Kaczyński ont compris qu’ils avaient tout intérêt à se rapprocher. Ce dernier a d’ailleurs dit clairement qu’il souhaitait voir Merkel gagner les élections fédérales d’octobre. Pour lui, la Chancelière présente des avantages certains par rapport au candidat social-démocrate (SPD), Martin Schulz, qui risque d’être beaucoup plus critique sur la question de l’Etat de droit en Pologne et plus arrangeant avec Poutine.

Quant à Merkel, son intérêt est de trouver des partenaires sur les grandes questions européennes du moment, comme la défense, le Brexit ou le droit d’asile. Opérer un rapprochement avec la Pologne ne peut être qu’une bonne chose, également pour peaufiner sa stature internationale avant les élections. N’oublions pas que sa position n’est pas évidente en interne, avec un parti populiste, l’Alternative für Deutschland (AfD), à plus de 15 % dans les sondages et un Martin Schulz toujours très haut.

Angela Merkel a tenté de jouer sa carte Est-Allemande pour essayer de séduire l’opinion publique polonaise, tandis que Witold Waszczykowski (ministre des Affaires étrangères) a moqué les Allemands en « cyclistes végétariens ». Pensez-vous que les incompréhensions culturelles entre l’Est et l’Ouest pourraient freiner encore longtemps l’émergence d’un espace politique européen ?

C’est la grande question que se posent certainement tous les Français qui connaissent l’Europe centrale ! A titre personnel, je continue de penser qu’il existe toujours une forte césure dans les mentalités. Les sociétés post-historiques d’Europe de l’Ouest ont du mal à appréhender les passions qui agitent cette région, et inversement. Mais comment pourrait-il en être autrement ? Varsovie et Budapest étaient encore sous la férule de dictatures communistes il y à peine 27 ans… Paris et Bonn n’ont pas connu ça.
Maintenant, je pense que le temps finira par faire son œuvre. Les menaces que nous vivons sont également telles qu’elles devraient inciter les Européens à travailler ensemble. Après tout, l’Europe s’est toujours faite dans les crises.

Categories: PECO

Deutschland sollte sich im Nahen Osten stärker engagieren

Bonn, 20.02.2016. Aufgrund der unermesslichen ökonomischen Schäden sowie der katastrophalen sozialen und sicherheitspolitischen Folgen, die durch die Interventionen in Afghanistan und im Irak entstanden sind, gilt die militärische Intervention zur Durchsetzung außenpolitischer Ziele in hohem Maße als nahezu undurchführbar. Das trifft vor allem auf Länder wie Deutschland zu, wo aus historischen Gründen Militäreinsätze und Waffenexporte äußerst sensible politische Themen sind. Schwere Krisen erfordern also komplexe, andere Methoden des Eingreifens, wobei den größeren Ländern auch eine größere Verantwortung zukommt, unabhängig davon, ob es ihnen gefällt oder nicht. Deutschland sollte nicht nur in seinem eigenen Interesse, sondern auch zur Sicherung von Frieden und Stabilität weltweit seinen Beitrag zur Verhinderung eines vollständigen Zusammenbruchs der Strukturen im Nahen Osten in Eigeninitiative leisten. Obwohl sich der Umfang der von Deutschland in der MENA-Region geleisteten humanitären Hilfe und Entwicklungszusammenarbeit seit 2011 mehr als verdoppelt hat, bleibt sein politischer Einfluss begrenzt. Wenn Deutschland das ändern und in dieser Region seinen Einfluss stärker geltend machen würde, würde auch die Position Deutschlands als konstruktiver Akteur in der globalen Weltordnung gestärkt. Die derzeitige humanitäre Katastrophe und das Sicherheitsvakuum im Nahen Osten haben direkte Auswirkungen auf Deutschland. Es besteht die Gefahr, dass sich weitere Länder im Nahen Osten zu „Failed States“ entwickeln und damit weitere Flucht und Vertreibung sowie gefährliche Sicherheitsrisiken ausgelöst werden. Die Zerstörung der Strukturen in der Nachbarregion, dem Nahen Osten, kann sich zu einer existenziellen Bedrohung des Modells der europäischen Integration ausweiten, welche ihrerseits die Grundlage für die deutsche Wirtschaft bildet. Besser spät als nie Ambitionierte Friedensbemühungen vonseiten internationaler Akteure in den Jahren 2012 beziehungsweise 2013 hätten die derzeitige Krise in Syrien entschärfen können. Natürlich soll Deutschland jetzt nicht mit militärischen Mitteln in den syrischen Konflikt eingreifen. Das Land hat jedoch die Möglichkeit, bei der Entschärfung anderer, aktueller und potentieller Krisen mitzuwirken, indem es seine Präsenz in der Region verstärkt. Im Nahen Osten gibt es drei Regionen, wo Deutschland eine aktivere Rolle übernehmen könnte: die Autonome Region Kurdistan im Irak, in Jordanien und im Jemen. Autonome Region Kurdistan im Irak Derzeit hat die Regierung der Autonomen Region Kurdistan (KRG) mit großen politischen und wirtschaftlichen Problemen der Destabilisierung zu kämpfen, die zu einer humanitären Krise und zum Ausbruch von Gewalt führen können. Deutschland hat sich dazu entschieden, der Peshmerga, den militärischen Streitkräften der Autonomen Region Kurdistan, in den Jahren 2014 und 2015 Waffen, wie beispielsweise die panzerbrechenden Raketen vom Typ Milan, zu liefern, um die Bedrohung durch den IS abzuwehren. Im Gegensatz zu einer solchen reaktiven Entscheidung könnte Deutschland durch einen langfristigen Kapazitätsaufbau eine strategischere Rolle zur Sicherung der Stabilität in Kurdistan übernehmen, um die Peshmerga und die Asayish, die lokale Polizei, zu professionellen, stammesübergreifenden Streitkräften auszubauen. Des Weiteren können deutsche Entwicklungshilfeagenturen kleine und mittlere Unternehmen vor allem im Agrarsektor unterstützen. Als ein Land, das in Kurdistan wegen der Unterstützung der Peshmerga und der Jesiden einen guten Ruf genießt, könnte Deutschland auch als Teil eines umfassenderen Engagements zur Stärkung dezentraler Strukturen im Irak auf die verschiedenen Institutionen der Regierung der Autonomen Region Kurdistan einwirken, demokratische Regeln und good governance umzusetzen. Jordanien Jordanien ist eines der Länder, die am stärksten von dem, durch den Krieg in Syrien ausgelösten, Flüchtlingsstrom betroffen sind. Jordanien ist möglicherweise nicht in Lage, gleichzeitig diese neuen Herausforderungen und  auch noch die Weiterentwicklung seiner eigenen sozialen und wirtschaftlichen Bereiche zu bewältigen. Einige der in den Flüchtlingslagern entstandenen Gemeinden werden wahrscheinlich zu neuen Städten, während andere Flüchtlingsgruppen, die in die Städten siedeln, dazu beitragen können, dass diese sich partiell in Slums verwandeln. Aufgrund seiner langjährigen Entwicklungshilfebeziehungen mit Jordanien könnte Deutschland mit der Erarbeitung und Umsetzung von nachhaltigen, bilateralen Aktionsplänen dazu beitragen, diese neuen Herausforderungen zu meistern. Deutschland könnte dazu auch seine Präsenz im Bildungswesen in Jordanien, wie beispielsweise die Deutsch-Jordanische Universität, nutzen und weiter ausbauen. Jemen Die Krise im Jemen ist besorgniserregend. In den Medien wird darüber nur wenig berichtet, sodass dieses Thema in der internationalen Gemeinschaft zu wenig Beachtung findet. Die Grausamkeiten gehen sowohl von der Hadi-Regierung und ihren Verbündeten vom Golf (hauptsächlich Saudi-Arabien) als auch von den durch Teheran unterstützen Houthi-Kämpfern aus. Deutschland könnte aufgrund seiner besonderen Rolle im Zusammenhang mit dem iranischen Atomprogramm sowie als potentiell neutraler Akteur in diesem Konflikt ein guter Vermittler sein, dem die Saudis trauen können, zumal letztere heute nur noch wenige Freunde haben. Dabei könnte der Versuch gestartet werden, eine internationale Friedenskonferenz mit allen Beteiligten einzuberufen, um den Krieg im Jemen zu beenden. Wenn dies gelingen sollte, kann der Frieden im Jemen auch einen Frieden in Syrien wahrscheinlicher machen, da sich dann auch der Iran und Saudi-Arabien näher kommen. Es ist Zeit zu handeln! Falls sich die USA unter Präsident Trump weiter aus dem Nahen Osten zurückziehen, sollten sich Deutschland und die EU dort stärker engagieren: wenn auch nicht aus humanitären Gründen oder zur Verhinderung von Grausamkeiten, dann zumindest zur Stabilisierung der Region am Rande Europas. Aufgrund dessen, dass Deutschland in dieser Region kein koloniales Erbe hat, ist das Land geradezu prädestiniert, sich im Nahen Osten stärker zu engagieren. Die Unterstützung von good governance, langfristige strategische Entwicklungspartnerschaften und aktive Diplomatie können die Bestandteile eines deutschen Maßnahmenkatalogs für einen sichereren Nahen Osten und damit auch für ein sichereres Europa sein.

