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Afrique

Nestlé Burkina : Gagnez plusieurs lots du 24 février au 23 avril 2024 avec la grande Promo « Baratitude » de Nescafé

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 17:10

L'entreprise Nescafé a lancé officiellement sa grande opération dénommée Promo « Baratitude » qui va durer du 24 février au 23 avril 2024 au Burkina Faso. Il s'agit de gagner plusieurs lots à partir d'un paquet de Nescafé de 20 sticks qui donne la possibilité à une carte à gratter. La promotion a été dévoilée le lundi 26 février 2024 à Ouagadougou, au cours d'une conférence de presse.

Achetez, grattez et gagnez un ordinateur, une moto ou un million de FCFA pour vos projets. Dix gagnants ont la chance de remporter chacun un million de FCFA. C'est le lot de la grande promotion dénommée « Baratitude ».

« Baratitude » vient du mot « bara », qui signifie « travail » en Dioula, une langue parlée au Burkina Faso et majoritairement dans la sous-région. Selon le directeur général de Nestlé Burkina, Sidiki Diawara, ce concept consiste à « exprimer le courage, la persévérance, tous les efforts qu'un jeune fournit pour atteindre son objectif ». Ainsi, la marque Nescafé a décidé d'accompagner ces jeunes qui se battent au quotidien.

Au total, ce sont 60 smartphones, 10 ordinateurs portables, 30 motos et dix chèques d'un million de francs CFA à gagner. Ces prix sont valables sur toute l'étendue du territoire.

« C'est une opportunité qui permettra aux gens de vivre leurs rêves », a affirmé le directeur général de Nestlé Burkina, Sidiki Diawara

Possibilité de participer plusieurs fois à la promotion

« Notre mission est d'accompagner les consommateurs en plus de nos produits », a brandi Lionel Sankara, le responsable de la marque Nescafé à Nestlé Burkina. Pour ce faire, c'est un format spécial conçu à l'usine pour la promotion. Il y a les images de la moto, de l'ordinateur et de l'argent à gagner pour la tombola. Il y a 20 sticks. Une carte avec l'effigie d'une tasse de café donne l'éligibilité pour le gros lots.

Si le consommateur trouve la carte avec la tasse Nescafé, il est éligible pour gagner un gros lot par tirage au sort. Il peut échanger sa carte contre un ticket tombola dans les points de vente des partenaires tels que Le Bon Samaritain, Marina Market, Liza Market, et d'autres.

Le gagnant de cette carte participera au tirage au sort. Cette carte doit être échangée contre les tickets de tombola. « Les consommateurs ont la possibilité de participer plusieurs fois à la promotion. Ce sera autant de fois qu'ils consomment », a rassuré Lionel Sankara.

Il y a des lots instantanés (les produits Nescafé et Nido) et les lots par tirage au sort (gros lots), a clarifié Lionel Sankara

Huit tirages prévus

Cette promo, conformément à la loi, est réservée aux majeurs. Présent à la conférence de presse du lancement officiel de la promotion, l'huissier de justice près de la cour de Ouagadougou, Me Amidou Conombo, a rassuré de la légalité du jeu.
Les lots sont valables pour 21 jours. Passé ce délai, les lots seront transférés au Trésor public.

A en croire les responsables de Nescafé, cette promotion a une particularité. « Les boutiquiers ont aussi ont la possibilité de gagner des lots ».
A partir de ce jeudi 29 février 2024, les paquets de Nescafé sont disponibles dans tous les points de vente habituels de Nescafé. Des vendeurs ambulants vont permettre aux consommateurs d'accéder à cette promotion, a rassuré Sidiki Diawara.
En termes de faisabilité, la Promo Baratitude va connaître 8 phases de tirage dont la première le 14 mars 2024. Deux tirages sont prévus par région.

Le coffret spécial promotion contenant 20 sticks de Nescafé 2g au prix de 1 000 FCFA

Nescafé est une marque de Nestlé, leader mondial de l'industrie alimentaire. Depuis plus de 150 ans, Nestlé œuvre à offrir aux consommateurs des produits de qualité et à soutenir les communautés locales. Présent au Burkina Faso depuis 2009, Nescafé contribue à créer de la valeur pour les consommateurs et les communautés.

