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Bientôt des munitions biodégradables sur les stands de tir de l'US Army?

Lignes de défense - Fri, 13/01/2017 - 10:39

Des munitions biodégradables ? Bonne idée; ça permettrait de ne plus polluer les champs (de tir, de manoeuvre et de bataille) et d'éviter de longs et coûteux programmes de déminage. Sauf que la technologie n’existe pas encore et que l’on continuera malheureusement pendant longtemps à utiliser des métaux lourds et des alliages aussi polluants que corrosifs et dont la durée de vie se compte en dizaines, voire centaines d’années (photos DoD).

Pourtant l’intérêt des munitions biodégradables (donc moins dangereuse pour l’environnement mais pas moins pour l’homme ou l’animal qu’elles sont supposées atteindre) n’est pas inédit. Un brevet a même été déposé aux USA, en 2006, par Patrick Epling qui a mis au point une munition soluble dans l’eau froide ("cold water-soluble and biodegradable ammunition"). Un autre brevet, déposé en 2014, propose des munitions de chasse aux étuis biodégradables en thermoplastique constitué par un mélange de deux polyesters.

En France, des munitions biodégradables, sans métaux lourds, existent aussi pour la chasse (avec des bourres solubles dans l’eau), le tir sportif, l’airsoft.

A son tour, le ministère américain de la Défense, le DoD, s’est décidé à apporter sa contribution à la protection de l’environnement.

Lui qui brûle pour près de 15 milliards de dollars par an en carburant s’est déjà penché sur ce sujet. Il a ainsi développé le recours aux biocarburants puisqu’un rapport de la Rand Corporation publié en juillet 2011 le recommandait. Sauf que le "bio-fuel" est cinq fois plus cher que le carburant pour avion traditionnel. Malgré ces prix prohibitifs, l’US Air Force et l’US Navy espèrent que d’ici à 2020, 50 % de leur consommation seront couverts par des biocarburants.

Côté munitions militaires, c’est encore plus délicat. Comme on dit, la munition fait la différence et ses qualités balistiques et perforantes importent davantage que sa capacité biodégradable. Les balles des munitions de guerre peuvent être expansives, blindées, perforantes, à fragmentations mais les tireurs leur demandent rarement d’être "éco-friendly".

Le DoD a lancé, fin octobre 2016, un appel d’offres portant sur le développement de munitions d’entraînement biodégradables chargées de graines qui produiront des plantes dépolluantes. Il est vrai que les militaires US passent rarement un coup de balai après des exercices à balles (réelles ou non) et que des tonnes de débris sont abandonnées sur les champs de tir et de manœuvre (pour les champs de bataille, on verra plus tard).

Le programme est piloté par le Small Business Innovation Research. L’appel d’offres (lire ici), intitulé : "Biodegradable Composites with Embedded Seeds for Training Ammunition", est ambitieux : il s’agit de développer des munitions dont les étuis biodégradables (alliant plastique et bambou par exemple) libéreront des projectiles contenant des graines respectueuses de l’environnement et tueuses de débris polluants. Le ministère, conscient des difficultés, a donc décidé de commencer par le développement d’obus d’entraînement de calibre de 40 à 120 mm dont les étuis sont de taille respectable.

Si les résultats sont probants, la phase deux du projet verra la réalisation de tests balistiques et l’étude d’une éventuelle production industrielle.

Toutes les idées sont les bienvenues. Il faut juste les avoir avant le 8 février prochain.

Autre avis: celui qui porte sur des "Polymer-Cased Ammunition for Small Arms and Cannon Ammunition" (lire ici). Il s'agit de réduire d'un tiers le poids des étuis.

Categories: Défense

EU-Parlament gibt grünes Licht für Oettingers Ressortwechsel

Euractiv.de - Fri, 13/01/2017 - 10:39
Günther Oettinger darf das Haushalts- und Personalressort der Kommission übernehmen. Eine mögliche Ernennung zum Vize-Präsidenten stößt allerdings in Teilen des Haushaltskontrollausschusses auf Widerstand.
Categories: Europäische Union

Mélenchon et le PCF divisés sur les législatives

Le Monde / Politique - Fri, 13/01/2017 - 10:35
La bataille des investitures attise les tensions entre les deux alliés.
Categories: France

Primaire à gauche : le revenu universel crée un nouveau clivage

Le Monde / Politique - Fri, 13/01/2017 - 10:35
La proposition portée par Benoît Hamon a été rejetée par les autres candidats à la primaire pendant le premier débat télévisé.
Categories: France

Agenda - The Week Ahead 16 – 22 January 2017

European Parliament - Fri, 13/01/2017 - 10:30
Plenary session in Strasbourg

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

« Ethnographie du Quai d’Orsay » – 3 questions à Christian Lequesne

IRIS - Fri, 13/01/2017 - 10:25

Christian Lequesne est professeur de science politique à Sciences Po Paris. Directeur du Centre de recherches internationales (CERI) de 2009 à 2014, il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage : « Ethnographie du Quai d’Orsay : les pratiques des diplomates français », aux éditions CNRS.

