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Il promet de répondre "avec la plus grande détermination face aux casseurs" alors que les dernières mobilisations ont été émaillées de violences.

Les élèves filles du CEG II Abomey-Calavi (ex Zoca) souffrent le martyr et appellent le ministre de l'enseignement secondaire Lucien Kokou et autres autorités compétentes au secours. Leur souffre-douleur est un enseignant de français qui veut transformer cet établissement en un lieu de proxénétisme. En classe comme en dehors de l'établissement, cet enseignant inconscient joue le bouc derrière les chèvres que sont visiblement devenues ses élèves filles.

Par : Amir NABIL

« ... Tu as de jolis seins, laisses-moi toucher pour voir... Plusieurs fois et en plein cours de français, cet enseignant ne se gêne pas pour poser ses pieds sur les cuisses de ses élèves filles et va jusqu'à caresser les joues et même triturer (presser) les seins de certaines filles qui ne savent plus à quel saint se vouer. Parfois quand il vient en classe, il monte même sur les tables et nous demande d'apprécier son habillement. Il va jusqu'à nous dire que nos papas ne peuvent jamais s'habiller comme lui. Il dit au cours qu'il est le président de la classe et que c'est ce qu'il dit qui va passer et que si quelqu'un n'est pas d'accord, de quitter la salle... » Voilà autant d'actes déplacés de cet enseignant que déplorent plusieurs filles et leurs parents. Les filles sont constamment terrorisées par ce professeur Zizi tendu qui joue au bouc derrière les filles de cet établissement qui y sont pour étudier.

Les autorités de l'établissement impuissantes ou complices ?

Renvoyé déjà de plusieurs collèges publics comme privés de la commune d'Abomey-Calavi pour des actes répétés de harcèlement sexuel sur les élèves filles, cet enseignant qui a visiblement trouvé terrain fertile au CEG II d'Abomey-Calavi, a repris de plus bel avec ses comportements à la limite déviants.
Dans cet établissement dirigé depuis peu par une nouvelle directrice, cet enseignant a vite renoué avec ses anciennes habitudes dont il ne veut visiblement se départir. Dans sa méthode, il ne se passe pas de ces cours de français, sans que des élèves filles ne subissent les assauts agressifs et répétés de cet harceleur patenté. Il nous a été rapporté que la situation dure depuis un bout de temps, mais les responsables de l'établissement qui en sont pourtant informés tardent à prendre les solutions qui s'imposent. « Les autorités du CEG II Abomey-Calavi (ex Zoca) sont bien informées des dérives de cet enseignant. Mais elles ne veulent pas le renvoyer parce que ce monsieur en question serait le protégé d'une autorité. », nous apprend-t-on.
Au cours de nos dernières investigations dans le collège dans la matinée du mercredi 27 avril 2016, la Directrice Sarate ALI BABIO épouse Moussa n'a pas souhaité abordé le sujet pour le moment. « Monsieur le journaliste, je ne souhaiterais pas abordé ce sujet pour le moment. C'est un sujet sensible et très délicat. On va remettre la rencontre pour une prochaine fois. Permettez-moi de prendre un peu de recul, d'aller chercher l'information et on en reparlera. De toute façon, on en reparlera avant les vacances. Laissez-nous menez les enquêtes, nous allons faire nos investigations, rassembler nos informations et vous rappeler », nous a juste servi cette dernière.
Mais toujours est-il que la surveillante générale du collège, reconnait que des plaintes sont parvenues à la surveillance dudit collège pour dénoncer les comportements du professeur en question. " C'est vrai que des plaintes nous sont parvenues concernant le comportement de ce professeur. Et nous avions déjà appelé le collègue pour le ramener à l'ordre. On ne souhaiterait pas que cette information soit divulgué dans les journaux". De part et d'autres, les autorités du collège sont conscientes que le sujet est délicat. Mais aucune d'elles ne veut prendre le risque de prendre des sanctions contre ce professeur indélicat qui s'amuse avec l'avenir des filles comme un bouc en rut.

Les associations de défense des droits des filles et des femmes sollicitées

Aujourd'hui, plusieurs filles sont traumatisées par les assauts sexuels de ce professeur P. A., et cela risque d'impacter négativement sur leurs résultats de fin d'année. Il est temps que le ministre de l'enseignement secondaire Lucien Kokou prenne ce dossier à bras le corps. Il ne faudrait pas qu'à l'époque où toutes les civilisations prônent l'inscription massive des filles à l'école, qu'on permette au Bénin que des individus de l'espèce de ce professeur P. A., soit le mal qui favorise la déperdition scolaire. Les réactions des associations de protections des droits des filles et d'autres structures compétentes sont vivement attendues. N'attendons pas que ces filles victimes tombent en cascade grosse avant de jouer au médecin après la mort. Ce serait déjà tard.

