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« L’intérêt du parlement britannique est de peser sur les conditions de sortie de l’UE »

IRIS - Tue, 24/01/2017 - 18:44

Au Royaume-Uni, la cour suprême a rendu sa décision mardi 24 janvier : le gouvernement de Theresa May devra obtenir l’approbation du parlement avant de lancer les négociations de sortie de l’Union européenne. Cette décision était-elle attendue ?

Du point de vue juridique, la décision de la cour suprême n’est pas inattendue. La cour suprême ne fait que confirmer la décision prise en novembre par la Haute Cour de Londres. En revanche, le climat politique, lui, s’est transformé. Nous étions alors dans un moment politique où on avait l’impression que le « hard Brexit » restait évitable, et qu’il subsistait une marge de manœuvre pour négocier un Brexit plus « doux ». Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Theresa May a compris en décembre que les Européens ne transigeraient pas sur les libertés fondamentales de l’UE. En retour, elle a clarifié son approche la semaine passée et opté pour une rupture nette, en arguant du soutien de l’opinion publique. On a aujourd’hui l’impression que le hard Brexit sera difficile à éviter.

Cela vous surprend-il compte tenu des résultats du référendum en faveur du Brexit ?

C’est la façon dont le débat a été posé qui est surprenante. Depuis le référendum, « la voix du peuple » semble être devenue un argument massue pour ne plus accepter le fonctionnement classique des institutions. Le Royaume-Uni est une vieille démocratie parlementaire, au sein de laquelle le législatif, le judiciaire et l’exécutif font leur travail en fonction de leurs prérogatives respectives. Par un processus juridique tout à fait ordinaire, la cour de Londres a décidé que le gouvernement n’avait pas l’autorité de déclencher l’article 50 sans l’aval du parlement. Mais on a l’impression aujourd’hui que la souveraineté populaire se définit exclusivement par la voix du peuple, qui peut tout emporter avec lui. Les journaux britanniques ont ainsi interprété cette décision comme si l’organe juridique du Royaume-Uni s’opposait à la voix du peuple, et on a vu en une des tabloïds les titres suivants : « les juges, ces ennemis du peuple. »

Compte tenu de son pouvoir, le parlement pourrait-il prendre le risque de bloquer le déclenchement de l’article 50 ?

Je ne pense pas que ce soit le problème principal aujourd’hui. L’enjeu majeur, c’est à mon avis le poids que pourra peser le parlement sur les termes de la sortie de l’Union européenne en 2019. À mon avis, il y aura un échange de bons procédés entre le Parlement et le gouvernement. D’un côté, Theresa May a besoin d’un processus rapide au Parlement pour pouvoir respecter son calendrier et activer l’article 50 d’ici à la fin mars, et pour que les négociations au parlement ne s’embourbent pas ; de l’autre, l’intérêt du parlement est de peser sur la négociation des conditions de sortie du Royaume-Uni de l’UE. Et donc, toujours pour le Parlement, d’être consulté sur un maximum de sujets lorsque l’accord de sortie aura été négocié avec l’UE, et ce à échéance 2019. Nous sommes dans une situation politique où il n’est pas dans l’intérêt d’un parti travailliste affaibli et divisé de s’opposer à la « volonté populaire » en bloquant l’activation de l’article 50. Le voudrait-il qu’il n’en aurait de surcroît pas les moyens.

Sur quel sujet, par exemple, le Parlement veut avoir son mot à dire ?

La question fondamentale sera le marché unique. Theresa May ne peut pas demander l’accès au marché unique – elle a compris qu’il était incompatible avec son souhait de contrôler les flux migratoires. Reste qu’une partie des travaillistes et des députés écossais souhaite cet accès. Theresa May a confirmé que le parlement serait consulté sur la sortie. Ainsi il est envisageable qu’il demande un droit de regard sur les conditions de l’accès au marché unique. Ce n’est pas le seul domaine, mais c’est le point le plus sensible.

