A román, a magyar, a szlovák és az ukrán hadsereg katonáinak a részvételével kezdődött hadgyakorlat hétfőn a romániai Szatmár megyében – jelentette az Agerpres hírügynökség.
A Blonde Avalanche 16 (Szőke Lavina 16) elnevezésű hadgyakorlaton a több ország katonáit összefogó műszaki zászlóalj gyakorolja a természeti csapások következményeinek az elhárítását, a károk mérséklését azokkal a helyi hatóságokkal közösen, amelyeknek feladataik vannak a rendkívüli helyzetekben – idézte a hírügynökség a szervezők közleményét.
A hadgyakorlat programjában vezérlési gyakorlat, és terepmunka is szerepel, amelyeket a kakszentmártoni (Martinesti) táborban végeznek el a résztvevők.
A Szatmár.ro portál közlése szerint a hadgyakorlat résztvevői az elkövetkező napokban ideiglenes hidat építenek a Szamos folyóra.
A Blonde Avalanche közös hadgyakorlatot évente megrendezik az említett országok.
Der Rat hat im Einvernehmen mit dem Präsidenten der Kommission, Jean-Claude Juncker, am 19. September 2016 Julian King zum neuen Mitglied der Kommission mit Zuständigkeit für die Sicherheitsunion ernannt. Die Ernennung gilt für die verbleibende Amtszeit der Kommission, die am 31. Oktober 2019 endet.
Julian King ist britischer Staatsangehöriger und seit Januar 2016 Botschafter des Vereinigten Königreichs in Frankreich. Er ersetzt Jonathan Hill, der am 25. Juni 2016 zurückgetreten ist.
Aux dires de Kontao, si le taux de croissance est estimé au Mali à un peu plus de 5%, la part des mines représente à elle-seule 4% soit 10% du budget national ou encore 270 milliards des 1.200 milliards que représente le budget d’Etat.
Le Collectif, à l’en croire, est composé de quatre (04) secteurs, à savoir, la «Recherche, l’exploitation industrielle, le secteur artisanale et la construction», soit, 90% des intervenants du secteur.
A l’heure actuelle, indique le conférencier, il importe de mettre un organe transitoire en place au niveau de la Chambre consulaire des Mines aujourd’hui dirigée par Abdoulaye PONA dont la légitimité est très contestée (lire déclaration liminaire).
Prenant la parole, M. Samaké, représentant la société Rand-Gold au Mali, a a affirmé détenir des documents signés du Président de la Chambre (Abdoulaye Pona) lui octroyant à lui-même des primes de 400 mille FCFA/jour et des dépenses à justifier de l’ordre de 300 mille F CFA/CFA. Et, précise, aucun ministre malien ne jouit d’un tel traitement.
Et M. Kontao d’ajouter que l’attribution des cartes de dragages se fait de manière anarchique avec ses corollaires. «Nous ne pouvons pas continuer à laisser la Chambre dans cette situation» a-t-il martelé.
Pour cet autre intervenant, à savoir, Ousmane Sissoko dit Morikè, président de la Fédération nationale des Orpailleurs, «c’est le Président PONA qui nous a divisés».Le conférencier a promis de mener d’autres activités à l’avenir, afin de mettre fin à une situation, selon lui, qui n’aura que trop duré.
A suivre
B.S. Diarra
DÉCLARATION LIMINAIRE
FAIRE DE LA CHAMBRE DES MINES UN OUTIL PERFORMANT AU SERVICE DU SECTEUR MINIER
Le secteur minier malien est en pleine confusion. Les acteurs majeurs que sont le Département des mines, la Chambre des mines encore appelée «chambre consulaire», une grande majorité des sociétés minières et opérateurs miniers, sont engagés dans un bras de fer à f issue préoccupante dont la cause réside dans la non tenue des élections initialement prévues en février 2016 puis reportées au 24 août 2016. L’optimisme qui semblait caractériser habituellement le secteur minier connaît une certaine turbulence qui ne manque pas d’avoir une influence regrettable sur son dynamisme.
