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Macédoine : le chef de l'opposition Zoran Zaev accusé de fomenter un « coup d'État »
Écoutes téléphoniques en Macédoine : Gruevski plus fort que la Stasi
Macédoine : les écoutes, le Mossad et la « trahison » du VMRO-DPMNE
Macédoine : accord sur l'enquête des écoutes, enfin une vraie sortie de crise ?

/ Radio Slobodna Evropa, Macédoine, Politique intérieure, Défense, police et justice, Dérive autoritaire en Macédoine

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Serbie : les noces chinoises des aciéries de Smederevo
Bosnie : le grand exode des Croates d'Herzégovine
Le HDZ en perte de vitesse chez les Croates de Bosnie-Herzégovine
Bosnie-Herzégovine : Dodik rêve tout haut de sécession et réclame une armée pour la Republika Srpska
Bosnie-Herzégovine : le 9 janvier, qui va faire la fête en Republika Srpska ?

/ Radio Slobodna Evropa, Bosnie-Herzégovine, Politique intérieure, Relations régionales

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/ Radio Slobodna Evropa, Bosnie-Herzégovine, Politique intérieure, Relations régionales

Ministers of Bulgaria and Serbia have agreed a gas interconnector should become fully operational by 2020, helping both countries reduce their dependency on Russian energy.

Countries in the region are pondering whether they will lose or gain from a Trump presidency – but the end results of this new era are hard to call.

The tobacco industry is doing its utmost to deter Slovenia from introducing plain cigarette packaging - it must not succeed.

After the Serbian President’s claimed he and his sons were ready to fight in Kosovo, veterans associations and the army union say its questionable how many would follow them.

Dans le centre de l'Italie, près de Farindola dans les Abruzzes, les recherches se sont poursuivies toute la nuit autour de l’hôtel de luxe Rigopiano, enseveli par une avalanche jeudi. Au lendemain des faits, ce vendredi 20 janvier 2017, les sauveteurs ont pu localiser dix survivants dans les décombres. Une trentaine de personnes se trouvaient à l’intérieur au moment du drame. L'espoir de retrouver des survivants s'amenuise.

Les sept candidats à la primaire à gauche ont débattu pour la dernière fois avant le premier tour, sur France 2 et Europe 1, jeudi.

Written by Krisztina Binder (3rd edition),

© boldg / Fotolia`

Since 2011, Jordan’s economy has suffered from the negative spill-overs of the on-going regional conflicts and the Syrian refugee crisis, weakening the country’s fiscal and external financing position. In line with the EU’s objective to support the stability and development of Jordan’s economy, the European Commission has presented a proposal to grant the country a second package of macro-financial assistance (MFA). Amounting to a maximum of €200 million, the assistance would help the country cover a part of its external financing needs. The first MFA package, worth €180 million, was approved in 2013 and fully disbursed in 2015. In addition to the significant resources mobilised by the multilateral and bilateral donors, this second MFA, adopted in December 2016, will, by strengthening the economy, contribute to Jordan’s overall stability, which is a high priority for the EU. The Commission will, if appropriate, put forward a new proposal in 2017 to extend and increase this MFA to Jordan. EU aid will complement the International Monetary Fund’s new programme of about US$723 million, focusing on the country’s economic and financial reform programme.

See also our at a glance note
‘Parliamentary elections in Jordan‘

Versions

• January 2017: ‘EU pledges further aid to Jordan‘ (3rd edition)
• November 2016: ‘EU pledges further aid to Jordan‘ (2nd edition)
• September 2016: ‘EU pledges further aid to Jordan‘ (1st edition)

Proposal for a decision of the European Parliament and of the Council providing further macro-financial assistance to the Hashemite Kingdom of Jordan Committee responsible:

Rapporteur:

Shadow rapporteurs:

 

 

 

 

  International Trade (INTA)

Emmanuel Maurel (S&D, France)

Salvatore Cicu (EPP, Italy)

Sander Loones (ECR, Belgium)
Marielle de Sarnez (ALDE, France)

Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL, Spain)

Klaus Buchner (Greens/EFA, Germany)

David Borrelli (EFDD, Italy) COM(2016)431 of 29.6.2016, 2016/0197(COD)