D’un côté, si Theresa May souhaite comme elle l’a dit dans son discours, mardi 17 janvier, un hard Brexit, elle ne peut pas faire de compromis. Mais d’un autre côté, une partie du parlement, et notamment les Écossais, veut un accès au marché unique. Dans ce rapport de force, on verra qui prendra le dessus car en arrière-plan se joue la question écossaise. L’Écosse a voté à 62 % pour le maintien dans l’UE et elle souhaite avoir accès au marché unique, position incompatible avec celle de Theresa May.

Cela va donc entraver la marge de la première ministre britannique ?

Il est étonnant de voir le temps qu’il a fallu à Theresa May pour se rendre compte que l’UE ne transigerait pas sur ses libertés fondamentales, et qu’en réalité l’accès au marché unique n’était pas compatible avec le contrôle qu’elle souhaitait exercer sur les migrations. Elle s’est heurtée à l’unité des 27 autres pays membres, qui n’ont guère le choix aujourd’hui car l’avènement d’une Europe à la carte signerait l’arrêt de mort de l’UE. Elle pensait pouvoir négocier, enfoncer une brèche pour diviser l’Europe, mais s’est retrouvée isolée au conseil européen de décembre. C’est alors seulement qu’elle s’est résolue au « Hard Brexit ».

Recueilli par Agnès Rotivel

Azerbaijani customs body gains access to airlines’ databases

News.Az - Tue, 24/01/2017 - 18:43
The State Customs Committee (SCC) of Azerbaijan has joined a system making it possible to get preliminary information about the passengers arriving in the country on planes, Vugar Aliyev, head of the Analytical Department of the SCC, said.
Categories: Russia & CIS

With international agreement on ceasefire monitoring, UN envoy praises Syrian delegations in Astana

UN News Centre - Tue, 24/01/2017 - 18:35
The talks to strengthen the ceasefire in war-torn Syria ended today in Astana, Kazakhstan, with agreement on how to monitor the effort started last month and praise from the United Nations Special Envoy Staffan de Mistura.

La patrie entre Espagne et Pays basque

IRIS - Tue, 24/01/2017 - 18:31

Patria, La patrie. 100.000 exemplaires vendus de septembre à décembre 2016. Une adaptation cinématographique en route. La patrie basque, basque d’Espagne, a fait rebondir les ventes en librairie. Elles en avaient bien besoin, plusieurs dizaines de points de vente ayant disparu outre Pyrénées ces dernières années. Paradoxe en ces temps de divorce entre Madrid et sa périphérie catalane, le roman, c’est d’un roman en effet qu’il s’agit, fait un tabac à Barcelone, aussi bien qu’à Madrid et à Bilbao.

« Patria » enfonce le lecteur dans les va et vient d’individus flottants, perdus dans les figures imposées par les donneurs d’ordre politiques. L’épaisseur de vécus en clairs obscurs, la grisaille du quotidien, brouillent le regard que d’un côté et de l’autre on porte sur « les évènements » du Pays-basque, le terrorisme, (ETA), le contre-terrorisme, (les GAL), l’indépendantisme basque, l’Espagne et son unité. « Patria », de façon inattendue, révèle un divorce entre lecteurs-citoyens-électeurs et « responsables » partisans de tous bords.

Depuis la guerre civile, -au moins-, l’Espagne n’en finit pas de coudre, tailler et redécouper, la carte et la charte de son agrégat national. Le Pays-basque pendant des années a joué le rôle de mouton noir, rebelle, violent, inassimilable, en apparence, à toute tentative de compromis avec l’Espagne et Madrid. Les Catalans, abandonnant leur talent négociateur, ont pris le relais depuis un lustre. Le succès inattendu de « Patria », écrit par un auteur basque à cent pour cent, natif de Saint-Sébastien (Donostia), Fernando Aramburu, met le doigt sur une attente restée jusqu’ici cachée. Celle de trouver enfin, après tant de haines, et de peines, un terrain d’entente.