Cryspin Laoundiki
Lefaso.net

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Kinshasa : "Chérubin Okende s'était suicidé", annonce le Procureur général Mvonde

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 16:47


Le Procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde, a annoncé lors d'une conférence de presse à Kinshasa ce jeudi 29 février que Chérubin Okende s'était suicidé.


Cette déclaration intervient dans le cadre de l'affaire entourant la mort de l'ancien ministre des Transports et voies de communication, retrouvé mort dans sa voiture le 13 juillet 2023 à Kinshasa.

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CAF-C1 : le match Mamelodi Sundowns vs Mazembe de nouveau délocalisé à Pretoria

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 16:34


Le match Mamelodi Sundowns vs TP Mazembe se jouera finalement au Tswane-Lucas Masterpieces Moripe Stadium de Pretoria. L’équipe sud-africaine a encore changé le lieu de la rencontre : ça ne sera plus au FNB Stadium de Johannesburg.


En raison d’un match de rugby prévu le samedi 2 mars au Loftus


Ce match était initialement délocalisé de Loftus au FNB Stadium, en raison d’un match de Rugby prévu le même samedi 2 mars au Loftus Versfeld Stadium entre Vodacom Bulls et DHL Stormes. 

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Nord-Kivu : 2 blessés à la suite de l’explosion de bombes sur deux blindés de la SADC à Sake

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 16:32


Des véhicules blindés de la SADC ont été touchés ce jeudi 29 février dans la matinée par deux bombes dans la cité de Sake, groupement Kamuronza, dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu). Le bilan de cette explosion fait état de deux personnes blessées (un civil et un militaire du contingent tanzanien).


C’est aux environs de 11 heures (locales) que les deux détonations ont été entendues non loin du point de péage route au rond-point sur l’axe Kitshanga dans la cité de Sake, rapportent plusieurs sources locales.

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Reprise progressive des activités sur l’axe routier Beni-Butembo

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 15:54


La vie a repris normalement depuis quelques mois dans les quartiers Lyakobo et Mukulia sur l’axe routier Beni-Butembo, a constaté Radio Okapi mercredi 28 février. Cette embellie sécuritaire se concrétise par le retour sur place des habitants qui avaient abandonné le milieu il y a près de trois ans, à la suite des attaques des groupes Mai-Mai. Un calme s’observe dans ces deux quartiers périphériques de Beni.

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Sénégal: le président Macky Sall réaffirme qu'il quittera ses «fonctions au terme de son mandat le 2 avril»

RFI /Afrique - Thu, 29/02/2024 - 15:46
Le président sénégalais a réaffirmé ce 29 février 2024 qu'il partira le 2 avril, date de fin de son mandat, dans un message sur X. Les conclusions d'un dialogue national organisé lundi et mardi ont recommandé que l'élection présidentielle, initialement prévue le 25 février, se tienne le 2 juin, soit deux mois après la fin officielle du mandat de Macky Sall, et que ce dernier reste en fonction jusqu'à l'installation de son successeur. « La date de mon départ reste absolument ferme », affirme-t-il.
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Sake : la société civile dénonce le pillage des biens des déplacés par des hommes armés

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 15:44


Des sources de la société civile ont dénoncé mercredi 28 février le « banditisme » orchestré par des hommes armés dans la cité de Sake.


Ce pillage est consécutif à la reprise, puis l’intensification des affrontements entre les rebelles du M23 et l’armée congolaise autour cette entité.  


Selon ces sources, plusieurs maisons et biens laissés par la population déplacée sont vandalisés. De plus, des cas de tracasseries et le rançonnement systématique des déplacés se multiplient.

