MSC Croisières a annoncé qu’elle allait déployer le MSC Splendida en Chine à partir de mai 2018. Ce déploiement, qui s’ajoute à l’ouverture d’un nouveau bureau MSC Croisières à Shanghai, confirme le franchissement, par la compagnie, d’une nouvelle étape dans son développement sur le marché chinois, où elle exploite depuis mai de cette année un premier navire, le MSC Lirica, commercialisé par le voyagiste CAISSA Touristic.
Ce mercredi, le transbordeur Vindilis, qui assure la liaison entre Belle-Île et le continent avec le Bangor, a souffert d’un incident technique et n’a pu assurer les rotations du matin.
La compagnie Océane a donc fait appel à l'Île de Groix, dès 13h30, et à la vedette à passagers Kerisper, dès 11h45, au départ de Quiberon.
Un article de la rédaction du Télégramme
Les attentats des 17 et 18 septembre peuvent-ils redynamiser la campagne de Donald Trump qui a fait de la lutte contre le terrorisme son fer de lance ?
Je ne pense pas que la campagne de Trump manque de dynamisme, c’est plutôt le cas de celle de Clinton. Les attentats confortent le candidat républicain dans sa ligne. Celle-ci combine la remise en cause de la politique d’Obama au Moyen-Orient et présente la candidate démocrate comme étant dans cette continuité. Trump porte de graves allégations envers Hillary Clinton, qu’il accuse d’être à l’origine de la naissance de Daech. Le candidat républicain fait, en effet, le lien entre l’intervention américaine en Irak, soutenue par Clinton à l’époque, et l’émergence de l’organisation terroriste. Même s’il ne le dit pas clairement, ses critiques de l’intervention américaine en Irak pourraient également viser la politique des néoconservateurs de l’ère George W. Bush qui soutiennent aujourd’hui Clinton et appellent à voter contre lui.
Donald Trump s’inscrit ainsi dans une rhétorique dénonciatrice sans véritablement proposer de politiques de lutte contre le terrorisme. Peu de propositions émanent de ses discours, mis à part l’interdiction d’accès au territoire des musulmans du monde entier, surtout ceux venant de pays qu’il estime « complaisants » avec le terrorisme – dont la France. Il conserve ainsi sa diatribe qui consiste à opposer les musulmans au reste de la population.
Comment analysez-vous la réaction d’Hillary Clinton et du camp démocrate ? La campagne risque-t-elle d’infléchir à droite et de se radicaliser sur les thématiques sécuritaires ?
Hillary Clinton perd du terrain dans les sondages, pas forcément au profit de Trump, mais de Gary Johnson. Le candidat du Parti libertarien la malmène notamment en Floride, selon les sondages, un Etat stratégique pour l’ex-First Lady. Elle ne parvient pas à séduire la jeunesse.
Face aux attentats, Hillary Clinton a tout intérêt à continuer de jouer sur son expérience en matière de lutte contre le terrorisme et de politique étrangère. Depuis le début de la campagne, elle met régulièrement en avant son statut d’ex-secrétaire d’Etat, son rôle dans la lutte contre l’islamisme et, entre les lignes, sa participation au gouvernement qui a traqué et tué Ben Laden. Hillary Clinton défend, ce que certains lui reprochent, un interventionnisme militaire et une vision géopolitique qu’on peut qualifier d’agressive. Elle parvient, d’une part, à mettre en avant expérience, fermeté, professionnalisme et responsabilité potentiellement en tant que chef d’Etat, et donc chef des armées, elle attaque Trump, d’autre part, sur son amateurisme, ses idées fantaisistes, et donc sa dangerosité.
En conséquence, je ne crois pas qu’Hillary Clinton radicalisera son discours en prônant, par exemple, une intervention militaire au sol en Syrie. L’opinion américaine est encore traumatisée par les expériences irakienne et afghane qui ont coûté cher au pays, humainement et financièrement parlant. Elle n’a donc aucun intérêt à droitiser son discours et je pense qu’elle va essayer de conserver une posture professionnelle et responsable sur les questions de terrorisme.
Ces nouvelles attaques sur le sol américain sont-elles en mesure de modifier la politique étrangère de Barack Obama, deux mois et demi avant la fin de son mandat ? Pensez-vous que le président américain, par sa réaction aux attentats, peut influencer l’électorat et la campagne d’Hillary Clinton ?
Je ne pense pas que Barack Obama changera de stratégie en termes de politique étrangère au moment où l’accord avec la Russie sur la Syrie se fragilise. A un mois et demi de l’élection, je ne vois pas le président américain prendre des mesures qui risqueraient de mettre en danger Hillary Clinton et le camp démocrate en vue des élections.
Barack Obama risque, en revanche, de multiplier ses interventions médiatiques dans le cadre de la campagne, pour durcir le ton à l’encontre de Donald Trump et pour soutenir Hillary Clinton. A l’approche des élections, le président des Etats-Unis intensifiera ses discours de soutien envers la candidate démocrate, mettant en avant une femme politique professionnelle, crédible et réfléchie, face à un candidat irrationnel et changeant constamment d’idées. Il vient du reste d’appeler fermement les Afro-Américains à se déplacer le 8 novembre.
A quelques jours du verdict de la Cour constitutionnelle saisie pour un recomptage des voix pour dissiper tout doute sur la réélection contestée d’Ali Bongo, le Président gabonais souhaite rencontrer son rival, l’opposant Jean Ping.
Un nouveau spectacle et une nouvelle aventure...pour le créer : immersion en Europe de l'Est.
C'est une équipe de 17 qui est partie de Mesnay mardi 20 septembre à 6h30 !
1010 km en convoi (un camion plateau avec le chargement du spectacle, un camion de 10mètres cube et une voiture 9 places !).
Plusieurs haltes, jusqu'à notre 1er arrêt à Ljubljana en Slovénie ! Arrivée à 20h, camions en sécurité.
Techniciens, comédiens, metteurs en scène et coordinateurs se rencontrent, discutent car quelques nouveaux (...)
Pour compter du lundi 17 octobre 2016, il est interdit d'importer des marchandises par voie terrestre au Bénin. Le directeur général des douanes et des droits indirects vient de prendre une note circulaire N*3107/DGDDI en date du 20 septembre à cet effet.
La décision d'interdire l'importation des marchandises par voie terrestre au Bénin a été prise "dans le cadre de la lutte contre l'évasion fiscale et en vue d'une maîtrise de la base imposable". La note circulaire précise qu'il "est interdit, sur toute l'étendue du territoire national, l'importation par voie terrestre des chargements de toutes marchandises d'origines étrangères en dehors des produits communautaires munis des documents requis".
Cette décision prend effet pour compter du lundi 17 octobre 2016 "afin de permettre l'apurement des marchandises déjà manifestées et en attente de dédouanement", précise le document signé par le directeur général des douanes Pierre-Claver Tossou.
Jean Totah