Est-il facile de s’immerger au sein du Quai d’Orsay ou la maison résiste-t-elle aux « intrusions extérieures » ?

Non, ce n’est pas facile, comme pour toutes les administrations diplomatiques du monde. La diplomatie est un monde discret qui entretient la prudence sur la communication de ses activités. Les diplomates craignent la fuite, la gaffe et le scandale. Personnellement, j’ai bénéficié de vraies facilités. Le ministre de l’époque, Laurent Fabius, m’a autorisé à suivre des réunions à l’administration centrale et en ambassade. J’ai donc été témoin de moments au cours desquels la diplomatie française s’effectuait concrètement. Dans mon parcours de chercheur, ce fut évidemment un moment très privilégié car vous voyez les lieux, les attitudes, la nature des échanges et vous pouvez en interpréter le sens social. Si j’ai pu le faire, c’est parce que je n’étais pas un inconnu du ministère. Mes publications, mes expériences passées dans des emplois culturels m’ont assuré une certaine « réputation ». Or, le monde de la diplomatie française y est très sensible. Si celle-ci n’est pas mauvaise (selon ses critères), il est prêt à vous faire confiance. C’est un monde qui fonctionne beaucoup à la confiance. Je l’avais d’ailleurs déjà remarqué lorsque j’occupais des postes culturels. Je pense que si j’avais été un chercheur américain souhaitant effectuer le même travail au sein du Département d’Etat, j’aurais dû me soumettre à davantage de procédures formelles, comme des demandes d’habilitation. Une chose m’a cependant manqué en tant que chercheur : l’accès à certains documents. Mais il y a des limites dans ce que vous pouvez demander et, si voulez travailler convenablement dans un monde régi par la discrétion, vous ne devez pas vous montrer maximaliste. J’ai senti très fortement que, dans la culture du Quai d’Orsay, dire des choses au chercheur ou lui permettre d’entendre est une chose ; lui communiquer de l’écrit en est une autre.

Les diplomates fabriquent-ils la politique étrangère de la France ?

Ils ne sont pas les seuls acteurs à « fabriquer » la politique étrangère. Ils contribuent à un processus à acteurs multiples. Mais les diplomates savent que la décision finale est rarement de leur ressort mais de celui des responsables politiques. De même, ils sont conscients que tous les autres ministères sont engagés dans la fabrication de la politique étrangère, comme les organisations internationales et les acteurs non gouvernementaux tels les ONG. Je pense qu’en 2017, leur réalisme les amène à ne plus prétendre vouloir incarner seuls la fabrication de la politique étrangère. La question qui revient souvent est celle de la valeur ajoutée du diplomate au sein de ce processus complexe. Une des réponses qui est fréquemment donnée est la maîtrise de la négociation qui serait un métier particulier. Il n’est jamais facile de mesurer le rôle que joue tel individu, tel service dans une décision de politique étrangère. Les reconstructions ex post des processus sont souvent trop rationnelles. L’une des difficultés du travail de recherche est que ce que l’on appelle finalement la décision est une addition de micro-décisions difficiles à retracer. Les diplomates ne savent pas toujours s’ils ont été utiles, s’ils ont pesé ou non. Parfois, ils en souffrent même. Il est clair que certains sont mieux placés pour interagir avec le politique que d’autres. Ce sont les diplomates qui travaillent au cabinet du ministre ou, mieux encore, à la cellule diplomatique de l’Élysée. Il y a souvent une prime à la carrière dans ces métiers, que je qualifierai de « politico-administratifs ». En même temps, il faut parfois entrer dans des logiques de fidélité à un camp politique ou à un président. Certains aiment l’idée de faire partie d’une écurie, d’autres pas du tout.

Vous distinguez la carte mentale de l’indépendance et du rang de celle de l’occidentalisme. Que recouvrent ces catégories ? Laquelle pèse le plus aujourd’hui ?

