Nem minden illegális migráns terrorista, de az is tény, hogy a terroristák közül nagyon sokan illegális migránsok - fogalmazott a belügyminiszter a várpalotai Thury-vár konferenciatermében megjelent közel 150 fős közönség előtt csütörtökön.
J.Q.
Après le « Brexit », le possible « Scotin », le maintien de l’Écosse dans l’Union après le Brexit, l’Europe va-t-elle affronter un prochain« Cat-exit-remain » ? Autrement dit l’indépendance unilatérale d’une Catalogne farouchement décidée à rester dans l’Union ? Tel est bien le but des dirigeants indépendantistes catalans, au pouvoir depuis septembre 2015, qui espèrent se séparer de l’Espagne d’ici l’été 2017 ou 2018 sans que cela affecte l’appartenance de la Catalogne à l’Union. Dimanche 11 septembre, pour la cinquième année consécutive, une partie des Catalans a manifesté en faveur de l’indépendance: à l’occasion de la Diada, la fête nationale locale, 800.000 personnes sont descendues dans la rue (pour une population de 7,5 millions d’habitants), selon les autorités, un chiffre équivalent à celui de l’année dernière, mais nettement inférieur aux éditions de 2012 à 2014 (entre 1,5 et 2 millions de manifestants), l’opinion publique se lassant des déchirements internes du camp indépendantiste.
Droit historique
«Nous avons un droit historique à être reconnus comme une nation et un État. D’ailleurs, nous sommes en train de devenir un État indépendant et nous sommes déterminés à tout faire pour parvenir à ce but», martèle Carles Puigdemont, le président de la Généralité de Catalogne qui a succédé à Arthur Mas en janvier dernier, devant un groupe de journalistes français. «L’indépendance est inévitable, impossible à stopper et sans alternative. Nous irons jusqu’au bout», surenchérit Raül Romeva, le ministre «des affaires étrangères» catalan à qui le Tribunal constitutionnel de Madrid, le cerbère veillant à l’unité espagnole, a interdit de porter ce titre... Même si les élections de 2015, auxquels les partis indépendantistes avaient donné un caractère plébiscitaire, ont été un demi-échec (48 % des voix seulement, contre 39 % aux partis unionistes, mais une majorité absolue en sièges), le gouvernement de la Generalitat estime malgré tout avoir reçu un mandat pour organiser un référendum d’autodétermination afin de trancher une bonne foi pour toute la question catalane. «80 % des Catalans sont pour un référendum et plus de 50 % sont pour l’indépendance», estime le journaliste et philosophe Joseph Ramoneda. «Alors qu’historiquement l’indépendantisme a toujours été minoritaire», rappelle Joan Culla, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Barcelone, désormais, ajoute Joseph Ramoneda, philosophe et journaliste, «il n’est plus tabou, surtout parmi les jeunes».
«Il y a deux voies pour parvenir à l’indépendance», explique Carles Puigdemont. «Soit nous organisons un référendum à l’été 2017 ou 2018 avec l’accord de Madrid, comme cela a été le cas en Écosse. Ce serait la résolution idéale du conflit. Mais, en dehors de Podemos, aucun autre parti espagnol ne veut parvenir à un tel accord: le pouvoir central nous menace même de nous déclarer illégaux, car, selon lui, nous violons la Constitution espagnole. Nous sommes donc prêts à nous passer de son accord : les Catalans veulent décider de leur avenir. Tout a commencé dans les urnes avec notre élection, cela se terminera donc dans les urnes». Autant dire que la détermination de la majorité au pouvoir (Ensemble pour le oui -Juns pel Si, 62 sièges sur 135 au sein du Parlement de Catalogne- appuyé par la gauche radicale de Candidature d’unité populaire, 10 sièges) est totale, même si Joan Culla ne croit guère à une «proclamation unilatérale, très difficile à imaginer », pas plus que les diplomates européens en poste à Barcelone : «il n’y a aucun moyen d’obliger Madrid à appliquer l’indépendance», juge l’un d’eux.