Le poids d’un passé qui a divisé les cœurs et les esprits, le poids des crimes commis au nom de la patrie basque et de l’Espagne une et indivisible, le choc des trains partisans depuis les débuts de la transition démocratique ont fatigué sans doute les volontés les plus radicalisées. La dernière aventure indépendantiste du Parti nationaliste basque, tentative avortée d’organiser un référendum d’autodétermination en 2006, les ultimes attentats d’ETA, soldés par la mort absurde de deux immigrés équatoriens, « la fin de territoires » nationaux en perte de compétences érodées par la mondialisation et l’européisation, ont assoupli les discours souverainistes antagonistes.

Prenant le contrepied de la voie catalane, après avoir observé le cours du monde et celui de l’Europe communautaire, PNV et PSE, – Parti nationaliste basque et Parti socialiste d’Euskadi, noyau historique des forces politiques basques ont posé la question basque en termes institutionnellement solubles dans la Constitution espagnole. Les deux partis, ont décidé de gouverner ensemble, au lendemain du dernier renouvellement du parlement basque, le 24 novembre 2016[1]. Pour élargir l’autonomie reconnue à la Communauté autonome basque par la Loi fondamentale espagnole.

L’échec du Plan Ibarretxe, plan devant conduire le Pays Basque à l’indépendance, porté par le PNV, a forcé le changement stratégique. Exit Ibarretxe et son équipe. Le successeur, Iñigo Urkullu, a détricoté la méthode. Adaptant l’objectif d’autogouvernement qui reste le cap Nord de la boussole nationaliste aux conditions du monde. La revendication indépendantiste, a-t-il expliqué de façon répétée, est une vieillerie héritée du XIXème siècle. L’ETA l’a défendue, mais « ETA, c’était hier »[2]. « Demander (l’indépendance) dans une union européenne de 28 Etats, avec d’autres en attente (..) me parait problématique. La UE est fondée sur l’interdépendance, les souverainetés partagées, je crois que le défi est celui d’imaginer l’insertion d’un Etat construit comme l’espagnol [3]» »Dans un monde globalisé l’indépendance est pratiquement impossible. (..) C’est un concept du XIXème siècle. Notre nationalisme est du XXIème siècle, (..) de souveraineté partagée »[4]. Les temps modernes sont européens et globaux. Les Etats sont déconstruits par le cours des choses. Nul besoin de perdre temps, énergie à défier un château de carte qui s’affaisse sous les coups de butoir de vagues globales et bruxelloises. Le PNV, écartant toute option majoritaire avec Sortu, formation nationaliste radicale, a choisi de gouverner avec les socialistes. Cette alliance, a commenté Inigo Urkullu, en réponse à une question sur l’option indépendantiste, « permet d’avancer vers l’autogouvernement, (..) en accord avec d’autres partis, en respectant les majorités ».[5]

Il suffit a-t-il poursuivi de surfer sur la vague. De saisir les moments de difficulté du pouvoir en place à Madrid, ou des grands partis politiques pour négocier un peu plus de compétences pour Euskadi (le Pays Basque), et ainsi sans recours aux extrêmes, qu’il s’agisse d’un conflit constitutionnel autour de l’autodétermination, ou de la violence, d’arriver progressivement à une sorte de responsabilité partagée. Iñigo Urkullu très logiquement ne manque jamais une occasion de préciser que « le droit à décider » des Basques, tel qu’il l’entend, n’a rien à voir avec celui des partis nationalistes et indépendantistes catalans[6]. Fort de cette allégeance à la Constitution espagnole il en demande le respect par le gouvernement central comme par les autres présidents de régions autonomes. Il a ainsi dans son discours de fin d’année 2016 rappelé à Mariano Rajoy, président du gouvernement espagnol, qu’il est ouvert au dialogue. Et donc qu’il demande au gouvernement de ne plus recourir aux tribunaux pour contester les lois votées par le parlement basque. A l’intention de ses homologues, chefs de régions autonomes, qui exigent une égalité de traitement entre toutes les collectivités territoriales, il rappelle que la Loi fondamentale reconnait dans une disposition additionnelle des droits historiques, au Pays basque[7].