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Burkina/Crise à la FBF : Les clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 suspendent leur participation aux activités de la FBF jusqu'à nouvel ordre

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 14:52

Dans une lettre datée du 22 février 2024 et adressée au président de la FBF, Lazare Banssé, les clubs de première et deuxième divisions menaçaient de boycotter les activités de la fédération burkinabè de football (FBF) s'ils ne recouvraient pas les 140 millions de FCFA (pour tous les clubs), l'équivalent des 25% retenus sur la subvention 2022-2023 au plus tard le 28 février 2024.

Une menace mise en exécution dans un communiqué en date du mercredi 28 février 2024. En effet, dans ce communiqué signé par leur porte-parole Koudougou David Yaméogo, les clubs frondeurs décident de suspendre leur participation aux compétitions organisées par le comité exécutif de la FBF dirigé par Lazare Banssé, à partir du jeudi 29 février 2024 et ce, jusqu'à nouvel ordre.

Les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 appellent les clubs des autres divisions notamment la Ligue 3 à suspendre aussi par solidarité leur participation aux 32es de finale de la Coupe du Faso 2024.

Ces différents clubs frondeurs de Ligue 1 et de Ligue 2 menacent également de mener d'autres actions contre Lazare Banssé et son comité exécutif s'ils n'entrent pas en possession de ladite somme dans un bref délai.

Retrouvez l'intégralité du communiqué dans le document ci-après :

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Burkina/Entrepreneuriat : La vente des tangelos, une activité lucrative

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 14:38

Aux abords des bitumes de la ville de Ouagadougou, et souvent presque sur les voies il y a parfois des étals d'agrumes. Parmi ceux-ci sont proposés aux usagers des tangelos, un hybride de mandarinier et de pamplemousse. Un fruit prisé par des Ouagavillois. Jérémy Zida, vendeur, lui, se frotte les mains. Il en a fait son gagne-pain, voire une entreprise familiale.

Dans cette matinée du mardi 28 février 2024, Jérémy Zida n'a pas de temps à nous consacrer. Débout à côté de son tricycle rempli de tangelos, il sert à tour de rôle ses nombreux clients qui se bousculent devant lui. Chacun espère se faire servir les meilleurs fruits dont dispose M. Zida. « Servez-moi trois kilogrammes ! », lui lance Ousmane Nombré, un client. Lui qui revient d'un dépannage avait dépassé l'étalage de Jérémy Zida dans le quartier Tampouy, avant de faire un demi-tour.

« D'après ce qu'on dit, les fruits font du bien à l'organisme. Dès que l'occasion se présente, j'en consomme. J'aurai dû prendre beaucoup plus mais pour des raisons de conservation, j'ai juste pris trois kilogrammes à 1050 F CFA », confie M. Nombré. « J'aime bien ce fruit, le tangelo. Je ne pouvais pas ne pas faire demi-tour pour m'en procurer », fait-il savoir. En l'espace de quelques heures, le contenu du tricycle de M. Zida est presque épuisé. Une satisfaction pour cet originaire de la commune de Kombissiri, la trentaine révolue. Les tâches sur son pantalon jaune et son t-shirt bleu qu'il arbore expriment le dur labeur de la journée.

Après des heures à servir ses clients, Jérémy Zida trouve enfin un temps à nous consacrer. « Toutes mes excuses pour vous avoir fait trop attendre », s'excuse-t-il. En compensation, il nous offre quelques tangelos, pour, dit-il, se faire pardonner. Notre interlocuteur est le fils d'un planteur basé dans la commune rurale de Bakata, province du Ziro (région du Centre-ouest). Les fruits que vend Jérémy Zida proviennent de sa plantation. Pour l'écoulement de sa marchandise, il se fait aider par Asmao Compaoré, sa cousine. Tous deux baignent dans l'univers de la production du tangelo, depuis leur tendre enfance. Si M. Zida ne s'est limité qu'en classe de CE1 après la mort de son oncle qui était son tuteur, pour se lancer très tôt dans la vie active sa cousine, elle est titulaire d'un brevet en pharmacie. Aujourd'hui, elle collabore avec M. Zida dans la commercialisation des tangelos. « Je ne regrette pas d'avoir choisi de collaborer avec Jérémy dans la commercialisation des tangelos », soutient-elle.