Le Libérien George Weah a brillé sur les pelouses impeccables dans de grands stades, connu une riche carrière de footballeur puis est rentré dans son pays pour se lancer en politique. Chez lui, il taquine désormais le ballon sur des terrains de fortune et se cramponne à son rêve présidentiel.

Cet article Liberia : l’ex-footballeur George Weah se cramponne à ses ambitions politiques est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.

L'avènement du nouveau régime n'a pas émoussé l'ardeur des syndicats, qui ont diversement marqué le coup à l'occasion de ce 1er mai. Paul Esse Iko, Secrétaire général de la Centrale des syndicats des travailleurs du Bénin (Cstb), et ses militants ont battu le macadam ce dimanche 1er mai 2016 à Cotonou. Sous un soleil ardent, les militants de la Cstb et de nombreux sympathisants ont marché de la Bourse du travail, à la place de l'Etoile rouge, en passant par St Michel. Sous les chants d'une fanfare de circonstance, le cortège a rappelé l'essentiel des acquis de la lutte des travailleurs et les nouveaux défis. A l'esplanade de la place de l'Etoile rouge, Paul Esse Iko, a rappelé un contexte économique international caractérisé par « l'accroissement de la richesse mondiale et l'accaparement de cette richesse par une minorité ». Il dénonce par ailleurs, l'existence de « paradis fiscaux et la volonté effrénée des puissances capitalistes de se repositionner, de partager le monde chacune dans sa sphère d'influence ». « Dans notre pays nous avons vécu d'intenses moments de douleurs, de supplices, mais aussi d'héroïques actions de combats contre les répressions et l'autocratie nouvelle formule de Yayi Boni. Dix années de souffrance, faites d'une gouvernance de délinquance qui se traduit par le viol répété des textes de la République ; une répression féroce de tout ce qui se lève et tente de résister à la dilapidation des ressources du pays », ajouté le Sg de la Cstb. Du côté de la Confédération générale des travailleurs du Bénin (Cgtb), la fête n'a pas été moins belle. Pascal Todjinou, le Sécrétaire général, a saisi l'occasion pour sensibiliser les siens autour de la thématique : « Les défis du mouvement syndical face aux mutations politiques . Il a, lui- aussi, fait un procès en règle du « yayisme », avant d'appeler les siens à la vigilance pour une pour une réelle rupture.
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Willy N. OLA}}

Les éditions SPE Barthélémy sortent un ouvrage consacré au Charles-de-Gaulle. Il s'agit, pour les premiers chapitres de ce livre, d'un condensé des trois tomes que cet éditeur à déjà consacré au porte-avions français. Ce résumé a été précisé et augmenté de chapitres consacrés aux opérations du PA et de son groupe aéronaval depuis 15 ans (pour rappel, la première mission a été Héraclès, de novembre 2001 à juin 2002). 

Ce livre présente donc le Charles-de-Gaulle depuis sa conception: ses choix stratégiques, sa construction, ses grandes caractéristiques, sa campagne d’essais. Il dévoile aussi la vie à son bord, sa médiatisation, son ravitaillement à la mer, les aéronefs embarqués: SEM, Rafale, Hawkeye, les hélicoptères. Enfin, il fait le récit de ses grandes missions dont la plus récente, début 2016, contre Daech.

Un livre de plus? Tout à fait, mais connaît-on vraiment, même s'il est unique, le Charles-de-Gaulle, ce navire "de toutes les bévues" selon un article de 1999. Dans le doute, et aussi pour le plaisir de redécouvrir l'aventure du Charles-de-Gaulle, il faut se procurer cet ouvrage.

Le porte-avions Charles de Gaulle. 15 ans de missions, sous la dir. de Thierry d'Arbonneau, éditions, SPE Barthélémy, 248 pages, 540 pages, 46 €.

April 30, 2016 (Khartoum) – Saudi Arabia Minister of Petroleum and Mineral Resources, Ali bin Ibrahim Al-Naimi, is expected to pay a short visit to Khartoum on Wednesday, to discuss joint collaboration on minerals.

Al-Naimi and his delegation will discuss with his Sudanese counterpart ways to utilize the mineral resources in the Red Sea rift valley, which is known as Atlantis II.

In February 2012, Khartoum and Riyadh signed an agreement on exploring minerals in the joint territorial water in the Red Sea. Atlantis II is dated back to 1970s, but was not implemented due to the lack of suitable exploration technologies at the time.