Dilshad Muhammad war 2016 Gastwissenschaftler am Deutschen Institut für Entwicklugnspolitik (DIE)

Méthode de recherche en relations internationales

Politique étrangère (IFRI) - Mon, 20/02/2017 - 12:00

Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver de Politique étrangère (n°4/2016). Pauline Poupart propose une analyse de l’ouvrage collectif dirigé par Guillaume Devin, Méthode de recherche en relations internationales (Presses de Sciences Po, 2016, 280 pages).

Cet ouvrage offre un tableau des différentes méthodes utilisées actuellement dans la recherche en relations internationales. Il est divisé en quatre grandes parties qui abordent successivement les questions de description et de comparaison, puis des cas plus concrets d’utilisation de différents types de ressources dans la discipline (archives diplomatiques, images, représentations spatiales ou portail internet de l’ONU). L’ouvrage évoque ensuite les questions de « terrain » (de la préparation à la pratique des entretiens). Enfin, une dernière partie très explicative évoque la question, généralement délaissée en France, des apports des approches quantitatives.

Il est donc bien question d’une « méthode », qui peut être utilisée à la fois par les étudiants, les doctorants souvent perdus dans les outils à leur disposition, ainsi que par toute personne qui s’interroge sur les méthodes de travail en relations internationales. En effet, cet ouvrage est construit sur un ensemble de contributions laissant s’exprimer spécialistes et praticiens, avec pour résultat un propos clair et très pédagogique. L’aridité de certaines approches théoriques ou chiffrées, la technicité de certains logiciels d’analyse – lexicométrique notamment – sont toujours explicitées par des cas concrets d’analyse (analyse comparée des discours de Bush Jr. et d’Obama, ou représentations cartographiques des migrations internationales…), ce qui attise la curiosité envers les diverses approches abordées.

Par ailleurs, les auteurs insistent sur la complémentarité des méthodes, ce qui peut rassurer les jeunes chercheurs qui craignent trop souvent le « bricolage » pouvant résulter de l’utilisation d’outils d’analyse de types différents. Cette vision permet également d’ouvrir d’autres perspectives pour le questionnement d’un objet de recherche donné. Ainsi, les chapitres sur l’analyse d’image, ou sur la représentation graphique dans l’analyse de discours (sous forme de nuages de mots clés pour un corpus de texte) sont particulièrement intéressants et actuels, dans un contexte où le déferlement d’images est quotidien, et où l’infographie devient un des supports explicatifs privilégiés par les médias. Cet ouvrage pousse donc à s’interroger à la fois sur la nature des ressources mobilisables lorsque l’on traite de sujets de relations internationales mais surtout sur leur combinaison possible.