Assise sous un hangar, Asmao Compaoré ne se plaint pas du marché. « L'activité nourrit son homme », dit-elle toute souriante. Chaque jour, Jérémy Zida et Asmao Compaoré quittent le quartier Nagrin pour Tampouy où il a établi son commerce de fruits. À chaque saison des fruits, ce jeune « grouilleur » se frotte les mains. « Je vends en moyenne 70 kg pour un montant estimé à plus de 150 000 francs CFA par semaine. Le kilogramme est vendu à 350 francs CFA. Mon activité m'apporte une entière satisfaction », témoigne-t-il.

Malgré ce brin de satisfaction sur son visage, il nous confie que la plantation de laquelle proviennent ses tangelos est confrontée à des difficultés. « Il y a des insectes qui s'attaquent aux arbres et qui empêchent le bon développement des fruits », regrette-t-il. M. Zida nourrit l'ambition de s'offrir un cadre approprié afin de mener aisément le business familial au grand bonheur de son père qui, malgré le poids de l'âge, veille au bon déroulement de l'activité.

Apport nutritionnel des Tangelo

Selon la nutritionniste-diététicienne d'Etat, Yasmine Sandrine Zerbo, les tangelos renforcent le système immunitaire. « Une seule portion de tangelo fournit 100% de vos besoins quotidiens en vitamine C, qui peut aider à stimuler la production de globules blancs et à soutenir votre système immunitaire contre les agents pathogènes étrangers et les infections potentielles », informe-t-elle.

C'est aussi un potentiel anticancéreux. Une équipe de chercheurs italiens a publié une étude dans le Food Chemistry Journal, dans laquelle il est indiqué que certains flavonoïdes présents dans les tangelos réduisent le nombre de radicaux libres dans le corps et le stress oxydatif global mais aussi le risque de développer un cancer. Ces antioxydants sont également importants pour protéger le corps contre diverses autres maladies chroniques, telles que l'arthrite et les maladies auto-immunes. « Avec un niveau de calories étonnamment bas, les tangelos sont des grands ajouts à un régime de perte de poids. En plus de cela, il existe un niveau important de fibres alimentaires, ce qui peut aider à augmenter le sentiment de satiété, tout en optimisant l'efficacité de l'absorption des nutriments », conclut-elle.

Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net

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L’assemblée provinciale de l’Ituri valide le mandat de 43 députés provinciaux

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 14:36


L'assemblée provinciale de l'Ituri a validé, mercredi 29 février, le mandat des 43 députés provinciaux dont trois femmes, au cours d'une plénière tenue à Bunia.


Cette validation est intervenue après l'examen des dossiers des élus effectués par les différentes commissions chargées de vérifier les pouvoirs des élus.

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Projet Burkina Dry More : Les acteurs satisfaits des résultats après capitalisation

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 14:30

Le Consortium Burkina Dry More, a organisé le mercredi 28 février 2024 à Bobo-Dioulasso, un atelier de capitalisation du projet Burkina Dry More (BDM).

L'atelier a pour objectif de contribuer à la réflexion sur l'analyse des résultats du projet et la pérennisation des actions.

Il s'est par ailleurs agi de partager les principaux résultats, les acquis majeurs et les leçons apprises ; analyser la stratégie de mise en œuvre ainsi que le niveau d'appropriation générale par les acteurs ; et dégager les perspectives d'évolution.

Vue des participants

Le projet Burkina Dry More (BDM), a pour objectif de construire un secteur agroalimentaire productif au Burkina Faso qui fournit de meilleurs revenus aux petits exploitants agricoles et des emplois durables aux jeunes et aux femmes. Il est financé par l'ambassade des Pays-Bas au Burkina Faso et implémenté par un consortium composé de : Advance Consulting, AGRODEV Services, SENSE, Timini et Afrique Verte Burkina pour une durée de 3 ans (2021 à 2023). Une extension a été prévue jusqu'en mars 2024 afin de permettre au projet de disposer d'une campagne agricole supplémentaire pour boucler les activités. Le projet ambitionne de tirer parti du succès de l'industrie de transformation de la mangue en développant trois nouvelles chaînes de valeurs (fonio, hibiscus, gingembre) destinées à être transformées pendant la contre-saison de la mangue.