Confrontation
Côté indépendantiste, on la joue bravache: « On en passera si nécessaire par une confrontation avec un État qui ne nous a jamais considérés«, tranche Lluis Llach, député du parti Juns pel Si, et chanteur légendaire, réfugié en France sous la dictature franquiste. »Avant la fin de la législature, on votera les lois de déconnexion qui nous permettront de nous couper du système juridique de l’État central et d’organiser un référendum d’autodétermination«, annonce Carles Puigdemont. Un »coup d’État« dénoncé par les unionistes qui estiment que »le parlement catalan n’a aucune légitimité pour organiser une telle consultation«, comme l’affirme Ferran Predet, député du parti socialiste espagnol (PSOE).
De fait, un référendum unilatéral sera considéré comme nul et non avenu par Madrid : »en 2014, le tribunal constitutionnel espagnol a déjà annulé une loi permettant d’organiser un référendum. Il a quand même eu lieu le 9 novembre de la même année à titre consultatif et sans cadre légal: la moitié du corps électoral y a pris part et 80 % a voté en faveur de l’indépendance«, explique un diplomate européen. »On en est resté là, car les Catalans sont très attachés, quoi qu’ils en disent, à l’État de droit«. Ce diplomate explique que, « dès qu’un projet de loi dépassant le cadre de l’autonomie assez large prévue par la Constitution de 1978 est déposé, voire simplement si une commission parlementaire est créée pour l’examiner, le Tribunal, saisi par les unioniste, l’annule».
Mais les circonstances ont évolué depuis cette date. «On a tout essayé, mais on a échoué», martèle Carles Puigdemont. «Nous ne sommes pas responsables de la situation de blocage» créée, en juin 2010, par le Tribunal constitutionnel, composé de juges désignés par le Parti populaire (PP) et le PSOE. De fait, celui-ci a profondément édulcoré la réforme du statut d’autonomie adopté par les Cortès et par référendum en Catalogne, en 2006, et qui donnait largement satisfaction aux revendications catalanes. Tous les partis catalans, sauf les conservateurs du PP, dénoncent d’ailleurs l’incapacité de l’Espagne à se transformer en un véritable État fédéral à l’allemande. « L’Espagne, c’est en réalité une Suisse en plus grande. Mais le pouvoir central refuse de reconnaître cette réalité », estime Marti Anglada, représentant de la Catalogne en France et en Suisse. « Il y a un épuisement du système hérité de la transition, comme le montre la crise politique madrilène qui dure depuis plus d’un an«, analyse Lluis Llach : »c’est d’ailleurs dans la rue, en 2010, qu’a commencé le chemin vers l’indépendance. C’est un mouvement social très puissant«. Ce qui est exact tant du côté des syndicats que du patronat qui souligne que 63% des PME sont en faveur de l’indépendance.
Guerre civile?
La »confrontation« aura-t-elle lieu? Rien de moins certain, les camps en présence cherchant surtout à créer un rapport de force afin de faire triompher ses thèses sans en passer par là. Madrid fait notamment valoir qu’une Catalogne indépendante serait automatiquement exclue de l’Union européenne, une catastrophe économique pour la région. « D’une part, rien n’est prévu par les traités européens dans un tel cas », rétorque Carles Puigdemont. « D’autre part, si Madrid estime qu’une Catalogne indépendante doit sortir de l’Union et renégocier une adhésion à laquelle elle pourrait poser son véto, il faudrait d’abord qu’elle nous reconnaisse! Or, elle a annoncé qu’il n’en était pas question ». Surtout, « personne au sein de l’Union ne voudra se priver de l’économie catalane qui pèse 2 % de son PIB. Je suis persuadé que la realpolitik finira pas l’emporter et que nous resterons membre de l’Union ». Pour Puigdemont, « il ne s’agit pas de créer un État nation du XIXe siècle, mais du XXIe siècle: ce ne sera pas une déclaration d’indépendance, mais d’interdépendance ».
