L’annonce faite par le nouveau Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, quant au déblocage, la semaine prochaine, de 60 milliards de dinars pour le paiement des entreprises réalisatrice de l’AADL et du LPP a fait réagir les entreprises locales de Annaba.
En effet, nombreuses sont les entreprises qui reprochent à l’administration du chef-lieu le retard de paiement de leurs travaux achevés, dont les situations sont rangées sans suite. «Pour un appel de fonds relevant d’un Programme de développement communal (PDC), le receveur de la commune de Annaba doit attendre plusieurs mois pour espérer la validation de la daïra. Entre-temps, les entreprises réalisatrices pataugent en attendant le bon vouloir du chef de daïra de Annaba, pour se voir régler leurs situations», dénoncent plusieurs entreprises ayant pris attache avec notre rédaction. Paradoxalement, cette situation n’est pas la même dans les autres circonscriptions de la wilaya. Il en est ainsi de la daïra d’El Bouni, où tous les états de paiement des entreprises réalisatrices sont assainis. «A El Bouni, on ne se plaint pas. Aussitôt les travaux des entreprises achevés et les appels de fonds lancés, le chef de daïra ne tarde jamais à les libérer au grand bonheur des bénéficiaires.
Ce qui n’est pas le cas à Annaba, où on attend plusieurs mois pour se voir délivré de ce blocage», comparent d’autres chefs d’entreprise activant dans cette circonscription.
Un énorme trou, de la dimension d’une tombe, est creusé, puis remblayé par une équipe de la Seaal qui avait réparé une canalisation d’eau potable au niveau du 8, rue Franklin-Roosevelt, sur le trottoir qui fait face au siège du ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme. Les travaux sont achevés depuis plus d’une semaine, mais lesdits services ne sont pas revenus sur les lieux pour remettre la chaussée en son état initial. Si cela perdure encore, il y a risque que la structure de la chaussée se fragilise, d’où le danger d’un affaissement et, par-là même, un risque de chute encouru par les piétons qui fréquentent le quartier. Les riverains espèrent que la direction des travaux de Seaal, installée à Safsafa (Aïn Naâdja), prendra des dispositions pour ne pas laisser la voie publique en chantier après la fin du chantier.
Lors de l’élection du président du Comité olympique algérien (COA), qui a eu lieu samedi dernier, le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, a donné une procuration à Rachid Gasmi, membre du bureau fédéral, pour voter à sa place et le suppléer ainsi durant son absence. Selon nos sources, ce dernier a donné la voix de la FAF à Abdelhakim Dib, président de la Fédération algérienne d’athlétisme.
Il aurait ainsi suivi une consigne tacite du ministre de la Jeunesse et des Sports, qui s’est échiné à barrer la route à Mustapha Berraf, candidat à sa propre succession. Comme rapporté par la presse, le MJS, El-Hadi Ould Ali, a utilisé des méthodes aussi musclées que celles qu’il a adoptées lors du renouvellement de la présidence de la FAF, en mars dernier, pour pouvoir imposer son candidat. Ces derniers jours, il a donné l’impression d’asséner des vérités implacables en accusant, en des termes à peine voilés, Mustapha Berraf de détournement d’une partie du budget alloué à la participation de l’Algérie aux jeux Olympiques de Rio. Il n’en demeure pas moins que les efforts déployés pour discréditer l’homme ont été vains, puisqu’il a été réélu, malgré tout, à la majorité des voix pour un cinquième mandat à la tête du COA. Fair-play, Ahmed Gasmi a tenu, néanmoins, à féliciter le gagnant de l’élection à l’issue de l’opération électorale, nous dit-on.
Un jeune homme d’une trentaine d’années a été retrouvé hier pendu à un arbre, dans la commune de Soumaâ, à 10 kilomètres à l’est de Blida. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’un suicide.
Des investigations ont été entreprises pour connaître les raisons qui ont poussé celui-ci à se donner la mort.
Par ailleurs, deux habitants de Blida se sont noyés à la veille du mois de Ramadhan dans une des plages de la wilaya de Tipasa.
Un incendie attisé par des rafales de vent marin a brûlé 2 hectares de forêt dans la forêt de Ouled-Bouziane, un bois situé entre les localités de Sidi-Ali et Sidi-Lakhdar.
