Kárpátaljára nem lesz kihatással az Ukrajnában bevezetett energetikai szükségállapot, mert a megyét nagyobb részben a nem kelet-ukrajnai szénnel működő burstini hőerőmű látja el villanyárammal – közölte pénteken Hennagyij Moszkal, Kárpátalja kormányzója.
Az ukrajnai megye első embere Moskal.in.ua című személyes honlapján tett bejegyzésében emlékeztetett arra, hogy a kelet-ukrajnai szakadár területekről az ország többi részébe szenet szállító vasúti szerelvények blokádja és az ukrajnai energetikai rendszerben e miatt hatályba léptetett “különleges intézkedésekkel” kapcsolatban Kárpátalja vezetéséhez sok olyan aggódó vállalkozó fordul, aki a folyamatos áramellátástól függő termelést folytat. Azt kérik, hogy a megye vezetői jelezzék, lesznek-e Kárpátalján ütemezett áramszünetek, és azok miként befolyásolják majd vállalataik működését – írta a megye kormányzója.
Válaszában Hennagyij Moszkal a honlapján hangsúlyozta: Kárpátalja a villamos energia “oroszlánrészét” az Ivano-Frankivszk megyei burstini hőerőműtől kapja, amely a Dnyipro (korábban Dnyipropetrovszk) város közelében található pavlohradi bányákból származó szénnel, továbbá földgázzal és pakurával működik. Ezeket az energiahordozókat az ukrán kormány ellenőrzése alatt lévő területeken termelik ki és állítják elő, tehát az erőmű működése nem függ a Luhansz és Donyeck megyék “ideiglenesen megszállt” részeiről származó antracit típusú széntől – mutatott rá.
“Így Kárpátalján az áramellátás semmilyen ütemezett szüneteltetését nem tervezik az energetikai rendszerben bevezetett különleges intézkedések kapcsán” – írta a megye kormányzója.
José Kwassi Symenouh vient de reprendre la discrète compagnie de courtage togolaise. L'ancien patron de NSIA Assurances Togo projette déjà une expansion dans la zone Cima.
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Pas de changement à la tête de Défense Conseil International: les dix membres du conseil d'administration ont voté, ce vendredi, pour la prolongation du mandat de l'actuel PDG. Une prolongation de trois années.
Jean-Michel Palagos, qui aura 66 ans en avril, est à la tête de DCI depuis mars 2014. Son maintien est l'aboutissement d'un processus qui a été lancé en fin d'année dernière.
Dans un premier temps, il a fallu modifier les statuts pour réviser la limite d'âge. Le principe a été entériné en novembre (une majorité des deux tiers des administrateurs était alors nécessaire). Puis le conseil d'administration a adopté une résolution, le 7 décembre, qui a été soumise, le 12 janvier, à une AG extraordinaire. Ces changements statutaires ont été alors votés à l'unanimité. Le PDG de DCI peut donc désormais rester en fonction jusqu'à 69 ans.
Dans un second temps, les administrateurs ont eu à se prononcer sur la prolongation du mandat de l'actuel PDG. Ces administrateurs sont au nombre de dix. Trois représentants du Mindef (2 de la DGA et un de l'EMA), trois représentants de l'Etat (Trésor, APE, Contrôle économique et financier), trois représentants des actionnaires minoritaires (dont Sofema et Eurotradia) et un administrateur indépendant.
Le CA a donc accepté le maintien à la tête de DCI de l'ancien DRH du ministère de la Défense et ex-directeur de cabinet adjoint du ministre de la Défense.
Le développement des activités du groupe DCI devrait donc se poursuivre, avec de nouveaux partenariats et un renforcement dans des domaines comme la santé (chirurgie de guerre, sauvetage...), le service des essences, la cyberdéfense, l'ISR...
D’aucun trouveront l’image pour le moins simpliste, mais il est un fait que ces deux villes sont probablement celles qui, en Europe, ont ma préférence, du moins pour y vivre. Auxquelles j’ajouterai Madrid. Attention : il ne s’agit nullement d’un concours de beauté, mais uniquement de sentiments que j’éprouve spontanément sans trop chercher à les analyser. Car, d’autres villes peuvent être considérées comme au moins aussi belles dans d’autres genres, telles par exemple Rome, Vienne ou Prague.
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Entre Paris et Budapest, beaucoup de points communs, mais aussi de forts contrastes. On qualifie parfois Budapest de « Paris de l’Est », terme à mon sens mérité.
Les points communs: ces grandes avenues « haussmanniennes » bordées d’immeubles bourgeois, du moins côté Pest. Cette animation, ces boulevards bordés de théâtres et de cafés, parsemés de kiosques et de colonnes Morris. « Haussmannien »… Il se trouve justement que l’un des principaux architectes à qui l’on doit ce bel urbanisme pestois s’appelait Hauszmann. Le nôtre n’était pas architecte, mais préfet. Mais bon… ils ont œuvré à la même époque et dans le même sens.