Jouer avec les frontières n’est, en tout cas, pas sans danger comme l’a montré la guerre dans l’ex-Yougoslavie: « il n’y aura pas de guerre civile en Catalogne, il n’y a pas de tradition de violence comme au Pays basque », affirme, sûr de lui, Puigdemont. « J’exclus un scénario violent : ici, nous arrivons à faire des coalitions avec des gens avec qui nous sommes en désaccord profond ». Un scénario idyllique auquel ne croit pas Chantal Moll de Alba, professeur de droit civil et membre de Ciutadanos: « il y a de la haine entre les indépendantistes et les unionistes qui ont peur de s’exprimer ». Pour Josep Lluis Rabell, député de « Catalunya si que es Pot », qui comprend notamment la branche catalane de Podemos, « nous nous croyons l’exception, mais nous n’échapperons pas à la violence »: « si nous nous déclarons indépendants, une bonne partie de la société catalane ne reconnaitra pas le référendum ». Les indépendantistes sont-ils prêts à prendre un tel risque pour la Catalogne, l’Espagne et l’Europe?
N.B.: Version longue de l’article paru dans Libération du 20 septembre.
Les journalistes français ont été invité par le gouvernement catalan qui ont pu rencontrer l’ensemble des acteurs politiques, sociaux, économiques, pro ou anti indépendance. Seul le Parti Populaire a refusé de nous rencontrer.
Créé par l’ancien maire de Prague Tomáš Hudeček, l’Institut de planification et de développement est un centre de recherches spécialisé dans les questions relatives à l’architecture, à l’urbanisme et à la gestion de la ville. Son principal objectif : préparer un nouveau plan qui définirait les règles de l’aménagement urbain dans la capitale tchèque pour les décennies à venir. Salué pour son caractère innovant, ce document, qui devrait être introduit en 2020, détermine donc concrètement où et comment peut-on construire de nouveaux bâtiments, tout en fixant par exemple la hauteur maximale, la future fonction ou les paramètres techniques des édifices, dans le contexte d’une volonté de développement durable de la capitale tchèque.
Pourtant, ce projet doit actuellement faire face à des problèmes qui menacent gravement son existence future, notamment en raison de la révocation, mardi par les conseilleurs municipaux, du directeur de l’Institut de planification et de développement et ancien vice-doyen de la Faculté d’architecture de l’Université technique de Prague, Petr Hlaváček. Après cette décision, treize des quinze membres de l’équipe ont annoncé mercredi leur démission. Pour eux, ces événements ne sont que la dernière tentative des politiques locaux pour intervenir dans la préparation du plan métropolitain. La maire adjointe de Prague, Petra Kolínská (du parti des Verts), explique quant à elle les changements dans la direction de l’établissement par le retard pris par le projet, qui serait lié au manque de volonté, de la part de l’Institut, d’accepter les critiques faites par certains conseillers, mais aussi par exemple par la maire de Prague, Adriana Krnáčová. Petra Kolínská poursuit : « Petr Hlaváček a été révoqué parce qu’il ne voulait se préoccuper du fait que l’équipe du plan métropolitain a été dirigée par l’architecte Roman Koucký, lequel arefusé de mener un dialogue avec les autorités de la ville et de l’Etat. J’ai dans mon bureau des dizaines de lettres datées de 2014 et de 2015 qui signalent des manquements dans le plan. Mais Roman Koucký les prenait à la légère et ne voulait rien faire pour changer cette situation. Monsieur le directeur Petr Hlaváček a pour sa part préféré la solidarité professionnelle à l’intérêt de la ville de ratifier le plan métropolitain à temps. A l’heure actuelle, ce plan a donc un retard de plus de trois ans et nous n’arriverons pas à l’approuver dans le délai défini par la loi qui est 2020 ».
D’après Petra Kolínská, le plan métropolitain ne serait de plus pas en conformité avec la loi sur les constructions. Autant d’arguments que réfutent les auteurs du projet qui estiment que la ville leur met des bâtons dans les roues depuis le début des travaux, en exigeant par exemple des consultations avec les autorités de différents arrondissements de la capitale, ce qui n’était pas prévu initialement. Selon l’une de treize démissionnaires, Marie Smetana, la révocation de Petr Hlaváček représente ainsi pour l’équipe le dernier d’une série de signes montrant que la municipalité n’a aucune intention d’introduire une règlementation innovante.
