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Russie : une réduction de 5% « pas envisagée pour le moment » par les pays producteurs

Algérie 360 - Thu, 22/09/2016 - 20:08

Le ministre de l’Energie russe Alexander Novak a affirmé jeudi qu’une réduction de la production de pétrole n’est pas envisagée pour le moment par les pays producteurs, rapporte l’agence TASS.

« Il y a des propositions pour un gel (de la production) mais une réduction de la production n’a pas été proposée », a déclaré le ministre.

« Cette option – du moins selon les informations dont je dispose après mes discussions avec des ministres d’autres pays – n’est pas à l’ordre du jour », a répondu M.Novak, lorsqu’il a été interrogé si la question d’une réduction de 5% de la production par les pays producteurs est actuellement en discussion.

La question d’un gel potentiel de la production mondiale de brut a été relancée après l’annonce du président russe Vladimir Poutine, le 2 septembre qu’il soutenait un accord avec l’OPEP sur la limitation de la croissance de la production.

Il a également exprimé l’espoir que d’autres producteurs de brut soutiennent l’initiative.

Le 5 septembre, la Russie et l’Arabie saoudite, qui détiennent plus de 21% de la consommation mondiale de brut, ont signé une déclaration conjointe en marge du sommet du G20 visant à stabiliser le marché du pétrole.

Selon M. Novak, les pays producteurs envisagent la possibilité de geler le volume de production du pétrole pour une période de trois ou six mois.

La réunion précédente axée sur un éventuel gel de la production du pétrole a eu lieu à Doha du Qatar le 17 avril dernier. Les représentants de 18 pays producteurs de pétrole (l’Iran ayant refusé de participer) ne sont pas parvenus à un accord sur un plafond de production.

Dans un premier temps, le ministre russe de l’Energie avait déclaré à TASS qu' »il ya des chances que les exportateurs de pétrole seraient d’accord sur le gel de la production de pétrole, mais ils ne le sont pas à 100% actuellement ».

Une réunion informelle de l’OPEP, prévue le 28 septembre à Alger, offrira l’opportunité d’examiner la situation actuelle du marché pétrolier avec l’objectif d’aboutir à un consensus autour d’un niveau de production qui puisse garantir la stabilisation du marché et des prix, selon les observateurs.

Par ailleurs, le vice-ministre russe de l’Energie, Kirill Molodtsov, a indiqué jeudi que la question de réduction de la production de pétrole n’a pas été tranchée définitivement avec les compagnies de pétrole russes.

Néanmoins, il a précisé qu' »une réduction de 5 % est possible techniquement » si la Russie parvient à un accord sur la stabilisation de la production avec les autres membres de l’OPEP.

Francis Perrin : l’OPEP doit trouver un accord avec les non-OPEP pour un gel de la production

L’OPEP doit trouver « rapidement » un accord avec certains pays non-OPEP pour un gel de la production, estime l’expert français Francis Perrin qui considère que l’OPEP a une « lourde responsabilité » dans la stabilité du marché pétrolier du fait que sa production a augmenté alors que celle des pays non-OPEP a diminué.

« Dans cette situation, l’OPEP a une lourde responsabilité. L’organisation a insisté sur le fait que le fardeau de la réduction ou du gel de la production devait être partagé avec les pays non-OPEP. Mais le fait est que la production non-OPEP diminue alors que celle de l’OPEP augmente », explique M. Perrin dans un entretien à l’APS.

« L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime dans son dernier rapport mensuel paru en septembre que l’excédent de l’offre pétrolière mondiale sur la demande ne sera pas résorbé en 2016. Il y a certes un déclin de la production non-OPEP et une augmentation de la demande mondiale mais celle-ci semble se ralentir alors que l’OPEP produit à un niveau très élevé du fait de l’Arabie Saoudite, de l’Irak et de l’Iran. Selon l’AIE, le rééquilibrage du marché n’interviendrait pas avant 2017 », a-t-il rappelé.