Minerals estimates show that there are 97 million tons of various minerals, which include two million tons of zinc, 500,000 tons of copper, 4,000 tons of silver and 80 tons of gold and other valuable minerals.

Sudanese Minister of Minerals, Mohamed Sadig al-Karori, told reporters in Khartoum on Saturday, that the two countries are closely cooperating on minerals exploitation.

“The visit of the Saudi minister to Khartoum aims to strengthen cooperation between the two countries and attracting more Saudi investments to minerals sector in Sudan. This cooperation aims to provide more employment and introducing new mining technologies that would bring added value,” said al-Karori.

Saudi Arabia tops the list of Arab investments in Sudan with over $ 4 billion, and the second-largest Sudan's trading partner after China.

In addition, the minister said that the discussions will include the activities of the Saudi-Sudanese committee for the joint exploitation of mineral resource in Red sea bed in the common area between the two countries.

In 2010, the Canadian Diamond Fields International and Saudi Manafa International Ltd. were licensed by the Saudi Sudanese Committee to conduct exploration activities in Red Sea rift valley.

In a feasibility study conducted in 2012, Diamond Fields International expected that Saudi Arabia and Sudan will make big profits from the extraction of copper, silver and zinc from Red Sea bed. At the time, it expected to start production in 2014 once technical studies are terminated.

Sudan and Saudi Arabia relations have recently improved after years of tension caused by Sudan-Iran connections. The development of bilateral relation was crowned by Sudan's participation in the Saudi-led coalition against Houthi militants in Yemen and in the military exercises “Thunder of the North” in Saudi Arabia.

(ST)

Az Országgyűlés honvédelmi és rendészeti bizottsága is részletesen tárgyal majd a Belügyminisztérium terrorellenes javaslatcsomagjáról – mondta a testület hétfői ülésén Firtl Mátyás, a bizottság alelnöke.

Pintér Sándor belügyminiszter múlt kedden nyújtotta be az Országgyűlés elé a BM terrorellenes javaslatcsomagját. Az intézkedési csomag – amelyről az elmúlt hetekben több ötpárti és szakértői egyeztetést is tartottak – egyik lényegi eleme, hogy az eddigi Szervezett Bűnözés Elleni Koordinációs Központ nemzetbiztonsági szolgálatként, Terrorelhárítási Információs és Bűnügyi Elemző Központ (TIBEK) néven működik majd tovább.

A javaslat rendelkezik a kódolt telefonos szolgáltatások korlátozásáról is. A rendőrségről szóló törvény módosításai között kiterjesztik a terrorizmust elhárító szerv feladatkörét is, így a Terrorelhárítási Központ (TEK) a személyvédelmen túl létesítményvédelmi feladatok ellátására is jogosult lesz.

Kövér László házelnök a parlament nemzetbiztonsági bizottságát jelölte ki a részletes vita lefolytatására. Az Országgyűlés plenáris ülésén szerdán kerül napirendre a javaslat.

A honvédelmi bizottság eredetileg csak egységes szerkezetben szavazott volna a javaslatról. A bizottság hétfői ülésén viszont Vadai Ágnes azt indítványozta, hogy a Belügyminisztérium és a Honvédelmi Minisztérium képviselőivel együtt az ő bizottságuk is részletesen, “paragrafusról-paragrafusra” vitassa meg a javaslatcsomagot. A képviselő ezt azzal indokolta, hogy a csomagnak több, a honvédséget és rendőrséget érintő része is van. Példaként említette, hogy a javaslat szerint a TEK objektumvédelmet is elfog látni. Kiemelte továbbá, hogy az újonnan felálló TIBEK sem csak terrorelhárítással, titkosszolgálati tevékenységgel, hanem szervezett bűnözéssel kapcsolatos tevékenységgel is foglalkozni fog. Ezen felül Vadai hangsúlyozta: az új titkosszolgálat a magyar állampolgárok adatait is kezelheti, ami szabadságjogokat érintő kérdés, ezért szükséges, hogy a “lehető legnagyobb nyilvánosság előtt” vitassák meg a terrorellenes javaslatokat.

Firtl  képviselő felhívta a figyelmet, hogy a BM terrorellenes javaslatcsomagjáról az elmúlt időszakban többfordulós ötpárti egyeztetést tartottak. A testület alelnöke ugyanakkor elismerte, hogy a javaslatcsomag valóban több honvédelmi és rendészeti kérdést tartalmaz, így megígérte, hogy a testület elnökének és Kövér László házelnöknek is jelzi a felvetést. Ennek nyomán lehetőség lesz rá, hogy az Országgyűlés honvédelmi és rendészeti bizottsága is rövidesen részletesen megvitassa a csomagot – tette hozzá.