Quel est donc l’avenir du projet qui a déjà coûté à la ville environ 50 millions de couronnes (un peu plus de 1,8 millions d’euros) ? Petra Kolínská : « Il y a deux possibilités : soit Roman Koucký considère que ce plan est prêt et le remettra, d’ici fin septembre, à la mairie qui l’évaluera ensuite en conformité avec la loi relative à la construction, ou il ne le remettra pas et nous chercherons une nouvelle équipe capable de terminer ce travail. Personne n’est irremplaçable et si ces gens veulent quitter le travail en cours, nous trouverons quelqu’un qui voudra l’achever ».
La décision du conseil municipal de révoquer M. Hlaváček est aussi critiqué par les représentants de l’opposition, dont l’ancien maire et l’initiateur du projet Tomáš Hudeček, mais aussi par exemple par de nombreux experts en urbanisme. Quoi qu’il en soit, une chose est sure : il faudra attendre encore plusieurs années avant que les citoyens de Prague puissent voir leur ville se transformer vers une métropole plus moderne selon les conceptions de ce plan métropolitain.
CINCINNATI, OHIO (USA) - Der Vorsprung von Hillary Clinton auf Donald Trump schrumpft. Vergeblich versucht ihr Wahlkampfleiter ihre Anhänger zu beruhigen. Klar ist: es wird knapp.
Hillary Clinton (68) ist nervös. Und ihre Anhänger sind es ebenfalls. Mehrmals täglich verschickt die Präsidentschaftskandidatin der Demokraten Mails an mögliche Spender. «Es wird knapp», heisst es etwa. «Donald Trump kann gewinnen.» Oder: «Wir brauchen dein Geld.»
Tatsächlich ist Clintons Vorsprung in den Umfragen auf den Republikaner Donald Trump (70) arg geschmolzen. Seit sie am 11. September einen Schwächeanfall erlitt und eine Lungenentzündung verheimlich hat, wundern sich selbst treuste Anhänger: Entgleitet ihr das Weisse Haus?
«Keine Panik»-EmailAm Montagabend versandte ihr Wahlkampfleiter Robby Mook (36) ein Mail an Mitarbeiter mit dem Vermerk: «Don’t Panic», kein Grund zur Panik. Das Memo gelangte zu US-Medien – und löste bei Demokraten genau diese Panik aus. «Oh, ich bin sehr besorgt», sagt Rashid Abdullah (67), ein Aktivist in Cincinnati, im Swingstate Ohio. «Es ist nicht sicher, dass Clinton in Ohio gewinnt.»
Dabei wollte Mook mit Zahlen beruhigen. In den USA wird nicht Präsident, wer landesweit am meisten Stimmen holt. Sondern wer sich mindestens 270 der total 538 Wahlmänner sichert.
Wer einen Staat gewinnt, dem gehören alle dortigen Wahlmänner. Wobei es Kandidaten auf bevölkerungsreiche Staaten abgesehen haben, denn dort sind am meisten dieser Elektoren zu holen.
Auf sicher habe Clinton bereits 191, rechnet Mook vor. In Staaten wie Kalifornien und New York sei sie nicht zu schlagen. In fünf weiteren – Michigan, Minnesota, Pennsylvania, Virginia und Wisconsin – führe sie klar. Gewinnt sie alle fünf, fehlen ihr nur noch 10 Wahlmänner.
Trump zählt auf die vielen wütenden weissen MännerDie seien entweder in Ohio, in Florida oder in North Carolina zu holen. Gewinnt sie einen dieser Staaten, kann sie die Zügelwagen für den Umzug ins Weisse Haus bestellen.
Trump hingegen müsse alle drei gewinnen, und noch ein paar dazu.
