Le (très controversé) conseiller à la Sécurité nationale de la Maison blanche, Michael Flynn, a été contraint à la démission, le 13 février, après qu’il a reconnu avoir fourni « par inadvertance » des informations incomplètes au vice-président, Mike Pence, au sujet de ses échanges téléphoniques avec Sergey Kislyak, ambassadeur de Russie à Washington, fin décembre dernier (avant sa nomination et la prise de pouvoir du duo Trump/Pence).
Flynn sera resté moins d’un mois à ce poste hautement stratégique, ce qui constitue un record absolu. Son départ n’est qu’un nouvel épisode des errements de la politique étrangère de Washington et une preuve supplémentaire de la forte tension existante entre, d’un côté, les services secrets et l’administration qui œuvrent à la continuité du pouvoir et, de l’autre, les conseillers de Trump qui préfèrent les coups d’éclat et promeuvent une rupture radicale avec la politique – interne et internationale – de Barack Obama. Ainsi, Flynn n’est qu’un fusible. Il suscitait de fortes réticences chez les services de renseignements qui craignaient que Moscou ne lui fasse du chantage après ses échanges téléphoniques avec l’ambassadeur russe, auquel il avait implicitement promis une politique conciliante vis-à-vis de Moscou. Flynn part parce qu’il n’a plus la confiance de Trump et parce que Pence et Bannon ont demandé sa tête.
Flynn, fidèle de la première heure du candidat Trump, est un ancien général 3 étoiles qui s’est illustré autant par son rôle dans la guerre contre Al-Qaïda, en Irak et en Afghanistan, que pour ses prises de positions très dures envers l’islam. Il a également affirmé à de nombreuses reprises son souhait d’un rapprochement entre Washington et Moscou. Pour le président Trump, ce départ est une très mauvaise nouvelle. Il est en effet la preuve que, contrairement à ce qu’il affirme à cor et à cri, il ne s’entoure pas forcément des « meilleurs ». Il s’est trompé en faisant le choix de Flynn. Ce dernier avait été poussé vers une retraite anticipée en 2014, alors qu’il dirigeait le département du Renseignement de l’armée américaine, pour son mauvais management et ses propos racistes.
Plusieurs congressistes démocrates (et républicains) réclament une enquête afin d’établir la nature exacte des liens que Flynn entretenait avec le Kremlin mais également le degré de connaissance de Trump, à la fois de cette situation et du danger que son conseiller faisait peser sur la sécurité des États-Unis. Le 14 février, la Maison blanche a, de manière stupéfiante, affirmé que le président était informé depuis plusieurs semaines des conversations entre Flynn et l’ambassadeur russe.
Cette démission intervient alors que les positions de Donald Trump en matière de politique étrangère ne cessent de changer. Il a ainsi récemment rappelé que les États-Unis ne reconnaissaient qu’une seule Chine (exit donc les « provocations » sur Taïwan), que la poursuite de la colonisation israélienne des territoires palestiniens étaient une mauvaise chose (on verra comment Netanyahou et lui échangent à ce sujet cette semaine) et a rappelé, à l’occasion de la visite officielle du premier ministre japonais, la force des liens entre Tokyo et Washington (alors qu’il avait dénoncé pendant la campagne la politique commerciale agressive du Japon). Il n’a que très peu réagi au tir de missile effectué par la Corée du Nord, se contentant, comme à son habitude, de promettre d’y répondre « très fortement » et assurant le Japon – mais pas la Corée du Sud – de son soutien.
Le départ de Flynn suffira-t-il à apaiser les esprits, à calmer les inquiétudes autour de « l’agenda géopolitique » de Trump ? Rien n’est moins sûr. C’est même sans doute le contraire.
Marie-Cécile Naves est l’auteure de « Trump, l’onde de choc populiste » (FYP, août 2016).
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Member states ambassadors endorsed today the provisional agreement reached on 9 February 2016 between Council and European Parliament representatives on a decision establishing a European Year of Cultural Heritage (2018) which will celebrate the diversity and richness of our European culture.
This initiative also aims to raise awareness of European history and values and to strengthen a sense of European identity. At the same time, it draws attention to the opportunities offered by our cultural heritage, but also to the challenges it faces, such as the impact of the digital shift, environmental and physical pressure on heritage sites, and the illicit trafficking of cultural objects.