Vue des produits transformés

En effet, depuis 2021, le projet accompagne les entreprises de la transformation de la mangue dans la diversification de leurs activités à travers le développement de nouvelles chaînes de valeur notamment l'hibiscus, le gingembre et le fonio. Dans le cadre du projet, des unités de transformation et six entreprises ont bénéficié d'appuis à savoir l'entreprise Mango-so (Toussiana), EBDF et Sanlé export (Banfora), Rose Eclat (Ouaga) ; EZISAF et Timini (Bobo).

Comme l'explique Rufin Claudel Toé, chef de projet Burkina Dry More (BDM), le projet Burkina DRY More a principalement travaillé avec les entreprises de transformation de la mangue : « Nous les avons aidées à diversifier leur activité. En effet la campagne mangue ne dure que quatre à cinq mois, et l'objectif c'est de développer de nouveaux produits et à ce titre, nous avons développé des paquets technologiques au niveau de la production, on a beaucoup travaillé avec les producteurs, on les a formés sur de bonnes pratiques agricoles, à être des agriculteurs modernes. Au niveau de la transformation, nous avons accompagné certains de nos partenaires à travers l'acquisition de nouveaux équipements pour faciliter par exemple le lavage du gingembre qui est une première au Burkina, et nous sommes satisfaits des résultats engrangés. Nous aidons aussi nos partenaires à exporter ces nouveaux produits. Ainsi, nous avons exporté environ 165 tonnes de fonio et de gingembre et formé plus de 3 000 petits producteurs dans le cadre du projet ».

Photo de famille

Au terme de trois ans et demi de mise en œuvre, le projet a engrangé quelques succès à l'instar de la formation de près de 4 217 producteurs sur les bonnes pratiques agricoles et le module « Farming as a business », l'introduction de nouvelles machines dans la transformation des chaînes de valeurs fonio et gingembre. Il y a également la mise en relation des entreprises avec au moins deux nouveaux importateurs de l'Union européenne pour un total de 165 tonnes de produits exportés ; la facilitation de l'accès au micro-crédit pour 11 emboucheurs du projet d'une valeur globale d'environ 20 millions de FCFA fait également partie des réussites.

Maarten van den Bosch, chef de la coopération des Pays-Bas

Pour Jean Bosco Dibouloni, directeur général de AGRODEV Services, représentant du consortium Burkina Dry More, c'était un projet très exaltant, unique et original qu'ils ont imaginé il y a quatre ans et dont ils sont très fiers, puisque l'avion qu'ils ont fait décoller a pu atterrir. « Pour nous c'était l'un des projets les plus faciles à mettre en œuvre parce que le consortium Burkina Dry More travaille dans plus de 35 pays dans le monde, en Afrique de l'Ouest, en Afrique centrale, en Afrique de l'Est, en Asie, au Moyen Orient et en Europe. Donc nous avons mis ensemble nos efforts pour créer des modèles économiques intéressants. Vu l'engouement et les témoignages des entreprises, nous sommes sûrs que nous avons mis en place un modèle qui va être pérenne dans les 10, 15 prochaines années, c'est ça notre plus grande satisfaction ».

Rufin Claudel Toé, chef de projet de Burkina Dry More

Selon Maarten van den Bosch, chef de la coopération des Pays-Bas, c'est dur d'accompagner les entreprises et de les laisser évoluer seules par la suite. C'est en ce sens qu'il confie avoir aimé l'approche du projet parce que les membres du consortium accompagnent les producteurs dans toutes les chaînes de valeurs. Il a recommandé aux structures financières d'être plus confiantes envers les jeunes entrepreneurs qui représentent le futur. « Il est important de renforcer les perspectives socio-économiques pour tout le monde surtout pour les jeunes. C'est important pour la stabilité du pays et pour tout le monde ».

