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Harmonie entre le Maire Léhady SOGLO et les conseillers municipaux

24 Heures au Bénin - Thu, 22/09/2016 - 18:00

Le Conseil Municipal de Cotonou a entamé le mercredi 21 septembre 2016, sa troisième session ordinaire pour le compte de l'année. Il convient de noter que le même état d'esprit d'apaisement et de rassemblement qui a toujours prévalu depuis l'installation du Maire Léhady Vinagnon SOGLO continue de régner au sein du conseil. Ce qui était encore le cas hier lors des travaux qui se sont déroulés dans une ambiance conviviale et chaleureuse entre les élus municipaux, toutes tendances politiques confondues.

Prévus pour durer trois jours, les travaux de la session ordinaire portent sur un ordre du jour en cinq points. Il s'agit de la présentation des rapports de mission du Maire Léhady Vinagnon SOGLO en France et du Premier adjoint au Maire Isidore GNONLONFOUN en Chine, de l'examen du projet de mise en place du Fonds de Développement Municipal de Cotonou, du compte rendu relatif au dossier SODECIB, de l'examen du collectif budgétaire, de la présentation des rapports des commissions permanentes, de l'élection du nouveau Chef du 2ème Arrondissement en remplacement de Bruno DOSSOU dont le siège a été invalidé. Tous unis autour du président du Conseil, les distingués conseillers ont examiné les différents dossiers prévus pour le compte de la première journée. Ainsi, le rapport de mission du Maire en France a été applaudi par l'ensemble du conseil. Un document très apprécié de plusieurs élus municipaux qui ont salué les efforts de l'autorité municipale dans la recherche de solutions idoines aux différents problèmes des Cotonois notamment la gestion des ordures ménagères.
L'autre point qui a reçu l'approbation des conseillers est celui relatif au projet de création d'un Fonds de Développement Municipal destiné à accompagner les jeunes, les femmes, les artisans dans la promotion de leur activités.
Dans son allocution d'ouverture, Le Maire Léhady SOGLO a attiré l'attention des conseillers sur certains évènements regrettables que subissent les populations de Cotonou depuis quelques temps. Il s'agit de l'épidémie de choléra et de la montée des eaux des cours d'eaux dans la ville avec leurs menaces sur la quiétude des citoyens de la Capitale économique du Bénin. Face à cette situation dramatique, l'édile de Cotonou a invité les membres de son conseil à s'impliquer dans la recherche de solutions pour contrer cette épidémie de choléra dans un esprit de solidarité et d'entraide. S'agissant toujours de cette situation relative à la montée des eaux, l'édile de Cotonou a présenté aux élus quelques actions préventives entreprises. Entre autres, il s'agit de la formation des pairs éducateurs ; de l'identification des sites successible d'accueillir les sinistrés en cas de nécessité ; de l'élaboration d'un plan de communication et de sensibilisation impliquant les élus.
Soulignons qu'en respect de la décision de la Cour suprême invalidant le siège de l'ancien Chef du 2ème arrondissement M Bruno DOSSOU, le président du Conseil Municipal de Cotonou a procédé à l'installation officielle du nouveau conseiller Ali KAMAROU.
Il convient de noter qu'avant l'ouverture des travaux de la session, le Maire Léhady Vinagnon SOGLO et ses adjoints ont fait d'une pierre deux coups en procédant à la remise officielle des matériels roulants aux agents de liaison. A cet effet, un lot de vingt-quatre motos flambant-neufs ont été officiellement mis à la disposition du personnel qui assure la liaison entre la ville et les autres structures. Un geste très apprécié par les différents responsables syndicaux de la mairie qui ont salué cet effort de l'édile de Cotonou.
Par : Willy N.OJUOLA

Categories: Afrique

Nem panaszkodik a kopjafafaragó, csak szóvá teszi azt, ami nyomja

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:59

Az ő kopjafái jelölik nagy személyiségek sírját, történelmi eseményeknek állított örök emléket. Székely kapuk is az ő keze nyomát viselik, mégis kevesen tartják számon a gyergyószentmiklósi Orbán Bélát.
Kategória: Aktuális/Gyergyószék

A száraz kiflit is megennék – Tovább késik az ingyen tízórai

Krónika (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:57

Akárcsak egy évvel korábban, idén szeptemberben sem érkezett időben az óvodásoknak és iskolásoknak biztosított friss tej és kifli a Hargita megyei tanintézetekben. 
Kategória: Erdélyi hírek

Nouvelle carte universitaire: le Frd évoque le cas Porto-Novo avec la ministre Attanasso

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Thu, 22/09/2016 - 17:53

Mandatée par les sages et les peuples de Porto-Novo, une délégation du Front des républicains pour le développement  (Frd), le parti du bâtonnier Jacques Migan était ce jeudi au cabinet de Mme Odile Atanasso, la ministre béninoise en charge de l’Enseignement supérieur pour avoir des explications sur le sort réservé à la ville, capitale du Bénin.