The main objectives of this European Year are:
The European Year will have a dedicated financial envelope of 8 million EUR with a joint statement of the Parliament and the Council specifying the sources of financing.
"As Europeans we have a particularly rich cultural heritage born of our long shared history. I welcome the opportunity to celebrate that heritage and to take pride in all that makes up our common European identity".
Dr. Owen Bonnici, the Maltese Minister for Justice, Culture and Local GovernmentTu es jeune, fringant avec une santé de fer. Tu détiens déjà une carte de donneur ou tu veux sauter le pas ? N'hésite plus. Donne ton sang au CTSA !
Implanté à Clamart et disposant d'une antenne à Toulon, le CTSA a "pour première mission le soutien transfusionnel des forces armées, sur le territoire français et en opérations extérieures, en temps de paix, de crise ou de conflit". Il t’accueillera pour des dons de sang et de plasma à destination des militaires blessés, dans les hôpitaux des armées et militaires en OPEX. Le centre collecte le sang pour préparer et contrôler les produits sanguins les mieux adaptés au contexte des opérations extérieures des militaires et aux hémorragies traumatiques graves. Il est notamment spécialisé dans la production de PLYO, ou plasma lyophilisé, destiné à traiter l'hémorragie aiguë. Le PLYO est parfaitement adapté à l’urgence civile et militaire, car il peut être utilisé sans connaître le groupe sanguin du receveur et peut être utilisé à tout moment, peu importe le lieu.
Pour répondre aux besoins journaliers, le CTSA aurait besoin de 110 donneurs de sang, 7 donneurs de plasma et 4 donneurs de plaquettes.
Sois l’un de ces donneurs ! Donner son sang, ça se fait sans rendez-vous et ça dure 30 minutes. Pour un don de plaquettes ou de plasma, il faut prendre rendez-vous et compter entre 45 et 90 min.
Pour y aller : Du lundi au vendredi, de 8h30 à 16h30 1, rue Lieutenant Raoul Battany, Clamart 06.41.46.72.24
N’oublie pas ta carte d’identité, obligatoire, ta carte de groupe sanguin et/ou de donneur (si tu les possèdes)
Am 14. Februar 2017 haben sich Vertreter des Rates und des Europäischen Parlaments auf ein Programm zur Förderung der Beteiligung von Verbrauchern an der Gestaltung der Politik in Bezug auf Finanzdienstleistungen geeinigt.
Zwei NRO – Finance Watch und Better Finance – erhalten Finanzhilfen für Tätigkeiten, die Verbraucher und andere Endnutzer zur Beteiligung an der Politikgestaltung anregen. Das Programm leistet zudem einen Beitrag zur Aufklärung der Verbraucher über Fragen im Zusammenhang mit der Regulierung des Finanzsektors.
"Die Verbraucher sind genauso gut wie die Regulierungsbehörden in der Lage, zu beurteilen, ob ein Finanzprodukt oder eine Finanzdienstleistung taugt, und sie können aktiv an der Politikgestaltung mitwirken", erklärte der maltesische Finanzminister und Präsident des Rates, Edward Scicluna. "Dieses EU-weite Unterstützungsprogramm soll für eine stärkere Verbraucherbeteiligung sorgen."
Dem neuen Programm war 2011 ein Pilotprojekt vorausgegangen, das zum Ziel hatte, das Vertrauen der Bürger in den Finanzsektor nach der Finanzkrise der Jahre 2007 und 2008 wiederherzustellen.
Für das Programm, das mit Inkrafttreten der betreffenden Verordnung an- und am 31. Dezember 2020 auslaufen soll, werden insgesamt 6 Mio. € bereitgestellt.
Zu Verbrauchern von Finanzdienstleistungen zählen viele unterschiedliche Nutzer, wie Sparer, Kleinanleger, Versicherungsnehmer, Pensionsfondsteilnehmer und Kreditnehmer.
Die nächsten SchritteDie Einigung wird in den nächsten Tagen dem Ausschuss der Ständigen Vertreter vorgelegt, damit er sie im Namen des Rates billigt. Anschließend werden das Parlament und der Rat ersucht, die vorgeschlagene Verordnung ohne Aussprache anzunehmen.