Ordinary legislative procedure (COD) (Parliament and Council on equal footing – formerly ‘co-decision’) Procedure completed Decision (EU) No 2016/2371

OJ L 352, 23.12.2016, p. 18

Filed under: International Relations, PUBLICATIONS Tagged: briefings, EU Legislation in Progress, European neighbourhood policy, Jordan, Krisztina Binder, Mediterranean and Middle East

Les éditions UPPR spécialisée dans les ebooks de 40 pages viennent de publier un essai intitulé L’impuissance française, une idéologie ? Plaidoyer pour la Résistance et la Renaissance, écrit par le binôme Eric Delbecque et Christian Harbulot.

Ce dernier est le créateur, en 1997, de l'Ecole de Guerre Economique et il en est le directeur depuis 19 ans. Eric Delbecque est actuellement le directeur du département intelligence stratégique de SIFARIS et président de l’ACSE. Tous deux dirigent la collection "Rapports de force" chez UPPR.

L'argument de petit texte tonique et militant part du constat que la France serait un pays malade, en déclin, voire en état de mort imminente... Eric Delbecque et Christian Harbulot veulent démontrer que le mal dont elle souffre relève plutôt d'une incapacité à penser son avenir, paralysée qu'elle est par une véritable idéologie de l'impuissance, répandue dans certaines élites,.

Une telle culture du renoncement empêche toute élaboration stratégique de grande envergure et place "la France dans une situation structurellement défavorable dès que l’on aborde le raisonnement stratégique en dehors de l’espace militaire", estime les auteurs que le général Desportes ne devrait pas renier sur ce point.

Eric Delbecque et Christian Harbulot, qui dénoncent aussi une "logique de subordination" aux Etats-Unis,  préconisent au final "d’entrer en résistance contre la forme de totalitarisme soft que l’on nous fabrique chaque jour, lentement mais solidement".

Pour en savoir un peu plus et commander cet ebook, c'est ici. Le prix: 4,49€.

Cette recension a été publiée dans le numéro d’hiver de Politique étrangère (n°4/2016). Pierre Baudry propose une analyse de l’ouvrage de Richard Youngs, The Puzzle of Non-Western Democracy  (Carnegie Endowment for International Peace, 2015, 240 pages).

La démocratie libérale telle que la conçoit l’Occident est-elle la seule forme viable de démocratie ? N’est-elle pas victime d’un individualisme qui en détruit le principe ? Ne doit-on pas admettre, au nom du respect des identités culturelles, qu’il existe des modèles alternatifs et « illibéraux » à la vision occidentale de la démocratie ? Ces questions qui sous-tendent la politique d’un Poutine, d’un Orban, et toute une partie du discours politique de la Chine ou de l’Iran sont au cœur de cet ouvrage. Les critiques de la démocratie libérale ne sont pas nouvelles : le xxe siècle a connu des critiques du libéralisme au nom des idéologies nationale-socialiste ou prolétarienne. Mais le livre de Youngs se distingue en ce qu’il propose une approche globale de la critique du modèle occidental, associant analyse géopolitique et réflexion théorique : « Bien souvent, les appels à une conception non occidentale de la démocratie renvoient au défi d’un renouvellement (reimagining) de la démocratie en général. »

L’auteur plaide essentiellement pour un « libéralisme renforcé » (liberalism plus). On peut admettre fondamentalement le principe d’une variation démocratique selon les régions du monde ; mais variations et expérimentations doivent se faire autour d’un corps de principes intangibles – participation aux décisions politiques, tolérance, capacité à rendre compte de son action (accountability) –, et de propositions concrètes : soutien aux droits des communautés et pas uniquement aux individus afin de les rendre plus efficaces en termes de contrôle démocratique ; critique du néolibéralisme et défense du libéralisme comme justice économique ; mise en place de formes alternatives de représentations et d’action politique au moyen des nouvelles technologies ou de budgets participatifs ; recours aux traditions juridiques locales dans la mesure où elles fournissent des modalités de participation démocratique.