Soweit der Optimismus. Etwas unterschlägt Mook: In Ohio, in Florida und North Carolina liegt Trump vorne. In Virginia hat Clinton die Kohleindustrie gegen sich. Trump zählt zudem auf die vielen wütenden weissen Männer, die in Pennsylvania um ihre Jobs fürchten. Sollten sie dem Tycoon aus New York zum Sieg in Pennsylvania verhelfen, ist er Präsident. Und das ist statistisch sehr wohl möglich.
Clinton hat demnach allen Grund zur Panik. Sie dürfte bis am 8. November reichlich Zeit in Städten wie Pittsburgh, Harrisburg und Allentown verbringen – alles Orte, in denen Trump stark ist.
September 22, 2016 (JUBA) - A South Sudanese minister has called for establishment of inclusive cantonment sites as alternative to ending roadside ambushes by armed opposition groups in the country.
John Luk Jok, Minister of Transport in the transitional government of national unity said no group should be left out in order to end the ongoing violent attacks in the country.
“There are still elements that are moving out there. We hope that the agreement on cantonment also includes them so that we don't have anybody carrying guns and terrorizing our people,” said Jok.
Jok, a member of the former detainees, was speaking during an opening session at which he said many people have fled to the neighbouring countries due to insecurity and hunger because they have lost confidence in their government.
The Joint Monitoring and Evaluation Commission (JMEC) on Wednesday launched a two-day workshop for stakeholders in last August's peace deal to review security arrangements in Juba.
The peace monitoring body in the country advised participants at the workshop to not lament on the past, saying discussions will focus on the UN Security Council resolution on the deployment of a regional protection force in Juba.
But Jok argued that without including all the armed groups in the process, security will not improve.
(ST)
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Kristalina Georgieva, the Vice President of the European Commission, told an IPI Global Leader Series audience that while the world had been unprepared for the rapidity of modern change, she believed human and institutional versatility could meet the challenge of catching up.
“I would argue that we can be reasonably positive because humans are incredibly adaptive and creative, and we can find solutions,” she said. But she warned that “we are underestimating the significance of this speed of change and complexity.”
She spoke of the dangers posed by technological changes that were bringing advances but also spreading inequality at a time when the global population of needy was growing exponentially, enabling the emergence of a resort to terror by the young and idle.
“I lose sleep over this phenomenon,” she said, “the combination of jobless technology and demographic explosion.”
At one point in her September 22nd appearance, she broke from the subject of her talk to comment on rumors that she might be nominated by a country other than her own to be a candidate to be the next secretary-general. The question has arisen because there already is an official Bulgarian candidate, Irina Bokova, the director-general of UNESCO, who has not placed as high as expected in the four straw polls of the Security Council conducted thusfar.
“I am not seeking or willing to be nominated by another country,” Ms. Georgieva said. “This is my country, I love it. There is no way I will do anything that puts me at odds with being a Bulgarian.” She paused and then added, “We have given birth to more than one qualified candidate so what’s wrong with that?”
On the subject of change, she noted that “the combination of science, connectivity and the ability to mobilize civil society brings things that are incredibly good, like the Paris Agreement and the Sustainable Development Goals.”
But, she said, “the risk this enormous change brings is the multiplicity of shocks. Shocks come from economic crises that cross boundaries very quickly, natural disasters, and unfortunately one of the most significant drivers of shocks are conflicts tearing apart the lives of millions of people.”
She said that a new and increasingly dangerous phenomenon in the twenty- first century was the ominous presence of non-state actors who “have no interest in becoming recognized governments” and living by recognized standards. “They just want to wreak havoc and destroy livelihoods of people around us, and scare us,” she argued. “When you take this one step further with violence and terrorism, that picture of a pretty world with new technology gets a little murkier.”
She listed four primary needs:
Speaking from her own experience in humanitarian and development work both at the European Commission and at the World Bank, she spoke of the need for structural change to keep pace with change. “That, of course, means bringing down the silos between institutions,” she said, “bringing down the barriers between humanitarian first responders and development to work together.”