Jean Bosco Dibouloni, directeur général de AGRODEV Services, représentant du consortium Burkina Dry More

Malgré ces succès, le projet a connu quelques difficultés notamment la qualité et la compétitivité des produits, le fonctionnement des machines. Les leçons tirées autour seront utiles pour les interventions futures.

Haoua Touré
Lefaso.net

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Bunia : un incendie consume 5 maisons de commerce

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 14:19


Au moins cinq maisons de commerces et plusieurs marchandises sont parties en fumée dans un incendie survenu dans la nuit de mardi 27 à mercredi 28 février, au quartier Hoho dans la ville de Bunia, (Ituri).


D’après les témoignages recueillis sur place, cet incendie serait d'origine criminel et pourrait être l'œuvre d'un groupe de bandits armés.

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Burkina/Mali : 40 décès suite à un accident de circulation sur l'axe Sikasso-Bougouni

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 14:12

Dans un communiqué en date du 29 février 2024, le porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo porte à la connaissance de l'opinion nationale qu'un accident de circulation a causé la mort de plusieurs citoyens burkinabè sur l'axe Sikasso-Bougouni en République du Mali. Le bilan provisoire fait état de 40 morts, plus d'une dizaine de blessés dont des cas critiques. L'accident a eu lieu le mardi 27 février 2024.

Photo d'illustration aa

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Kinshasa : 920 motos saisies par la police à la Gombe

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 13:38


Pres d’un millier de motocyclettes saisies par la police dans la commune de la Gombe ainsi que leurs passagers ont été présentés lundi 26 février au commissariat provincial de la police. C’est la moisson d’une opération de saisie menée au lendemain des manifestations qui ont ciblé différentes installations notamment les représentations diplomatiques dans la commune de la Gombe

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Burkina : 60 480 œufs saisis et détruits

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 13:30

Sur sa page Facebook, la Ligue des consommateurs du Burkina (LCB) a annoncé que des œufs ont été saisis et détruits par les services vétérinaires.

La direction générale des services vétérinaires a procédé ce mercredi 28 Février 2024 dans la matinée à une destruction massive des œufs saisis hier mardi 27 février.

C'est au total 144 cartons contenant chacun 24 plaquettes d'oeufs soit 2016 plaquettes qui ont été saisis.

Chaque plaquette contient 30 œufs soit au total 60480 œufs qui ont fait l'objet de destruction.

La ligue des consommateurs du Burkina LCB était représentée par son président Dasmané TRAORÉ et le chargé des plaintes Hermann DAMBRE. L'opération s'est déroulée en présence de la presse nationale.

Lefaso.net
Source : LCB

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Sud-Kivu : le processus de désengagement de la MONUSCO s’achève le 30 juin prochain (Bintou Keita)

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 13:24


Le processus de désengagement de la MONUSCO de la province du Sud-Kivu s’achève le 30 juin prochain. La nouvelle a été annoncée, mercredi 28 février, par Bintou Keita, Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations unies en RDC, au cours d’une mission mixte Gouvernement-MONUSCO à Uvira (Sud-Kivu).


Durant cette mission, les membres de la délégation mixte ont échangé avec les acteurs étatiques locaux.

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Inventaire des émissions de gaz à effet de serre du secteur de l'élevage : Des experts nationaux renforcent leurs capacités et échangent sur les outils et dispositifs de mesure

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 13:15

Le Centre international de recherche-développement sur l'élevage en zone subhumide (CIRDES) organise, en collaboration avec la FAO (Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture), du 26 février au 1er mars 2024 à Bobo-Dioulasso, un atelier de formation des experts nationaux. Cette session porte sur les outils et dispositifs de mesure des émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur de l'élevage et sur l'utilisation du système GreenFeed pour les mesures directes des émissions de méthane entérique chez les ruminants. La cérémonie officielle d'ouverture des travaux a eu lieu ce mercredi 28 février 2024.