Le sinistre, qui s’est déclaré en raison de la canicule qui sévit dans cette région, a notamment détruit 2 hectares de pinèdes, de broussailles et de maquis dans cette forêt dense d’une centaine d’hectares de différentes essences arboricoles.
Des moyens importants humains et matériels ont permis d’arrêter la propagation des flammes.
Quatre groupes d’intervention de 40 sapeurs-pompiers avec 15 camions anti-incendies dépêchés par les unités de Sidi-Ali, Sidi-Lakhdar, Aïn-Tédelès et de l’unité principale du chef-lieu de wilaya ont lutté pendant 4 heures pour maîtriser totalement l’incendie.
Il n’y a pas eu de trêve pour les soldats du feu en ce mois de mai ; depuis le début du mois, leur mobilisation est totale dans la wilaya.
Par le biais du communiqué de la cellule de communication, nous apprenons qu’une campagne de sensibilisation sur les risques susceptibles de survenir durant le Ramadhan et la saison estivale est lancée à l’initiative de la Protection civile.
A cet effet, un programme diversifié sera mis en place pour assurer une large diffusion des consignes de sécurité et en amoindrir leurs conséquences
Összesen 13 milliárd forintra lehet pályázni alapellátás-fejlesztés és népegészségügyi szolgáltatások fejlesztése témakörében - jelentette be az egészségügyért felelős államtitkár szerdán sajtótájékoztatón, Budapesten.
A Nemzeti Parki Termék Védjegyrendszer ismertségének növelése érdekében egy éven át tartó promóciós- és marketing körút aggteleki rendezvényén ünnepélyes keretek között hirdették meg május 23-án „Az év ökoturisztikai létesítménye 2017” pályázatot, amit a Földművelésügyi Minisztérium és a Magyar Turisztikai Ügynökség írt ki közösen. Az ökoturisztikai létesítmények üzemeltetői 2017. június 30-ig adhatják be pályázataikat.
L’ancien ministre des Affaires religieuses, Amokrane Abdelhafidh, a ouvert le feu aujourd’hui sur son épouse dans leur domicile à Zeralda, a appris ALG24.
L’ancien ministre a atteint son épouse de trois balles à l’épaule. Cette dernière serait, selon nos sources, hors de danger malgré sa blessure.
L’ancien ministre Amokrane a ainsi été arrêté par les éléments de la police et son arme a été saisie.
Le Moudjahid Abdelhafidh Amokrane, âgé de 91 ans, a été ministre des affaires religieuses au Gouvernement de Réda Malek entre 1992 et 1993.
On 28 May 2017, European Council President Donald Tusk participated in a panel debate called "European (Dis)Union?" during the Globsec forum in Bratislava with Robert Fico, the Prime Minister of Slovakia, and Bohuslav Sobotka, the Prime Minister of the Czech Republic.
Below you can find some of President Tusk's main quotes from the debate. At the bottom is also a link to the full recording of the debate.
On the G7 Summit and transatlantic relations"I think that our meeting in Taormina as G7 is the best evidence that rumours about the decline of the west is a clear exaggeration. "
"I feel more optimistic now after the G7 meeting than I had personally expected, and this optimism includes relations with our new partners around the table and I mean especially with President Trump."
"My impression after this meeting is that cooperation among G7 members, including the transatlantic cooperation between Europe and the United States, can be easier than what we expected immediately after the elections in the United States."
On multi-speed Europe"There is nothing new and nothing extravagant in talking about specific and different political or legal formats in the EU. First of all, the possibility of enhanced cooperation among a group of member states is foreseen by the treaties and the most spectacular examples of this enhanced cooperation could be the Eurozone or Schengen. It is quite natural for such a very complex political system like the EU to have differences and different levels of integration. We also have different political clubs like the Visegrad group, the Weimar triangle, the Benelux or the Nordic countries. My previous experience as PM is that they were and are very useful in the process when we are looking for a compromise."
"In fact, the real threat to the European Union today is not the different speeds, being two or multi-speeds, or the different levels of integration - this is already our political reality, it was always our reality and it will remains our reality in the EU. The real threat is the different destinations or different directions. For me the biggest problem in Europe is that we today have some political parties, some governments, politicians, media etc. who are questioning the essence of the EU, the essence of Europe. By essence, I mean the values of liberal democracy, freedom, tolerance, freedom of speech."