Une enquête[8] publiée en décembre 2016 complète la perception intuitive de l’écrivain Fernando Aramburu. Les Basques sont divisés en multiples sensibilités. 31% voteraient en faveur de l’indépendance. 39% y seraient opposés. Mais les nationalistes représenteraient 46% de l’électorat. Et les non nationalistes 50%. 47% considèrent qu’il existe une nation basque. Et 67% souhaitent la perpétuation avec ou sans changement du système autonome. Conclusion, beaucoup de romans »Patria » achetés, et une cote de popularité exceptionnelle pour le président du gouvernement, le lehendakari Urkullu. Qui « travaille pour plus d’autogouvernement, sans mélanger cela avec l’indépendance, (parce que) dans l’UE l’unilatéralité n’a pas d’avenir [9]».

[1] Date du débat d’investiture. Les élections se sont tenues le 25 septembre 2016
[2] In « El Pais », 5 juin 2011
[3] In « El Pais », 25 janvier 2016
[4] In « El pais », 4 décembre 2016, réponse à Luis R. Aizpeolea
[5] In « El Pais, 4 décembre 2016
[6] Voir, entretien accordé au quotidien « El Pais », 3 octobre 2014
[7] In « El Pais », 2 janvier 2017
[8] Euskobarómetro, sondage sur le sentiment indépendantiste
[9] Déclaration faite le 19 décembre 2016

Rosatom files application to participate in NPP construction tender in S Africa

News.Az - Tue, 24/01/2017 - 18:27
Russia's Rosatom has submitted to build new nuclear power plants (NPP) in South Africa, CEO Alexei Likhachev said Tuesday.
Categories: Russia & CIS

UN chief Guterres pledges commitment to achieving world free of nuclear weapons

UN News Centre - Tue, 24/01/2017 - 18:11
Disarmament can play an important role in ending existing conflicts and preventing the outbreak of new strife, United Nations Secretary-General António Guterres said today, pledging to actively pursue the abolition of all weapons of mass destruction and the strict regulation of conventional weapons.

Press release - Waste: boost recycling, cut landfilling and curb food waste, say MEPs - Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Tue, 24/01/2017 - 18:08
The share of waste to be recycled should be raised to 70% by 2030, from 44% today, while landfilling, which has a big environmental impact, should be limited to 5%, said Environment Committee MEPs on Tuesday, as they amended the draft EU “waste package” legislation. They also advocate a 50% reduction in food waste by 2030.
Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: Europäische Union

Press release - Waste: boost recycling, cut landfilling and curb food waste, say MEPs - Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

Európa Parlament hírei - Tue, 24/01/2017 - 18:08
The share of waste to be recycled should be raised to 70% by 2030, from 44% today, while landfilling, which has a big environmental impact, should be limited to 5%, said Environment Committee MEPs on Tuesday, as they amended the draft EU “waste package” legislation. They also advocate a 50% reduction in food waste by 2030.
Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

Source : © European Union, 2017 - EP

Press release - Waste: boost recycling, cut landfilling and curb food waste, say MEPs - Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

European Parliament (News) - Tue, 24/01/2017 - 18:08
The share of waste to be recycled should be raised to 70% by 2030, from 44% today, while landfilling, which has a big environmental impact, should be limited to 5%, said Environment Committee MEPs on Tuesday, as they amended the draft EU “waste package” legislation. They also advocate a 50% reduction in food waste by 2030.
Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Press release - Waste: boost recycling, cut landfilling and curb food waste, say MEPs - Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

European Parliament - Tue, 24/01/2017 - 18:08
The share of waste to be recycled should be raised to 70% by 2030, from 44% today, while landfilling, which has a big environmental impact, should be limited to 5%, said Environment Committee MEPs on Tuesday, as they amended the draft EU “waste package” legislation. They also advocate a 50% reduction in food waste by 2030.
Committee on the Environment, Public Health and Food Safety