Nous, professionnels du secteur minier, conscients de cet état de fait, avons jugé nécessaire de ne pas rester les bras croisés et de prendre leurs responsabilités, non seulement en tant qu’acteurs du secteur des mines, mais aussi en leur qualité de citoyens maliens convaincus que nous avons un rôle pertinent à jouer à travers des initiatives potentielles destinées à stimuler plus d’efficience (rapport entre les investissements et les attentes) dans ce secteur-clé. Telle est la raison de la tenue ce samedi 17 septembre de cette rencontre avec la presse. Notre intention est de prendre à témoin l’opinion nationale et internationale des graves dysfonctionnements qui affectent le secteur minier, en particulier la chambre des mines du Mali.
En effet, tirant les leçons des expériences vécues dans d’autres chambres consulaires, et tenant compte de la non représentativité de certaines branches d’activités des mines, et non des moindres, le Ministre des mines a voulu anticiper en organisant des concertations avec tous les acteurs, concertations qui ont abouti au DécretN”20|6-0I12/P-RM du 2 mars 2016 et à l’Arrêté N°2016-1379/MM-SG du 17 mai 2016 modifiant les modalités de fonctionnement de la Chambres des mines et fixant le calendrier des élections. Ledit Décret a prévu la prolongation du mandat du bureau de la Chambre des mines pour une durée de six mois, période au cours de laquelle les élections devaient être organisées. En absence d’élections dans les délais prescrits, il revenait alors au Ministre des mines de mettre en place un collège transitoire.
Les nouvelles dispositions du Décret de mars 2016 n’ont pas rencontré l’assentiment des membres du bureau de la Chambre des mines. Entre autres innovations, le Décret, en son article 27, exige que le président du bureau doive <<justifier sa candidature par les attestations exclusives de caution morale de cinq mines en exploitation >». Cette clause visait à réparer ce que les entreprises minières ont toujours considéré comme une anomalie. En effet, elles estiment qu’elles n’étaient pas suffisamment impliquées et représentées dans les activités de la Chambre des mines dont la mission est de veiller effectivement aux intérêts de l’ensemble des opérateurs miniers comprenant le secteur artisanal (orpailleurs), les comptoirs d’achat et les collecteurs, mais également trois autres secteurs, celui de la sous-traitance, des matériaux de construction et de la recherche-exploitation industrielle.
La direction actuelle de la Chambre des mines voit dans cette exigence une tentative de domination de la Chambre par les sociétés minières se sentant marginalisées voire ignorées par ladite direction. Contestant les décisions du Décret de mars 2016, elle a saisi la Cour Suprême qui a purement et simplement annulé le Décret ainsi que l’Arrêté ministériel de mai 2016 ayant trait, comme indiqué plus haut, à l’organisation des élections à l’Assemblée consulaire de la Chambre des mines du Mali.
De l’avis de la Cour Suprême, la disposition incriminée (la rappeler au besoin) « crée une inégalité de droit entre les membres car la loi n’a, à aucun moment, exigé que les membres de la Chambre des mines ou du Bureau puissent détenir une mine en exploitation ». Elle a ajouté à son argumentaire « que le seul critère exigé est le fait de se livrer à des activités minières sans autre précision ». Nous, du Collectif, pensons honnêtement qu’une mauvaise lecture a été faite de l’article précité qui, nulle part, ne stipule que le candidat au poste de Président doive détenir une mine.La section administrative de la Cour Suprême semble avoir été induite en erreur. La décision de la Cour Suprême d’annuler les réformes proposées par le gouvernement pour renforcer le rôle de la Chambre dans sa mission de moderniser et d’impulser le secteur des mines a engendré une situation qui met en porte-à-faux la légitimité de l’équipe dirigeante actuelle de la Chambre avec la volonté de cette même équipe de dénoncer le Décret. Aussi paradoxal que cela puisse parâtre, pour bénéficier d’une prorogation légale de six mois, le directoire en place de Chambre des mines s’est appuyé sur le Décret qu’il a décrié et que la Cour Suprême a annulé. Néanmoins, la prolongation qui avait été consentie au bureau sortant est, elle aussi, arrivée à son terme le 24 août dernier.