“This, of course, also has to be done in the direction of peacebuilding, security, human rights so we have a horizontal build that allows us to make the best out of the resources we have and be more agile when we use them.”
So how do you solve the world’s governance problems?, she asked in closing.
“There are two ways: one is realistic, one is fantastic,” she said.
“The realistic one is extraterrestrials come from space, take over our institutions and fix them. And the fantastic way is that people do it themselves.”
Introducing Ms. Georgieva and moderating the meeting was IPI President Terje Rød- Larsen, IPI’s President.
September 22, 2016 (JUBA) - Some people fleeing South Sudan into Uganda are being forced to pay bribes at checkpoints run by South Sudan's warring factions, the United Nations Refuge Agency (UNHCR) said.
According to the world body, over 100,000 South Sudanese have fled to Uganda after deadly fighting occurred between the country's warring factions in July.
Rocco Nuri, a spokesman for UNHCR described as “disturbing” reports of South Sudanese refugees being forced to pay bribes to reach safety places out of their country.
The world body, in a statement, said it received reports of physical and sexual assaults on a number of refugees fleeing South Sudan.
Officials from both warring factions were unavailable to comment.
Last week, the UN said at least one million South Sudanese have fled the East African nation since violence broke out in December 2013.
A peace accord signed in 2015 has not ended fighting in the South Sudan, despite formation of a coalition government in April this year.
The fragile peace agreement signed in August last year is on the brink of collapse.
Over 1.6 million people have reportedly been displaced within South Sudan, implying about 20% of the population are homeless since December 2013.
(ST)
Felkerült a ponyva a Sétaerdei medencére, így szeptember 21-től megkezdődött a téli fürdőidény. A medence nyitvatartási ideje reggel hattól fél nyolcig, illetve 11 órától 18 óráig munkanapokon. Szombaton és vasárnap reggel hattól fél nyolcig, illetve 11 és 19 óra között. A belépődíj felnőtteknek 110, nyugdíjasoknak 50 dinár. A gyerekeknek 5 éves korig ingyenes a belépés.
September 22, 2016 (JUBA) - South Sudan government under the leadership of President Salva Kiir will soon dispatch a team from the foreign ministry and representatives from other institutions to visit the Sudanese capital, Khartoum, over bilateral matters, according to a senior official.
Foreign Ministry Spokesperson, Mawien Makol, on Thursday said the government through the ministry of foreign affairs will soon dispatch a delegation for talks with the Sudanese authorities.
“The undersecretary of the ministry of foreign affairs will soon go to Khartoum and when he is there, it will be an opportunity to discuss these issues. It is not wise to use the media,” said Makol.
The foreign ministry official denied the government was harbouring Sudanese rebels, saying it was not in the interest of the two countries to host and support hostile groups with vision to destabilize the other.
“This is the first time Sudanese have been accusing and threatening to close the border. They have been doing but we say this is not the right way because even us we have issues. We feel they are supporting the rebels fighting us and this is not just an allegation. There are evidences but we say we can use the agreement and other diplomatic mechanisms to address these issues amicably,” he said.
His denial of harbouring Sudanese rebels has contradicted the admission by the First Vice President, Taban Deng Gai, when he recent agreed with the Sudanese authorities during his visit to Khartoum that South Sudan will expel Sudanese rebels from its territory.
Also, Military Spokesperson of the South Sudan army, Brigadier Lul Ruai Koang acknowledged that the Sudanese rebels would be expelled by the army once the directive has been issued by the top political leadership.
Makol said the two countries would never avoid being neighbours and so it is therefore important to embrace each other to advance what would promote the interest of the two viable states in the region.
“Sudan and South Sudan are the countries in the region sharing longest border line. Apart from this, we are not going to stop being neighbours. This is why [it] is important to embrace each other,” he stressed.
The two countries have been accusing each other of supporting rebels against the other.
(ST)
Un concours visant à promouvoir la qualité de l’aménagement intérieur des édifices relevant du patrimoine historique sera organisé samedi à Oran, a indiqué jeudi l’association socio-culturelle locale Santé Sidi El-Houari (SDH).
