ALGER- « L’échappée » coréalisé par l’Algérien Hamid Saidji et le Britannique Jonathan Mason est programmé au 39e Festival du court métrage de Clérmont Ferrand (France) qui se poursuit jusqu’au 11 février, annonce-t-on sur le site du festival.
Le film sera projeté dans la catégorie « Regards d’Afrique » qui prévoit la projection de dix courts métrages réalisés sur le continent.
Sorti en 2016, « L’échappée » aborde avec dérision le parcours d’un chauffeur de taxi algérois, campé par le photographe Said Ait Ali, qui rêve de devenir grand photographe en Italie en s’exerçant à réaliser des clichés de ses clients et de ses proches.
« El Bayda » des réalisateurs marocains Alaa Akaaboune et Ayoub Lahnoud, « Tikitat-A-Soulima » du Marocain Ayoub Layoussifi, « Le reste est l’oeuvre de l’homme » de la tunisienne Doria Achour, « Djibril » du sénégalais Mamadou Lamine Seck, ou encore « Initiation » du Sud Africian Teboho Edkins sont également au programme de cette section.
80 courts métrages sont en en lice pour le Grand prix du festival, décerné par un jury présidé par la cinéaste tunisienne Kaouther Ben Hania.
Des sections spéciales dédiées à l’humour noir, au cinéma colombien, ou encore aux films de laboratoire sont également au programme de ce festival, inauguré le 3 février. Une exposition de l’artiste « Hyppolyte », « Les enfants de Kinshasa », et un reportage en bande dessinée sur les enfants des rues de la capitale congolaise sont aussi prévus.
Történelmi témájú blogok előszeretettel csapnak le az évfordulókra, hogy kapcsolódó témájú posztjaik érdekességét az aktualitásuk is növelje. Két hónapja, a 75-ik évforduló alkalmából jó néhány blog jelentkezett Pearl Harbor-ról szóló írásokkal. Figyelmetlenségem okán ezt a ziccert én kihagytam, majd bepótoljuk idén decemberben.
Az évfordulós cikkek némelyikében történt futó említés arról, hogy a japán támadásnak voltak bizonyos történelmi előzményei, értve ez alatt a 37 évvel korábbi japán támadást az orosz kézen levő Port Arthur, és az ott horgonyzó flotta ellen.
A hasonlóság valóban szembeötlő, és elég egyértelmű, a japánok 1941-ben Port Arthurt akarták megismételni, csak némileg nagyobb léptékben. Ez sikerült is nekik. A saját militarista nacionalizmusuktól elvakult japánok azonban nem vették észre, vagy legalábbis nem vették figyelembe, hogy az őket körülvevő világ, a külpolitikai helyzet, teljesen más, mint 37 évvel korábban. Az orosz-japán háborúból vagy nem vonták le a megfelelő következtetéseket, vagy teljesen elfelejtették azokat. Láthatóan teljesen komolyan úgy hitték, önerőből, külső támogatás nélkül is képesek lesznek ismét legyőzni egy náluk sokkalta erősebb nagyhatalmat, és erre aztán nagyon csúnyán ráfáztak.
Talán Pearl Harbor kapcsán is tanulságos lehet, ha vetünk egy pillantást a történelmi előzményekre, mi is történt 1904 február nyolcadikán és kilencedikén, a Csendes-óceán túlsó oldalán. Ennek is most van az évfordulója, ha nem is kerek, a 113-ik. (Saját dolgomat könnyítendő, ezúttal konzervanyagból dolgoztam, és ezt a posztot nagyrészt korábbi irományaimból ollóztam össze.)
ALGER- Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Mohamed Larbi Ould Khelifa a indiqué mercredi à Alger que l’Algérie et la France oeuvraient ensemble à hisser le niveau de leurs échanges dans un climat marqué par des défis sécuritaires et des mutations politiques effrénées.
