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Diplomacy & Defense Think Tank News

Präsident Nana Addo Dankwa Akufo-Addo: „Ghana beyond aid“

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 13/06/2017 - 00:00
Ghana geht als eines von sieben Ländern mit den G20 eine Partnerschaft ein: Bessere Rahmenbedingungen und Privatinvestitionen sollen die Wirtschaft ankurbeln.

Le jour se lève en Macédoine

IRIS - Mon, 12/06/2017 - 18:43

Après une décennie de ce que la Commission européenne a elle-même fini par nommer une « capture de l’État » par le parti au pouvoir nationaliste VMRO-DPMNE, un nouveau gouvernement issu des élections de décembre dernier a finalement été formé. Il est dirigé par Zoran Zaev, président du parti social démocrate SDSM, en coalition avec plusieurs partis albanais ; cela malgré les résistances du président Gjorge Ivanov, homme de paille du VMRO-DPMNE et de son leader, Nikola Gruevski.

Ce dénouement est le résultat à la fois de pressions venues d’en haut, en particulier de Bruxelles et de Washington, puisque le sous-secrétaire d’État en charge de l’Europe est toujours en place et que les États-Unis n’ont pas prévu de changements majeurs dans leur attitude vis-à-vis des Balkans ; mais aussi d’en bas, de la société civile et des milliers de citoyens qui sont descendus dans la rues ces deux dernières années pour réclamer le départ du VMRO et la fin de son système.

C’est en soi une excellente nouvelle dans une région où les pratiques autoritaires se sont fortement développées ces dernières années ; cela non pas en dépit mais grâce au processus d’intégration européenne, dans la mesure où Bruxelles préfère donner quitus à des hommes forts au nom d’une illusoire stabilité, plutôt que de favoriser l’enracinement de pratiques démocratiques et libérales.

Pour autant, c’est maintenant que le plus dur commence pour le nouveau gouvernement macédonien, tant la tâche est immense pour remettre le pays sur les rails économiquement et sur le chemin de l’intégration euro-atlantique. Cela implique une double dimension dans l’action.

En interne, la priorité est de restaurer l’État de droit, c’est-à-dire à la fois en finir avec les pratiques de népotisme et de corruption, et surtout faire en sorte que la justice passe. La procédure de limogeage du procureur général Marko Zvrlevski va dans ce sens, tant ce dernier n’a cessé de faire obstruction à toutes les procédures touchant le VMRO. Celles-ci sont désormais traitées par un bureau du procureur spécial (SPO), qui travaille tant bien que mal dans un univers judiciaire peuplé de fidèles du VMRO. La marge de manœuvre est étroite dans la mesure où le SPO, dont la création était une exigence européenne dans le cadre des accords de Przino de 2015, a besoin d’un large consensus politique pour survivre. Or, la tentative de prise d’assaut du Parlement par des hommes de main liés au VMRO le 27 avril dernier montre que ses leaders ne sont pas du tout prêts à abandonner le pouvoir, et encore moins à se laisser traîner en justice.

Sur le plan extérieur, le nouveau gouvernement macédonien devra œuvrer sur deux fronts. La principale priorité est de relancer le processus d’intégration euro-atlantique bloqué depuis des années par la Grèce, en raison de la querelle sur le nom même de Macédoine. Sur ce point, les premiers contacts entre Skopje et Athènes semblent indiquer de la bonne volonté des deux côtés. Dès lors, un accord pour débloquer les processus vers l’Union européenne (UE) et l’OTAN ne posant pas comme condition préalable la résolution de la question du nom serait un signal très fort. Le nouveau ministre des Affaires étrangères Nikola Dimitrov, ancien négociateur très respecté sur le sujet, est la personne idéale pour mener à bien cette tâche. L’autre priorité sera d’apurer les relations de voisinage, en particulier avec la Serbie dont on a appris qu’elle avait, avec l’aide de la Russie, cherché à soutenir coûte que coûte le VMRO ; y compris par la présence le jour de la prise d’assaut du Parlement d’un membre de ses services de renseignement. La presse tabloïd serbe, sous contrôle de Belgrade et en étroite liaison avec les organes de propagande russe, n’a pas ménagé sa peine pour répandre le spectre d’une grande Albanie et attaquer Zoran Zaev.