J’avais conscience en écrivant ce livre qu’il s’agirait de la partie qui prêterait le plus à controverse. Si j’ai pris le risque, c’est pour deux raisons.

D’abord, je suis très peu convaincu par les approches de politique étrangère qui ne prennent en compte que les intérêts. Ça ne tient pas la route une minute. Bien sûr qu’il y a chez tout acteur de politique étrangère une logique rationnelle qui vise à résoudre des problèmes. Mais il y a une deuxième dimension, qui se combine toujours à la première, qui est le système de croyance, une certaine représentation normative de ce que doit être une politique étrangère de la France légitime. C’est ce que j’appelle dans ce livre les cartes mentales, que j’assimile (et là c’est un risque scientifique) à des croyances collectives construites à partir de l’éducation et de la perception du débat politique. En menant mes entretiens parallèlement à mon observation directe, j’ai été frappé par une sorte de clivage entre ceux qui continuaient à avoir une carte mentale appelant à une forte indépendance de la France dans le camp occidental, à une démarcation des États-Unis (je les ai nommés les tenants de la carte mentale de l’indépendance et du rang) et ceux qui, au contraire, considéraient que la politique étrangère de la France devait s’inscrire dans la conception d’une puissance occidentale normale. Pour ces derniers, la solidarité transatlantique compte beaucoup, le respect des alliances (en particulier l’OTAN) également. J’y ajouterai la croyance dans un agenda normatif occidental fait de valeurs partagées (en particulier la défense de la démocratie libérale) et l’idée qu’il ne faut pas hésiter parfois à recourir à la force militaire pour le défendre (il y a là une proximité avec la pensée néoconservatrice). Mon sentiment est que les tenants de cette deuxième carte mentale ont gagné en pouvoir au sein du ministère depuis la présidence Sarkozy, confirmé sous Hollande. Très souvent, ils appartiennent à la filière des spécialistes de sécurité et de défense et sont agacés par le vieux paradigme gaulliste (que Mitterrand avait repris à son compte) selon lequel il faut d’abord penser différemment des États-Unis. Il serait faux de dire pour autant que la carte mentale de l’indépendance et du rang a totalement disparu, mais elle est plutôt représentée dans les générations plus anciennes. Le ‘club des vingt’, constitué autour d’anciens ministres comme Dumas et de Charrette, et de l’ancien secrétaire général du Quai d’Orsay Gutmann, incarne la résistance des « anciens », défenseurs de la carte mentale de l’indépendance et du rang, face à la montée en puissance de la carte mentale occidentaliste. La résistance ne vise d’ailleurs pas seulement leurs collègues du Quai d’Orsay mais aussi le monde politique et intellectuel qui a été séduit par la carte mentale occidentaliste depuis la fin de la guerre froide.

Cependant, une carte mentale n’explique pas tout dans la décision de politique étrangère. Je le répète : il y a toujours une autre composante qui est la rationalité liée à la résolution du problème. Jacques Chirac, par exemple, fut certainement le dernier président français à incarner la carte mentale de l’indépendance et du rang. Cela ne l’a jamais empêché de prendre des décisions proches de celles des États Unis quand sa rationalité le lui dictait. Il faut considérer que rationalité et carte mentale sont un processus de transaction. Les deux aspects comptent et on ne doit en ignorer aucun.

Africa's top shots: 7 - 13 January 2017

BBC Africa - Fri, 13/01/2017 - 10:20
A selection of the best photos from across Africa this week.
Categories: Africa

Au revoir Obama, bonjour Trump. Que retenir de leur première et dernière conférence ?

IRIS - Fri, 13/01/2017 - 10:13

Donald Trump a réalisé, le 11 janvier, sa première conférence de presse. Que retenir de son intervention à dix jours de son investiture officielle ?

Cette première conférence de presse ne nous a rien appris sur la manière dont Donald Trump abordera les dossiers.

Il a orchestré une mise en scène intéressante pour les observateurs. Il reçoit chez lui, dans la Trump Tower, ce qui est une manière de dire à ses interlocuteurs que c’est à eux de s’adapter à lui, et non l’inverse. De plus, il prend place derrière le pupitre en compagnie de son avocate qui reste à proximité au cas où une question le mettrait en difficulté. Au premier plan, plusieurs piles de faux dossiers ont été placées sur son bureau, afin de donner l’impression que Donald Trump s’empare des sujets de l’agenda avec sérieux.