Toutefois, il y a lieu de préciser que l’annulation du Décret est suspendue en raison du recours en révision formulé par le Contentieux du gouvernement contre l’Arrêt du 04 août de la Cour suprême. En tout état de cause, le mandat du Président de la Chambre qui avait été prolongé à partir de l’article 44 dudit Décret n’a plus de base légale. Logiquement, comme indiqué plus haut, il devrait désormais revenir au Ministère de tutelle de confier la gestion de la Chambre des mines à un système provisoire à l’instar du Conseil transitoire mis en place à la Chambre de commerce en son temps quand une situation similaire s’était présentée. Le souhait de notre Collectif va dans ce sens. Le système provisoire qui serait ainsi mis en place s’attèlerait à une relecture appropriée des textes encadrant le fonctionnement de la Chambre pour permettre de nouvelles élections et, dès lors, faire sortir la Chambre de l’impasse dans laquelle elle se trouve actuellement.
Notre Collectif affirme sa totale indépendance et sa liberté d’action. Notre volonté est de contribuer à mettre rapidement un terme à la paralysie actuelle et de tout faire pour rendre encore plus crédible notre Chambre consulaire, en bannissant tout ostracisme et en rendant effective la participation inclusive de tous les acteurs miniers pour que le rôle de locomotive de notre économie nationale dévolu au secteur minier soit plus conforme à sa vocation.
La Chambre des mines du Mali vit des moments particulièrement difficiles résultant d’une gestion opaque. La manipulation délictuelle des ressources financières par la Chambre et autres manquements sont clairement dénoncés par le rapport de contrôle de l’Inspection des Finances.
Elle est dirigée par une équipe à la compétence professionnelle approximative par conséquent contestable. Les décisions de son directoire n’obéissent à aucune exigence de transparence. Un vaste système de racket pour recueillir frauduleusement des fonds auprès des orpailleurs sur toute l’étendue du Mali est mis en place au vu et au su de tout le monde. Ainsi, des cartes de drague (autorisation pour exploiter de 1’or dans le lit des cours d’eau) sont illégalement vendues sur la place publique à des coûts scandaleux.
L’Assemblée consulaire forte de240 membres qui aurait dû se réunir un minimum de seize fois en quatre ans pour débattre de la bonne marche de l’institution, ne s’est réunie qu’une seule fois. L’efficacité de la Chambre, c’est-à-dire les résultats attendus par rapport aux objectifs fixés, laisse à désirer. Objectivement, il n’est pas excessif d’affiner que le bilan de cinq années de gouvernance à la Chambre est proprement catastrophique. Il est urgent de procéder à un examen exhaustif de ce bilan pour dégager un plan de redressement rapide de l’institution.Outre, ces griefs, il y a une situation encore plus inadmissible déplorable. La qualité de membre de la Chambre des mines du Mali est subordonnée à l’inscription au registre de la Chambre. Le comble est que ce registre demeure introuvable. Il est mystérieusement détenu par on ne sait quelle source.
Dans ces conditions, notre Collectif, composé d’acteurs ayant à leur actif une somme d’expériences riches et variées, s’estime fondé à aspirer à participer activement dans la mission de relance de la Chambre des mines. Nous affirmons d’autant notre ambition pour la Chambre que nous ne sommes pas motivés par des gains faciles et illégitimes mais par une détermination volontariste constante à faire de la Chambre un outil performant véritablement au service du secteur minier.
Le Collectif des professionnels du secteur minier du Mali
Bamako, le 17 septembre 2016
Source : La Sentinelle
Hatalmas büntetés fenyegeti a belgrádi Partizant, mert a legutóbbi, 152. „örökrangadón" a sportklub szurkolói kővel találták fejbe Saša Petrovićot, a Crvena zvezda segédedzőjét.
A Tanács 2016. szeptember 19-én Jean-Claude Junckerrel, a Bizottság elnökével egyetértésben Julian Kinget nevezte ki a biztonsági unióért felelős új biztosi posztra. A kinevezés a Bizottság hátralévő hivatali idejére, azaz a 2019. október 31-ig tartó időszakra szól.