Sans surprise, les rassemblements syndicaux du 1er-Mai seront dirigés cette année contre la Loi travail. Les cortèges devraient défiler dans un climat tendu, trois jours après les débordements et les violences des manifestations du 28 avril.

La formation populiste Alternative pour l'Allemagne est en congrès cette fin de semaine à Stuttgart afin de se doter d'un programme pour conquérir des majorités lors des prochaines élections régionales et fédérales. Un défi lancé par la présidente du mouvement, Frauke Petry : régionales à l'automne, législatives l'an prochain.

Despite the positive atmosphere of the Yemeni peace talks which prevailed during the past few days, the United Nations envoy for Yemen announced today that the Government&#39s delegation suspended its participation in the plenary sessions because of reports received from Amran governorate.

April 29, 2016 (JUBA) — Members of the Troika countries on Friday welcomed the formation of South Sudan's transitional government of national unity, but warned against violating key provisions of the agreement, including under representation of women.

South Sudan President Salva Kiir (C) poses for a picture after the government swearing in with his first deputy Riek Machar (R) and second deputy James Wani on 29 April 2016 (Photo Moses Lomayat)

The western nations, in a statement, said formation of the 30-month interim government was a step forward, calling for cooperation between the former foes.

"In that regard, decisions undermining provisions the parties agreed to in negotiations, such as not fully meeting obligations for women's participation in the council of ministers, sets a concerning precedent at the beginning of the transition," the statement reads in part.

President Salva Kiir and first Vice President Riek Machar appointed ministers on Thursday. President Kiir selected four female cabinet ministers as required by the agreement, but vice president Machar nominated only one woman yet the deal demands two.

The Troika also applauded statements issued by the president and his first vice president on Tuesday, pledging cooperation, reconciliation, and peaceful coexistence.

"We call on South Sudan's leaders to continue this spirit of cooperation and to start the difficult task of rebuilding their country. While formation of the transitional government is a step forward, with thousands dead, widespread atrocities committed and millions displaced from their homes during the conflict, this is no time for celebration," noted the statement, adding that the international community stands united in urging the transitional government to start to work for the people of South Sudan.

"The fighting must stop, decisive action must be taken to tackle the economic crisis and there must be full cooperation with the UN and humanitarian agencies to ensure aid reaches those in need; formal and informal impediments must be removed," Troika, which sponsored the regional broker peace deal noted.

The Troika members vowed to remain long term partners and friends of South Sudan's people. We stand ready to support the transitional government if it shows it is serious about working for the good of the country and implementing the peace agreement in full. We expect the transitional government to honor its commitments.

"The people of South Sudan deserve nothing less", the statement stressed.

(ST)

via CNNTwenty-two fighters have been killed in ongoing clashes between Kurdish Peshmerga and Shiite militia members in northern Iraq, local security officials say, a development that complicates the...

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April 30, 2016 (KHARTOUM) - Sudan's foreign ministry has downplayed a warning issued by the British government last week asking its citizens to avoid students' protests which have sparked violent clashes in several parts of Sudan.

Wounded student carried by his colleagues to hospital after clashes with the police at at Omdurman Ahlia University (OAU) on April 27, 2016 (Photo Activists)

Two students Mohamed al-Sadiq of Omdurman Ahlia University and Abu Bakr Siddiq of Kordofan University were killed during violent clashes between government and opposition supporters respectively on 27 and 19 April.

Following what, the opposition supporters Thursday and Friday organized several protests in different universities accusing the security services of targeting pro-opposition student groups and called to overthrow the regime.

On Wednesday, the British government, in an advisory on its website, urged its citizens in Sudan and particularly in the capital Khartoum and its twin city of Omdurman to remain vigilant and avoid any demonstrations or large gatherings.

It said that the protests are no longer isolated to universities and the possibility of further demonstrations can't be ruled out.

However, the deputy Under-secretary of Sudan's foreign ministry Siraj al-Din Hamid described the warning as “exaggerated”, stressing that the security situation in the country is stable.

He told the official news agency (SUNA) Saturday that the warning doesn't mean the security situation is unstable to the extent that it prevents British citizens from travelling to Sudan and described it as a mere advice.

The United States embassy in Khartoum on Friday also asked its citizens to exercise caution in light of anti-government demonstrations and violence at several universities in the Sudanese capital.

“As a result of ongoing unrest, the Embassy is exercising heightened caution by temporarily restricting Embassy staff from the vicinity of the affected universities,” said a message sent by the Embassy to the American nationals in Khartoum.

(ST)

April 30, 2016 (JUBA) - The South Sudanese government on Saturday commended what it described as a positive response from members of the international community after formation of the Transitional Government of National Unity (TGoNU).

