Antonio Tajani, President of the European Parliament
Jean-Claude Juncker, President of the European Commission
Federica Mogherini, High Representative for Foreign Affairs and Security Policy / Vice-President of the European Commission
Werner Hoyer, President of the European Investment Bank
Markku Markkula, President of the Committee of the Regions
Dimitris Avramopoulos, Commissioner for Migration, Home Affairs and Citizenship
Neven Mimica, Commissioner for International Development
Julian King, Commissioner for Security Union
Louise Arbour, United Nations Special Representative for International Migration
William Lacy Swing, Director General of the International Organisation for Migration
Claude Moraes, Chair of the Committee on Civil Liberties, Justice and Home Affairs Committee
Linda McAvan, Chair of the Committee on Development
Antonio Tajani, President of the European Parliament
Jean-Claude Juncker, President of the European Commission
Federica Mogherini, High Representative for Foreign Affairs and Security Policy / Vice-President of the European Commission
Werner Hoyer, President of the European Investment Bank
Markku Markkula, President of the Committee of the Regions
Dimitris Avramopoulos, Commissioner for Migration, Home Affairs and Citizenship
Neven Mimica, Commissioner for International Development
Julian King, Commissioner for Security Union
Louise Arbour, United Nations Special Representative for International Migration
William Lacy Swing, Director General of the International Organisation for Migration
Claude Moraes, Chair of the Committee on Civil Liberties, Justice and Home Affairs Committee
Linda McAvan, Chair of the Committee on Development
Levélben értesítette bizottságot, hogy nem fog megjelenni a mai kihallgatáson, mert őt idén áprilisban már kihallgatták ez ügyben a legfőbb ügyészségben, az eljárás adatai pedig nem nyilvánosak, így áthágná a büntető perrendtartási törvénykönyv előírásait, ha tanúvallomást tenne ugyanazon ügyben a parlamenti bizottság előtt. Ezért a vizsgáló bizottságnak előbb ki kell kérnie az ügyészség engedélyét az ő tanúként való kihallgatásához.
A határrendőrség közleményéből kiderül, hogy várhatóan megnő a határátlépők száma a hosszú hétvége miatt, így ezeken a napokon plusz átkelő sávokat nyitnak meg és növelik a határőrök számát is. A pünkösdi ünnepnapokon 4.200 határőr lesz szolgálatban, hogy gyorsabban menjen az ellenőrzés. Április elejétől a román és a szomszédos határőrség szisztematikus határellenőrzést végez. A Román Határőrség A Trafic Online alkalmazást ajánlja az utasok számára, ahol információkat kaphatnak az összes határátkelőhelyről, ezek forgalmáról.
Cette rencontre entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine marque-t-elle un reset de la relation franco-russe ?
Incontestablement, cette rencontre entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine marque un reset qui remet le jeu à zéro entre les deux pays. En effet, depuis un peu plus d’un an, les diplomaties française et russe ne se parlaient plus ou seulement pour ne rien dire. Cela pouvait s’expliquer par la perspective des élections, les Russes ayant toujours tendance à vouloir attendre le prochain président pour parler. Cela s’expliquait aussi par les accusations portées concernant le bombardement d’Alep, ainsi que la référence à la Cour pénale internationale.
Cette visite de Vladimir Poutine est un très beau coup diplomatique pour Emmanuel Macron. Elle intervient dans un contexte particulièrement favorable dans la mesure où les Russes constatent qu’ils ne peuvent plus se fonder sur Donald Trump pour faire bouger les choses ; que leur relation avec Angela Merkel est mauvaise ; et que les relations entre Berlin et Washington se sont elles-mêmes détériorées.
Dès lors, la France, sa diplomatie et son président apparaissent pour Moscou comme un pôle autour duquel on peut bâtir quelque chose. Il faut attendre de voir ce que cela va donner mais ce qui est sûr, c’est que ce reset entre la France et la Russie était nécessaire et qu’à partir de maintenant, beaucoup de possibilités s’ouvrent.
La lutte contre le terrorisme constitue-t-elle la pierre angulaire d’une coopération entre Moscou et Paris ? La « ligne rouge » évoquée par Macron à propos de la Syrie sera-t-elle partagée par Poutine ?