Mais de grands contrastes également. A commencer par leur site et leurs fleuves: un Danube large et majestueux que seuls cinq grands ponts osent enjamber dans son centre. Face à cela une Seine plus étroite, mais si charmante, se laissant orner par une multitude de ponts dont l’enfilade constitue un si beau spectacle, moins impressionnant, mais peut-être plus apaisant, sans parler des quais plantés d’arbres et de ses deux îles jetées avec bonheur côte à côte au milieu de la cité, se chevauchant presque l’une l’autre. Contraste par le paysage aussi, avec ces vertes collines de Buda parsemées de villas qui n’en finissent pas d’onduler à l’assaut de l’horizon. Si certes, Budapest n’offre pas ces beaux jardins que nous trouvons à Paris et à Vienne (Luxembourg, Tuileries, Palais Royal), sans compter les deux Bois, cet immense espace offert par les collines offre une large compensation avec mille possibilités de promenade offrant au passage de merveilleuses vues plongeantes en contre-bas. Et, bien sûr, l’île Marguerite, paradis des joggers et promeneurs du dimanche.
Derrière l’Opéra, le paysage haussmannien traditionnel du centre de Paris.Mais c’est aussi et surtout dans le style de ses immeubles que je vois une différence notable. L’un des attraits de Paris réside dans l’unité de ses façades avec leur belle pierre blonde qui n’en fait que mieux ressortir la beauté de ses balcons en fer forgé, bien sagement alignés d’un immeuble à l’autre. A Budapest, c’est précisément l’inverse : foisonnement de styles des plus variés, le néo-gothique côtoyant sans complexe l’Art nouveau, le classique ou le néo-Renaissance. Des immeubles aux tailles souvent impressionnantes avec leurs atlantes et autres statues géantes. Différence qui se ressent encore plus à l’intérieur: halls parfois ornés de statues et vasques de marbre, cours et cursives souvent décorées d’arcades, appartements avec leurs grandes pièces en enfilade aux plafonds atteignant jusqu’à 4 mètres.
A Budapest, c’est sans doute à Andrássy út où l’on trouve les immeubles les plus parisiens.Mais à noter aussi, côté Pest, un contraste saisissant entre des immeubles superbement restaurés et repeints et d’autres dans un état de ruine parfois dramatique, voire peu rassurant (risques d’éboulement). Une explication : lors du changement de régime au début des années quatre-vingt dix, la Municipalité eut hâte de revendre les immeubles dont la gestion et l’entretien constituaient un gouffre financier. Pour en faciliter et accélérer la privatisation, elle céda pour un montant symbolique les appartements aux personnes qui les occupaient. Occupants installés en majorité sous le régime communiste, aux revenus le plus souvent modestes. Et qui donc, nouveaux propriétaires, n’ont pas les moyens d’entretenir leur bien. D’autant que l’entretien et la rénovation coûtent infiniment plus cher qu’à Paris, du fait que ces immeubles sont construits en brique recouverte de stuc, souvent décoré de fresques… Mais une solution existe pour restaurer à moindre frais les immeubles usés : la vente à prix symbolique des combles à un promoteur qui en fait des lofts et duplex de luxe revendus à prix élevé. En échange, le promoteur restaure la façade et la cage d’escalier où il installe un ascenseur.
J’ai exprimé plus haut mon attrait pour Madrid. Une ville qui ne lésine pas sur les fontaines, souvent monumentales, alors que l’environnement madrilène me paraîtrait a priori plutôt aride. Budapest qui, par contre, nage littéralement sur des immenses nappes d’eau, n’a que relativement peu de fontaines toutes proportions gardées. Et pourtant, comme la ville pourrait être embellie! Je pense par exemple à la place des Héros, immense espace dallé, imposant, mais un peu froid. Deux belles fontaines sur le côté ne seraient pas de trop pour meubler ce grand espace vide. Un bon point, cependant: tous ce petits jets d’eau qui agrémentent les nouveaux espaces piétonniers, au demeurant fort réussis (Szabadság tér, Március 15-e tere) ou encore le boulevard Károly körút. Un progrès sensible, donc.
Un alignement haussmannien, avec un peu de fantaisie du côté d’Oktogon, à Budapest (Photo : Yohan Poncet)A noter également, un grand progrès au plan des illuminations vraiment superbes dont le spectacle, le soir, notamment si vous vous promenez au bord du Danube (et sur les deux rives) constitue une véritable féerie. Sans parler aussi de ces jardins merveilleusement restaurés en contre-bas du Château, avec leurs kiosques couverts de mosaïques et de fresques, dans un style très Renaissance italienne (Várkert Bazár).
Le bazar du château le soir.Dans l’ensemble, Budapest demeure une ville agréable à vivre et où il fait bon flâner, que ce soit dans ses zones piétonnes, sur les Boulevards ou encore sur le korzó, par exemple le soir au coucher de soleil (spectacle grandiose dont je ne me lasserai jamais). Et ce côté « villégiature » que je ressens moins à Paris dans les mois d’été. Et puis… tout ce que je viens d’évoquer se limite pratiquement à la ville de Pest ; mais n’oublions pas Buda avec sa verdure, ses villas et ses hautes collines boisées qui offrent de belles perspectives et mille possibilités de randonnées et excursions. Je ne parle même pas des bains pour lesquels nos compatriotes font volontiers le voyage de France. Car Budapest est aussi, rappelons le, une ville thermale, la plus grande d’Europe avec ses 120 sources.
Budapest-Paris, Paris-Budapest: un couple contrasté, mais se complétant à merveille. Dont je ne saurais me passer, ni de l’une, ni de l’autre. Et je donne à parier que je ne suis pas le seul.