Cet expert, qui est le président de Stratégies et Politiques Energétiques, a préconisé pour les pays membres de l’OPEP de trouver « rapidement » un accord avec certains pays non-OPEP pour un gel de la production.

« Il faut essayer de trouver rapidement un accord entre les pays OPEP, en dehors de l’Iran et de la Libye, et certains pays non-OPEP, dont la Russie, pour, au minimum, un gel de la production », a-t-il dit, soulignant que ce n’est qu’ultérieurement qu’il faudra essayer de réintégrer l’Iran et la Libye dans un accord au sein de l’OPEP.

Pour lui, insister pour que tout le monde « agisse en même temps », alors que Téhéran n’acceptera pas à ce stade de limiter sa production après des années de sanctions économiques, « c’est prendre le risque de l’échec pour tous les producteurs ».

Dans ce contexte, a-t-il expliqué, les Etats-Unis « sont évidemment un acteur clé mais leur production de brut est en baisse depuis avril 2015 du fait de la chute des prix », soulignant que le blocage actuel « provient d’abord de la volonté de l’Iran de continuer à augmenter sa production et ses exportations pétrolières et du refus de l’Arabie Saoudite d’accepter qu’un accord de gel de la production ne s’applique pas à l’Iran ».

Au sujet de la réunion informelle de l’OPEP qui se tiendra à Alger la semaine prochaine en marge de la réunion du Forum international de l’énergie (FIE), M. Perrin a expliqué qu’il ne faut pas s’attendre à une décision formelle, même de gel de la production, d’une réunion qui ne sera qu’informelle.

Toutefois, a-t-il ajouté, la question « essentielle » est de « savoir si les discussions qui auront lieu à Alger entre pays OPEP permettront ou pas de rapprocher les points de vue au sein de l’organisation, en particulier entre l’Arabie Saoudite et l’Iran ».

« L’opposition entre ces deux Etats avait entraîné l’échec de la réunion OPEP/non-OPEP à Doha il y a cinq mois », a-t-il rappelé.

Abordant la réunion du FIE, qui regroupera à Alger 72 pays producteurs et consommateurs, il a relevé que cette rencontre ne sera pas une réunion entre pays OPEP et non-OPEP comme celle tenue à Doha.

« Le rôle du FIE est de promouvoir un dialogue énergétique au niveau mondial et non pas de prendre des décisions sur le marché pétrolier et les prix du pétrole », a-t-il poursuivi, mettant en évidence que les échanges de vues entre producteurs et consommateurs « sont certes tout à fait utiles et nécessaires mais il ne faut pas trop en attendre ».

Cependant, a-t-il noté, il est « intéressant » d’avoir autour de la table l’Arabie saoudite, l’Irak, l’Iran, les Etats-Unis, la Russie, le Canada et la Chine qui sont les six premiers producteurs mondiaux de pétrole.

Categories: Afrique

L’organisation des JO : un coût ou un investissement ?

Algérie 360 - Thu, 22/09/2016 - 20:07

Après Boston et Hambourg, Rome est sur le point de retirer sa candidature pour l’organisation des JO de 2024. Les JO sont-ils devenus une charge trop lourde à porter pour les municipalités ? Le point avec Armand de Rendinger, spécialiste des JO.

La nouvelle maire de Rome, Virginia Raggi, a déclaré mercredi 21 septembre qu’il serait « irresponsable » de soutenir la candidature de sa ville pour les Jeux olympiques de 2024. « Nous n’hypothèquerons pas l’avenir de cette ville », a martelé l’élue, assurant que les Jeux étaient toujours « une sorte de rêve qui se transforme en cauchemar » pour les habitants. Une défection qui vient après celles de Hambourg et de Boston, qui, comme Rome, ont redouté le coût de l’événement. Seules restent en lice Paris, Los Angeles et Budapest, à charge du Comité international olympique (CIO) de départager ces villes en septembre 2017… si toutefois elles maintiennent leur candidature d’ici là.