South Sudan's minister for parliamentary affairs Bashir Gbandi (thenile)

“We welcome with open heart and mind as the government the support of the international community. There have been positive statements from different countries and international organizations after the return of the first vice president and after the formation of the transitional government of national unity", the parliamentary affairs minister, Peter Bashir Gbandi told Sudan Tribune Saturday.

“We are not an island. We are part of the international community”, he added.

The minister was reacting to comments attributed to members of international community which reacted to the formation of South Sudan's TGoNU on Friday.

“Such positive statements shows that it can be an opportunity to work together with our international partners to restore hope of our people in the government and build the nation together”, said Gbandi.

The members of the Troika comprising United States, United Kingdom and Norway, which are the key players and guarantors of peace agreement, issued a statement welcoming the formation of what they referred as the "long-awaited formation" of South Sudan's transitional government. The countries, however, said they were concerned that the new government did not have sufficient women representation in accordance with the 25% quota allocation to women by the constitution.

"While formation of the transitional government is a step forward, with thousands dead, widespread atrocities committed, and millions displaced from their homes during the conflict, this is no time for celebration," the Troika said in a statement issued Friday.

"The fighting must stop, decisive action must be taken to tackle the economic crisis, and there must be full cooperation with the UN [United Nations] and humanitarian agencies to ensure aid reaches those in need; formal and informal impediments must be removed," it added.

The troika member countries vowed to support the TGoNU "if it shows it is serious about working for the good of the country and implementing the peace agreement in full."

Meanwhile the UN Secretary General Ban Ki Moon said the formation of the new government is an "important milestone in the peace process" and urged South Sudan's leaders to establish all institutions of transition.

He also urged the country's warring parties to immediately cease all hostilities.

Canada's foreign affairs minister, Stéphane Dion said his country welcomed the new government and hailed it as an "important step" toward national reconciliation.

“Most urgently, every possible step must be made by the national leadership to put an end to persistent conflict across the country and to give humanitarian agencies unfettered access to those in dire need of assistance," Dion said.

Dion added it is crucial that the government move quickly to establish accountability measures to end South Sudan's cycle of violence and impunity.

The European Union said the new government is a "welcome development" which is long overdue. "Now the leadership must work to deliver peace and security, as well as humanitarian access for the people of South Sudan," the EU said, through its commissioner for humanitarian affair.

The EU said it would support the new government if it works to end persistent conflict, abuse of civilians, violations of international humanitarian law, and corruption.

"The worsening humanitarian situation and the suffering of the people of South Sudan have reached extreme proportions," the EU said.

"Restrictions on access continue to impede humanitarian operations. The EU expects the Transitional Government to uphold its obligation to respect independent and unhindered humanitarian assistance."

Pete Walsh, country director for Save the Children said the new government is a "golden opportunity" for the country to devote itself to children's education for boys and girls.

"The formation of the TGoNU is not an end in itself – it's the beginning of hard work to reverse the physical and psychological injuries inflicted on millions of children," Walsh said.

He urged the new government to honour provisions of Chapter 3 of the peace deal, which says the parties must allow delivery of humanitarian aid, offer special consideration to conflict-affected persons such as women, children, orphans and release all child soldiers.

(ST)

April 30, 2016 (KHARTOUM) - Five Sudanese military personnel were killed when a military plane crashed in the capital of North Kordofan State El Obied, 588 km south Khartoum on Saturday.

Firefighters put out a fire on the wreckage of a military plane at El-Obied airport on 30 April 2016.

Sudan Armed Forces (SAF) spokesperson Brigadier, Ahmed Khalifa al-Shami, said in a brief statement that the military plane Antonov 26 crashed while landing in El Obied airport due to a technical problem.

“All the crew members including three officers and two soldiers were killed in the accident,” said the statement.

Late 2012, a Sudanese military fighter crashed in El Obied and its pilot was killed instantly.

At the time, SAF said it will investigate the reason of the crash, which happened after fulfilling a military operation; on South Kordofan State where the army fights the rebel Sudan Liberation Movement -North (SPLM-N).

In the same year, three similar accidents occurred.

A Sudanese Armed Force drone crashed in Omdurman. Followed by the death of 12 people when a military Antonov crashed in the same town in October 2012.

32 people, including senior security and military officers and ministers, were killed when an army Antonov 26 hit a mountain and caught fire while landing in Tuldi in South Kordofan State in August 2012.

(ST)

April 30, 2016 (KHARTOUM) - Sudan's National Intelligence and Security Services (NISS) Saturday prevented the Journalists Network (SJN) from holding a symposium to discuss government plans aimed at integrating daily newspapers into a limited number of press institutions.