« Les relations algéro-françaises ont connu une évolution remarquable ces dix dernières années notamment suite aux visites échangées au plus haut niveau des deux pays », rapporte un communiqué de l’APN, citant M. Ould Khelifa qui a reçu la présidente de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française Elisabeth Guigou.
Il a évoqué les résultats positifs perçus à l’issue de ces précédents entretiens avec le présidents de l’assemblée nationale et d’autres responsables.
Le président de l’APN a estimé que ces entretiens ont révélé une grande entente et une volonté commune de promouvoir la coopération bilatérale sous tous ses aspects, ajoute le communiqué.
Dans le même contexte M. Ould Khelifa a mis en avant la nécessité de concrétiser les accords convenus dans le cadre de la haute commission bilatérale qui représente un des principaux espaces de coopération parlementaire entre les deux pays.
Abordant la situation sécuritaire, le président de l’APN a rappelé que l’Algérie qui a lutté seule et le long d’une décennie entière contre le terrorisme est aujourd’hui une source de sécurité et de stabilité et un pole qui accueille les réfugiés et migrants dans une région qui connait des crises et des foyers de tension.
« L’Algérie encourage le dialogue en tant que moyen unique favorisant le rapprochement de vues entre plusieurs antagonistes au Mali, en Libye et en Syrie », a rappelé M. Ould Khelifa qui a réitéré son appel à permettre au peuple palestinien d’exercer ses droits dans le cadre de la solution des deux Etats, rapporte encore le communiqué.
Pour sa part Mme Guigou a affirmé que les parlementaires français suivaient avec intérêt les efforts consentis par l’Algérie pour sauvegarder la paix et et la sécurité dans la région soulignant l’importance de la concertation entre l’Algérie et la France qui sont deux pays confrontés à des défis communs, à leur tête la lutte antiterroriste.
La France salue les efforts de l’Algérie pour trouver des solutions pacifiques et durables aux crises dans la région notamment son succès à résoudre la crise malienne », a fait savoir la parlementaire française soulignant que ces efforts ont évité aux deux pays les retombées de la crise sur la sécurité de la région.
Elle a appelé à fournir l’appui nécessaire au pays sahelo-sahariens pour les aider à surmonter leur crise rendant hommage à l’Algérie pour son soutien a certains pays de la région, telle la Tunisie, pour transcender leur difficultés et préserver leur sécurité.
ALGER- Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a reçu mercredi à Alger, Mme Elizabeth Guigou, présidente de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, en visite en Algérie, indique un communiqué des services du Premier ministre.
Cette rencontre a permis de « procéder à un large échange de vues, notamment dans le domaine parlementaire. Les deux responsables ont convenu de consolider les bonnes relations traditionnelles de coopération qu’entretiennent les deux pays », précise la même source.
L’entretien a ensuite porté sur « un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun, les conflits dans la sous-région. L’accent a été mis sur l’importance de la concertation et de la coordination pour la recherche des solutions viables et durables à même de garantir la paix et la stabilité dans la région », ajoute-t-on.
L’audience s’est déroulée en présence de la ministre des Relations avec le parlement, Ghania Eddalia.
ALGER- Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a salué, dans un message de condoléances à la famille du Moudjahid, Djelloul Khatib, décédé mardi à l’âge de 79 ans, les qualités du défunt et son parcours militant pour la libération du pays du joug colonial et son dévouement dans l’édification de l’Etat national moderne.
« C’est avec une profonde affliction que j’ai appris le décès du frère Djelloul Khatib, l’un de nos militants qui ont voué leur jeunesse à la libération du pays du joug colonial et contribué avec abnégation et dévouement à l’édification de l’Etat national moderne pour que vive l’Algérie dans la dignité », écrit le Président Bouteflika.
« Nous perdons l’un des compagnons de la première heure qui ont répondu à l’appel de la patrie, et contribué après l’indépendance aux efforts d’édification nationale », ajoute le chef de l’Etat.