À lire sur France 24 : « Paris dévoile son projet pour les JO-2024″

Les JO sont-ils devenus une charge trop lourde à porter pour les municipalités dans un contexte de crise économique ? Armand de Rendinger, consultant international dans le domaine du sport, observateur chevronné du mouvement olympique et auteur de  » Jeux perdus : Paris 2012, pari gâché  » (Fayard) estime que c’est une question d’arbitrage politique.

France 24 : Comment expliquer l’annonce de la maire de Rome ?

Armand de Rendinger : Tout d’abord, l’annonce de Virginia Raggi n’a rien de surprenant. Elle n’avait jamais soutenu la candidature de Rome aux JO et elle ne fait que mettre en œuvre ce qu’elle avait annoncé pendant sa campagne. Virginia Raggi n’a jamais considéré les Jeux Olympiques comme une priorité. Pour elle, l’organisation des jeux est une dépense, non un investissement. C’est-à-dire qu’elle considère que la charge financière des JO pèse trop sur le budget de la ville et détourne les capacités d’investissement de Rome pour d’autres postes qu’elle considère comme plus importants, comme des projets sociaux, culturels, etc…

Entre  » coût  » et  » investissement « , comment se fait l’arbitrage ?

Considérer les JO comme un coût ou comme un investissement est un arbitrage politique. D’ailleurs la première chose qu’a faite Anne Hidalgo [la maire de Paris] en apprenant la décision de son homologue italienne a été d’appeler tous les candidats aux primaires de la présidentielle pour leur demander de ne pas lâcher Paris dans sa candidature pour 2024.

Si on considère l’organisation des JO comme une dépense, c’est fou d’y aller car on n’organise pas des jeux pour moins de 9 à 10 milliards d’euros, quoi qu’en disent les villes candidates qui sous-estiment toujours leur budget. Elles ne comptent par exemple jamais les coûts de la sécurité, pourtant colossaux. Seule Los Angeles a tenu son budget et s’est retrouvée bénéficiaire en 1984. On dit également que Sydney [en 2000] est resté à l’équilibre.

L’autre vision est de considérer l’organisation des jeux comme un investissement qui va améliorer l’image d’un pays, favoriser son attractivité internationale, accélérer des investissements type transports, infrastructures, créer de l’emploi…

Rome, Boston, Hambourg… Quelle est la conséquence de ces défections pour le CIO ?

Il y avait au départ 8 villes en lice, elles sont maintenant trois : Paris, Los Angeles et Budapest. Rome n’est en effet pas la première à renoncer : Hambourg et Boston ont également retiré leur candidature. Le maire de Boston, Marty Walsh, avait dit refuser de « signer une garantie qui utilise l’argent des contribuables pour payer pour les jeux ». Quand à Hambourg, elle a renoncé à la suite d’une consultation populaire.

En 2015, il y avait déjà eu plusieurs défections pour l’organisation des JO d’hiver de 2022. Sur 9 candidatures au départ, seules deux sont restées jusqu’en finale : Almaty [au Kazakhstan] et Pékin qui a remporté les jeux et sera donc la seule ville à avoir organisé des jeux d’été et d’hiver. Les villes s’intéressent à l’olympisme mais y réfléchissent à deux fois avant de présenter leur candidature. Et on ne peut que les comprendre vu les dépenses qui ont été engagées à Sotchi [Jo d’hiver en 2014], et les gouffres financiers qu’ont représenté les JO pour Athènes [2004] et Rio [2016].

Le CIO est désormais dans un paradoxe : d’un côté il est obligé de dire aux villes candidates de réduire la voilure ; mais de l’autre, il ne veut pas organiser des jeux au rabais. D’un côté, il va insister pour réduire les coûts et se montrer rassurant vis-à-vis des villes candidates. Car que ferait-il s’il n’y avait plus de candidats, et on n’est pas à l’abri de cette possibilité. Mais de l’autre, il cherchera toujours à magnifier l’image de l’olympisme. Sa tâche consiste donc à savoir quelle ville aura les moyens d’investir mais surtout laquelle saura tenir son budget.