Le compte à rebours est donc lancé pour un gouvernement fragile, dont la majorité ne tient à rien et sur lequel repose une responsabilité immense. De ce point de vue, il y a une fenêtre d’opportunité historique et sans doute éphémère pour les acteurs occidentaux de reprendre pied dans la région, avec d’autres intentions affichées en matière d’exigence démocratique, un véritable plan et un calendrier, afin de contrer l’influence d’autres acteurs comme la Russie qui profitent du vide politique laissé par Bruxelles.

Personne n’oublie que l’assassinat de Zoran Djindjic en Serbie en 2003 a fermé une fenêtre d’opportunité pro-européenne et politiquement libérale historique, au cours de laquelle le destin de la Serbie, et sans doute de la région, aurait pu basculer du bon côté avec davantage de soutien international.

Ni les Balkans ni l’Union européenne ne peuvent plus se permettre de voir les fenêtres s’ouvrir puis se fermer, pendant que des dizaines de milliers de jeunes diplômés quittent la région par la porte de derrière.

Quelles solutions à la crise environnementale en Chine ?

IRIS - Mon, 12/06/2017 - 18:31

Jean-Francois Huchet est vice-président du Conseil scientifique de l’INALCO. Il répond à nos questions à propos de son ouvrage « La crise environnementale en Chine : Evolutions et limites des politiques publiques », Presses de Sciences Po (2016) :
– Comment la crise environnementale en Chine a-t-elle atteint une telle ampleur ? Quel a été le déclic pour que le gouvernement s’attaque au problème ?
– Quelles sont les politiques chinoises mises en place ? Sont-elles efficaces ?
– Le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris est-il l’occasion pour la Chine de devenir le leader mondial dans la lutte contre le réchauffement climatique?

New Pact for Europe National Report – Greece

ELIAMEP - Mon, 12/06/2017 - 17:50

This is the fourth in a series of National Reports to be published as part of the new phase of the New Pact for Europe project.*

Greece continues to be in a state of vulnerability, primarily the result of severe domestic errors, but also glaring gaps in the EMU architecture, and unfortunate Eurozone crisis management. Even though the crisis was also produced by EMU systemic failures, adjustment has been highly asymmetric, focusing almost exclusively on the national level. The sense of vulnerability is exacerbated by the effects of the refugee and migration crisis. Despite the disenchantment, a solid, though weakening, majority of Greeks continue to support the country’s participation in the EU institutions and the euro. Drawing on the discussions held amongst the members of the group, the report presents a set of conclusions on how to address the key challenges in strengthening Greece-EU relations:

  • To help deficit countries shoulder the burden of adjustment, Europe needs a growth- and investment-friendly policy mix, greater fiscal integration, a financial union, and a drive to integrate digital, energy, and capital markets.
  • A common migration policy should be based on proper burden-sharing, and solidarity, constituting an organising principle.
  • Security is an area where European citizens demand a truly common European policy. The common tools that have been created must be utilised fully, providing incentives for closer cooperation.
  • Europe needs to deliver effective EU policies in foreign affairs and security policy, defence, the protection of the multilateral global order and the environment, and, at the same time, promote greater risk-sharing though the fiscal and the financial channels.

*After a first successful period in 2013-2015, which included more than 80 events in 17 EU countries and the publication of two major reports, which elaborated five strategic options on the future of the EU, the New Pact for Europe project entered a new phase in 2016-2017. The ultimate aim of this new phase of the NPE project is to work out the details of a wider ‘package deal’ to equip the EU with the tools it needs to meet the internal and external challenges it faces. This proposal will contain solutions generated by connecting the discussions on the key policy challenges, and propose changes in the way the EU and its policies are defined to avoid future fundamental crises.

 

National Reflection Groups have been created and met specifically for this purpose in ten EU countries (Belgium, Estonia, Finland, France, Germany, Greece, Italy, Poland, Portugal and Slovakia), followed by transnational exchanges between these groups. This national report is the result of the work and discussions of one of these National Reflection Groups.

 

For more information on the NPE project, please see the project website: www.newpactforeurope.eu

 

Click here to download the publication.