« Que pouvons nous face à la volonté de Dieu sinon que de nous résigner et prier Le Tout Puissant d’accorder au défunt sa Sainte miséricorde, de l’accueillir dans son vaste paradis aux cotés de ceux qu’Il a comblés de Ses bienfaits et entourés de Sa grâce éternelle », a ajouté le Président Bouteflika.
De même, que je prie Allah de « prêter réconfort à tous les membres de sa famille, à ses porches, amis et compagnons et m’associe à leur douleur et peine », conclut le chef de l’Etat dans son massage.
Le salut fraternel entre les deux marines libyennes et italiennes (crédit : Marine italienne)
(B2) Ils étaient presque 90 sur le San Giorgio, le navire italien de débarquement, ancré dans le port de la Valette (à Malte), à se voir remettre par la Haute représentante de l’UE, Federica Mogherini, leur diplôme de fin de formation ce mercredi (8 février) (1).
Ces 89 garde-côtes, marins et officiers de la marine libyenne ont suivi des cours théoriques et pratiques, durant plusieurs semaines, avec leurs collègues européens (à bord du San Giorgio et du navire néerlandais Rotterdam), avec plusieurs modules à leur programme. Objectif : acquérir toutes les notions de secours en mer, mais aussi de contrôle du trafic maritime, d’intervention à risque — parmi des réfugiés qui comptent femmes et enfants —
Une capacité à opérer dans les eaux territoriales
C’est la première cérémonie du genre. Et une petite fierté certaine pour tous les hommes engagés dans l’opération Sophia (EUNAVFOR Sophia). Chacun sait en effet que la lutte contre les réseaux de passeurs et autres trafiquants au large de la Libye, comme le sauvetage des nombreux navires transportant des migrants, menée par les Européens est un puits sans fond, si les Libyens ne prennent pas le relais rapidement (2).
C’est « une priorité pour l’Union européenne » a d’ailleurs souligné Mogherini. « Ce ne sont pas seulement des diplômes que nous remettons aujourd’hui » mais ce que nous permettons aussi c’est de développer « une capacité à opérer dans les eaux territoriales le long des côtes », a-t-elle ajouté s’adressant aux garde-côtes et marins mais aussi à leur chef, le Commodore Abdalah Toumia. Cette « capacité libyenne vise à sauver des vies et lutter contre la contrebande humaine mais aussi de sécuriser les côtes libyennes contre le trafic illicite d’armes, de drogues et de pétrole ».
Au tour de l’Est libyen maintenant ?
L’ambition pour les Européens est de répéter cette formation pour une nouvelle série d’environ 80 stagiaires provenant, cette fois, du secteur « Est » des garde-côtes libyens. Un point notable pour les Européens. « C’est la première fois que le chef de la garde-côte libyenne a spécifiquement demandé de coopérer avec l’Est. Et cela pourrait être un important signe d’une nouvelle volonté de construire une capacité maritime complète, tout au long de la côte libyenne » avait indiqué précédemment le contre-amiral Credendino, dans un compte-rendu fait aux ambassadeurs de l’UE, selon nos informations. Une gageure cependant du point de vue de la sécurité comme de la fiabilité des stagiaires. Les deux bouts de la Libye ne se parlent plus vraiment. « La procédure de vérification (vetting) des garde-côtes pourrait probablement être plus difficile car les contacts de la garde-côte libyenne avec ces secteurs sont moins fréquents ».
En attente des navires
Il s’agit aussi pour les Européens de tenir leurs engagements désormais. Les Libyens attendent de se voir livrer les douze navires qui sont actuellement retenus (en Tunisie notamment). Le gouvernement italien a promis de procéder à ces équipements. Encore faut-il obtenir du comité des sanctions de l’ONU, l’autorisation de livrer ces navires. La Libye est encore, en effet, officiellement, sous l’objet de l’embargo sur les armes, imposé lors de l’opération d’interposition menée par l’OTAN et la communauté internationale en 2011. Ce qui ne doit pas poser trop de problème… normalement.