Paris a-t-elle justement les moyens de sa candidature aux JO de 2024 ?

La question qui se pose pour le CIO est de savoir si Paris est un atout majeur pour lui. Autrement dit : est-ce que le mouvement olympique sortira grandi et amélioré en lui attribuant les jeux alors que sa candidature a déjà été rejetée cinq fois.

>> À lire sur France 24 : « Candidature de Paris aux JO : gabegie financière ou poule aux œufs d’or ? »

Ceci dit, Paris a des qualités intrinsèques indéniables : elle sait organiser un événement et sait attribuer des budgets avec intelligence. Mais son problème est justement de ne pas faire l’arbitrage entre  » coût  » et  » investissement « . Si la maire n’explique pas clairement à ses citoyens pourquoi on investit 6 à 10 milliards d’euros dans l’olympisme plutôt que dans la santé, l’Education, le développement des banlieues ou autre, elle n’aura ni le soutien populaire ni le soutien politique nécessaires. Et pour que le message passe, il faudrait qu’une nouvelle politique d’éducation sportive, allant du jardin d’enfants à la maison de retraite, soit mise en place. Il faudrait transformer notre pays de sportifs en une nation sportive.

Categories: Afrique

The Brangelina Divorce Just Broke the Chinese Internet

Foreign Policy - Thu, 22/09/2016 - 20:05
Chinese who grew up watching Friends are on Team Aniston. Others blame karma, or even the Dalai Lama.

Dans l’impasse au PSG, Hatem Ben Arfa ronge son frein

Algérie 360 - Thu, 22/09/2016 - 20:04

Recrue phare du PSG à l’intersaison, Hatem Ben Arfa est cantonné au banc de touche depuis le début du championnat. Lors des trois derniers matches de Paris, il a même été écarté du groupe. Une situation critique pour l’attaquant de 29 ans.

Il se rêvait en meneur de cet ambitieux PSG de l’ère post-Zlatan, mais Hatem Ben Arfa n’a pas tardé à déchanter. Mardi 20 septembre au soir, c’est en tribunes, aux côtés de l’humoriste Jamel Debbouze, que le n°21 du Paris Saint-Germain a assisté au nouveau succès des siens face à Dijon (3-0). Une bien mauvaise blague qui s’éternise pour l’ancien Niçois.

Comme face à Arsenal et Caen, le fantasque attaquant arrivé en grandes pompes au mercato estival a donc été écarté du groupe. Une troisième sanction de suite qui interpelle. Pour l’entraîneur parisien Unai Emery, il ne s’agit là que d’un « choix sportif », mais il est de notoriété publique que le technicien basque n’a pas choisi Ben Arfa et qu’il n’était pas emballé à l’idée de l’intégrer à son groupe. « Il est absent parce que j’estime que les autres sont meilleurs pour jouer le match », a-t-il réitéré mardi soir après la rencontre, dans la droite lignée de ses déclarations précédentes sur le sujet.

Mais dans son édition de jeudi, le quotidien L’Équipe révèle qu’en coulisses, Emery tient des propos plus durs encore à l’endroit de l’international français. « Tu n’es pas Messi […] Si c’était le cas, je ne te parlerais même pas » ou encore « Tu n’es pas capable de faire gagner l’équipe à toi tout seul », lui aurait-il lancé au cours d’un de leurs échanges, rapporte le média spécialisé.