Ce livre constitue une bonne introduction et un bilan clair des grandes techniques d’analyse en relations internationales. Il peut apparaître comme trop général pour les familiers de certaines méthodes, mais il a le mérite d’articuler réflexions théoriques et conseils pour la pratique. Les références bibliographiques proposées pour chaque approche donnent un bon aperçu des ouvrages de référence, et l’on peut également y trouver des réponses à des questions concrètes, trop souvent peu abordées, sur l’élaboration même de la recherche (préparation du terrain, enjeux des entretiens, question de confidentialité…). Praticiens comme étudiants en relations internationales pourront donc y trouver des éléments d’interrogation sur les outils qu’ils utilisent, mais aussi des perspectives techniques nouvelles pour leur recherche.

Pauline Poupart

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Artikel - Themen des Plenums: CETA, Van der Bellen, Trudeau, Zukunft der EU

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Mon, 20/02/2017 - 11:54
Plenartagung : Das EU-Parlament hat dem Freihandelsabkommen zwischen der EU und Kanada (CETA) zugestimmt. Der kanadische Premierminister Justin Trudeau sprach am Tag nach der Abstimmung vor den EU-Abgeordneten in Straßburg. Im Rahmen dieser Plenartagung hielt auch der österreichische Bundespräsident Alexander Van der Bellen eine Rede im Parlament. Die EU-Abgeordneten haben außerdem neue Maßnahmen zur Terrorismusbekämpfung verabschiedet und ihre Visionen zur Zukunft der EU dargelegt.

Quelle : © Europäische Union, 2017 - EP
Categories: Europäische Union

NZZ am Abend: Der kompakte Überblick am Abend

NZZ.ch - Mon, 20/02/2017 - 11:39
Categories: Swiss News

Az USA bennfentes kereskedéssel vádol kínai állampolgárokat

Hídfő.ru / Biztonságpolitika - Mon, 20/02/2017 - 11:34

Egy amerikai kormányügynökségnek rendkívüli bírói rendelet írta elő, hogy illegális profitot parkoltató számlákat fagyasszon be a DreamWorks Animation SKG felvásárlásával kapcsolatban, bennfentes kereskedés vádja miatt.

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Categories: Biztonságpolitika

[Revue de presse] A Munich, l'administration Trump ne rassure pas les Européens

Toute l'Europe - Mon, 20/02/2017 - 11:32
Qualifiée de "forum de Davos" de la Défense, la conférence de Munich sur la sécurité, qui s'est tenue du 17 au 19 février, était particulièrement attendue cette année. Les dirigeants et observateurs européens présents à la réunion ont guetté les moindres déclarations des membres de l'administration du nouveau président américain, qui se sont succédé à la tribune. L'alliance militaire transatlantique, à travers l'OTAN, était la principale source de préoccupations à Munich.
Categories: Union européenne

Kosovo Asks Interpol to Cancel Serbian Warrants

Balkaninsight.com - Mon, 20/02/2017 - 10:53
President Hashim Thaci asked the international police agency to cancel Serbian warrants for the arrests of former Kosovo Liberation Army guerrillas on war crimes charges, calling them politically-motivated.
Categories: Balkan News

Donald Tusk elnök heti munkaprogramja

Európai Tanács hírei - Mon, 20/02/2017 - 10:41

2017. február 20., hétfő
10.15 Találkozó Mike Pence-szel, az Egyesült Államok alelnökével (tudnivalók a sajtó munkatársai számára)

2017. február 21., kedd
13.00 Találkozó Jean-Claude Junckerrel, az Európai Bizottság elnökével

2017. február 22., szerda
11.00 Nagykövetek megbízóleveleinek átadása

Les énigmes du sphinx cathodique

Le Monde Diplomatique - Mon, 20/02/2017 - 10:39

Info ? Intox ? Ces questions, vieilles comme le monde (1), les citoyens se les posent, en France et ailleurs, avec une gravité nouvelle après les récents dérapages médiatiques. Ceux-ci sont devenus si fréquents qu'ils constituent désormais la matière même d'émissions drolatiques et satiriques. Déjà, au début des années 80, Coluche brocardait l'information télévisée dans ses célèbres sketchs 1 faux avec une verve caustique que retrouvent aujourd'hui les Inconnus (A 2) ou les Nuls (Canal +). D'autres émissions, comme « Double jeu » , pratiquent systématiquement une guérilla du faux et dissèquent parfois, avec un cruel talent, de malhonnêtes bidouillages effectués par certaines chaînes (2).

La mise à nu des trucages et la révélation des manipulations semblent être devenues un second temps obligé de l'information. Il y a, d'abord, la nouvelle brute, donnée à chaud, « en direct et en temps réel » grâce aux prodiges des nouvelles technologies ; mais elle n'est pas toujours vérifiée, recoupée, et, par conséquent, peut se révéler erronée, incomplète, exagérée, fausse. Puis, vient, presque naturellement, le démenti, la correction, la reconnaissance de l'erreur.