On the migration crisis and terrorism"Europe is still the most open continent or the most open place in the world for refugees and migrants. We have thousands and thousands of people, organisations, and institutions deeply engaged in humanitarian assistance. Europe, of course, is not perfect but is still the best example in the world when it comes to the readiness to sacrifice something, not only money but also our time and emotions."
"When it comes to the Muslim minority, I see a very visible risk that some political elites and political groups are ready to claim that in fact Islam is the synonym of terrorism. We can't agree with this kind of simplification."
"On the other hand, we should understand also the emotions especially after such an event like Manchester or other attacks in Europe. My advice or rather suggestion is that we have to start a genuine discussion with the Muslim minorities representatives on how we can cooperate together to exclude Islamic radicals from our societies. I think it is not enough today to show Muslim solidarity after the attacks. Without a deep engagement from the Muslim communities in our countries, we have no chance to eliminate this radical part of the Islam world."
On leaks from meetings"As you know, I am not here to be part of this new culture of permanent leaks. From time to time we also need some discretion and personal encounters."
La cellule de communication de la Gendarmerie nationale a rendu public un communiqué faisant état d’un dispositif établi durant le mois de Ramadhan, en vue de la protection des biens et des personnes à travers le territoire de la wilaya de Tipasa.
A ce titre, ce communiqué précise que plus de 2 400 gendarmes, 250 véhicules et
200 motocycles, type motard, ont été déployés sur l’ensemble des axes routiers, en vue de sécuriser la mobilité citoyenne et l’activité des personnes au niveau de l’activité religieuse au sein et à proximité des lieux de culte, ainsi qu’au niveau des marchés, des lieux de divertissement, des lieux et moyens de transport, de jour comme de nuit.
Cette opération vise également à sécuriser les axes routiers et le déplacement des citoyens lors de ce mois du Ramadhan.
Le communiqué précise que plusieurs mesures sont prises en vue d’assurer le confort des citoyens, lors de ce mois sacré du Ramadhan, à travers notamment l’instauration de points fixes et mobiles de contrôle, lors de l’entrée des visiteurs et estivants, particulièrement avant, pendant et après le petit-déjeuner et lors des prières du Maghrib et des Tarawih.
Des patrouilles fixes et mobiles de sécurisation et de contrôle sont programmées pour la protection des lieux de culte, notamment lors des prières de l’aube et du Maghrib, en particulier lors de la prière des Tarawih, à travers l’intensification des opérations, pour l’identification des personnes suspectes à travers aussi l’usage de moyens scientifiques et des technologies modernes, pour prévenir tous types d’infiltration destinée à des projets de malfaiteurs, de banditisme et terroristes. A ce titre, il a été précisé que le centre d’appels dédié aux citoyens, le 10 55, a été renforcé pour une réponse immédiate aux doléances et préoccupations citoyennes.
Des citoyens indiquent qu’ils doivent attendre parfois pendant toute une matinée pour l’activation de la carte Chifa ou le retrait d’une attestation de non-affiliation.
Les affiliés à la Caisse nationale d’assurance sociale (CNAS) de Daksi doivent faire preuve de beaucoup de patience, car l’attente devant les guichets débordés de l’antenne en question est très longue. Des citoyens indiquent qu’ils doivent attendre parfois pendant toute une matinée pour obtenir la moindre prestation, particulièrement pour ceux qui doivent activer leur carte chifa ou retirer une attestation de non-affiliation.
C’est le cas d’un retraité habitant Sidi Mabrouk.
Diabétique et insuffisant respiratoire, ce dernier, soutient que se rendre à la CNAS de Daksi constitue un véritable calvaire pour les citoyens, notamment ceux dont l’état de santé défaillant rend pénible une attente prolongée. Des propos que nous avons pu vérifier lors de notre déplacement, lundi passé, sur les lieux. Le service en question, dont les locaux sont situés au rez-de-chaussée de la CNAS de Daksi et dont l’espace est trop exigu pour contenir le flux incessant de citoyens, était vers onze heures débordé, à telle enseigne que la file d’attente s’étirait jusqu’aux couloirs de l’agence.