Législatives : les raisons d’une abstention record

Fondapol / Général - Mon, 12/06/2017 - 15:25

Sentiment que le match est plié, « non-vote » contestataire, désaffection pour la politique après un trop grand nombre de scrutins… L’abstention record du premier tour des élections législatives peut s’expliquer de diverses manières. 19,24 % de participation à midi ; 40,75 % à 17 heures ; 48 %71 % au final. Ce dimanche, les chiffres ont évolué au fil des heures, mais […]

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Législatives 2017 : « Défaite historique » pour Les Républicains, « chaos » au PS, « hégémonie » de LREM, les réactions de Dominique Reynié

Fondapol / Général - Mon, 12/06/2017 - 15:08

Le politologue Dominique Reynié répond aux questions du « Cercle Les Echos » après le premier tour des élections législatives. Emmanuel Macron est en passe de réussir son pari. La République en marche (LREM) a obtenu 28,21% des suffrages exprimés au premier tour des élections législatives, marqué par une abstention record. Le mouvement présidentiel devance Les Républicains-UDI (15,77 %), le Front […]

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The impact of the Serbian presidential election

ELIAMEP - Mon, 12/06/2017 - 14:28

In ELIAMEP Briefing Note 53/2017, Maja Maksimović, Research Associate of the South-East Europe Programme, analyses Serbian presidential elections held on 2 April 2017. She argues that the victory of Aleksandar Vučić, leader of the Serbian Progressive Party (Srpska Napredna Stranka – SNS) and former Prime Minister of Serbia, could lead to further consolidation of a one-man regime in Serbia and the country’s additional sliding towards an autocratic rule.

New politics by the new FYROM government?

ELIAMEP - Mon, 12/06/2017 - 14:12

In his Working Paper Ambassador (retired) Alexandros Mallias analyses the perspectives for  improving the relations between Greece and the former Yugoslav Republic of  Macedonia the day after the formation of a new Government in Skopje. Alexandros  Mallias , who was first Head of Mission of Greece to Skopje ,1995-1999, suggests that the two governments should not raise high expectations  .They should work to enhance and expand  the Confidence Building Measures’ Process  and  rather opti for a quiet diplomacy on the name issue He stresses that  fYROM’s  1991 Constitution  is a bad one ,being the root cause of problems  with  its neighbors as well as of the  endemic interethnic conflict. It was already amended  30 (thirty) times within 15 years .He is of the opinion that there are still some extra miles to go.

Mallias, former Ambassador to Albania,  analyses the Political Declaration of the Albanian Leaders in the former Yugoslav Republic of Macedonia, stressing  its importance for   addressing the interethnic tensions between Slavs and Albanians and for solving the name issue with Greece.

Mallias, who also served as Ambassador of Greece to Washington  (2005-2009),stresses that  early -since 2007- Greece’s warnings , grievances  and reactions to former P.M. Gruevski’s irredentism, nationalism and provocations proved now  to be accurate and right. Yet, the former Prime Minister was not alone in this course of action. He was supported by those  in Skopje who today disapprove him ,including some international actors. Greece will wait to see if the words of the new government in Skopje will be matched by deeds. Nationalism is still omnipresent in the former Yugoslav Republic of Macedonia starting from  school  textbooks.

2e tour des élections législatives

Institut Montaigne - Mon, 12/06/2017 - 11:00
Date: Dimanche 18 Juin 2017

Brauchen Kleinbauern eigene Rechte – und wenn ja, welche?