Au lieu de s'interroger sur les conséquences éthiques de ce divorce croissant entre technologie et contenu de l'information, le système semble vouloir tirer profit, à la fois de la vitesse et de ses contrecoups. Il découvre qu'une fausse nouvelle, ce sont deux nouvelles : la fausse et son démenti. Et pense que ce dernier - « inévitable bavure » - peut même, tout compte fait, améliorer sa crédibilité. Ainsi, paradoxalement, plus il ment, plus il veut être cru. C'est la conviction de M. Etienne Mougeotte, vice-président de TF1 : « Le bon fonctionnement d'un système d'information affirme-t-il, ne se mesure pas à la diffusion d'informations erronées ou imprécises ; il est validé lorsqu'une erreur est réparée rapidement ou complètement (3).  » Mais quand ce double jeu se répète ad nauseam il finit par irresponsabiliser le journaliste (pourquoi prendre des précautions et perdre du temps en vérifications alors que, en cas d'erreur, il suffira de démentir ?) et par semer le doute dans l'esprit du public (faut-il croire vraiment telle information ? Ne risque-t-elle pas d'être, comme tant d'autres, corrigée, modifiée, démentie ?). L'inattention, la négligence et la paresse se répandent ainsi dans les milieux journalistiques, qui connaissent, d'autre part - à cause de la vogue de la communication, - un phénomène de massification et un effondrement du niveau culturel moyen comparables à ceux que connurent les milieux enseignants dans les années 60. Tandis que le scepticisme, la suspicion et la méfiance à l'égard des médias s'accroissent chez les citoyens...

Ces phénomènes se sont d'autant plus aggravés que l'ensemble du système informationnel est aujourd'hui tiré, entraîné par la télévision. Celle-ci est désormais son moteur, sa locomotive. Et impose ses critères spécifiques - goût de la fiction, passion du spectacle, culte de l'émotion, amour du divertissement - aux autres médias, et en particulier à la presse écrite. La télévision, comme naguère la radio, est devenue de surcroît le média le plus rapide et contraint les journalistes de la presse écrite quotidienne à une déchirante révision de leur propre mission.

Robert Fisk, du journal britannique The Independent a raconté comment il prit brutalement conscience de ce phénomène au début de la guerre du Golfe : « Que pouvais-je dire à mon journal depuis l'Arabie saoudite durant les premières minutes de la guerre, alors que le début des hostilités avait déjà été retransmis en direct de Bagdad par CNN ? Je me rappelle avoir éprouvé une forte sensation quasi physique lorsque je m'aperçus que le bon vieux temps de la presse écrite était terminé (...) Le suivi en direct à la télévision a remplacé notre ancien travail ; mais cela rend l'information plus manipulable que jamais (4)  ».

Plus manipulable que jamais... Cette manipulation n'a pas commencé, il s'en faut, avec la guerre du Golfe. Mais on sent que cela va en s'aggravant et que, même après la révélation des affaires roumaines - le faux charnier de Timisoara et les faux combats de rue de Bucarest en décembre 1989, - la dérive s'est poursuivie, accentuée, accélérée. Et on a l'impression que le système lui-même méconnaît son propre mouvement, sa dangereuse tendance. Que l'on songe, par exemple, au malentendu sur la couverture des événements d'Europe de l'Est et d'Union soviétique après 1989 !

La télévision, à cette occasion, se grisa de son audace à pénétrer dans les lieux les plus cachés et les plus interdits - hôpitaux, orphelinats, commissariats, prisons, goulags, morgues, sièges de services secrets... - comme si ce dévoilement d'un monde occulte équivalait, symboliquement, à la dissipation de la dictature. Des images pour dessiller les yeux. La télévision montra des lieux interdits avec une telle jubilation qu'elle en vint à croire que cet acte à lui seul (exhiber ce qui est secret) était fondateur de démocratie. Que, en quelque sorte, en filmant la face cachée de ces régimes autoritaires, elle était la démocratie à l'œuvre.

Ce faisant, la télévision idéalisait passablement le régime démocratique présenté comme une maison de verre, toujours transparente, sans secrets pour la presse, et plus particulièrement pour l'œil inquisitorial des caméras. Or nous savons qu'en démocratie, précisément parce que les individus ont des droits, les caméras ne vont pas (sans autorisation) partout, ni dans les morgues, ni dans les prisons, encore moins dans les casernes.

Convaincue de retrouver, dans l'euphorie du retour de la démocratie à l'Est, la légitimité du « quatrième pouvoir », la télévision considéra simplement le dérapage roumain, l'affaire de Timisoara, comme d'« inévitables bavures » des exceptions regrettables. D'où la stupeur du système informationnel lorsqu'il se heurta de front aux interdits de la guerre du Golfe et en particulier à ceux imposés par les forces coalisées.

Ce conflit, on le sait, donna lieu à d'importantes manipulations et à de nombreux mensonges. Ce fut, aussi, une guerre médiatique. L'un des grands bluffs des coalisés - comparable à celui qui prétendait que l'Irak possédait « la quatrième armée du monde » - fut de faire croire que M. Saddam Hussein était « un Machiavel des médias, un sorcier médiatique » et que toute image venant de l'Irak était le produit d'une propagande extrêmement sophistiquée. Deux exemples d'images-boomerang suffisent à montrer la médiocrité communicationnelle des autorités irakiennes. D'abord, la célèbre visite de M. Saddam Hussein aux otages et en particulier la fameuse image du petit enfant anglais transi de peur devant « l'ogre ». Ensuite : les images des prisonniers de guerre occidentaux et notamment celle de l'un d'entre eux, américain, au visage tuméfié, boursouflé par les blessures.

Ces images - filmées par les Irakiens - bouleversèrent le monde et accablèrent le régime de Bagdad plus qu'aucune autre puisque leur message principal - le fort s'acharnant sur le faible - confirmait précisément l'accusation portée contre Bagdad : le « puissant Irak » avait envahi le « petit Koweït ». On sait que l'enfant ne fut jamais maltraité, pas plus que le prisonnier, qui avoua plus tard s'être lui-même volontairement blessé en se jetant contre un mur, précisément pour ne pas être filmé. Aussi piètres stratèges en communication que sur le champ de bataille, les Irakiens fournirent eux-mêmes aux télévisions du monde occidental d'efficaces armes pour accabler leur propre régime.