Julian King brit állampolgár, 2016 januárja óta az Egyesült Királyság franciaországi nagykövete. Az új biztos a 2016. június 25-én lemondott Jonathan Hillt váltja fel.
Une porte d’une mosquée de Tombouctou, détruite en 2012 par les jihadistes dans cette ville du nord du Mali et restaurée sous la supervision de l’Unesco, a été réinstallée lundi lors d’une cérémonie officielle, a constaté un journaliste de l’AFP.
grande mosquée de djingareyber à tombouctou
La « porte secrète » de la mosquée de Sidi Yahia fait partie des édifices religieux, essentiellement des mausolées de saints musulmans, démolis en 2012 au nom de la lutte contre l’idôlatrie par les groupes jihadistes qui contrôlaient le nord du Mali, et restaurés grâce à l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture).
L’un des auteurs de ces actes, le Touareg malien Ahmad Al Faqi Al Mahdi, est actuellement jugé pour destruction de patrimoine culturel par la Cour pénale internationale (CPI), dont le verdict est attendu le 27 septembre.
Une centaine de personnes, des responsables maliens, des dignitaires religieux, des diplomates, dont le représentant de l’Unesco, Lazare Eloundou, l’adjointe du chef de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma), Mbaranga Gasarabwe et l’ambassadeur de l’Union européenne Alain Holleville, mais aussi des habitants, ont assisté à la cérémonie, sous haute sécurité.
Des prières musulmanes ont été récitées lors de la réinstallation de cett porte de la mosquée de Sidi Yahia, considéré comme le « saint patron » de Tombouctou.
« C’est un jour très important », a déclaré à l’AFP l’imam de la mosquée, Alphadi Wangara.
« Depuis nos aïeux, depuis des siècles on a trouvé la porte comme ça, fermée », avec interdiction d’y toucher, a-t-il expliqué.
Le président du conseil communal de la jeunesse de Tombouctou, Salah Maïga, a indiqué avoir « assisté à sa destruction un matin de bonne heure. Pour nous c’est un symbole, ça a été détruit sous les yeux de tout le monde ».
« On était là avec des barbares, des gens sans loi, sans croyance, qui se réclament de l’islam », a-t-il dit, affirmant attendre de la CPI « un procès juste, de quelqu’un qui a détruit quelque chose qui appartient à l’humanité toute entière ».
Au procès, Ahmad Al Faqi Al Mahdi a plaidé coupable et demandé pardon, appelant tous les musulmans à s’abstenir de « ce genre d’actions dont les conséquences n’ont pas de limites et pas de bénéfices ».
Selon l’Unesco, la « porte secrète » de Sidi Yahia, la seule à faire face au couchant, a été « restaurée par les artisans menuisiers entre avril et août 2016 ».
Le groupes jihadistes liés à Al-Qaïda qui avaient pris le contrôle du nord du Mali en mars-avril 2012 en ont été en grande partie chassés par une intervention militaire internationale lancée en 2013 à l’initiative de la France, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes.
La compagnie aérienne a publié, avec deux ans de retards, ses résultats financiers. Ses pertes ont atteint la somme record de 4,7 milliards de rands pour l'exercice 2014-2015.
Cet article South African Airways publie une perte de 300 millions d’euros est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Augusztusi hírek szerint a Szerbiai Vasutak nyolcszáz kilométernyi veszteségesnek mondott vasútvonalon tervezi a közlekedés megszüntetését, aminek több mint a fele, mintegy négyszázötven kilométernyi sínpálya a Vajdaságban található. Némileg megütköztem ezen a bejelentésen: van még vasútvonal a Vajdaságban, amit hatósági rendelettel fel kellene számolni? Hiszen amerre járok – főleg a Tisza menti városokban és falvakban – jószerével csak romos épületeket, gyommal benőtt, rozsdamarta vasúti pályafoszlányokat látok, régen szétrohadt már minden, ami valaha vasúti üzemre emlékeztetett. Vagy harminc éve nem közlekedik már vonat Óbecséről sem Újvidék, sem Zenta, sem Zombor felé, pedig e Tisza-parti kikötőváros valaha gazdag kereskedelmi forgalmat bonyolított le minden irányba.