Lors de son intervention, Donald Trump semble sur la défensive. Ses propos sont agressifs, parfois à la limite de l’insulte. Bref, il fait du Trump. C’est lui qui mène les discussions, choisit les sujets qu’il souhaite aborder. Il critique les médias, refuse de donner la parole à un journaliste de CNN et qualifie les journalistes de cette chaîne, ainsi que les rédacteurs de Buzzfeed, de menteurs.

Pour ce qui est du contenu de son intervention, Donald Trump a évité les sujets qui fâchent, notamment les questions éthiques. On n’apprendra rien, ou pas grand-chose, des potentiels conflits d’intérêts qui le menacent alors que Donald Trump confie son entreprise à ses fils. Rien sur l’origine de ses futures rémunérations puisqu’il renonce à toucher son salaire de président. Rien non plus sur son gendre, nommé conseiller alors qu’il est encore lié au business Trump.

En ce qui concerne ses promesses de campagne, Donald Trump reste dans l’ellipse et l’incantatoire. Le futur président évoque l’Obamacare, dit vouloir rapidement le remplacer, ce qui est impossible dans les prochains mois, et ce, alors que même les Républicains les plus farouchement opposés à la réforme de santé d’Obama estiment que son démantèlement prendra plusieurs années.

Quant au mur le long de la frontière mexicaine, Donald Trump, reste vague, tout en continuant à dire que les Mexicains le rembourseront. Comment ? En guise de réponse, il se contente d’affirmer qu’ils ne payeront sans doute pas mais qu’ils rembourseront « d’une manière ou d’une autre ».

Les journalistes présents à la conférence de presse ont interrogé Donald Trump sur les soupçons, selon lesquels, la Russie détiendrait des informations compromettantes à son sujet. Donald Trump a répondu en fustigeant les services de renseignements et les médias. Ces affaires risquent-elles de peser sur le début de mandat du futur président des Etats-Unis et d’influencer ses décisions tout comme les relations de la Maison blanche avec les services de renseignements ?

Je pense qu’il faut prendre les informations compromettantes sur Donald Trump avec beaucoup de précautions. Leur véracité est encore loin d’être prouvée. Il se pourrait qu’elles soient fausses et que l’un des nombreux ennemis que compte Donald Trump ait tenté de lui nuire. Mais le problème de ces rumeurs, c’est qu’elles sont crédibles ! Elles collent tout à fait à la réputation du personnage. Quand bien même ces révélations seraient vraies, ont-elles une importance ? Pas sûr. Du moins, pas toutes. Je ne pense pas que des révélations de comportements moralement condamnables ou scabreux comme une sextape puissent venir remettre en question sa place de président. Elle le conforterait plutôt dans son personnage qu’il campe depuis des années. Sur ce sujet, il a déjà une mauvaise réputation. Par le passé, il a été accusé d’agressions sexuelles. Selon moi, les seules révélations qui l’empêcheraient éventuellement d’exercer son mandat seraient des révélations à partir desquelles Donald Trump pourrait-être poursuivi en justice.

Dans tous les cas, les critiques proférées par Donald Trump à l’encontre des services secrets, notamment le fait qu’il estime qu’il ne peut pas leur faire confiance sont de nature à inquiéter et constituent un problème de sécurité pour les Américains et leurs alliés.

La veille de la conférence de presse du futur président, c’était au futur ex-président, de faire son discours d’adieu à Chicago. Quel message Barack Obama a-t-il voulu adresser aux Américains ? Quel est son héritage ?

On s’attendait à un discours fondé sur l’unité, l’optimisme, l’espoir. Cela a été le cas. Mais Barack Obama a également surpris en exprimant des mises en garde à l’égard de Donald Trump. Dans son discours, le futur ex-président américain exhorte ses citoyens à ne pas baisser les bras et à rester mobilisés (notamment en vue des prochaines élections). Il incite les Américains à défendre les valeurs démocratiques et la lutte contre le racisme. Il demande également aux Américains de ne pas céder aux théories du complot et à la mode des fake news. Je pense que Barack Obama a été l’auteur d’un discours plus fort et engagé qu’il ne l’aurait été si son successeur provenait du camp démocrate ou si un autre candidat républicain l’avait emporté. Il craint aussi sans doute de voir son successeur remettre en question son héritage.

Barack Obama laissera l’image d’un président au style élégant constamment à la recherche du compromis. Il aura cultivé une culture de l’entente avec ses adversaires politiques, et rarement essayé d’imposer une décision par la force. Il aura privilégié les décisions bi-partisanes, même si cela n’a pas été, loin s’en faut, toujours facile. C’est avant tout un juriste, ce qui lui a d’ailleurs valu quelques critiques – Sarah Palin le surnommait ainsi le « professeur de droit ».