Le terrorisme est un problème vital pour la France et la Russie. Cet enjeu représente aussi la base à partir de laquelle on peut bâtir quelque chose car sur l’Ukraine, tout le monde sait que les négociations vont être difficiles ; tandis que sur la Syrie, les approches restent encore très différentes. La lutte contre le terrorisme représente donc le point de rencontre et figure dans l’ordre du jour comme le point positif sur lequel Paris et Moscou peuvent dès à présent commencer à travailler.
À ce sujet, la France avait déjà raté quelques occasions dans le passé puisque François Hollande avait déclaré qu’il fallait se concerter avec la Russie, sans que cela n’aboutisse. Jusqu’à présent, la « déconfliction » – mesures pour faire en sorte que les avions français allant bombarder Daech ne soient pas interceptés par des avions ou fusées russes ou d’autres pays – par la France se faisait indirectement via les États-Unis, qui présentent, eux, un vrai processus de déconfliction avec Moscou. Dans la lutte contre le terrorisme, la France n’a donc pas su utiliser cette fonction pour se rapprocher des Russes.
La ligne rouge a été concertée au sein du G7 et sans doute de l’OTAN. Elle symbolise une approche punitive consistant à dire qu’il est inhumain d’utiliser les armes chimiques et donc qu’il faut y réagir. Ce rappel de Macron est une référence, voire une critique, implicite envers François Hollande qui avait annoncé qu’il ne laisserait pas passer sans réagir des bombardements chimiques, alors que finalement il n’a rien fait à partir du moment où les États-Unis ont décidé de ne pas réagir. Emmanuel Macron, au contraire, affirme que la France réagira, y compris toute seule. Il est plutôt symbolique, à la fois dans l’annonce et dans la réaction, de dire que Paris ne dépendra pas des autres pays pour réagir.
Comment se profile l’évolution du dossier ukrainien ? Macron peut-il apporter une désescalade des tensions ?
Cela fait maintenant plus d’un an que plus rien ne bouge sur le dossier ukrainien. Beaucoup de raisons peuvent l’expliquer. La première est l’inversion des termes des accords de Minsk par les Ukrainiens, qui subordonnent les mesures politiques qu’ils doivent prendre à des mesures de sécurité – celles-ci figurent certes dans les accords de Minsk mais seulement dans les derniers points de la séquence temporelle prévue.
Deuxièmement, les Russes n’ont absolument pas eu l’intention de faire le moindre effort en attendant l’arrivée des nouveaux pouvoirs aux États-Unis et en France. Moscou a notamment fait peu d’efforts en ce qui concerne les propositions allemandes et françaises de créer une feuille de route mettant ensemble les concessions à faire par les Ukrainiens et par le Donbass, en jouant sur des simultanéités partielles pour essayer de faire avancer le dossier. Maintenant, les relations russo-américaines sont sujettes à beaucoup d’interrogations.
Le format Normandie et les accords de Minsk deviennent donc le seul point d’ancrage pour une solution éventuelle au problème de l’Ukraine. L’Europe, et la France en particulier, retrouvent leur rôle, ce qui est plutôt positif pour l’avenir.
Az egységes bértörvény tervezethez több módosítást is elfogadott a képviselőház munkaügyi bizottsága. Ezek alapján 15 százalékkal magasabb béralapot határoznának meg a környezetvédelmi és az egészségügyi minisztérium alkalmazottainak és 10 százalékkal többet a parlamenti közalkalmazottak számára. Egy másik módosítás alapján a múzeumokban dolgozó szakemberek, régészek, kutatók fizetését 100 és 800 lej közötti összeggel növelnék 2020-ig, ezáltal 4.800 és 5.500 lej közötti fizetésük lehet. Ezzel szemben a kormány változatában 4.300 és 5.300 közötti összeg szerepel. Lia Olguţa Vasilescu munkaügyi miniszter a héten azt nyilatkozta, hogy a jövő héten szavaz a képviselőház plénuma a jogszabályról és ez várhatóan augusztus elsejétől lép majd életbe.