Veteran Sudanese journalist and analyst Faisal Mohammed Salih speaks to AFP during an interview in Khartoum on May 29, 2012 (File/ AFP)

The director of programmes at Tiba Press Faisal Mohamed Salih told Sudan Tribune that the NISS ordered them over the phone to not host the symposium organized by the SJN without stating reasons.

He added that Tiba Press has the right to host such an event inside its premises without permission from the concerned authorities according to the law.

The move comes two days after a media watchdog said the NISS directed the newspapers to not report about student demonstrations to protest the recent killing of two students.

The symposium titled “Integrating Newspapers: A leap into the Unknown” was supposed to bring a panel of speakers from various newspapers including publishers, chief editors and journalists to discuss the impact of the government plans on their newspapers.

It is noteworthy that senior government officials have repeatedly called on publishers to consider integrating their newspapers in order to receive government support particularly as they suffer from high cost of printing and low circulation.

The government seeks to convince publishers to adopt its plans by mutual consent since there is no law in place that compels them to accept the move, however, disagreements exist among the latter on the proposal.

Also, journalists fear that dozens of their colleagues would be laid off as a result of the integration of the newspapers.

Sudan's constitution guarantees freedom of expression but laws subordinate to the constitution such as the National Security Forces Act of 2010 contains articles that can be potentially used to curtail press freedom and instigate legal proceedings against newspapers and individual journalists.

Sudanese journalists work under tight daily censorship controls exercised by the NISS.

(ST)

April 30, 2016 (JUBA) – The armed opposition faction of the Sudan People's Liberation Movement (SPLM-IO) has dismissed as baseless “rumour” allegation that their party's chief negotiator, Taban Deng Gai, has resigned from the SPLM-IO.

SPLM-IO Chief Negotiator, Taban Deng Gai, speaking to journalists at Juba airport upon his return from Pagak with his team, 22 January 2016 (ST Photo)

The allegation circulated on social media on Saturday could not explain the reason behind the alleged resignation.

Deng has been the SPLM-IO's chief negotiator under the leadership of the newly sworn in First Vice-President, Riek Machar, for two years since peace negotiations with President Salva Kiir's government began in Addis Ababa, Ethiopia, in January 2014 to end the civil war which erupted on 15 December 2013 in the country.

However, Machar's press secretary, James Gatdet Dak, dismissed the rumours as untrue, but said Deng wanted to take a break from his role as chief negotiator.

“It is not true that H.E. General Taban Deng Gai, Mining Minister, has resigned from the SPLM-IO as rumoured and circulated on social media,” Dak said.

“He just feels that his direct role as Chief Negotiator should come to an end and be replaced with another official,” he added.

Deng, a former governor of the oil rich Unity state, was also appointed as minister of mining in the newly sworn in transitional government of national unity per nomination by Machar.

It was not however clear whether his decision to quit his role as chief negotiator resulted from a frustration to continue leading the opposition's committee.

But Dak told Sudan Tribune that Deng wanted to be given time to establish his new mining ministry.

“He wanted time in order to concentrate on establishment of the Ministry of Mining,” Dak explained.

Deng, he added, therefore decided to resign from the membership of the Joint Monitoring and Evaluation Commission (JMEC) as well as from being the chief negotiator for the opposition.

He said the leadership of the SPLM-IO commended him for his role in successfully negotiating the peace agreement until it was signed on 17 August 2015.

(ST)

April 30, 2016 (JUBA) – Amnesty International, a global human rights body, has commended the South Sudan's government for releasing two senior officials who had been under detention since December last year and called on Juba to release 33 others still under detention.

WES governor Bangasi Joseph Bakosoro, pictured in his office on 24 January 2012, has called for peaceful coexistance among communities following rising tensions over federalism (ST)

“This week, we received good news that two men kept under arbitrary detention by the National Security Service in South Sudan, whom Amnesty International has been campaigning for, have been released. The two were part of 35 men that Amnesty International confirmed are being held at the NSS [National Security Service] headquarters in Jebel neighbourhood of Juba,” partly reads a statement from the Amnesty International extended to Sudan Tribune.

The two released this week include former governor of Western Equatoria state, Joseph Bangasi Bakosoro, who was freed upon arrival to Juba of Riek Machar, first vice president, and Leonzio Angole Onek, a Juba University professor, who was released two days earlier.

Bakosoro was arrested on 22 December 2015 at around 3pm after being summoned to the NSS headquarters in the Jebel neighbourhood. He was kept in incommunicado detention until early March when he was allowed family visits. No charged were filed against him.