Bonn, 12.06.2017. Haben und/oder brauchen Bauern andere Rechte als der Rest der Menschheit? Dieser Frage geht seit Oktober 2012 eine offene Arbeitsgruppe des Menschenrechtsrats der Vereinten Nationen nach. Mitte Mai 2017 traf sich die Gruppe zum vierten Mal in Genf und versuchte, einen Text zu verfassen. Warum sollte es eine spezifische Menschenrechts-Erklärung für Bauern geben?  Sind  die Menschenrechte etwa nicht universell, nicht diskriminierend und unteilbar? Nun, schon seit langem gibt es spezielle Auslegungen der universellen Rechte für verschiedene, meist besonders vulnerable Gruppen wie Frauen, Kinder, ethnische Minderheiten, indigene Gruppen oder Arbeiterinnen und Arbeiter. Wenn sich der Menschenrechtsrat jetzt den Bauern widmet, geschieht dies vor dem Hintergrund, dass 80% der Hungernden in ländlichen Regionen leben und von diesen wiederum 50% Kleinbauern sind. Sie sind sehr stark von den natürlichen Ressourcen Land und Boden, Wasser und Biodiversität abhängig. Eigentum an bzw. Zugang zu diesen Ressourcen ist oft in lokalen Traditionen gewachsen und nicht partiell oder sogar unfair im modernen Staatsrecht geregelt. Häufig sind staatliche Institutionen im Konflikt mit traditionellen. In nicht wenigen Ländern dieser Erde gibt es berechtigte Zweifel, ob der Zentralstaat im besten Sinne seiner Landbevölkerung agiert. Von daher ist die Begründung, dass Bauern besonders schwach sind und von speziellen Rechten abhängen, und dass beide – Bauern und Rechte – besonders geschützt und gefördert werden müssen, völlig nachvollziehbar und unterstützenswert. Was steht im Entwurfstext? Zunächst eine Definition der Rechteinhaber: Es geht zunächst um Bauern (peasants). Zwar wird der Begriff des Bauern zunächst rein aus seinen Tätigkeiten in der Landbewirtschaftung abgeleitet, also im Sinne von Landwirt. Im weiteren Textverlauf wird jedoch klar, dass soziale Elemente, die Verbundenheit mit der Heimat, der traditionelle Lebensstil eine wichtige Argumentationsgrundlage bilden. Auffallend ist, dass neben Bauern und ähnlichen Gruppen wie Fischern und Hirten auch Landlose, Plantagenarbeiter und andere auf dem Land Arbeitende und Lebende eingeschlossen werden. Dies ist zwar nachvollziehbar, da diese Gruppen oft am stärksten benachteiligt sind, jedoch führt diese Ausweitung zu erheblichen Unstimmigkeiten bei konkreten Forderungen. Nach einigen allgemeinen Artikeln folgt eine lange Liste mit Forderungen von Rechten auf den verschiedensten Feldern: legale, soziale, politische, ökonomische, ökologische. Sie sind aus den unterschiedlichsten Menschenrechtsdokumenten zusammengetragen. Viele sind schon daher grundsätzlich anerkannt, insbesondere die aus den grundlegenden Menschenrechtsabkommen. Viele andere hingegen werden aus Spezialabkommen oder Gutachten übernommen und verallgemeinert. Dabei entstehen teilweise problematische Forderungen: Es wird ein Recht auf Nahrungsmittelsouveränität postuliert, und das nicht nur auf nationaler Ebene, sondern auch auf der Ebene lokaler Gemeinschaften, die daraus das Recht auf eigene Agrarsysteme ableiten, und sogar das Recht des einzelnen Landbewohners, ausreichend eigene Nahrung zu produzieren. Eine Gefahr, die sich daraus ergibt, ist die Zersplitterung nationaler Märkte. Eine andere Gefahr resultiert aus der Forderung nach dem Recht auf Land für alle Landbewohner. Dies ist im Prinzip gleichbedeutend mit dem Anspruch auf das Land anderer Landbewohner. Aus der Möglichkeit (may consider) von Landreformen wird eine Pflicht (shall carry out). Konflikte sind vorprogrammiert, die nicht immer zielführend sein dürften, zumal es in vielen Regionen dieser Welt keine Großgrundbesitzer gibt, bei denen man sich „bedienen“ kann. Aus dem international anerkannten Landwirte-Privileg für Nutzpflanzen, im Rahmen von Gesetzen und gegebenenfalls Saatgut aufzuheben, zu nutzen, zu tauschen und zu verkaufen, wird im Entwurfstext das uneingeschränkte Recht der Bauern, Saatgut und genetische Ressourcen ohne Einschränkung zu behalten, zu kontrollieren, zu schützen und zu entwickeln. Der Verfasser dieser Kolumne ist kein Menschenrechtsspezialist und weit davon entfernt, alle vorgeschlagenen Rechte im 30 Seiten langen Entwurfstext vollständig würdigen und einordnen zu können. Es geht beispielsweise um das Recht auf Souveränität über natürliche Ressourcen; das Recht auf Information in den die Bauern betreffenden Agrarmärkten; das Recht auf Wirkungsstudien bei allen Nutzungen bäuerlicher Ressourcen; das Recht, keinen Agrarchemikalien ausgesetzt zu sein; das Recht auf Zugang zu Märkten und fairen Preisen, die ein auskömmliches Einkommen garantieren; usw. Viele dieser Rechte wären nur kollektiv nutzbar. Man kann sich daher des Eindrucks nicht erwehren, dass für viele Probleme ein Rechtsansatz nur sehr bedingt geeignet ist, sinnvolle, realistische und realisierbare, widerspruchsfreie Maßnahmen abzuleiten. Statt vor allem die berechtigten Interessen und Rechte der benachteiligten Gruppen gezielt zu fördern, werden viele neue Probleme geschaffen. Die Staatengemeinschaft sollte es sich gut überlegen, ob sie sich hinter diesen allumfassenden Forderungskatalog stellt. Weniger ist manchmal mehr. Die Aufwertung bestehender informeller Rechte an Ressourcen ist richtig, aber nicht die Ausdehnung auf alle Landbewohner und die Forderung nach völlig neuen Rechtetypen. Umso wichtiger ist eine aktive Unterstützung der ländlichen Räume und ihrer Menschen, damit sie im gleichen Umfang wie Städter von Entwicklung profitieren können. Diese Kolumne ist am 12.06.2017 auch auf euractiv.de veröffentlicht worden.