De nombreuses manipulations médiatiques, faites par les Etats-Unis, ont été dévoilées. On sait, par exemple, que le « document d amateur » montrant les tanks irakiens dans Koweït-Ville et la résistance des Koweïtiens, images qui émurent l'opinion publique, était un montage élaboré par une agence de communication dirigée par Mike Deaver, ancien conseiller du président Reagan, pour le compte de l'émir du Koweït (5) !

On se souvient également du terrifiant témoignage d'une jeune Koweïtienne racontant, effondrée devant les caméras, la barbarie des soldats irakiens qui avaient pillé son hôpital, embarquant vers Bagdad tout le matériel médical et en particulier les couveuses qu'ils avaient débranchées, laissant agoniser des dizaines de prématurés. Encore un faux, dénoncé par Amnesty International et Middle East Watch. L'infirmière n'était autre que la fille de l'ambassadeur koweïtien à Washington et son récit effroyable, une invention d'expert en communication...

Autre temps fort après la libération de Koweït-Ville : la spectaculaire occupation de l'ambassade des États-Unis, que l'on disait piégée de l'intérieur par les Irakiens, effectuée par un corps d'élite déposé sur la terrasse de l'immeuble par des hélicoptères de combat. De la pure mise en scène également : l'ambassade avait été discrètement occupée deux jours plus tôt et consciencieusement inspectée (nul piège n'y fut trouvé). Mais il fallait fournir aux caméras des images fortes et victorieuses afin d'en effacer de plus anciennes : d'autres hélicoptères, à Saïgon, évacuant à la hâte de la terrasse de l'ambassade américaine les derniers ressortissants au milieu du fracas de la défaite du Vietnam...

Ainsi, les progrès technologiques rendent effectivement plus manipulable l'information. Comme l'ont d'ailleurs confirmé des événements plus récents (le putsch de Moscou, en août 1991, et la guerre en Yougoslavie) (6).

En adoptant les mêmes priorités que l'information télévisée, la presse écrite et le photo-reportage (7) sont entraînés dans la même dérive, alors qu'une de leurs nouvelles missions devrait être, précisément, de ralentir, de fournir au citoyen les éléments d'analyse et le contrepoint indispensables pour lui permettre de résister aux périlleux glissements vers le spectacle et le faux.

La méfiance est telle que de plus en plus de citoyens s'écartent, échaudés, des médias. Aux Etats-Unis, par exemple, les journaux télévisés continuent de perdre de l'audience, et les procédés auxquels ils ont recours pour la regagner - reconstruire des faits divers à l'aide de comédiens ou nommer Miss Amérique présentatrice du journal comme l'a fait CBS - ne font qu'accroître la réserve et l'incrédulité. En France, 48 % des citoyens ne pensent plus que les choses se sont passées comme la télévision les montre. Cette rétivité des citoyens pourrait être saine pour la démocratie si la presse en tirait argument pour corriger sa fascination actuelle pour le sensationnel et le spectacle. La majorité des journalistes sont, en France, conscients des périls (8) mais, paradoxalement, le système informationnel semble en panne de solution. La concurrence, la course à l'audience et au profit, condamnent aux mêmes erreurs et conduisent à l'abîme. « Dans les rédactions de la presse écrite, beaucoup de responsables consacrent trop de temps à regarder CNN et autres chaînes d'information « en continu » écrit encore Robert Fisk (9). Si les journaux se considèrent comme de simples extensions de la télévision, est-il étonnant que leurs lecteurs finissent par les abandonner pour regarder le petit écran ?

Et alors, face aux nouvelles énigmes du sphinx cathodique - « lnfo ? Intox ? », - qui rappellera au citoyen qu'il doit se méfier de ses yeux ? Que les apparences, malgré les prodiges du direct, demeurent trompeuses, fallacieuses ? Que la raison démocratique reste fondée sur le doute méthodique, le silence de la réflexion et le débat critique ? Et que, l'air étant chargé de populisme et de démagogie, le choc des images peut conduire parfois à de redoutables démissions ?

(1) Lire la Persuasion de masse, sous la direction de Gérard Chaliand, Robert Laffont, Paris, 1992.

(2) Cf notamment le remarquable démontage, effectué par Pierre Caries et diffusé par Antenne 2 le 25 janvier 1992, du faux entretien avec M. Fidel Castro bricolé par Patrick Poivre d'Arvor et Régis Faucon (TF1).

(3) Le Monde, 5 avril 1991.

(4) El Pais, 16 janvier 1992.

(5) Lire la remarquable enquête de Chantal de Rudder, « La grande manipulation », le Nouvel Observateur, 6 juin 1991.

(6) Lire « Yougoslavie : le bourrage de crâne », Reporters sans frontières, décembre 1991.

(7) Cf Michel Guerrin, « Comment les médias manipulent les images et se moquent de vous », le Temps stratégique, décembre 1991.

(8) Lire la Presse en état de guerre, Editions Reporters sans frontières, Montpellier, 1991.

(9) Voir note 4.

Troublante complaisance pour un « ancien » nazi

Le Monde Diplomatique - Mon, 20/02/2017 - 10:29

De manière générale, les grands organes de presse américains n'apprécient guère les outsiders réfractaires au système politique bipartisan. La plupart des journalistes ne sympathisaient pas avec M. David Duke, qui a obtenu, lors des élections pour le poste de gouverneur de Louisiane, en novembre 1990, 55 % des voix des Blancs et 40 % du total des suffrages. Pourtant, durant toute la campagne électorale, les médias ont fait preuve d'une étrange déférence à l'égard de celui qu'ils qualifiaient, à tort, d' « ancien » dirigeant du Ku Klux Klan et d'« ex-nazi ». Qu'y avait-il d'« ancien » ou d'« ex » dans les convictions de M. David Duke ?