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Cat dressed up as female Ninja makes little Japanese café big - PHOTO

News.Az - Tue, 24/01/2017 - 18:07
A little white cat called ChaCha is the feline mascot of the small café “Murai Bankoen” in the city of Iga in Mie Prefecture, Japan.
Categories: Russia & CIS

Communiqué de presse - Déchets: encourager le recyclage et réduire la mise en décharge - Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire

Parlement européen (Nouvelles) - Tue, 24/01/2017 - 18:06
La part de déchets recyclés devrait passer à 70% d’ici à 2030, contre 44% à l’heure actuelle, alors que la mise en décharge, qui a des conséquences environnementales importantes, devrait être limitée à 5%. C’est ce qu’ont affirmé les députés de la commission de l’environnement mardi, modifiant le projet législatif européen sur le "paquet déchets". Par ailleurs, ils demandent une réduction de 50% du gaspillage alimentaire d'ici à 2030.
Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Categories: Union européenne

The Brief from Brussels: Martin Schulz tritt gegen Angela Merkel an

EuroNews (DE) - Tue, 24/01/2017 - 18:01
Der Sozialdemokrat Martin Schulz steht erneut im Rampenlicht.
Categories: Europäische Union

Communiqué de presse - Journée internationale de commémoration de l’Holocauste au Parlement européen

Parlement européen (Nouvelles) - Tue, 24/01/2017 - 17:55
Général : À l’occasion de la journée internationale de commémoration de l’Holocauste (27 janvier), le Parlement européen et le Congrès juif européen organiseront une cérémonie mercredi après-midi. Le Président du Parlement, Antonio Tajani, et le président du Congrès juif européen, Moshe Vyacheslav Kantor, prononceront les discours d’ouverture.

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Categories: Union européenne

Press release - Parliament to mark the International Holocaust Remembrance Day

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Tue, 24/01/2017 - 17:53
General : To mark the International Holocaust Remembrance Day (27 January), the European Parliament and the European Jewish Congress will hold a ceremony on Wednesday. EP President Antonio Tajani and European Jewish Congress President Dr Moshe Kantor will deliver the opening speeches.

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: Europäische Union

Press release - Parliament to mark the International Holocaust Remembrance Day

Európa Parlament hírei - Tue, 24/01/2017 - 17:53
General : To mark the International Holocaust Remembrance Day (27 January), the European Parliament and the European Jewish Congress will hold a ceremony on Wednesday. EP President Antonio Tajani and European Jewish Congress President Dr Moshe Kantor will deliver the opening speeches.

Source : © European Union, 2017 - EP

Press release - Parliament to mark the International Holocaust Remembrance Day

European Parliament (News) - Tue, 24/01/2017 - 17:53
General : To mark the International Holocaust Remembrance Day (27 January), the European Parliament and the European Jewish Congress will hold a ceremony on Wednesday. EP President Antonio Tajani and European Jewish Congress President Dr Moshe Kantor will deliver the opening speeches.

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Press release - Parliament to mark the International Holocaust Remembrance Day

European Parliament - Tue, 24/01/2017 - 17:53
General : To mark the International Holocaust Remembrance Day (27 January), the European Parliament and the European Jewish Congress will hold a ceremony on Wednesday. EP President Antonio Tajani and European Jewish Congress President Dr Moshe Kantor will deliver the opening speeches.

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Five teams vying for Google prize to land spacecraft on the moon

News.Az - Tue, 24/01/2017 - 17:49
Five teams have qualified to compete in a $30 million Google-backed competition to land and operate robotic spacecraft on the surface of the moon, the XPrize Foundation said on Tuesday.
Categories: Russia & CIS

Pendant la primaire, Macron sculpte sa stature internationale à Beyrouth

Le Figaro / Politique - Tue, 24/01/2017 - 17:44
Le leader d'En Marche! a commencé sa tournée de trois jours au Proche-Orient par le Liban.
Categories: France

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