Ouverte aux étudiants en architecture et en beaux-arts, artistes et designers professionnels, cette épreuve se tiendra à l’occasion d’un workshop sur le design d’espace prévu deux jours durant au siège de l’association, a précisé la chargée de communication, Assia Brahimi.
Cette rencontre intervient dans le cadre du programme national intitulé « Projet Patrimoine », initié dans le cadre de la coopération entre l’Algérie et l’Union européenne, et mis en oeuvre par le ministère de la Culture, a-t-on expliqué, soulignant que l’objectif est de promouvoir la protection et la valorisation du patrimoine culturel algérien.
Le workshop se déclinera en ateliers de travail en groupes sur des thèmes divers tels le patrimoine, l’art et la culture, l’environnement et la santé.
Le meilleur projet de design de patrimoine sera sélectionné le 1er octobre prochain par un jury constitué d’enseignants en architecture, en beaux-arts et de professionnels du design, fait-on savoir de même source.
Le centre hospitalo-universitaire de Batna a réalisé deux nouvelles greffes rénales au profit de femmes sous la direction du Pr Hocine Chaouch portant à 102 le nombre total des transplantations de reins à son actif, a indiqué jeudi son directeur général Laïd Belakhdim.
Quarante deux (42) transplantations rénales ont été effectuées depuis début 2016 dans cet établissement dont six (6) durant le seul mois de septembre courant, a indiqué le même responsable assurant que le staff en charge de ces interventions chirurgicales a élevé ses prévisions de greffes pour 2016 à 60 au lieu de 50 initialement annoncées.
La première transplantation rénale a été effectuée en mars 2014 et la même année avait connu un total de 14 greffes, a rappelé Dr. Ahmed Bougroura, chef du service de néphrologie au CHU, pour qui le défi est de réaliser des greffes de reins prélevés sur des donneurs décédés et non pas seulement vivants.
La liste d’attente comprend 60 malades originaires de plusieurs wilayas du pays dont les dossiers sont entièrement ‘‘prêts’’, a souligné de son côté Dr. Athmane Chinar, membre du staff médical responsable de ce type de transplantations.
CHU Batna, un pôle d’excellence des greffes rénales en émergence
Ce qui fut un rêve pour le staff médical du CHU Batna est devenu aujourd’hui une réalité concrète, a notamment affirmé Dr. Bougroura au cours de la cérémonie organisée le 18 septembre courant en l’honneur de l’équipe médicale en charge de ces transplantations en présence du ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière qui a souligné, à l’occasion, que Batna occupe désormais la 1ère place à l’échelle nationale en termes de greffes rénales.
Un pôle d’excellence des transplantations rénales est en train de voir le jour à Batna, a également considéré le ministre qui salué le staff médical solide qui les réalise ainsi que le soutien apporté par leurs collègues d’Alger notamment le Pr. Chaouch.
La même occasion avait été marquée par le témoignage des malades bénéficiaires des 1ères, 50ème et 100 greffes qui ont fait part du grand changement apporté à leur vie par ces transplantations. Abdallah Ghodbane, 50ème malade à se faire greffer d’un rein donné par son frère, a affirmé que la transplantation réalisée sous la direction du Pr. Chaouch fut « une seconde naissance ».
Le ministre de la Santé a également indiqué qu’une équipe de techniciens et spécialistes qui l’a accompagné durant sa visite récente dans la capitale des Aurès pour évaluer les possibilités de passer, après le succès des greffes rénales, aux transplantations de foie qui sont plus compliquées et exigent la mobilisation de plus gros moyens et un staff performant.
« Nous avons trouvé à Batna des spécialistes qui sont en contact avec d’autres médecins à l’étranger disposés à les aider à réaliser des greffes de foie », a ajouté le ministre qui a insisté sur la sensibilisation des citoyens à l’importance des greffes rénales actuellement possibles, a-t-il assuré, au niveau de 15 centres à travers le pays.