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Categories: Afrique

Tovább késik a omladozó csíkszeredai vasútállomás felújítása

Krónika (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:53

Nemcsak a tej-kifli programot, hanem a csíkszeredai vasútállomás felújítását is negatívan érintette a közbeszerzésekre vonatkozó törvény módosítását követő bizonytalanság.
Kategória: Erdélyi hírek

Később takarítanak Gyergyószentmiklóson

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:53

Országszerte szeptember 24-én szervezik meg a Let’s do it Romania! szemétgyűjtési akciót, Gyergyószentmiklóson azonban – a kedvezőtlen időjárásra hivatkozva – egy későbbi dátumon tartják a környezetvédelmi megmozdulást.
Kategória: Aktuális/Gyergyószék

«No-go-zones» en Europe : l’exécutif hongrois tourné en dérision

HU-LALA (Hongrie) - Thu, 22/09/2016 - 17:53
Dans le cadre du référendum du 2 octobre sur le mécanisme européen de répartition des réfugiés, les arguments brandis par le gouvernement hongrois en faveur du «non» commencent à se retourner contre lui.

L’affaire ne fait surface qu’aujourd’hui dans les médias, mais elle remonte au printemps dernier avec la mise en ligne par le gouvernement hongrois d’un site internet destiné à promouvoir le référendum «anti-migrants» qui se déroulera le 2 octobre prochain. On peut lire sur ce site que l’on recense «plus de 900 no-go zones dans les grandes villes européennes». Des no-go zones décrites comme des «espaces urbains que les autorités ne parviennent pas à garder sous leur contrôle. Les règles écrites ou non écrites de la société d’accueil ne s’y appliquent pas. Dans les villes d’Europe où les immigrés vivent en grande quantité, on trouve plus de cent no-go-zones de ce type».

Comme on peut le voir sur la brochure ci-dessus, la géographie de ces zones de déréliction est assez aléatoire, plaçant sur le territoire français des no-go-zones à Orléans, Tours, Chartres, Montargis et Nevers, ainsi qu’à Montpellier, Béziers, Nîmes et Mende. Curieusement, n’y figurent ni la région parisienne ni Marseille, laquelle avait été présentée en 2015 par Viktor Orbán comme un «grand camp de réfugiés». Interrogé par le site d’actualité 444.hu, l’ambassadeur de France à Budapest, Éric Fournier, a estimé que les «no-go-zones» étaient «une expression à la consonance exotique, laquelle ne correspondait (…) à aucun concept connu en français».

Mais les premiers à avoir réagi sont les Britanniques par la voix du Foreign Office lui-même, puis de sa représentation officielle à Budapest : «les éléments rassemblés dans le livret communiqué ne correspondant pas à la réalité : il n’existe pas de zone au Royaume-Uni où les lois ne sauraient être appliquées». Interviewé par la BBC sur les sources d’informations ayant permis aux autorités hongroises de décréter de telles no-go zones à Londres, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, s’est trouvé quelque peu déstabilisé.

Également interpellées par nos confrères de 444.hu, les ambassades d’Allemagne et de Suède ont réagi sensiblement de la même façon aux allégations du gouvernement hongrois. Les Allemands se félicitant que de «nombreux Hongrois visitent chaque année Berlin et les autres régions allemandes (…) et qu’ils puissent ainsi se faire leur propre idée de ce pays».

Cette polémique n’est pas sans rappeler la petite guerre de tranchées qui a opposé l’année dernière le «Petit journal» de Canal+ avec la chaîne américaine Fox News, laquelle mettait en garde les touristes américains contre ces prétendues zones de non-droit au cœur de Paris.

Categories: PECO

Syrie : les Nations unies au secours de la trêve ?

