Les habitants de la cité de Kiwanja dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu) passent la nuit la peur au ventre. Des hommes armés y multiplient des exactions de toutes sortes, ont signalé des victimes mercredi 17 septembre à Radio Okapi.
L'Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) a annoncé la destruction de toutes les plaques d'immatriculation des engins à deux roues non retirées, produites avant le 31 décembre 2023.
« Toutes les plaques d'immatriculation de véhicules 2 roues, produites jusqu'au 31 décembre 2023 et non encore retirées, seront définitivement détruites à partir du mois d'octobre 2025 », a prévenu l'Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) dans un communiqué en date du 17 septembre.
Les usagers concernés ont jusqu'au 15 octobre 2025 pour se mettre en règle. L'ANaTT les invite à se rendre dans ses annexes départementales pour régulariser leur situation.
Passé ce délai, les plaques seront simplement détruites, avertit Richard Dada, le Directeur Général de l'ANaTT.
M. M.
Le site de référence BoxRec a mis à jour, ce mercredi 17 septembre, son classement des poids lourds africains. Sans surprise, le Congolais Martin Bakole, tombeur de Tony Yoka, conserve sa place de numéro un incontesté.
Le Football Académie M’Sichana a mal entamé son parcours au tournoi qualificatif de l’UNIFFAC. Le club congolais s’est incliné 2-0 face au FC Ebolowa du Cameroun, ce mercredi 17 septembre, à l’Estadio de Malabo.
Les relations algéro-turques connaissent un essor sans précédent, marquant une nouvelle étape dans un partenariat qui s’enracine dans plus de trois siècles d’histoire. Dans un […]
L’article 7,7 milliards $ d’investissements turcs en Algérie : une relation stratégique renforcée est apparu en premier sur .
Les relations entre l’Algérie et la Turquie ne se limitent pas à la diplomatie contemporaine. Elles s’enracinent dans une histoire commune, faite de luttes, de […]
L’article « Environ 20% des Algériens sont d’origine turque », l’ambassadeur d’Ankara alimente la controverse est apparu en premier sur .
La Banque d’Algérie a révélé que le dinar algérien s’est amélioré pour la deuxième année consécutive par rapport au dollar américain, à l’euro, au yen […]
L’article Banque d’Algérie : le dinar algérien gagne du terrain face aux autres devises est apparu en premier sur .
Naftal, la société publique de distribution de carburants et de produits pétroliers, franchit un nouveau pas dans la modernisation de ses services. L’entreprise a annoncé […]
L’article Naftal lance l’auto-paiement dans ses stations-service : une première en Algérie est apparu en premier sur .
Les travaux du premier congrès scientifique du Service de santé des armées du Bénin ont démarré ce mercredi 17 septembre 2025, au Palais des congrès de Cotonou. La rencontre, fruit de plusieurs mois de préparation vise à promouvoir la recherche scientifique et l'innovation en médecine militaire.
Mieux prévenir, détecter et traiter les pathologies auxquelles sont confrontées les forces armées dans l'exercice quotidien de leurs missions, c'est l'objectif du premier congrès scientifique du Service de santé des armées du Bénin. Les assises officiellement lancées par le ministre de la défense nationale, Alain Nouatin, connaissent la participation du personnel médical et paramédical militaire, de médecins et paramédicaux civils ainsi que des délégations venues du Togo, du Maroc, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire et du Gabon. Ces différents acteurs vont réfléchir au cours des travaux à l'amélioration de la prise en charge sanitaire des militaires, qu'ils soient en garnison ou en opération, mais également à leur contribution aux Objectifs de développement durable (ODD), et à la santé des populations en général.
La rencontre selon le colonel-major Léonce AHOUANVOEKE, constitue un moment fraternel et propice à la réflexion sur des enjeux cruciaux tels que la gestion des crises sanitaires, la formation continue du personnel ou encore l'adaptation aux évolutions de la médecine moderne.
« Il n'y a pas de puissance militaire sans puissance sanitaire, et pas de victoire sans la capacité de protéger et de soigner », a souligné Alain Nouatin, ministre de la défense nationale. Procédant à l'ouverture officielle des travaux, il a exhorté les congressistes à des réflexions approfondies et à nourrir des débats constructifs, afin de dégager des solutions innovantes susceptibles d'améliorer la qualité des soins et les savoir-faire des professionnels de santé militaire.
Les ministres Benjamin Hounkpatin de la santé, Alassane Séïdou de l'intérieur et de la sécurité publique, Véronique Tognifodé des affaires sociales et de la microfinance, et Eléonore Yayi Ladékan de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, des préfets des départements et plusieurs autres personnalités ont pris part à la cérémonie de lancement officiel.
F. A. A.
Après avis du Conseil national de l'éducation (CNE), le gouvernement a procédé ce mercredi 17 septembre 2025, à la nomination de nouveaux recteurs dans les universités publiques au Bénin. A l'Université d'Abomey-Calavi (UAC), c'est le professeur Charlemagne Babatoundé IGUE qui est nommé.
Charlemagne Babatoundé IGUE, recteur de l'UAC. Sa nomination a été prononcée ce mercredi 17 septembre 2025, en Conseil des ministres. Le nouveau recteur est un économiste de formation. Il fut doyen de la Faculté des sciences économiques et de gestion (FASEG). Le nouveau recteur a obtenu sa maîtrise à l'UAC en 1997, un DEA à l'Université Félix Houphouët-Boigny en 2000, et un doctorat à l'Université de Ouagadougou en 2006.
Il présidait jusqu'à sa nomination, le poste de président de la Conférence des Institutions d'Enseignement et de Recherche Économique et de Gestion en Afrique (CIEREA).