(Nicolas Gros-Verheyde)
NB : Tous les visages des garde-côtes et marins libyens sont floutés. Question de sécurité pour eux-mêmes et leurs familles.
(1) Le Premier ministre maltais, Joseph Muscat (qui assure la présidence tournante de l’UE) était présent ainsi que la ministre italienne de la Défense, Roberta Pinotti. L’effort principal dans la formation ayant été fait par les Italiens.
(2) Du côté européen, on sait très bien que l’autorisation de pénétrer dans les eaux territoriales ne pourra que difficilement être donné par un gouvernement libyen, encore précaire, et très chatouilleux sur sa souveraineté. Tout l’effort est donc de permettre aux Libyens d’avoir les moyens d’agir dans leurs eaux. Et, à ce moment-là, il sera peut-être envisageable d’aller vers une coopération entre les marines, permettant de coopérer dans les eaux territoriales libyennes, sous plusieurs conditions (notamment le respect de l’autorité et du commandement libyen).
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Árpási Botond írása
Az eritreai elnök Európát támadja nemrég közzétett nyilatkozatában, mert úgy véli, az öreg kontinens gazdaságilag szabotálja a kelet-afrikai országot és elszívja az emberi erőforrásokat, számol be az Africa News. IsaiasAfwerki az immár hagyományosnak számító újévi beszédében hozta összefüggésbe az európai vezetők felelősségét az afrikai ország gazdasági problémáival, melyet a nemzeti televízió közvetített.
ALGER- L’ancien chef de gouvernement, Smail Hamdani, décédé dans la nuit de lundi à mardi à l’âge de 86 ans, a été inhumé mercredi au cimetière d’El-Alia à Alger.
Les obsèques du défunt se sont déroulées en présence de plusieurs hauts responsables de l’Etat dont le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci et le ministre d’Etat, Directeur de cabinet à la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, outre les membres du gouvernement et d’anciens chefs de gouvernement.
Etaient également présents des représentants de partis politiques, d’organisations nationales, d’amis et de compagnons du défunt, ainsi qu’une foule nombreuse de citoyens.
Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa a salué, dans son oraison funèbre, les qualités et les contributions du défunt au service de la Nation, affirmant que « ce grand homme, honnête et fidèle à sa partie, était à la hauteur des missions dont il était investi à travers les différents postes qu’il avait eu à occuper ».
« Les qualités du défunt demeureront un modèle pour les générations à venir », a-t-il dit.
Pour sa part, M. Ouyahia a affirmé dans une déclaration à la presse, que le défunt Smail Hamdani était « un nationaliste qui a voué sa vie au service de l’Algérie ».
« Le défunt a su perpétuer le message des chouhada et transmettre à plusieurs générations de diplomates, sa riche expérience dans ce domaine », a indiqué le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra.
Le Secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbas a indiqué que le défunt Smail Hamdani « a toujours été au service de son pays, notamment dans les moments difficiles », rappelant qu’il avait répondu à l’appel de la Nation, lorsqu’il avait occupé le poste de chef de gouvernement (décembre 1998) dans une conjoncture difficile.
Le défunt « a dûment accompli son rôle, en tant que moudjahid et militant au service de sa patrie », a-t-il affirmé.
Né le 11 mars 1930 à Bordj Bou Arreridj, Smail Hamdani a occupé plusieurs hautes fonctions de l’Etat dont, notamment, celle de chef de gouvernement du 15 décembre 1998 au 23 décembre 1999.
Il a assumé plusieurs autres postes depuis 1962, parmi lesquels celui de Conseiller juridique du ministre de l’Information (1962-1963), Secrétaire général du gouvernement (1977-1979) et Conseiller à la Présidence de la République (1980-1983).
Diplomate aussi de carrière, il a occupé le poste d’ambassadeur auprès du Danemark, de la Norvège, de la Finlande, de l’Espagne et de la France.