IRIS - Thu, 22/09/2016 - 17:53

La 71e Assemblée générale des Nations unies s’est tenue le mardi 20 septembre à New-York. De nombreux chefs d’Etats y ont évoqué la Syrie et ont appelé, avec plus ou moins de véhémence, à la résolution diplomatique du conflit. Pensez-vous que la tenue de l’Assemblée générale des Nations unies et les discours qui y ont été prononcés auront un impact sur la situation en Syrie ?

Les différents discours ou partie de discours prononcés par des chefs d’Etat sur la Syrie à l’ONU attestent, malgré récentes les tentatives diplomatiques et la conclusion d’une trêve, que la question syrienne est loin d’être réglée.
En dépit des critiques que l’on peut formuler à son égard, l’ONU reste le seul lieu où une solution politique peut être trouvée à la crise syrienne. Du point de vue de l’organisation des relations internationales, c’est le lieu de rencontre de tous les Etats.
Pour revenir sur le cas syrien, il y a un constat d’impuissance, un manque de courage, ainsi qu’un manque de lucidité. Jusqu’à aujourd’hui, les Etats-Unis et la Russie, deux membres du Conseil de sécurité des Nations Unies, ont occupé le terrain. Mais la disposition est asymétrique : la Russie – alliée de Bachar el-Assad – a un projet politique sur la Syrie, alors que l’administration Obama est totalement en retrait depuis plus de trois ans. La trêve conclue entre Sergueï Lavrov et John Kerry, le 10 septembre, n’a pas donné les effets escomptés. L’existence de clauses secrètes conclues entre les deux parties, à l’insu des autres membres du Conseil de sécurité, laissait planer le doute quant à la durabilité de l’accord de trêve.
Invité à s’exprimer à l’Assemblée générale des Nations unies, François Hollande a fait preuve de véhémence. Malheureusement, l’exécutif français n’est pas le mieux placé pour donner des leçons au reste du monde sur le dossier syrien. Le gouvernement de Hollande, et celui de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, ont enchainé les erreurs depuis l’éclatement de la guerre civile. La diplomatie française a d’abord estimé que le conflit se réglerait rapidement avant d’établir pour préalable à toute solution diplomatique le départ de Bachar el-Assad. Elle a ensuite agité la menace d’une intervention militaire. Les Français n’ont cependant jamais été en mesure de tracer une voie politique et d’émettre des propositions de sortie de crise. François Hollande devrait faire preuve de plus de modestie sur ce dossier infiniment compliqué. Pour cette raison, hausser le ton est inutile, si dans le même temps, on ne se donne pas les moyens de contribuer à dépasser les blocages.

Le bombardement d’un convoi humanitaire mardi 20 septembre met en péril la trêve. Washington accuse la Russie, Moscou nie. Que sait-on de cet « incident » ? La trêve est-elle définitivement rompue ? Selon vous, Washington pourrait-il hausser le ton alors qu’Obama est critiqué pour sa « passivité » dans le dossier syrien ?

Le fait que le convoi ait d’une part été bombardé, d’autre part que les frappes aient été effectuées par la voie aérienne, laisse peu de doutes quant à l’implication de l’armée syrienne ou de l’armée russe. Cependant, la coalition dirigée par les Etats-Unis a aussi commis une « bavure » en bombardant les positions des forces loyalistes, le 17 septembre, quelques jours après le début de la trêve. Dans tous les cas, la situation urgente et tragique de la Syrie ne se prête pas au décompte des bavures et des non-respects de l’accord commis de part et d’autre. Les responsabilités sont partagées.
L’enjeu, aujourd’hui, est de rebondir et de mettre en œuvre tous les éléments pour avancer des propositions et sauver la trêve. Pour cela, calme et sang-froid sont nécessaires. Il y a tout de même des évolutions sur le terrain. Si nous sommes convaincus qu’il ne peut y avoir qu’une solution politique, il faut reprendre le dossier de la trêve comme premier élément tangible d’une voie de résolution de crise et réunir les conditions nécessaires à sa mise en œuvre.
En dépit des intentions, les négociations restent compliquées. La question des groupes terroristes, notamment Fatah-al-Cham, est particulièrement délicate. En bombardant leurs positions, des groupes qui ne sont pas considérés comme terroristes risqueraient aussi d’être touchés. A Alep, les groupes disparates de l’Armée syrienne libre (ASL) ont fait alliance avec Fatah-al-Cham. L’imbrication des fronts sur le terrain complique ainsi la situation et rend une solution militaire impossible à la résolution du conflit. C’est pourquoi il n’existe qu’une solution diplomatique. Le temps presse car au fur et à mesure que la situation s’enlise, les terroristes gagnent du terrain.
Par ailleurs, les Russes avancent efficacement leurs pions dans le conflit profitant d’une certaine apathie des Etats-Unis. En outre, je ne pense pas que Barack Obama modifiera sa stratégie, à la fin de son mandat et à deux mois de l’approche des élections présidentielles. L’asymétrie entre la volonté politique des Russes et l’indécision des Etats-Unis est manifeste.