Tout à fait caractéristique de cette occultation de son statut actuel d'idéologue néonazi, ce titre du New York Times (1) : « Les donateurs des Etats hors de la Louisiane pardonnent son passé à Duke. » L'article décrivait un supporter de l'Etat de New-York qui avait déjà contribué financièrement à la campagne présidentielle de M. Duke en 1988, oubliant de dire qu'il représentait alors le Parti populiste, ouvertement raciste et antisémite. Le journal taisait ainsi le fait que c'était grâce à son passé, et non malgré celui-ci, que l'homme soutenait M. Duke.

Dans un de leurs revirements classiques, les journaux commencèrent ensuite à affirmer que la candidature de M. David Duke au poste de gouverneur de Louisiane était particulièrement embarrassante pour le président George Bush et le Parti républicain. Newsweek (2) déplora « tout le mal que Duke fait au parti », tandis que le New York Times (3) titrait : « Le vote en faveur de l'ancien dirigeant du Klan est un message à un GOP [Grand Old Party, Parti républicain] souffrant ». Mais aucun des deux journaux n'évoqua le « mal » et la « souffrance » des Afro-Américains et de tous les gens de couleur qui avaient dû subir les coups d'une campagne raciste.

Plusieurs éditoriaux soulignèrent que la rhétorique de M. Duke reflétait celle de la majorité du Parti républicain, laquelle considère les aides sociales comme un « coûteux échec » et l'action affirmative (4) en faveur des minorités comme une « discrimination à l'égard des Blancs ». La dénonciation de M. Duke par le président Bush a eu bien plus d'échos que son incapacité à se distancier du mythe du « racisme inversé » que son administration a contribué à créer et que l'« ancien » nazi a habilement utilisé. Comme l'a reconnu un des plus proches conseillers du président américain dans les colonnes du Time (5), « certains d'entre nous auraient voulu mettre un terme à cette manière de diviser les gens et de les monter contre les Noirs, mais il est difficile de combattre une formule qui connaît un tel succès ».

La stratégie du GOP d'utiliser les gens de couleur comme boucs émissaires a été encouragée par une presse qui n'a pas fait grand-chose pour enrayer le mythe du « racisme inversé » contre les Blancs. Durant les dix dernières années, les pontifes de la télévision n'ont pas cessé de marteler le même refrain : « Pourquoi les Blancs devraient-ils payer pour les péchés du passé ? » Mais le racisme n'est pas un reliquat de l'Histoire. Il est bien vivant dans la société américaine, comme l'a montré un récent reportage de la chaîne ABC News. En suivant deux diplômés, l'un blanc l'autre noir, qui cherchent tous deux un emploi, un logement et à acheter une voiture, les caméras d'ABC ont livré un témoignage bouleversant sur la manière dont le Noir est partout victime de discriminations. Ce reportage est l'une des rares enquêtes sur ce sujet : si durant des semaines on avait multiplié les exemples - comme lorsqu'il s'agit de la guerre contre la drogue ou des fluctuations de la Bourse, - la télévision aurait permis de désamorcer les mensonges de M. Duke et des autres politiciens.

Qu'est-ce qui permet à un homme politique de dicter ses conditions à la télévision ?

Sur les chaînes nationales, M. Duke a eu droit aux mêmes égards qu'une star de cinéma. Les journalistes l'ont rarement interrogé sérieusement sur sa pseudo-conversion du nazisme au catholicisme, qualifiée de ruse par d'anciens membres désabusés de son staff électoral. En accord avec le candidat, le journaliste Phil Donahue avait accepté de ne pas montrer de photos de lui en costume du Klan ou en short marron décoré de la swastika. Qu'est-ce qui permet ainsi à un homme politique de dicter ses conditions à la télévision ? Tout simplement l'audimétrie : son apparition était une bonne affaire pour les directeurs de chaînes avides de profit !

Aucun média national n'a demandé à M. David Duke d'expliquer ce qu'il voulait dire quand il parlait d'un programme à long terme pour duper les Américains. Il y a cinq ans, l'étudiante en doctorat Evelyn Rich enregistra la conversation de M. Duke avec un fanatique néonazi durant une conférence en Californie organisée par l'Institute for Historical Review, défenseur de la thèse selon laquelle l'Holocauste est un canular.

« Je répugne à être machiavélique affirmait-il, mais je vous suggère de ne pas trop parler de national-socialisme (...) en public. » Quand son interlocuteur lui demanda pourquoi, il répondit : « Je tente d'amener de nouvelles recrues (...). Si l'on vous traite de nazi, ça vous colle ensuite à la peau très longtemps. Ça met en cause votre capacité à communiquer avec elles. C'est malheureux que ce soit ainsi (...). Cela peut prendre des décennies de faire tomber ce gouvernement. »

Quand son collègue lui fit la remarque : « Il ne faut pas tellement de gens pour démarrer. Hitler a commencé avec quelques hommes » Duke retorqua : « C'est juste. Et ne pensez-vous pas que cela peut arriver maintenant si l'on trouve la bonne combinaison ? »

Trouver la bonne combinaison n'était pas une mince affaire, et il fallut en tester plusieurs avant que M. Duke et ses amis néonazis trouvent la solution. Ils s'inspirèrent d'un mouvement qui leur était proche, celui de M. Lyndon La Rouche, qui avait remporté plusieurs primaires au Parti démocrate en 1987. Ils choisirent une stratégie électorale multiforme, en s'infiltrant dans les deux partis traditionnels et en fondant leur propre organisation. M. Duke fit campagne pour l'élection présidentielle de 1988, d'abord sur la liste démocrate, puis comme candidat du Parti populiste. Quelques semaines plus tard, il fut élu représentant à ,la Chambre de Louisiane, cette fois comme républicain, avant de se porter candidat au poste de gouverneur en novembre 1991 Il a confirmé son intention de se lancer à nouveau dans la bataille pour la magistrature suprême.