L’auteur tente ainsi de satisfaire deux exigences. D’une part le refus d’une conception uniforme de la démocratie comme le montre son intérêt pour le projet d’étude « The Varieties of Democracy », qui évalue la situation démocratique en fonction des conditions locales. D’autre part sa méfiance envers toute critique du libéralisme camouflant des pratiques autoritaires. Les propositions de Youngs sont toujours avancées avec discernement et accompagnées d’un tableau du rapport à la démocratie dans le monde, ainsi que d’une analyse des conséquences sur le plan géopolitique du concept de « variations démocratiques ». On regrette presque que le livre ne soit pas plus étendu, tant les questions abordées campent au cœur de certains des débats actuels les plus brûlants.

L’ouvrage aurait sans doute gagné à prendre en compte les variations démocratiques présentes au sein même du monde occidental. Déjà Tocqueville dans L’Ancien Régime et la Révolution  (1856) proposait des analyses classiques sur la passion des Français pour l’égalité qu’il opposait à l’attachement des Anglo-américains pour la liberté. Ce type de distinctions développées au niveau des institutions ou de la culture politique aurait permis de voir qu’il existe déjà des « variations démocratiques » entre la France, les États-Unis et la Grande-Bretagne, et comment elles permettent des formes diverses de libéralisme selon les traditions politiques nationales. Cette remarque ne retire rien à cet ouvrage dense, passionnant, et qui mériterait d’être traduit au moins en extraits en français.

Pierre Baudry

Abonnez vous ici et profitez du prolongement de l’offre exceptionnelle jusqu’au 31 janvier !

 

The foreign ministers of Russia and Armenia Sergey Lavrov and Edward Nalbandian on Thursday held a meeting in Moscow, APA reports citing RIA Novosti.

“This is the day we’ve been waiting for,” Sanna told me as he and hundreds of Gambians gathered outside their country’s embassy in Dakar, Senegal to celebrate the inauguration today of President Adama Barrow. Barrow took the oath of office at the embassy, wary of returning to Gambia where his safety would be at risk. Expand

Gambians await the inauguration of President-elect Adama Barrow outside the Gambian Embassy in Dakar, Senegal.

© 2017 Amnesty International/Sabrina Mahtani   But Gambia’s political crisis remains unresolved – with now former president Yahya Jammeh clinging to power in the capital, Banjul, and an Economic Community of West Africa States (ECOWAS) force at the border, preparing to intervene. In stark contrast to the jubilant scenes in Dakar, Banjul remains eerily quiet and on lockdown, with people fearing a military intervention or a crackdown by Jammeh’s security forces.    Gambian activists in Banjul told me they were happy the crisis would soon be over, but feared the political standoff would not end peacefully. “We don’t want to be Jammeh’s last victims,” one told me.   Since coming to power in 1994, Jammeh and the Gambian security forces have used enforced disappearances, torture, intimidation, and arbitrary arrests to suppress dissent and preserve Jammeh’s grip on power.   Barrow’s taking office could be hugely significant for the advancement of human rights in Gambia. He has promised to dramatically improve the country’s rights record, including by releasing political prisoners and ending Jammeh's planned withdrawal from the International Criminal Court.   Since the December 1 election that he lost, Jammeh has arrested a number of opposition sympathizers and army officers deemed disloyal. He also closed several independent radio stations.   Many Gambians outside of the embassy were still hopeful Jammeh will agree to step down peacefully. “We’re close,” Salieu Taal, a founder member of the #Gambiahasdecided movement, told me today. “It will be a new dawn for human rights and civil society in Gambia.”    If Jammeh does not step down, it is vital that the Gambian security forces, wherever their loyalty may lie, respect human rights; that all Gambians resist reprisals; and that ECOWAS forces who may enter Gambia respect rights and do all they can to avoid civilian harm.

Human Rights Watch reviewed satellite imagery in the town of Rann, Kala Balge Borno State, recorded on the morning after the attack and identified two distinct areas of destruction in densely populated areas on the western side of the town that are consistent with the detonation of multiple air dropped munitions. At least 35 structures were destroyed in the attack, including shelters for displaced people.

 

Pour Sergueï Chtchoukine, c’était une collection contre le malheur. Montrée à Paris, l’exposition vient d’être prolongée jusqu’au 5 mars, suite à un énorme succès auprès du public. Plus de 600 000 personnes ont déjà vu les « Icônes de l’Art moderne. La collection Chtchoukine ». Une exposition-événement à la Fondation Louis Vuitton à Paris pour découvrir 130 chefs-d’œuvre de l'art moderne.