Onek, who was arrested on 7 December 2015, on the other hand was released on ‘humanitarian grounds' and without charge by the NSS. Since his arrest, Onek did not have access to a lawyer and did not know why the NSS were holding him.

“The remaining 33 detainees have been denied the right to be brought promptly before a judge and the right to challenge the lawfulness of their detention,” said Nyagoah Tut, a South Sudanese human rights campaigner for the Amnesty International organization.

She said some detainees are being held incommunicado, without any access to family members or the outside world.

“Detainees are fed a monotonous diet, and sometimes only eat once a day. They sleep on the floor and do not have access to adequate medical care. Some have been beaten, especially during interrogation or as a form of punishment. These poor conditions amount to ill-treatment and may also amount to torture in some cases,” she said.

Nyagoa added that this 33 number of the known detainees however represents a mere fraction of people being detained by NSS and other security forces such as the military in South Sudan.

(ST)

Robert Gbian, 2e Vice-président du Parlement béninois
« La présidentielle, mon mandat de député, Talon, Yayi Boni, Zinsou, le Bénin, le nouveau gouvernement, les grandes perspectives et moi », Robert Gbian dit tout

La présidentielle pour lui ? Ce n'est pas tant que ça du passé. C'est toujours, d'une manière ou d'une autre, d'actualité. En marge d'une rencontre avec son état-major pour faire le point et tirer les leçons, il s'est livré à un entretien improvisé avec nous. Toujours égal à lui, souriant et ferme, aussi décontracté que d'habitude, il lance, à qui a peur, « je suis un général, je garde le moral ». Cette bonne humeur ne dissipe pas pour autant la déception d'un homme qui aime profondément le Bénin et qui a senti, sa participation à la présidentielle comme un appel profond mais aussi « un devoir de dignité ». Plusieurs facteurs ont joué en sa défaveur. L'arrivée inattendue des milliardaires, la campagne ignoble de ses amis d'hier, ses difficultés financières dûes en partie aux pressions pour que ses amis et soutiens ne l'aident pas… mais lui, balaie tout ça d'un revers de main, « mon échec, je l'assume, je n'aime pas chercher des boucs émissaires » insiste Robert Gbian avant de conclure, « mon bonheur est d'avoir pu y prendre part, sinon j'aurais eu honte pour ma dignité et mon envie, légitime, de changer les choses ». Depuis la présidentielle, aucune sortie officielle. Un communiqué. Un message au peuple béninois. Un appel à voter Talon. Et récemment, un point de vue sommaire sur le début du quinquennat… Et, enfin, celui qui fut l'image de la grande muette par sa discrétion et son excès d'humilité prend la parole. A haute voix et évoque tout. Son mandat de député, son amitié et son respect pour le président Talon, sa vision du Bénin, les perspectives pour son engagement politique, son expérience, quelque peu décevante de la présidentielle dont il dit ne « rien regretter, c'est un sous contrainte de l'honneur que j'y suis allé » insiste celui qui prend acte de la décision du peuple sans écarter de nouvelles aventures avec les Béninois. Dans une grande interview, il parle de tout, sauf rien. Celui qui a connu une fulgurante carrière militaire et politique tout en gardant le mystère sur son personnage lève un coin de voile sur une personnalité bouillante et constante. Interview !

Moins de 2% pour la présidentielle, il est certain que vous soyez déçu ?

Sourire. Pas exactement. Je ne suis bien sûr pas satisfait ni content des résultats, j'aurais voulu faire beaucoup mieux. Mais je pense que la démocratie, c'est aussi une certaine décence. Me conférant à sa maturité et à sa longue expérience démocratique, je ne doute pas que les Béninois aient fait le meilleur choix. Je fais confiance au peuple.

Mais votre score était inattendu ?

Oui, mais j'essaie de comprendre. Il y a des éléments internes et externes qui ont influencé les résultats. Il y a d'un côté un certain déchainement contre ma personne par ceux que vous savez, et une peur suscitée par ma candidature qui a occasionné une campagne d'intoxication dans le nord du pays. Puis, le facteur devenu trop important de l'argent, dans la politique béninoise. J'ai fait ma campagne sur fonds propres, portant avec fierté la dignité de mes idées. Cela ne m'a pas facilité les choses. Je reconnais tout de même qu'il avait des candidats de qualités qui n'étaient pas initialement attendu. Mais au-delà de tout, j'assume la responsabilité de mon échec, je suis le premier responsable. Si je ne reconnais pas ma part de responsabilité, je ne pourrais pas en tirer les leçons.

Quelle leçon en tirez-vous ?

Je pense que lors de ce scrutin, le peuple a voulu, quoiqu'on dise, tranchez entre deux hommes, yayi Boni qui était derrière Zinsou et Patrice Talon. Le second a gagné, c'est tout.