Sur le fond, le bilan de Barack Obama est mitigé. Bien qu’elle mérite des améliorations (sur la question du montant des primes, par exemple), on peut tout d’abord considérer sa réforme de santé, l’Obamacare, comme une réussite. Sur le plan économique, Barack Obama aura été le président de la reprise, après la crise de 2008. Une reprise marquée par une croissance à 2% et le quasi-plein-emploi (5% de chômeurs). Cette relance s’est cependant réalisée au prix d’une précarisation des emplois et d’une augmentation des inégalités. Sur ce point Barack Obama, faute de majorité notamment, a échoué à augmenter les impôts des plus aisés, abaissés sous l’ère George W. Bush, ce qui aurait éventuellement permis une meilleure redistribution des richesses. Dans son discours, Barack Obama a exprimé ses regrets sur ce sujet.

Son bilan est également mitigé en politique étrangère. Parmi ses réussites, l’accord sur le nucléaire iranien et l’ouverture des relations diplomatiques et commerciales avec Cuba. Le dossier syrien, la dégradation des relations américano-russes, ainsi que la non-résolution du conflit israélo-palestinien resteront ses échecs les plus marquants à l’international.

Enfin, la signature de l’accord sur le climat, les progrès effectués en faveur des droits de femmes et des homosexuels sont à mettre à son crédit. De manière générale, la déception de certains s’explique par le fait que les espoirs placés en Barack Obama étaient élevés.

Avec Donald Trump, c’est un style radicalement différent de faire de la politique qui s’impose, et un rapport à la démocratie qui ne manquera pas de susciter des questionnements.

L’auteur du rapport Trump a aussi enquêté sur Georgieva

Euractiv.fr - Fri, 13/01/2017 - 10:06
Exclusif. Christopher Steele, ancien responsable des opérations russes pour les services de renseignement britanniques MI6 et présumé auteur d’un dossier accusant Donald Trump, a aussi enquêté sur l’ancienne commissaire bulgare, Kristalina Georgieva, a révélé EurActiv.
Categories: Union européenne

Communiqué de presse - Les priorités de la présidence maltaise débattues en commissions - Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures - Commission des affaires juridiques

Parlement européen (Nouvelles) - Fri, 13/01/2017 - 10:05
Les priorités de la présidence maltaise du Conseil des ministres de l’UE seront présentées en commissions parlementaires par les ministres maltais lors d’une série de réunions prévues en janvier.
Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures
Commission des affaires juridiques

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Categories: Union européenne

France : à la veille de l’élection présidentielle, les politiques s’emparent de YouTube

France24 / France - Fri, 13/01/2017 - 10:01
Les politiques investissent la plate-forme de vidéos en ligne YouTube avant la présidentielle. Dernier en date, Florian Philippot pour le Front national. Jean Massiet, jeune youtubeur politique, commente pour France 24 leurs prestations filmées.
Categories: France

Eddig 750 millió eurót költött az EU a török menekültekre

Eurológus - Fri, 13/01/2017 - 10:01
A menekültek törökországi segítésére összeszeszedett pénz felét lekötötték.

Eddig 750 millió eurót költött az EU a török menekültekre

EU Pályázati Portál - Fri, 13/01/2017 - 10:01
A menekültek törökországi segítésére összeszeszedett pénz felét lekötötték.
Categories: Pályázatok

La Valette prévoit de nouveaux accords anti-immigration

Euractiv.fr - Fri, 13/01/2017 - 10:00
Aux commandes de l’UE pour les six mois à venir, Malte tentera de mettre en place des accords sur les réfugiés, similaires à celui conclu avec la Turquie, avec d’autres pays méditerranéens, a indiqué Joseph Muscat, Premier ministre maltais.
Categories: Union européenne

EU gewährt Georgien Visafreiheit

Euractiv.de - Fri, 13/01/2017 - 10:00
In Zukunft dürfen georgische Staatsbürger ohne Visum in die EU einreisen. Die Visabefreiung ist ein wichtiges Instrument, um die pro-europäische Kräfte zu stärken. Eine EU-Mitgliedschaft Georgiens ist allerdings nicht in Sicht.
Categories: Europäische Union

3,8 millions de téléspectateurs pour le débat de la primaire à gauche

L`Express / Politique - Fri, 13/01/2017 - 10:00
Les prétendants à l'Elysée se sont affrontés ce jeudi dans un premier débat télévisé, diffusé sur TF1 et RTL. Ils ont moins rassemblé qu'en 2011.
Categories: France