Cet atelier de formation des experts nationaux à Bobo-Dioulasso est prévu se tenir en deux phases. Il s'agit d'une première phase théorique de deux jours, qui va permettre de renforcer les capacités des participants sur les outils et dispositifs de mesure des émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur de l'élevage ; et d'une deuxième phase pratique de trois jours. Là, il s'agira de former ces participants sur l'utilisation du système GreenFeed pour les mesures directes des émissions de méthane entérique chez les ruminants. Au cours de cette rencontre, ces experts nationaux vont discuter sur les modalités de mise en place d'un réseau régional des experts sur l'évaluation des émissions de GES du secteur de l'élevage.

Les experts nationaux présents à l'atelier de formation à Bobo-Dioulasso

Ces ateliers de formation s'inscrivent dans le cadre d'un accord de collaboration que le CIRDES a signé avec le bureau sous régional de la FAO, basé à Dakar, et qui vise à mettre le savoir-faire du CIRDES au profit des experts nationaux qui sont en charge de l'inventaire des émissions des gaz à effet de serre dans le secteur de l'élevage. L'atelier regroupe ainsi des experts venus de douze pays de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Selon le directeur général du CIRDES, Dr Guiguigbaza-Kossigan Dayo, l'organisation de cet atelier est appuyée financièrement et techniquement par la FAO et le projet CaSSECS (Carbon sequestration and greenhouse gas emissions in (agro) sylvopastoral ecosystems in the sahelian CILSS States) financé par l'Union européenne et mis en œuvre par un consortium d'institutions. « Cet atelier va nous permettre d'échanger sur ce qui se fait déjà dans chaque pays, ce que nous savons faire et ensemble nous allons voir comment fédérer les actions pour améliorer la qualité des rapports qui sont produits dans les pays sur les émissions des GES », a-t-il souligné.

Selon le directeur général du CIRDES, Dr Guiguigbaza-Kossigan Dayo, l'organisation de cet atelier est appuyée financièrement et techniquement par la FAO et le projet CaSSECS

L'organisation de cet atelier est née de la problématique de l'élevage et du changement climatique. En effet, les préoccupations environnementales liées en particulier aux gaz à effet de serre (GES) sont au centre de la réflexion sur le développement de l'élevage. Bien que l'activité de l'élevage fasse vivre plus d'un milliard d'habitants de la planète, elle contribue à 14,5% des émissions mondiales de GES (CO2, eCH4 et N20) d'origine anthropique. La fermentation entérique (eCH4), les déjections (N20 et CH4) et la production des ressources alimentaires (CO2, eCH4 et N20) sont les principales sources des émissions du secteur de l'élevage. Dans les élevages de ruminants en Afrique de l'Ouest et du Centre, le méthane entérique est la principale source d'émission de GES d'origine animale.

Le représentant du coordonnateur régional du projet CaSSECS, Dr Mohamed Habibou Assouma, rappelant l'importance d'un tel atelier

Ce gaz est ensuite principalement éructé par les animaux vers l'atmosphère (95%). Les émissions de GES, notamment de méthane entérique, sont la cible d'investigations importantes et émergentes dans les pays du Sud où les informations sont très approximatives notamment en raison d'insuffisance de données, de référentiels et de compétences scientifiques et techniques fiables. Cependant, des valeurs de référence des émissions de méthane entérique des ruminants sont en cours d'acquisition par le CIRDES et ses partenaires au Burkina Faso dans le cadre du projet CaSSECS à travers l'initiative DeSIRA.

Les travaux de recherches qui produisent ces données de base mobilisent un dispositif expérimental installé dans l'étable du CIRDES à Bobo-Dioulasso et équipé d'un système GreenFeed avec tous les accessoires nécessaires pour conduire à la fois des essais de digestibilité et de mesure in vivo de méthane entérique sur des bovins de races locales. La valorisation de ce savoir-faire du CIRDES au profit de la région passera par le renforcement des capacités des services techniques des Etats de l'Afrique de l'Ouest et du Centre en charge des inventaires nationaux sur les mesures d'émission du GES dans le secteur de l'élevage. C'est l'objet du protocole d'accord signé entre le CIRDES et la FAO pour la fourniture d'appui du renforcement des capacités et la mise en place de réseau d'experts sur les mesures d'émission de gaz à effet de serre dans le secteur de l'élevage en Afrique de l'Ouest et du Centre.