Quelles armées, ou groupes armés, sont en position de force en Syrie dans l’éventualité de négociations ?

Les groupes les plus efficaces sur le terrain sont ceux avec qui on ne veut légitimement ni discuter, ni négocier. En revanche, le Haut conseil pour les négociations, soutenu par les pays occidentaux, l’Arabie Saoudite, le Qatar, a peu de capacités opérationnelles sur le terrain comparées à celles des combattants de l’Etat islamique ou de Fatah-al-Cham. Compte tenu des divisions et du manque d’emprise des rebelles dits « modérés », il me semble que la solution la plus efficace, en vue d’aboutir à un accord, serait que les membres de la communauté internationale négocient à l’ONU – et sans les rebelles -, un compromis qui serait ensuite présenté aux différents groupes de combattants syriens avec qui la communauté internationale accepte de dialoguer. Le compromis doit être trouvé dans les murs de l’ONU.

Das meint BLICK zum Bodluv-Untersuchungsbericht: Divisionär Rebord, übernehmen Sie!

Blick.ch - Thu, 22/09/2016 - 17:49

ZÜRICH - Der Untersuchungsbericht zur komischen Beschaffungsgeschichte der neuen Flugabwehr «Bodluv» liegt vor. Er wirft mehr Fragen auf, als dass er beantwortet.

Die wichtigste und zentralste Frage bleibt diejenige, die für den Steuerzahler von grösster Relevanz ist: Nämlich warum wollte man zwei mässig leistungsfähige Flugabwehrsysteme beschaffen, obschon die Luftwaffe nach einem einzigen suchte? Eines schoss zu wenig weit. Das andere funktioniert bei Regen nicht.

Explizit wurde laut dem damaligen «Rundschau»-Bericht festgehalten, dass diese Beschaffungsstrategie für den Bund am Schluss teurer werde.

Insofern sind die Empfehlungen, die Experte Kurt Grüter macht, hilfreich für die Zukunft – vor allem für den designierten Chef der Armee, Philippe Rebord. Es ist nun an ihm, seine Führungsverantwortung wahrzunehmen und für die Umsetzung zu sorgen – damit solche Debakel nicht mehr passieren.

So findet Grüter, ein modulares Gesamtsystem müsse von Beginn weg der Politik und der Öffentlichkeit erklärt werden. Inklusive mutmasslicher Endkosten. Dass es sich bei grösseren Projekten empfehle, mit regelmässigen Standberichten über Leistungen, mutmassliche Endkosten, Meilensteine, Chancen und Risiken zu informieren. Ist eigentlich eine Selbstverständlichkeit, soll nun auch für die Armee gelten.

Untersuchungsbericht gibt BLICK recht

Transparenz schaffe Vertrauen, so der Experte – auch das eine Binsenwahrheit. Für das VBS offenbar nicht. Ebenfalls keine Überraschung ist die Empfehlung Nummer 3 von Grüter: «Die militärischen Anforderungen sind vom Bedarfsträger zu formulieren» – also von der Armee selber und nicht von Externen. Und die Beschaffungsprozesse seien zu beschleunigen. Der neue Chef der Armee hat also schon vor seinem Amtsantritt eine lange To-do-Liste. Wir rufen ihm darum gerne zu: Divisonär Rebord, übernehmen Sie!

Und dann sind wir auch noch ein wenig stolz. Denn indirekt übt der Experte und ehemalige Chef der Eidgenössischen Finanzaufsicht auch noch Kritik. Nämlich am Entscheid, den noch der Vorgänger von SVP-Verteidigungsminister Guy Parmelin gefällt hatte, der heutige SVP-Finanzminister Ueli Maurer.