Az akciót Európa legnagyobb közlekedési és környezetvédelmi kampánya, az Európai Mobilitási Hét és Autómentes Nap keretében szervezték meg – adta hírül a goloskarpat.info hírportál szeptember 18-án.
A szervezők hosszú távú célkitűzése az, hogy azokat, akik munkába, iskolába vagy kikapcsolódni rendszerint autóval járnak, rávegyék arra, hogy az utazáshoz fenntartható alternatív közlekedési módokat vegyenek igénybe, hozzájárulva ezzel önmaguk és környezetük egészségéhez, életminőségük javításához.
Az évente megrendezett eseményre ellátogató gyerekek és felnőttek vetélkedőkön, versenyeken, tematikus foglalkozásokon vehettek részt. Ezenkívül aszfaltrajzokat készítettek, és a rendőrség munkatársaival együtt tanulhatták a közlekedési szabályokat. Az ungvári iskolások rajzaiból pedig kiállítás nyílt a Sváb utcában.
Kárpátalja.ma
Cela malgré les efforts du gouvernement et des partenaires techniques et financiers en faveur de l’éducation des filles dans notre pays.
Au Mali le taux d’alphabétisation a augmenté de 12 % entre 2001 (21,3 %) et 2015 (33,1 %), indique l’Institut national de la statistique (INSTAT). Une alphabétisation qui est plus répandue chez les hommes comparativement aux femmes, constate cependant l’INSTAT. « Aucune réduction n’est perceptible en ce qui concerne l’écart entre les deux sexes. le taux d’alphabétisation des pauvres est estimé à 39,3 % soit 28,1 % chez les femmes contre 50,6 % pour les hommes »,indique le rapport 2015 de l’enquête Modulaire et permanente auprès des ménages (EMOP)
Selon l’ Emopcette disparité entre les hommes et les femmes pauvres doit inciter des actions pour réduire cet écart dans la mesure où le taux d’alphabétisation est considéré comme un indicateur stratégique de lutte pour la réduction de la pauvreté. « La proximité des élèves aux infrastructures scolaires contribue à améliorer leur rétention dans le système et diminue les charges physiques liées aux mouvements qu’ils effectuent entre l’école et la maison. Elle permet également d’alléger les dépenses relatives aux frais de transport des élèves pour se rendre à l’école. La proximité des apprenants aux structures d’éducation prendrait une part importante dans la performance des élèves », note le rapport.
Source : Harouna Fomba
Aujourd’hui, des hommes politiques aux intentions inavouées polluent les réseaux sociaux de publications et vidéos pour défendre le « nationaliste » et « Petit Guimba ». Le but de cette opération, donner de la chair, de l’épaisseur, de la proximité à une personne qui n’est jusque là qu’un simple comédien, pour en faire un martyr.
C’est l’une des multiples opérations qui vont être montées pendant les mois à venir pour tenter de faire passer le nouveau ministre de la justice Mamadou I. Konaté pour un dictateur sud-américain, un nouveau Pinochet.
Et ce Petit Guimba est parfait pour ouvrir le bal contrairement à Ras Bath. Il a tout pour que les 25-35 ans, lecteurs de facebook, s’identifient à lui.
Et que lui est-il arrivé ? il est tombé sous les coups de « la justice impartiale et non partisane ». Cet « innocent » va purger quelques jours de prison ferme à la maison d’arrêt de Bamako Coura alors qu’il n’a fait que rouler sa voiture sur un « Libanais », ce qui pour certains dans cette mouvance est une action louable et légitime.
Cette histoire pieuse peut être vue sous un angle plus prosaïque. Ce jeune homme a violé la loi, en pratiquant ce que l’on appelle des « violences volontaires ». Que diriez vous si on roulait en voiture sur vous ? La loi est la même pour tous et je ne pense pas que celle qui réprime les violences volontaires soit illégitime.