Zinsou aussi a joué franc jeu ?

Bien sûr, il m'a impressionné. Il a fait preuve d'une énorme maturité et d'une détermination à rendre service à notre démocratie. Son appel au président élu dès le soir du second tour, sa présence à l'investiture, son appel à soutenir le président Talon, tout concourt à confirmer qu'il est un grand homme. Je ne saurais donc cacher mon admiration et mon respect pour lui.

Patrice Talon a été élu, on vous dit très proche de Sébastien Ajavon, auriez-vous préféré le second au premier ?

Rire. J'aurais préféré être élu. (Sourire). On ne va pas à une élection pour la perdre. Oui, Ajavon est un ami de même que Talon d'ailleurs, ma préférence est celle du peuple. Il faut surtout dire que nous nous sommes tous mobilisés aux côtés de Talon, Ajavon en premier. C'est une victoire collective, celle du peuple et de chacun d'entre nous.

Plusieurs observateurs de la politique béninoise pensent que vous auriez gagné si le scrutin avait eu lieu deux ans plus tôt…

Je ne veux pas me livrer aux spéculations et présomptions. C'est vrai qu'il a eu une sorte de phénomène Gbian il y a quelques années, mais n'oubliez pas que l'élection devrait avoir lieu en 2016 et non en 2013 ou 2014.

Vous reconnaissez-vous dans le projet de société de Talon ?

Bien sûr, c'est d'ailleurs pour cela que je me suis rallié sans hésiter, même si mon engagement dans l'Alliance de la Rupture m'y contraignait pour des raisons de principe. Bon nombre de mes préoccupations, qui sont aussi celles des populations ont été prises en compte, sérieusement. La modernisation de l'armée, la diversification de l'agriculture, la question de l'énergie et du foncier, les grandes réformes politiques et institutionnelles, tout cela faisait partie de mon propre projet de société. Je ne doute pas non plus de l'attachement du Président Patrice Talon à la réconciliation et à la promotion de la paix, pan gordien de ma propre vision pour le Bénin.

Que retenez-vous de cette belle campagne électorale que vous avez faite ?

La ferveur des Béninois. La maturité du peuple. Et son enthousiasme pour la démocratie. J'ai visité tous les coins et recoins du pays et j'ai été impressionné, très impressionné. Nous avons un grand peuple qui mérite des dirigeants et acteurs politiques de grandes qualités.

Beaucoup pensent, à tort ou à raison, que Yayi vous a aidé à échouer par l'orchestration d'une campagne de mauvaise augure contre votre personne ?

Yayi n'est plus au pouvoir, si c'est le cas, je considère que c'est du passé. Je veux me projeter dans l'avenir et non m'accrocher au passé. Il n'y a aucun problème particulier entre Yayi Boni et moi.

Vous êtes député et vice-président de l'Assemblée nationale, un poste de décision tout de même…

De décision, pas vraiment, ce n'est pas un poste exécutif, mais de là, on peut contribuer à construire un Bénin nouveau. Cette posture me donne une possibilité de larges apports aux grandes réformes. J'ai toujours été fier de servir le Bénin, vous le savez, à ce poste comme ailleurs.

Parlant des réformes, Talon a promis faire un seul mandat, vous y croyez ?

Je lui fais confiance. J'adhère à son envie de faire une transition pour le renforcement de l'état de droit et de la démocratie puis de se retirer. Il l'a promis au peuple, il s'y conformera.

Le nouveau gouvernement a été attaqué par beaucoup, ne vous y voyez pas des conflits d'intérêt ?

Notre régime est présidentialiste. Quand nous élisons un président, nous devons lui faire entièrement confiance pour prendre les bonnes décisions. Je ne vois personne qui ne soit pas à son poste dans ce gouvernement. Le chef de l'Etat est l'unique chef du gouvernement, il sait mieux que vous et moi qui peut faire quoi et quand. C'est un homme de vision et de pragmatisme. Il a besoin de nos soutiens plus que des critiques en ce moment ; soutenons-le !

La mésaventure avec l'Alliance Soleil vous donne des idées pour l'avenir du capital mobilisé autour de vous ? En résumé, quel est l'avenir de coalition GGR ?

Pour le moment, il y a une réflexion qui est en cours et qui doit tenir compte de l'aspiration des Béninois et de leurs messages à travers les urnes Je suis tout cela de près, ce qui est sûr, tant que je peux être utile, je servirai.

Propos recueillis par MAX-SAVI Carmel, Cotonou, Bénin

A mosque under refurbishment collapses during Friday prayers in the Somali capital Mogadishu, killing at least 15 people and injuring 40.