Résultat : après quelques – timides – apparitions en début de saison, Ben Arfa végète en tribunes depuis trois rencontres, et son retour au premier plan apparaît de plus en plus improbable. Depuis sa mise à l’écart, et sans pour autant que l’on puisse y établir un lien de causalité directe, force est de constater que le PSG va mieux. Contre Arsenal (1-1) en Ligue des champions, les Parisiens ont largement mené les débats, et avec un Cavani un peu plus inspiré, le PSG aurait glané ses trois premiers points en C1. Derrière, face à Caen puis Dijon, le club de la capitale a tout simplement déroulé (0-6 puis 3-0), validant par les faits les décisions d’Emery.

Loin dans la hiérarchie

Aujourd’hui, la situation est pour le moins compliquée pour « HBA ». Pas moins de six éléments offensifs semblent le devancer dans la tête de l’entraîneur parisien : Cavani, Di Maria, Lucas, Pastore et même Jesé et Augustin, qui ont joué des bouts de match ces dernières semaines. Une situation qui laisse perplexe le joueur mais aussi son entourage, dont la frustration commence à poindre publiquement. « Ça dépasse l’entendement, a notamment regretté un proche, en ‘off’. À un moment donné, ça va péter. »

Reste que pour l’heure, le vernis tient encore la route. Hatem Ben Arfa, lui, ronge son frein en tribunes et affiche un sourire de façade tandis que ses coéquipiers lui manifestent un soutien sans faille. « Je suis content d’avoir un joueur de sa qualité dans l’effectif, assure Thiago Motta. Le conseil que je peux donner à Hatem c’est de continuer à travailler. C’est un grand joueur, il l’a démontré la saison dernière. Il doit continuer à travailler, il va avoir des opportunités. […] On va soutenir Hatem jusqu’à la fin.  » Du côté d’Adrien Rabiot, passé par une situation similaire à l’époque de Laurent Blanc, le son de cloche est le même : « Il est en forme. Il est heureux. Il était encore là ce soir, il est passé faire un tour au vestiaire pour nous féliciter. Il avait le sourire. Je peux vous dire qu’il va bien. »

Même s’il n’est pas dans une position très enviable, Ben Arfa pourrait bien retrouver le banc de touche, et pourquoi pas même fouler la pelouse, vendredi soir à Toulouse. Tout dépendra de sa capacité à faire le dos rond, en attendant qu’il parvienne à convaincre Unai Emery qu’il est plus qu’une solution de rechange. D’autres avant lui y sont parvenus, comme Ever Banega, mis à l’écart à Séville avant de devenir l’un des grands artisans des succès européens du club andalou. Un précédent dont il ferait bien de s’inspirer.

Categories: Afrique

Imane-Houda Feraoun veut interdire les sites à caractère « pornographique et raciste »

Algérie 360 - Thu, 22/09/2016 - 20:03

La ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et des Télécommunications a demandé ce jeudi 22 septembre 2016 à l’APN de réfléchir sur une loi lui permettant de bloquer les sites pornographiques, rapportait l’agence de presse officielle.

Imane-Houda Feraoun répondait à une question orale sur la possibilité de bloquer les accès à ces sites Internet « qui propageant le vice » et qui « appellent à la violence et au racisme ». Elle a regretté que la Tutelle ne dispose pas d’outils législatifs lui permettant de procéder à ce genre d’opérations.
La ministre des TIC a ainsi appelé le législateur algérien à réfléchir sur une loi pouvant permettre à son secteur de bloquer les sites « pornographiques, racistes ou violents, nocifs pour la société ».

Evoquant la protection des enfants de ces contenus dangereux, elle a souligné, dans sa réponse orale, que des « outils et techniques, permettent aux parents de contrôler les terminaux mobiles de leurs enfants et les protéger de ces sites ».

Mme. Feraoun a aussi déploré la « ruée massive des internautes algériens sur les réseaux sociaux, qui représentent 80% de la consommation de la bande passante internationale. Un « véritable danger » qui offrent des milliards de dollars aux créateurs de ces réseaux sociaux, au moment où l’Algérie dépenses des efforts considérables pour fournir une bande passante suffisante ».