C’est pourtant ce que suggère, en filigrane et sans le dire ouvertement, l’existence même de cette fronde sur les réseaux sociaux, parce que cette violence serait exercée sur un libanais, et que forcement, un jeune Malien qui roule sur un étranger au Mali ne peut être qu’en état de légitime défense, nécessairement.
Car derrière tout cela, on trouve cette mouvance affairiste proche du Président IBK, qui refuse l’autorité et la lutte contre la corruption que veut lancer le nouveau Ministre de la Justice. C’est eux qui ont paralysé le gouvernement Moussa Mara, qui n’a pas osé avancer sur le terrain de la lutte contre la délinquance financière.
Je tiens ici à réaffirmer la nécessité d’avoir un homme intègre et compétend au ministère de la justice, gardien des lois et leur application. Le monopole de la violence légitime doit rester entre les seules mains de l’Etat, dont les instances sont désignées démocratiquement. Le coup de force ou la révolution ne font pas partie de ma culture politique.
Bien entendu, le ministère de la justice doit être maintenu dans des limites et n’exercer que le minimum de contrainte et de restriction des libertés publiques. Malgré quelques erreurs (la perfection n’est pas de ce bas monde), il faut reconnaitre que le nouveau ministre de la justice et son équipe font plutôt bien leur travail, ce qui est loin d’être le cas partout dans le monde, même dans les pays occidentaux (et je pense aux USA).
C’est quand le ministre de la justice est corrompu et inconpétent qu’il n’y a plus de justice, ce que cherchent les affairistes qui veulent controler l’appareil d’Etat, qu’il faut combattre car ils représentent un danger pour la démocratie.
le redacteur en Chef de maliactu.net
c) maliactu.net
Des populations qui doivent parcourir de longues distances pour avoir le précieux liquide bleu. C’est ce qui ressortdu rapport final 2015 de la quatrième édition de l’EnquêteModulaire et Permanente auprès des ménages (EMOP) qui s’est déroulée entre le 1er avril 2015 et le 31 mars 2016 dans l’ensemble des régions du Mali, excepté Kidal, ainsi que dans le district de Bamako. Cedocument indique que dans l’ensemble du pays, 21,2 % des ménages parcourent plus de 15 km pour accéder à l’eau potable et 19,6 % d’entre eux y accèdent après 60 mn.
« En effet, 22,7 % des ménages ruraux sont à plus de 15 km d’une source d’eau potable et 21,0 % de ces ménages l’atteignent après 1 heure de temps. L’analyse régionale montre que cette difficulté d’accéder est principalement à Mopti, Koulikoro et Sikasso où respectivement 30,1 %, 23,5 % et 20,8 % parcourant plus de 15 km », indique le rapport 2015 de l’EMOP. Toujours d’après cette enquête, les milieux ruraux des régions citées ont besoin d’une adduction en eau potable proche de la communauté.
« Les résultats de l’enquête montrent des taux d’accès à l’eau potable assez élevés au niveau de toutes les strates et ce quel que soit le statut de pauvreté. 99,8 % des ménages non pauvres à Bamako ont accès à l’eau potable. Quant aux ménages pauvres se trouvant en milieu rural, 73,8 % d’entre eux en disposent ».
Source : Harouna Fomba
Az ungvári iskolások akciójáról a pmg.ua hírportál számolt be szeptember 18-án.
A szelektív hulladékgyűjtést ösztönözve a gyerekek tematikus rajzokkal látták el a tárolókat.
A kezdeményezés célja az volt, hogy a diákokat környezettudatos gondolkodásmódra sarkallják.
Kárpátalja.ma
Depuis trois longues années, ils ont érigé Kidal en enclave autonome dans la République du Mali, en empêchant toute présence militaire malienne dans la ville de Kidal.
Les bandits armés de Kidal et en tête, leur chef, en l’occurrence Bilal Ag Cherif, Secrétaire général des violeurs de Gao et des assassins de nos soldats, non moins, Président de la CMA, ne se privent d’aucune occasion pour tenter de remettre en cause, l’Accord de Paix et de Réconciliation, issu du processus d’Alger.