Wie BLICK im Juli 2015 publik machte, liess dieser zu, dass aufgrund von internen Kapazitätsengpasses bei Armasuisse die Beschaffung ausgelagert wurde. BLICK kommentierte den Vorgang damals kritisch, für Grüter ist er ein No-Go: «Beschaffungen von Rüstungsgütern ist eine hoheitliche Aufgabe.» Und solche seien grundsätzlich mit eigenen Ressourcen wahrzunehmen. Anders ausgedrückt: Die Auslagerung von Beschaffungen aus dem VBS waren ein Fehler. Mehr gibt es dazu nicht hinzuzufügen.

Categories: Swiss News

La Grèce refuse l’asile à un militaire turc

Aumilitaire.com - Thu, 22/09/2016 - 17:48
Le service d’asile grec a rejeté en première instance la demande d’un des huit militaires turcs ayant fui en Grèce après le coup d’Etat avorté en Turquie et dont Ankara demande l’extradition, a indiqué aujourd’hui à l’AFP leur avocate. Les autorités grecques « ont rejeté la demande d’un des ces militaires turcs » et « gelé la demande ...
Categories: Défense

Philippe Bilger - "On ne peut pas considérer que les peuples ont tort dès lors qu'ils ne sont pas de notre avis"

Le Point / France - Thu, 22/09/2016 - 17:48
Jeudi matin sur France Info, Daniel Cohn-Bendit a fait une déclaration au sujet de la montée des extrêmes qui n'a pas laissé Philippe Bilger indifférent.
Categories: France

Újabb offshore-botrány: ezúttal Bahama-iratokat szivárogtattak ki

Krónika (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:43

Romániai érdekeltségű cégek is érintettek a legújabb offshore-botrányban: a kiszivárogtatott, a Süddeutsche Zeitung által megszerzett több százezer irat ezúttal arra világít rá, hogy számos nagyvállalat rendelkezik offshore-cégekkel a Bahama-szigeteken. 
Kategória: Gazdaság

Mégsem költöztetik Marokkóba az egyik Dacia-modell gyártását

Krónika (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:40

Nem költözteti a Renault csoport Piteşti-ről Marokkóba Logan Break MCV gyártását, hanem a tangeri üzemben is elkezdik összeszerelni ezt a modellt, aminek semmiféle hatása nem lesz a mioveni-i termelésre.
Kategória: Gazdaság

Megkezdődött Kolozsváron a középiskolás sportolimpia – Szabó Katalin életműdíjat kapott

Krónika (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:37

Hatalmas ováció és tapsvihar fogadta Szabó Katalin olimpiai bajnok tornászt Kolozsváron, az Erdélyi Magyar Középiskolás Sportolimpia nyitógáláján, amikor átvette az RMDSZ frissen alapított sport-életmű díját. 
Kategória: Színes

Justice internationale: des détenus de la CPI demandent à voir leur famille

RFI (Europe) - Thu, 22/09/2016 - 17:37
En quinze jours, deux accusés de la Cour pénale internationale (CPI) se sont rebellés contre des mesures de restriction imposées par les juges. Le milicien congolais, Bosco Ntaganda, a fait une grève de la faim tandis que l'Ougandais Dominic Ongwen a tenté de se suicider. Les deux hommes se plaignaient de ne pas voir leur famille, et de subir un traitement discriminatoire par rapport aux quatre autres détenus de la Cour.
Categories: Union européenne

Cohn-Bendit et le scénario Macron

Le Point / France - Thu, 22/09/2016 - 17:32
Dans l'hypothèse où Sarkozy gagne la primaire, l'ancien député européen juge qu'un espace s'ouvre pour Macron, meilleur rempart contre Le Pen.
Categories: France

Frissített ANL-várólista: öt lakásra huszonöt jelentkező

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 17:31

Jelenleg öt megüresedett ANL-lakás jut a huszonöt kérvényezőre Csíkszeredában. A bérelhető lakások száma változó, annak függvényében, hogy hányan költöznek ki, vagy hányat lakoltatnak ki belőlük. Frissítették a várólistát.
Kategória: Aktuális/Csíkszék

God, grunts, and choices

Foreign Policy - Thu, 22/09/2016 - 17:30
Study a photograph of infantry soldiers at a battlefield service.

Is South Africa's ANC tearing itself apart?

BBC Africa - Thu, 22/09/2016 - 17:30
Factions within South Africa's governing African National Congress (ANC) are battling over how best to improve the party's electoral fortunes after a poor showing in August's local elections.
Categories: Africa

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