L'ascension fulgurante de M. Duke n'est pas seulement, comme le prétend le New York Times (6), le produit d'une « fièvre particulière » à la Louisiane, mais l'aboutissement d'une stratégie des partisans de la suprématie blanche qui tentent de prendre le contrôle du GOP. A cette fin, de futurs politiciens sont dressés : Thom Robb, grand sorcier du Ku Klux Klan, a ouvert un camp de formation dans l'Arkansas pour ceux qui veulent suivre la voie de M. Duke. On leur apprend, selon M. Robb, « à bannir de leur langage la haine et tout ce qui risque de faire fuir les gens. Ils doivent polir leur langage et leur apparence ». Ne portant pas le fardeau du passé de M. Duke, ces jeunes gens ne seront pas identifiables comme des néonazis.

Une redistribution des forces de l'extrême droite

Pourtant, jusqu'à ce jour, les médias américains ont été incapables de suivre la trajectoire de la droite raciste, ses tactiques et ses objectifs, ses programmes à court et à long terme. Les journalistes ont aussi oublié d'enquêter sur la coopération grandissante entre eux et les fondamentalistes chrétiens qui sont divisés sur la question du soutien à Israël. L'appui des dirigeants locaux de la Coalition chrétienne de M. Pat Robertson à la candidature en Louisiane de M. Duke, antisémite notoire, pourrait annoncer une redistribution significative des forces de l'extrême droite.

Un autre facteur qui contribue à la relance de la droite raciste est sa collaboration avec l'organisation du Révérend Sung Myung Moon qui s'est assuré d'importantes positions au sein d'un Parti républicain où déjà de nombreux extrémistes anticommunistes d'Europe orientale, récupérés après la seconde guerre Mondiale par les États-Unis, jouent un rôle actif.

L'anticommunisme a longtemps été le ciment des diverses forces d'extrême droite. Maintenant que la guerre froide est finie, il risque d'être remplacé par la haine raciale, et les activités des néonazis, jusqu'à présent une frange marginale de la vie politique, pourraient devenir un facteur avec lequel il faudra compter. Combien de temps la presse américaine pourra-t-elle ignorer ou sous-estimer Cette réalité ?

(1) 15 novembre 1991.

(2) 4 novembre 1991.

(3) 23 octobre 1991.

(4) L'action affirmative (Affirmative Action) consiste à tenter de réparer les injustices du passé, mais sans en créer de nouvelles, en donnant aux minoritaires (Noirs et femmes notamment) des droits d'accès à la formation, à l'embauche et à la promotion égaux à ceux des hommes blancs.

(5) 25 novembre 1991.

(6) Il octobre 1991.

Artikel - Terrorbekämpfung: Parlament billigt neues Antiterrorgesetz

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Mon, 20/02/2017 - 10:24
Allgemeines : Radikalisierte EU-Bürger, die als Kämpfer nach Syrien oder in den Irak reisen, stellen eine wachsende Bedrohung dar. Bei der Mehrzahl der jüngsten Terroranschläge in Europa handelte es sich um "hausgemachten" Terrorismus und an einigen Anschlägen waren zurückgekehrte ausländische Kämpfer beteiligt. Das EU-Parlament hat am 16.2. neue Maßnahmen zur Terrorbekämpfung gebilligt. Vorbereitende Handlungen für Terrorakte werden unter Strafe gestellt und die Kontrollen an den EU-Außengrenzen verschärft.

Quelle : © Europäische Union, 2017 - EP
Categories: Europäische Union

Wochenplan von Präsident Donald Tusk

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 20/02/2017 - 10:20

Montag, 20. Februar 2017
10.15 Uhr Treffen mit dem Vizepräsidenten der Vereinigten Staaten, Mike Pence (media advisory)

Dienstag, 21. Februar 2017
13.00 Uhr Treffen mit dem Präsidenten der Europäischen Kommission Jean-Claude Juncker

Mittwoch, 22. Februar 2017
11.00 Uhr Überreichung von Beglaubigungsschreiben durch Botschafter

Categories: Europäische Union

Artikel - Kanadas Premierminister Justin Trudeau im EU-Parlament

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Mon, 20/02/2017 - 10:13
Plenartagung : Der kanadische Premierminister Justin Trudeau hielt am Donnerstag (16.2.) eine Rede vor den EU-Abgeordneten in Straßburg. Am Vortag hatte das Parlament das "umfassende Wirtschafts- und Handelsabkommen zwischen der EU und Kanada" (CETA) gebilligt. "Bei CETA geht es nicht nur um Handel, Importe, Exporte und Gewinne, sondern darum, das Leben der Menschen zu verbessern", sagte Kanadas Premier. Justin Trudeau ist der erste kanadische Premierminister, der vor dem Plenum gesprochen hat.

Quelle : © Europäische Union, 2017 - EP
Categories: Europäische Union

Merger mania, Brexit trade talks for Christmas, and the Pence assurance tour

FT / Brussels Blog - Mon, 20/02/2017 - 09:57

Mega-mergers are once again all the rage – just as protectionist currents are gaining strength. Corporate dealmakers are running headlong into some treacherous politics. Some combustible merger-related battles are already playing out in Europe.

Shortly before Kraft Heinz ditched its $143bn pursuit of Unilever on Sunday, Downing Street desperately thinking of ways to shield the Anglo-Dutch group from the US cost-cutters. EU law would have made that difficult. But the sentiment is clear. Britain’s historic open door is no longer so open.

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Categories: European Union

Plan de développement au Burkina : Afreximbank promet 1,5 milliard de dollars

Jeune Afrique / Finance - Mon, 20/02/2017 - 09:54

Le président de la Banque africaine d'import-export s'est rendu à Ouagadougou la semaine dernière pour apporter le soutien d'Afreximbank au Plan national de développement économique et social 2016-2020, mené par le président Roch Marc Christian Kaboré.

Cet article Plan de développement au Burkina : Afreximbank promet 1,5 milliard de dollars est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.