Tout cela, sur fond de prétention indépendantiste à laquelle, ils n’ont jamais renoncé malgré, le changement de discours au gré des circonstances et des interlocuteurs.
Depuis trois longues années, ils ont érigé Kidal en enclave autonome dans la République du Mali, en empêchant toute présence militaire malienne dans la ville de Kidal.
Au même moment, ils se pavanent dans les rues de Bamako, escortés, par ceux qu’ils tuent à Kidal, et passent du bon temps dans les hôtels luxueux de la capitale aux frais du contribuable malien. Quelle injustice !
Invité de RFI, suite aux affrontements entre ses affidés et le GATIA, il menace clairement de ne plus reconnaitre l’Accord de « Paix et de Réconciliation au Mali ». Un Accord faut-il le rappeler à souhait, que les maliens ont signé, le couteau à la gorge.
«A ce rythme-là, il risque de ne plus avoir d’accord auquel se référer». Quelle mauvaise foi ! Ces propos de Bilal Ag Cherif sont suffisamment explicites pour que les autorités maliennes prennent leurs responsabilités en envisageant des solutions alternatives à un éventuel rejet de l’Accord d’Alger par ces renégats.D’ores et déjà, il semble clair que notre Etat ne pourrait en aucune façon, faire l’économie d’une guerre contre ces bandits armés qui écument Kidal et ses alentours, s’il voudrait exercer sa pleine et entière souveraineté sur l’ensemble du territoire national, y compris, Kidal. A bon entendeur, salut !
Nous y reviendrons.
Idrissa I. MAIGA
Source : L’Agora
Magyarok és franciák együtt emlékeztek szombaton a Rákóczi-féle szabadságharcra és annak vezetőjére a franciaországi Yerres-ben II. Rákóczi Ferenc halálának 281. évfordulóján. A megemlékezést előadások kísérték II. Rákóczi Ferenc életéről és yerres-i kötődéséről.
A fejedelem mellszobrát Károlyi György, Magyarország franciaországi nagykövete és Olivier Clodong, Yerres város alpolgármestere koszorúzta meg a Párizshoz közeli kisváros Rákóczi terén. A Párizstól 23 kilométerre található Yerres-ben töltötte Rákóczi franciaországi emigrációjának utolsó két évét 1715 és 1717 között. Törökországban bekövetkezett halála után, végakaratárának megfelelően az itteni kolostorban helyezték szívét örök nyugalomra. A fejedelem szívét tartalmazó aranyszelencének később, a történelem viharaiban nyoma veszett, Yerres lakói azonban a mai napig őrzik a magyar történelem emblematikus alakjának emlékét, minden évben megemlékeznek Rákócziról.
A helyi önkormányzat és a párizsi magyarok több évtizede hagyományosnak számító ünnepségén a résztvevők – a Magyarországról érkezett delegáció tagjaival együtt – a fejedelem tiszteletére 1937-ben a magyar állam által a francia kisvárosnak adományozott emlékoszlopot, Csáky József alkotását is megkoszorúzták. A város büszkeségének számító obeliszk 1978 óta áll a Rákóczi nevét viselő téren, ahol valamikor a magyar szabadságharc vezetőjének menedékhelyet biztosító kamalduliak kolostora emelkedett. A koszorúzást megelőzően a yerres-i Saint Honest templomban II. Rákóczi Ferenc fejedelem tiszteletére mutattak be misét.
Az ünnepséget követően – amelyen részt vett többek között Török Dezső, Borsod-Abaúj-Zemplén Megyei Közgyűlés elnöke, Kovács János, Borsod-Abaúj Zemplén Megyei Önkormányzat főjegyzője, Lazik Zoltán, Oroszlány polgármestere, valamint Nagy Csaba, az Oroszlányi Rákóczi Szövetség elnöke és a 2016-os franciaországi francia-magyar huszártalálkozó delegációja – a kulturális központként működő yerres-i kastélyban magyaros ebéden látták vendégül a meghívottakat. A megemlékezést előadások kísérték II. Rákóczi Ferenc életéről és yerres-i kötődéséről.