Categories: Afrique

L’ancien terroriste du GIA Merouane Benahmed localisé en Suisse

Algérie 360 - Thu, 22/09/2016 - 20:00

Asile politique. L’ancien terroriste du Groupe islamique armé (GIA) Merouane Benahmed, en fuite depuis le jeudi 8 septembre 2016 a été localisé en Suisse, selon Franceinfo et France Bleu Mayenne qui citent des sources policières. Selon les deux médias, il aurait fait une demande d’asile politique.

Assigné a résidence, ce ressortissant algérien de 42 ans s’était enfui de son domicile en Mayenne, ne se présentant pas à son contrôle judiciaire.

Condamné à mort

Condamné à 10 ans de prison dans l’affaire des « filières tchétchènes », libéré en 2011, cet islamiste « connu pour ses compétences d’artificier et de chimiste » a participé à des actions du GIA, groupe terroriste qui a ensanglanté l’Algérie et la France dans les années 1990. Pour cette raison, il est condamné à mort dans son pays et assigné à résidence en France, son extradition vers l’Algérie ayant été refusée par la Cour Européenne des droits de l’homme.

Contactée par Le Courrier de la Mayenne – au début de sa cavale – l’avocate de Merouane Benahmed avait assuré: « ce n’est pas une fuite », déclarant que son client « est séquestré en France depuis la fin de sa peine […] Il a été interdit définitivement de vivre sur le territoire français ». « Il a une femme et quatre enfants. Ils ne peuvent pas vivre ensemble. C’est inhumain ce qu’on lui a fait subir », avait-elle ajouté en accusant la France de le retenir « illégalement ».

« Chef d’orchestre » de plusieurs projets d’attentats

Auparavant, Merouane Benahmed avait été assigné à résidence dans le Maine-et-Loire, le Finistère ou encore l’Aveyron, sa présence suscitant l’hostilité des habitants dont certains ont mis en ligne des pétitions pour demander son départ.

Comme le soulignait Le Monde en 2015, Merouane Benahmed avait été présenté lors de son procès en 2006 comme le « chef d’orchestre » et le « promoteur » de projets d’attentats à l’arme chimique ou biologique, prévus en 2001-2002, et qui auraient visé « la tour Eiffel, un grand magasin du Forum des Halles, des commissariats ou des établissements abritant des intérêts israéliens ».

Categories: Afrique

Sokan voltak, és autó nélkül is célba értek

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Thu, 22/09/2016 - 19:59

Kerékpáros felvonulással, vetélkedőkkel, előadásokkal zajlott csütörtökön az autómentes nap Gyergyószentmiklóson.
Kategória: Aktuális/Gyergyószék

Sélection à l'entrée de l'université: finalement, Marine Le Pen est pour

L`Express / Politique - Thu, 22/09/2016 - 19:57
La présidente du Front national estime que la sélection est la réponse optimale aux "amphis bondés" et à l'échec en premier cycle. En 2012, Marine Le Pen jugeait que l'honneur de l'université était d'être "librement accessible à tous".
Categories: France

Chammal : 4050... sans les FS

Le mamouth (Blog) - Thu, 22/09/2016 - 19:57
J'avais vu (trop juste) en écrivant le 13 septembre que le GAN devrait s'établir à 2600 marins
Plus d'infos »
Categories: Défense

Procès Behring: plainte contre le procureur examinée

24heures.ch - Thu, 22/09/2016 - 19:45
L'ex-financier bâlois, jugé pour avoir lésé 2000 investisseurs, avait déposé plainte contre le procureur général en raison d'un conflit d'intérêts avec le MPC.
Categories: Swiss News

Kárpátalja anno: a Vereckei-hágó első honfoglalási emlékműve

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Thu, 22/09/2016 - 19:43

A Vereckei-hágó a magyar nép történetének egyik meghatározó helyszíne: 895-ben őseink többsége ezen a hágón keresztül érkezett meg a Kárpát-medencébe. A későbbiekben a mongol-tatár hadak szintén az Északkeleti-Kárpátok eme szakaszán léptek be a Magyar Királyság területére, hogy végigpusztítsák országunkat. 1703-ban II. Rákóczi Ferenc Lengyelországból ugyanitt érkezett meg szülőhazájába, majd itt hagyta el örökre szeretett földjét. Az első és a második világháború idején is jelentős harcok dúltak ezen a területen.