Categories: Afrique

Professor George Pagoulatos writes on the need to conclude the bailout review in the Sunday edition of Kathimerini, 19/02/2017

ELIAMEP - Mon, 20/02/2017 - 09:47

Professor George Pagoulatos wrote on the need to conclude the bailout review in the Sunday edition of Kathimerini. The article was published on 19 February 2017 and is available here.

Közbeszerzési referens

EU Pályázati Portál - Mon, 20/02/2017 - 09:39

Nemzetgazdasági Minisztérium
GFP Kiemelt Projektek Pénzügyi és Monitoring Főosztály

a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján

pályázatot hirdet

közbeszerzési referens

munkakör betöltésére.

A kormánytisztviselői jogviszony időtartama:

határozatlan idejű kormánytisztviselői jogviszony.    

Foglalkoztatás jellege:

Teljes munkaidő

A munkavégzés helye:

Budapest, 1139 Budapest, Váci út 83.

A közszolgálati tisztviselők képesítési előírásairól szóló 29/2012. (III. 7.) Korm. rendelet alapján a munkakör betöltője által ellátandó feladatkörök:

35. sz. Európai uniós megnevezésű feladatkör szerint,

Ellátandó feladatok:

A munkatárs részére kiosztásra került közbeszerzés naprakész nyomon követése, és a közbeszerzési eljárás menedzselése során együttműködés a társterületekkel. Beérkező feladatok koordinálása, megfelelő priorizálása, Rendszeres adatszolgáltatás a jelentések készítéséhez, ad hoc jellegű információkérésekre válasz adása, Nyilvántartó rendszerek vezetése.

A munkakörhöz tartozó főbb tevékenységi körök:

A közbeszerzéssel érintett pályázatok esetében a megvalósult eljárás szabályszerűségének vizsgálta. A hatályos közbeszerzési törvényben meghatározott feltételek alapján, a közbeszerzés szükségességének vizsgálta az egyes pályázatok vonatkozásában. Adatrögzítés informatikai rendszerekben. A tevékenységéhez közvetlenül és közvetetten kapcsolódó jogszabályok, rendeletek, eljárásrendek, kézikönyvek, a szervezet belső utasításainak, rendelkezéseinek pontos ismerete és biztonságos alkalmazása.

Jogállás, illetmény és juttatások:

A jogállásra, az illetmény megállapítására és a juttatásokra a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény rendelkezései az irányadók. 

Pályázati feltételek:

  • Magyar állampolgárság,
  • Cselekvőképesség,
  • Büntetlen előélet,
  • Főiskola, Felsőfokú végzettség (diploma), a közszolgálati tisztviselők képesítési előírásairól szóló 29/2012. (III.7.) Korm. rendelet 3. számú melléklet 35. sz. Európai uniós feladatkör szerint.,
  • Felhasználói szintű MS Office (irodai alkalmazások),
  • Közbeszerzési referensi végzettség.
  • Precizitás, problémamegoldó képesség.
  • Jó kommunikációs készség.
  • Monotonitás és stressz tűrő képesség.

A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:

  • Közbeszerzés illetve pályázatkezelés területén szerzett gyakorlat.
  • Jó rendszerező képesség.

A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:

  • A pályázó szakmai életútját részletesen bemutató fényképes önéletrajz,
  • Magyar nyelvű motivációs levél,
  • •         Iskolai végzettséget és egyéb végzettséget/ismeretet/nyelvtudást tanúsító okiratok szkennelt változata,
  • •         Aláírt nyilatkozat büntetlen előéletről,
  • •         Aláírt nyilatkozat arról, hogy a pályázati anyagot az eljárásban résztvevők megismerhetik,
  • •         Aláírt nyilatkozat arról, hogy a pályázati eljárást követően a pályázó hozzájárul pályázati anyaga adatbázisba történő rögzítéséhez,
  • •         Amennyiben nem járul hozzá pályázati anyaga megőrzéséhez, úgy nemleges nyilatkozat csatolása.

A munkakör betölthetőségének időpontja:

A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.

A pályázat benyújtásának határideje: 2017. február 28.

A pályázati kiírással kapcsolatosan további információt Aponyi Benjamin nyújt, a 06 1 896 – 0368 -os telefonszámon.

A pályázatok benyújtásának módja:

  • Elektronikus úton Nemzetgazdasági Minisztérium részére a hr@ngm.gov.hu e-mail címen keresztül.
  • Személyesen: Nemzetgazdasági Minisztérium, Budapest, 1051 Budapest, József nádor tér 2 – 4.

A pályázati eljárás, a pályázat elbírálásának módja, rendje:

A borítékon kérjük feltüntetni: NGM 2017_13 közbeszerzési referens (pályázó neve)”. Elektronikus úton az e-mail tárgyában kérjük feltüntetni: NGM 2017_13 közbeszerzési referens. A pályázatok a benyújtási határidőt követő 30 napon belül kerülnek elbírálásra. Határidőn túl, vagy hiányosan benyújtott pályázatokat nem áll módunkban figyelembe venni. A benyújtás határideje : Személyesen : 2017.02.28 16:00 óráig. Elektronikusan : 2017.02.28. éjfélig.

A pályázat elbírálásának határideje: 2017. március 28.

A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:

  • http://www.kormany.hu/hu/dok?source=8&type=409#!DocumentBrowse – 2017. február 1.

A munkáltatóval kapcsolatos egyéb lényeges információ:

Amennyiben a pályázati felhívások szövegében eltérés található, a Nemzetgazdasági Minisztérium honlapján közzétett pályázati kiírás szövegét kell irányadónak tekinteni.

A munkáltatóval kapcsolatban további információt a http://www.kormany.hu/hu/nemzetgazdasagi-miniszterium honlapon szerezhet.

A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. február 1.

A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a közigazgatási szerv által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.

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