F. A. A.
Trente-deux ans. C’est le temps qu’il a fallu pour que la situation de la famille Bou Akba trouve une issue. Trente-deux ans à espérer un […]
L’article VIDÉO – Le cri de détresse d’un adolescent bouleverse les Algériens est apparu en premier sur .
Le gouvernement change d'approche dans le financement des communes. Réuni ce 17 septembre 2025, le Conseil des ministres a mis en place le Fonds d'Investissement Communal (FIC), en remplacement du Fonds d'Appui au Développement des Communes (FADeC).
Le Fonds d'Investissement Communal (FIC) est le nouvel instrument de financement des communes. Ses statuts ont été adoptés, mercredi 17 septembre 2025, en Conseil des ministres. « Cet instrument de financement vient en substitution au Fonds d'Appui au développement des Communes (FADeC) et permettra à celles-ci d'accéder à de nouvelles et innovantes sources de mobilisation de ressources. Il contribuera à rehausser le niveau des recettes et de collecter, pour leur compte, les rétrocessions de l'Etat issues de la fiscalité partagée ».
« Le Gouvernement entend améliorer le cadre de gestion des appuis financiers apportés aux communes », indique le communiqué du Conseil.
Les missions du FIC
Le FIC aura aussi pour rôle de : proposer des mécanismes adaptés aux besoins des communes ; garantir transparence et équité dans la distribution des fonds (péréquation) ; aider les communes à monter des dossiers solides ; suivre et évaluer les résultats concrets des projets financés ; gérer certains placements financiers pour optimiser les ressources.
Les financements obtenus par des conventions directes (jumelages, partenariats internationaux signés par les communes elles-mêmes) ne relèvent pas du FIC.
M. M.
Le projet de relocalisation du marché Dantokpa initié par le président Patrice Talon depuis 2018 entre dans sa phase décisive en janvier 2025. Mais à trois mois de l'échéance, force est de constater que les commerçants bien que ravis de cette initiative ont néanmoins quelques inquiétudes.
Le calendrier de déménagement du marché Dantokpa est officiellement connu. L'Agence Nationale de Gestion des Marchés Modernes (ANaGeM) a entamé une série de concertations avec les acteurs concernés pour assurer une réussite du processus de déménagement. Plusieurs sites ont été construits afin d'accueillir les marchands dans tous les secteurs d'activités. Le pôle commercial Général Mathieu KEREKOU (GMK) situé près du stade de l'amitié va accueillir quatre filières (textiles, maroquinerie, cosmétiques et bijouterie).
Le pôle agroalimentaire du Grand Nokoué (marché de gros d'Akassato) installé sur 168 hectares comprend six entrepôts secs et deux frigorifiques. Le marché de gros est destiné aux grossistes (céréales, tubercules, oignons, haricots, maïs, ...etc.).
Au marché Dantokpa, plusieurs marchands sont ravis de cette initiative de déménagement. « J'ai vu les plans du site du stade de l'amitié, ça donne envie. Si les espaces sont bien repartis, ça sera mieux qu'ici. Et puis, un marché propre et moderne peut attirer de nouveaux clients. Je pense que c'est une chance », déclare Nadège Nouatin, vendeuse de bijoux à Dantokpa.
Pour Nassiratou vendeuse grossiste depuis plus de 10 ans au marché Dantokpa, « les conditions ici sont vraiment pénibles, surtout en période de pluie ». « Si les nouveaux sites sont bien construits et accessibles, ça nous aidera à vendre dans de meilleurs conditions », ajoute-t-elle. Selon une commerçante du marché sous anonymat, Dantokpa est devenu exigüe pour ses usagers. « Si les autorités nous accompagnent bien, je pense que c'est une bonne évolution. On ne peut pas rester éternellement dans l'ancien », a-t-elle relevé.
Malgré l'accompagnement de l'Agence Nationale de Gestion des Marchés Modernes, certains marchands se posent encore des questions. « On nous dit qu'il y a des boutiques, mais à quel prix ? Est-ce que nous les petits revendeurs, nous pourront nous en sortir, avec ce qu'il faut payer ? Je ne suis pas contre le déménagement, mais il faut qu'il soit bien expliqué et équitable » , confie Monique Lélayé, jeune revendeuse de vivres au marché Dantokpa.
Le favoritisme dans l'attribution des places est aussi craint par plusieurs marchands. « Ma mère vend à Dantokpa depuis plus de 30 ans. C'est moi qui gère désormais sa boutique. Si on doit aller ailleurs, il faut qu'on comprenne réellement ce qui nous attend. J'ai peur qu'on favorise certains et qu'on oublie d'autres », affirme Nadia, fille d'une grossiste de céréales.
Nombreux parmi ces commerçants s'inquiètent pour le développement de leurs activités dans ces nouveaux endroits. « Ils ont dit qu'on va déménager après les fêtes de fin d'année. Mais est-ce que tout sera prêt ? Moi j'ai au moins trois boutiques dans ce marché, est-ce que des places seront attribuées à le monde ? Je suis pour le projet, mais il faut bien faire les choses, que tout le monde soit pris en compte », souhaite une vendeuse cosmétique sous anonymat.
« Tant qu'on peut vendre, je m'adapte. Que ce soit ici ou ailleurs, l'important c'est que les clients puissent nous retrouver facilement », affirme avec Léa, vendeuse de chaussures et de sacs.
Le transfert des marchands vers les nouvelles infrastructures débutera le 5 janvier 2026. Ce projet du gouvernement béninois s'inscrit dans une stratégie nationale de modernisation des infrastructures marchandes du pays. Malgré les inquiétudes, les marchands espèrent un bon déroulement pour ce transfert de Dantokpa qui pourrait être très bénéfique pour le développement économique du pays.
Maazatou Amadou (Stag)
Le marché de gros d'Akassato