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Now for the main event. Donald Trump finally takes office today after a noisy transition that served only to amplify many of the most unsettling questions that surround his incoming administration.

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January 19, 2017 (JUBA)- The newly appointed governor of Gogrial state, South Sudan, has issued an order relieving a security advisor previously appointed by his predecessor and appointed his own pick.

Women from a cattle camp walk near Gogrial (Photo Tim Freccia/Enough Project)

Governor Gregory Deng Kuac Adol, best known as Gregory Vasilli Dmitry, appointed former Gogrial east county commissioner, Akot Lual Akot as the new security advisor.

In another order, he appointed Anyuon Dhol Anyuon as Commissioner of Apuk East, replacing Anyuon Chan Ajuong.

Also, Joseph Atem Gal was named commissioner of Awan Riau County, replacing Lual Lual Mal and Simon Apet Deng Kon was appointed commissioner Awan Chan County, replacing Peter Atem Yak.

Gogrial State which is the home of President Salva Kiir is one of the 32 states of South Sudan. It is located in the Bahr el Ghazal region and it borders Twic to the north, Aweil East to the northwest, Aweil to the west, Wau to the southwest, Tonj to the southeast, and Northern Liech to the northeast.

(ST)

Moszkva kész párbeszédet kezdeni Washingtonnal az orosz gyerekek egyesült államokbeli örökbefogadását megtiltó törvény visszavonásáról – jelentette ki Valenytina Matvijenko, a Szövetségi Tanács (parlamenti felsőház) elnöke.

Matvijenko elmondta, hogy ehhez az amerikai félnek is lépnie kell, egyebek között szavatolnia, hogy az örökbe fogadott gyerekek jó bánásmódban részesüljenek, és hogy az Egyesült Államokban működő orosz külképviseleteknek is rálátásuk legyen a körülményeikre.

Hangsúlyozta, hogy az örökbefogadásokat 2013 elejétől leállító, úgynevezett Gyima Jakovlev-törvény, nem “öncél”, és hogy “a legfontosabb a gyerek sorsa”.

Az Emberi Jogok Európai Bírósága (EJEB) kedden Strasbourgban jogsértőnek ítélte a jogszabályt, amelyet Moszkva annak idején válasznak szánt az amerikai Magnyitszkij-törvényre. Ez utóbbi alapján Washington szankciókat vezethet be orosz állampolgárok ellen, akik megítélése szerint megsértették az emberi jogokat. Becslések szerint a Gyima Jakolev-törvény több mint ezer folyamatban lévő örökbefogadási eljárást szakított meg.

A vitatott jogszabály miatt 45 amerikai állampolgár az Európa Tanács égisze alatt működő strasbourgi bírósághoz fordult a maga és 27 adoptálni kívánt orosz gyerek nevében, akik közül többen különleges egészségügyi ellátásra szorulnak.

A felperesek szerint Oroszország megsértette a családi élet tiszteletben tartásához való jogukat, mivel már érzelmi kötelék alakult ki köztük és az örökbe fogadandó gyerekek között, illetve, hogy emiatt a gyerekek nem juthattak hozzá a szükséges különleges ellátáshoz az Egyesült Államokban.

A nem jogerős első fokú (kamarai) ítéletében az EJEB ezért kimondta, hogy az orosz hatóságok megsértették az Emberi Jogok Európai Egyezményének a magán- és családi élet tiszteletben tartásáról, illetve a megkülönböztetés tilalmáról szóló cikkelyét. A verdikt értelmében az orosz államnak a jogellenes diszkrimináció miatt fejenként 3000 euró kártérítést és 600 dollár perköltséget kell kifizetnie az örökbefogadóknak.

Oroszország képviselője az Emberi Jogok Európai Bíróságán, Georgij Matyuskin orosz igazságügyiminiszter-helyettes nem sokkal később bejelentette: hazája fellebbez a döntés ellen.

Az apelláta, ha jóváhagyják, a Nagykamara elé kerül, melynek döntése végleges és megfellebbezhetetlen. Az ítélet akkor is jogerőre emelkedik, ha a fellebbezést elutasítják.