La République en marche (LREM) du président de la République Emmanuel Macron largement en tête au premier tour des élections législatives françaises

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La République en marche (LREM), parti du nouveau président de la République Emmanuel Macron et dirigé par Catherine Barbaroux, est arrivée largement en tête du 1er tour des élections législatives le 11 juin en France avec 28,21% des suffrages. Son allié du Mouvement démocrate (MoDem),...

Au Royaume-Uni, la Première ministre sortante Theresa May perd sa majorité absolue

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La Première ministre sortante Theresa May (Parti conservateur) a perdu son pari. Alors qu'elle avait convoqué des élections législatives anticipées (de 3 ans) pour asseoir sa légitimité dans le pays, renforcer son autorité personnelle et élargir sa majorité afin de négocier au mieux la...

Union européenne-Turquie : d'une adhésion illusoire à un 'Partenariat privilégié'

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1. D'ambiguïtés en malentendus Le gouvernement Erdogan a bien pris un décret en mai 2004 qui étend l'Union douanière[2] établie avec la Communauté économique européenne en 1995 aux nouveaux Etats membres, mais Chypre en est exclue. La perspective des négociations va le pousser à...

A la une !, Dépenses de défense : de nouvelles perspectives européennes?

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Se félicitant des propositions de la Commission européenne, Jean-Dominique Giuliani précise les conditions dans lesquelles un meilleur financement dans les équipements militaires en Europe pourrait être assuré.

Elections, Raz de marée en faveur des candidats pro-Macron aux elections législatives françaises

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La République en marche (LREM), parti du président de la République Emmanuel Macron et dirigé par Catherine Barbaroux, est arrivée largement en tête du premier tour des élections législatives le 11 juin en France avec 28,21% des suffrages. Son allié du Mouvement démocrate (MoDem), a obtenu 4,11% des voix. Les Républicains (LR) ont recueilli 15,77% et leurs partenaires de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), 3,03%. Le Front national (FN) est arrivé en troisième position avec 13,2%. La France insoumise (FI), suit avec 11,02% Le Parti socialiste (PS) connaît une déroute totale avec 7,44% des suffrages. La participation a été très faible (48,71%). Le 2e tour se tient le 18 juin.

Elections, Le parti conservateur de Theresa May perd la majorité absolue

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/06/2017 - 02:00
Le 8 juin, les élections législatives britanniques, avec un taux de participation de 68,72%, ont donné les résultats suivants : Conservateurs (318 sièges), Travaillistes (261), Parti nationaliste écossais SNP (35), Libéraux-Démocrates (12), Unionistes démocrates (10), Verts (1), autres (12). La Première ministre Theresa May perd ainsi la majorité absolue (fixée à 326 sièges), le SNP perd 19 sièges, et UKIP n'en a aucun.

Fondation, "Pour quelques étoiles de plus... Quelle politique européenne pour la France ?"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/06/2017 - 02:00
Le Président de la Fondation, Jean-Dominique Giuliani, publie "Pour quelques étoiles de plus... Quelle politique européenne pour la France ?". Lecture éclairante alors que les premières semaines du nouveau chef de l'État français montrent une volonté d'encourager une action résolument européenne.

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