Un rapport juge l’impôt sur les sociétés français peu compétitif en Europe

Euractiv.fr - Fri, 13/01/2017 - 09:48
L’impôt sur la société en France est trop élevé par rapport à la moyenne européenne, selon un rapport, qui préconise de le ramener à 25% contre 33,3 aujourd’hui.
Categories: Union européenne

For better or worse? The global data revolution

Bonn, 13 January 2017. At a time when most of us are having a quiet start to the year, cleaning up desks and refreshing to-do lists, a group of UN officials, South African statisticians and international partners are frantically working to finalise preparations for the first-ever UN World Data Summit. The Summit takes place from 15-18 January in Cape Town and looks into what role data and statistics can play in realising the 2030 Agenda and its 17 Sustainable Development Goals (SDGs). The Cape Town event will not be another momentous occasion to adopt a weighty political outcome document of which each and every word has been negotiated by a committee. It will instead be a more ‘down-to-earth’ gathering, yet no less ambitious in its aim to convene governments, businesses, civil society and the research community to discuss how data and statistics may serve to measure global progress as well as directly contribute the realisation of the 2030 Agenda. Such a ‘data revolution’, as it was referred to during the negotiations of the 2030 Agenda, will only be realised when both the functional and political dimensions of the use of data and statistics in all countries of the world are adequately considered and addressed. It is clear that today’s technical possibilities are nearly endless, allowing Estonians to be the first to use their mobile phones to vote in parliamentary elections in 2007, or Kenyans to accelerate business opportunities, or for the US President-Elect to outline the main dimensions of his future foreign affairs strategy on Twitter. Yet today also brings realisation of the risks that such technologies raise, as they may expose the mobile phone habits of the German chancellor, or the misuse of people’s continuous access to information sources by the spread of ‘fake news’. These examples point to a formidable challenge facing all countries in the world: new technologies, solutions and social movements propel the production and use of data and statistics, yet they also contribute to destabilising our societies and creating new inequalities. Governments are challenged to simultaneously deliver 4G connectivity, combat increasing distrust among the electorate as fired up by ‘post-truth’ online (dis)content, as well as maintain a healthy balance between security and privacy. Poor numbers, or poor governance? In the field of international cooperation for sustainable development, some extreme views – and a resulting lack of consensus – can be detected when it comes to the role of data and statistics. There are those who argue that new technologies may allow countries with otherwise unreliable and inadequate official statistical systems to leapfrog their way towards evidence-based policy making, while others defend the long walk and argue that patience, leadership and resources are needed to gradually develop the required capacity. Morten Jerven’s book on “Poor numbers” (2013) was an eye-opener to many academics and policy-makers: inaccurate macroeconomic data is a knowledge and governance issue, not only in African countries but also in wealthier countries. His main message is that data and statistics are not just about functional problems in search of technical fixes. Data and statistics are important components of the political-economy landscape of every country. Facing up to a funding and learning gap Patterns of past investments in capacity development for data and statistics, reveal that donors – and as a consequence more aid-dependent countries – have deprioritised this area for decades. Today, the requirements for SDG monitoring – the tip of the iceberg for data and statistic needs in many countries – requires an annual increase in aid of $350 to $400 million to support the production of data on the SDG indicators. Moreover, support has emphasised technical solutions to perceived bottlenecks and often negated or ignored the political dimensions of existing capacity challenges. A recent UN system-wide evaluation observed that "challenges of supporting capacity development for greater and deeper use are complex and are as much about addressing incentives and political constraints as they are about helping to develop individual technical capacities to undertake statistical analysis." Few would object to this statement, and yet the reality is that writing the terms of reference for a new project, with a demanding time-frame and expectations for tangible results, is challenging. Hence, a data revolution will only be realised once those who support and lead it, covering various public and non-governmental stakeholders that each co-produce and use data and statistics, agree to revolutionalise themselves. The OECD hosted PARIS 21 (Partnership in Statistics for Development in the 21st Century) network was created to allow for knowledge sharing among development cooperation experts and officials of developing country statistical offices. While it is important to push the technical dialogue in Cape Town, the funding gap and long-standing data trends point to a need to catapult this debate into the political arena. Because just like when discussing research funding, there are many other things of greater visibility and interest to politicians. Nevertheless, it will in the end be the ‘softer’ dimensions of capacity, research and information that determine whether or not the 2030 Agenda will be realised, as opposed to another round of silver bullets.

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