A 839 méteres magasságban fekvő Vereckei-hágón először 1881 szeptemberében állítottak fel egy négy méter magas kőoszlopot a honfoglalás emlékére Pum József megyei királyi főmérnök és Buzáth Károly járási főszolgabíró közreműködésével. A magyar−lengyel határon álló obeliszken a munkácsi vasgyárban öntött elliptikus formájú vastáblát helyeztek el, amelyre Kóródi Sándor beregszászi ügyész, költő versét vésték:

„Honfi e bércormon,
szíved hevesebb dobogása jelzi,
hogy ősi honod drága határa ez itt.
Itt hangzott egykoron riadó csatakürtje Lehelnek.
Nagy Rákóczink itt hullata búcsú könnyűt
Szent kegyelet tüze gyúl itt minden csipkebokorba
Oldozd meg saruid: Szent hely ez itt, ahol állsz.”

Öt évvel később, a millennium évében Erdély Sándor igazságügyi miniszter felavatta Drawek Ede szobrászművész Bereg vármegye felkérésére készült alkotását, a négy méter magas, alul hasáb alakú, felül gúlaszerű gránit obeliszket. Az alsó részen négy márványtáblát helyeztek el, amelyeken Kóródi Sándor verse mellett az emlékmű felállításnak körülményeit írták le. A felső részre egy ősi jelkép, az ötágú csillag került. A pentagramma minden korban mást jelentett: szimbolizálták vele a tökéletességet, az öt irányt (elöl, hátul, balra, jobbra és felül), az öt csillagot (Jupiter, Merkúr, Mars, Szaturnusz és Vénusz), az öt őselemet (tűz, víz, föld, idea, levegő); s ez jelképezte a tudományok kulcsát, a betlehemi csillagot, az öt érzéket és a titkok nyitját is.

Sajnos az emlékmű csak rövid ideig hirdethette népünk dicsőséges múltját, hamarosan ugyanis sorsunk rosszra fordulásának jelképe lett: 1919-ben a cseh hatóságok leverték a márványtáblákat, az obeliszket pedig megcsonkították. Húsz évvel később − miután Kárpátalja visszakerült a Magyar Királysághoz – az emlékművet felújították, és egy diadalkaput építettek mellé a lengyel−magyar átkelőhöz. Amikor 1944-ben az orosz hadsereg elérte a Kárpátok határait, egy honvéd az obeliszken álló új emléktáblát levette és elmenekítette. A tábla azóta sem került elő.

Az oroszok bejövetelével megszűnt a lengyel−magyar határ, Verecke két szovjet megye közé ékelődött. Az emlékmű még évtizedekig állt, azonban egyre rosszabb állapotba került. 1975-ben rombolták le, amikor a szovjetek egy 1944-es összecsapásnak állítottak emlékművet a Vereckei-hágón. Az obeliszk darabjait szétszórták, talapzatát a hágó galíciai oldalának egyik völgyébe gurították le, felső ötágú csillagot ábrázoló részét a közeli Tuholka falu lakosai tulajdonították el, és egy II. világháborús emlékművet kreáltak belőle.

A Vereckei-hágón évtizedekkel később, 1996-ban kezdtek hozzá Matl Péter szobrászművész tervei alapján egy új honfoglalási emlékmű elkészítéséhez, melyet 2008-ban avattak fel.