Une dame qui attendait de réactiver sa carte chifa nous a affirmé d’ailleurs qu’elle était là depuis neuf heures et qu’elle ne savait pas combien de temps il lui faudra attendre encore. Nous avons tenté d’approcher le chef de service de l’antenne afin d’obtenir des explications sur cette situation, mais l’on nous a dit qu’il était absent pour la journée.
Nous avons donc, faute de mieux, interrogé un agent de la CNAS, lequel a reconnu que la situation était réellement pénible pour les affiliés, mais qu’il était difficile d’améliorer, selon lui, la qualité des prestations fournies actuellement par l’agence, en raison d’un manque cruel de personnel. Il nous dira à ce propos : «Notre antenne fonctionne avec très peu de personnel. Plusieurs de nos agents ont fait valoir ces dernières années leur départ à la retraite. Les responsables nous répètent depuis des mois que ces difficultés ont été portées à la connaissance de la direction et que celle-ci devait procéder au renforcement de l’agence par de nouveaux éléments, mais jusqu’à ce jour rien n’a été fait.»
Après les ports bretons et méditerranéens, la 2e session nationale « Enjeux et stratégies maritimes » a fait escale dans les ports de la Côte d’Opale les 19 et 20 mai...
Les habitants des 125 chalets en amiante de la cité Aboud Hayoune, dans la commune de Didouche Mourad, située à 15 km au nord de Constantine, ne cessent de crier leur détresse, depuis plusieurs années, face au danger de mort qui les guette au quotidien.
Ce dernier n’est autre que le cancer, qui touche une bonne partie des résidents, habitant des chalets contenant de l’amiante depuis 1984. Leur malheureuse histoire est révélée dans les nombreuses requêtes adressées à toutes les autorités nationales et locales, dont le wali de Constantine, le P/APC de Didouche Mourad, le DG du groupe des cimenteries (GICA), dont le siège est situé à Blida, et même le Premier ministre et le ministre de l’Industrie et des Mines.
Toutes ces requêtes, dont nous détenons des copies, sont restées sans lendemain. Ceci se passe, alors que la mort n’a pas besoin de requêtes pour stopper ses ravages parmi une population qui continue de recenser en silence ses victimes. Documents et dossiers médicaux à l’appui, des membres de l’association du quartier dénommée Ecologia, ayant pris contact avec El Watan, dénoncent le mutisme des autorités face à leur souffrance. «Nous sommes 125 familles habitant depuis 1984 des constructions contenant de l’amiante dépendant de la société de la cimenterie de Hamma Bouziane, réalisées pour une durée n’excédant pas 10 ans, mais que nous continuons à occuper à ce jour.
L’amiante a fini par emporter une vingtaine de personnes atteintes de cancer, alors que 18 autres, souffrant encore, sont sur la liste d’attente de la mort en raison de leur état, sans parler des cas d’allergies respiratoires et d’asthme. Nous avons sollicité toutes les parties concernées à Didouche Mourad, ainsi que le groupe GICA, propriétaire de l’assiette foncière, pour trouver une issue à notre problème, mais aucune réponse n’est venue nous rassurer», déplore Abdelmadjid Chiheb, président de l’association Ecologia.
«Ces vieilles constructions réalisées depuis plus de 30 ans, contenant un matériau toxique interdit par la loi, sont dans un état délabré, où les conditions de vie deviennent insupportables», poursuit-il. Ce dernier affirme que son association avait saisi le wali par plainte officielle en 2014 pour demander une intervention urgente. «Nous avons été orientés vers le chef de la daïra de Hamma Bouziane pour trouver une issue définitive à notre cauchemar, mais nous n’avons eu droit qu’à des promesses non concrétisées», regrette notre interlocuteur. A ce jour, les habitants des 125 logements de la cité Aboud Hayoune à Didouche Mourad en appellent au wali de Constantine pour une décision salutaire, qui va les libérer de la hantise de voir d’autres morts s’ajouter à la liste macabre de leur quartier.
Le parti qui a succédé à «En marche!» est désormais en tête des sondages en France. Les bons débuts d’Emmanuel Macron à l’Elysée pourraient se refléter dans les urnes. Avec une opposition de droite dans le viseur. C’est parti pour la seconde étape du grand bouleversement politique français. Avec l’ouverture ce lundi de la campagne […]
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