La visite de l'étable de CIRDES par les officiels et les participants de l'atelier

L'organisation de cet atelier contribuera ainsi au développement des capacités et à l'interconnexion des acteurs du secteur de l'élevage dans les pays de l'Afrique de l'Ouest et du Centre, ouvrant ainsi la voie à une vraie compréhension de la place des animaux dans les cycles du carbone, de l'azote et du phosphore et de l'évaluation de l'empreinte environnementale des systèmes d'élevage. A en croire le directeur général du CIRDES, « Au sortir de cet atelier, nous souhaitons que les experts puissent s'accorder sur la manière dont on peut harmoniser la collecte des données pour avoir une certaine qualité des données, afin de répondre aux engagements que nos Etats ont signé au niveau des accords internationaux. Il est attendu aussi la formalisation du réseau des experts qui va permettre la création d'un cadre d'échanges permanent », a-t-il indiqué.

La photo de famille à l'issue de la cérémonie officielle d'ouverture des travaux

Le représentant du coordonnateur régional du projet CaSSECS, Dr Mohamed Habibou Assouma, a rappelé l'importance d'un tel atelier. « Nous avons voulu cet atelier mixte. Nous l'avons voulu à la fois théorique avec des échanges entre les experts et formateurs en salle, et une partie pratique pour montrer à ces experts les conditions dans lesquelles les références dont on parle sont réellement produites, afin de recueillir leur point de vue », a-t-il laissé entendre. A l'issue de la cérémonie officielle d'ouverture des travaux, les officiels ont été invités à visiter l'étable de CIRDES pour voir le fonctionnement du dispositif expérimental de mesure directe des émissions de méthane entérique sur les bovins avec le système GreenFeed.

Dr Lionel A.M. Gbaguidi est le représentant de la FAO à cette cérémonie

Dr Lionel A.M. Gbaguidi est le représentant de la FAO à cette cérémonie. Selon lui, la priorité de la FAO est d'accompagner les Etats membres à améliorer la production, la nutrition, l'environnement et à améliorer les conditions de vie des populations en ne laissant personne de côté. « Et l'élevage est un moyen très important d'existence des populations dans la région ouest-africaine et sahélienne. On parle de 80 millions de personnes qui dépendent en Afrique de l'Ouest directement de l'élevage. Donc, il était important pour la FAO de travailler avec les partenaires de la recherche de la région pour contribuer au développement du secteur de l'élevage », a-t-il expliqué.

Romuald Dofini
Lefaso.net

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RDC : l’ESU élabore la stratégie nationale pour la mise en œuvre des enseignements ouverts et à distance

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 12:59


Le ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU), avec l’appui de l’UNESCO, a lancé mercredi 28 février à Kinshasa, l’élaboration de la stratégie nationale de la mise en œuvre des enseignements ouverts et à distance. Les travaux d’élaboration de la feuille de route budgétisée ont été lancés en présence de 55 acteurs.

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Ituri : 68 civils tués lors des violences causées par les groupes armés (OCHA)

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 12:46


Au moins 68 civils ont perdu la vie en Ituri pendant les violences attribuées au groupes armés depuis janvier dernier. Ces chiffres ressortent du rapport de Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA), publié mardi 27 février.

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Ouganda: comment vont être indemnisées les victimes de l'ex-chef de guerre Dominic Ongwen

RFI /Afrique - Thu, 29/02/2024 - 12:00
La justice internationale a fixé ce 28 février 2024 à plus de 52 millions d'euros le montant des réparations aux victimes de Dominic Ongwen, enfant-soldat ougandais devenu commandant rebelle, condamné à 25 ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. En 2021 puis fin 2022 en appel, M. Ongwen avait été reconnu coupable par la Cour pénale internationale (CPI), qui siège à La Haye (Pays-Bas), de meurtre, viol et esclavage sexuel dans le nord de l'Ouganda au début des années 2000.
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