 Marosi Anita

Kárpátalja.ma

ONU : discours de Patrice Talon

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Thu, 22/09/2016 - 19:40

Mesdames et Messieurs les Chefs d'Etats et de Gouvernements ; Monsieur Peter Thompson, Président de la 71ème Session de l'Assemblée générale des Nations Unies ; Monsieur Ban Ki-moon, Secrétaire Général des Nations Unies ; Mesdames et Messieurs, distingués délégués ;


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Categories: Afrique

Le billet politique - Cohn-Bendit dessine le terrain de jeu de Macron

Le Figaro / Politique - Thu, 22/09/2016 - 19:35
Pour la grande figure de Mai 68 et de l'écologie, l'ancien ministre de l'Économie est aujourd'hui le seul à pouvoir éviter un duel Sarkozy-Le Pen en 2017.
Categories: France

Sondage sur la présidentielle 2017 : Le Pen au second tour, Hollande éliminé

LeParisien / Politique - Thu, 22/09/2016 - 19:29
Marine Le Pen se qualifierait pour le second tour de l'élection présidentielle 2017 dans tous les cas de figure. C'est la conclusion d'un sondage Elabe, pour Les Echos et Radio Classique diffusé ce jeudi,...
Categories: France

Primaire à droite : l'affiche de la finale est-elle vraiment connue d'avance ?

Le Figaro / Politique - Thu, 22/09/2016 - 19:17
Le contre-point de Guillaume Tabard.
Categories: France

Les sociétés Tri Ocean et leur dirigeant blanchis par le tribunal. Pour manque de preuves

Bruxelles2 - Thu, 22/09/2016 - 19:10
(B2) Le Tribunal de l'Union européenne a annulé, dans trois arrêts rendus, vendredi (9 septembre), le gel des fonds visant deux sociétés égyptiennes faisant du transport pétrolier (Tri Ocean Energy et Tri Ocean Trading), ainsi qu'un de leurs dirigeants, le vice-président de Tri Ocean Energy, Mohamed Farahat, soupçonnés d'aider le régime syrien de Bachar El […]
Categories: Défense

Première convention présidentielle du FN

Le Figaro / Politique - Thu, 22/09/2016 - 19:09
Les collectifs Racine et Marianne ont remis jeudi cent propositions sur l'éducation à Marine Le Pen.
Categories: France

GNL : Elengy va développer un service de soutage à Rotterdam

MeretMarine.com - Thu, 22/09/2016 - 19:01

Gate terminal B.V. (Gate) et Elengy, une société de ENGIE, ont signé un protocole d'accord destiné à développer la coopération dans les services liés au GNL, comme le chargement de camions citernes et le soutage ou « bunkering ».

Ce protocole, signé le 21 septembre 2016 par Stefaan Adriaens et Pierre Cotin, respectivement directeurs commerciaux de Gate terminal et Elengy, manifeste l'ambition des deux entreprises de travailler ensemble afin d’améliorer plusieurs services liés au GNL pour leurs clients.

Categories: Défense

Procès du Sokalique : Les indemnités des familles doublées

MeretMarine.com - Thu, 22/09/2016 - 19:01

Les familles des marins-pêcheurs du Sokalique, coulé en 2007 par un cargo sous pavillon de complaisance, ont partiellement obtenu gain de cause devant la cour d’appel : le montant des dommages et intérêts dus par les marins responsables ont été révisés et la responsabilité civile de l’armateur a été confirmée. En revanche, elle n’a pu établir sa responsabilité pénale puisque la société d’armement a été liquidée.

Categories: Défense

Brest : Nouvel Incendie sur le Commandant Blaison

MeretMarine.com - Thu, 22/09/2016 - 19:01

Pour la troisième fois, un feu s'est déclaré sur le navire Commandant-Blaison, au port de commerce brestois. 

Gros déploiement de moyens, ce jeudi après-midi dans la cale sèche numéro un du port de commerce de Brest. Au cours des travaux en cours sur l'aviso de la Marine nationale, le Commandant Blaison, un début d'incendie s'est déclaré. 

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