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Global Defence Technology: Issue 72

Naval Technology - Thu, 09/02/2017 - 17:06
In this issue: New capabilities in air-to-air refuelling, a look at NATO’s new comms system, trends in protected mobility for armoured vehicles, the world’s first explosives sniffer drone, the future of UAVs in maritime ISR, closing capability gaps i…
Categories: Defence`s Feeds

« Bayiri », le film sur la crise ivoirienne que Bolloré ne veut pas voir, ni le Fespaco

LeMonde / Afrique - Thu, 09/02/2017 - 16:58
Notre chroniqueur dénonce la déprogrammation du film de Pierre Yaméogo du Festival de Ouagadougou pour raisons politiques, mais ne s’étonne pas que Canal Horizons n’en ait pas voulu.
Categories: Afrique

Bulgarian Monks Red-faced Over Illegal Hooch Finds

Balkaninsight.com - Thu, 09/02/2017 - 16:56
About 2,000 litres of illegal fruit brandy have been discovered during regular check-ups by the Bulgarian customs agency in the monasteries of Troyan and Bachkovo.
Categories: Balkan News

Article - Scandale Volkswagen : améliorer le système d’homologation des voitures

Parlement européen (Nouvelles) - Thu, 09/02/2017 - 16:55
Général : Le scandale Volkswagen a permis de mettre en lumière les faiblesses des systèmes d’homologation des nouvelles voitures dans l’Union européenne. Ce jeudi 9 février, les députés de la commission du marché intérieur ont adopté leurs amendements à de nouvelles règles visant à rendre les tests environnementaux et de sécurité des véhicules plus indépendants. Nous avons rencontré Daniel Dalton, député conservateur britannique en charge du dossier au Parlement, pour en savoir plus.

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Categories: Union européenne

Rwanda: le swahili devient la 4ème langue nationale

LeMonde / Afrique - Thu, 09/02/2017 - 16:51
Les autres langues officielles sont le kinyarwanda, le français et l’anglais.
Categories: Afrique

May: Trump beutazási rendelete helytelen

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Thu, 09/02/2017 - 16:50
LONDON. Theresa May brit miniszterelnök szerint a muszlim többségű országokból érkezők beutazására Donald Trump amerikai elnök által kihirdetett tilalom "helytelen és megosztó" intézkedés, és a brit kormány nem készül hasonló lépésekre.

Ondek: az önkormányzatoknak van pénzük a tanítók béremelésére

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Thu, 09/02/2017 - 16:33
POZSONY. Az önkormányzatok költségvetésében van pénz idén szeptember 1-től a pedagógiai alkalmazottak bérének emelésére az óvodákban, a szabadidőközpontokban, az iskolai klubokban és a művészeti alapiskolákban – jelentette ki Pavel Ondek, a Szlovákiai Oktatásügyi és Tudományos Dolgozók Szakszervezeti Szövetsége elnöke.

T'as le bonjour de Popov (actualisé)

Le mamouth (Blog) - Thu, 09/02/2017 - 16:25
Deux aéronefs russes de type encore non précisé étaient à nouveau en maraude dans le golfe de
Plus d'infos »
Categories: Défense

Dadaab : 4 questions sur le plus grand camp de réfugiés au monde, au Kenya

France24 / Afrique - Thu, 09/02/2017 - 16:21
Dadaab, au Kenya, est le plus grand complexe de camps de réfugiés au monde. Le gouvernement a décidé de le fermer en 2017, mais la justice du pays a annulé cette décision jeudi. Questions autour d'un camp que l'on démantèle en silence.
Categories: Afrique

Strukturális reformok a tagállamokban: az elnökség és az EP megállapodott a támogatási programról

Európai Tanács hírei - Thu, 09/02/2017 - 16:20

Az elnökség és az Európai Parlament képviselői között 2017. február 8-án ideiglenes megállapodás született egy olyan programról, amely a strukturális reformok tagállami végrehajtását segíti elő.

A program a hatályba lépésétől a 2020. december 31-ig tartó időszakra jön létre, 142,8 millió eurós pénzügyi keretösszeggel.


„Ez a program támogatni fogja a kormányokat gazdasági és irányítási struktúráik javításában. Újabb előrelépést jelent abba az irányba, hogy a tagállamok felkészültebbek legyenek olyan fontos reformok végrehajtására, amelyek végső haszonélvezői az európai polgárok lesznek.”

Ian Borg, a 2017. évi uniós elnökségért és az uniós alapokért felelős máltai parlamenti államtitkár

Az elkövetkező napokban jóváhagyás céljából benyújtják a megállapodást az Állandó Képviselők Bizottságának. A Parlament és a Tanács ezt követően felkérést kap majd arra, hogy első olvasatban fogadják el a javasolt rendeletet.

Nemzetközi siker az életmentő magyar szalagkorlát

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Thu, 09/02/2017 - 16:18
BUDAPEST. Több kategóriában osztottak ki elismeréseket a Nemzetközi Minőség Innováció 2016 díjátadóján. Magyar cégek is kaptak díjat, arról, hogy mivel érdemelték ki az elismeréseket, Bakos József, a Hungarocontroll Kft. ATES légiforgalmi főosztályának vezetője és Tarány Gábor, a DAC Acélszerkezeti Kft. ügyvezető igazgatója beszélt az M1 műsorában.

France Postpones Extradition Ruling on Kosovo’s Haradinaj

Balkaninsight.com - Thu, 09/02/2017 - 16:17
A French court decided to postpone its decision on whether to free former Kosovo Prime Minister Ramush Haradinaj or to send him to Serbia to face trial on war crimes charges.
Categories: Balkan News

Les robots nous mettront-ils au chômage ? Le débat agite la campagne

Le Point / France - Thu, 09/02/2017 - 16:14
Alors que la France peine à faire baisser le chômage dans l'Hexagone, les points de vue divergent chez les candidats sur la question des robots.
Categories: France

La langue de l'Europe

Le Monde Diplomatique - Thu, 09/02/2017 - 16:11
Barbara Kruger. – Sans titre (You Are Not Yourself [Tu n'es pas toi-même]) 1983 Bridgeman Images - Mary Boone Gallery, New York

Quand je lui demande pourquoi il emploie continuellement des mots anglais, même ceux qui ont un équivalent français, mon neveu me répond que « l'anglais, c'est plus style  ». Et, lorsqu'un résultat lui donne satisfaction, il s'écrie « Yes ! », les poings serrés, plutôt que « Oui ! » ou « Je suis content ! ».

J'y repensais l'autre jour, en voiture, alors que passait un programme de Fun Radio. Sur un ton enjoué, l'animateur enjoignait à ses auditeurs adolescents de raconter leur life — concept visiblement plus style que celui de « vie ». Après chaque chanson, une publicité les invitait à découvrir un nouveau dance floor. Tous employaient l'anglais comme une langue sacrée dont, bizarrement, les Anglo-Américains ne peuvent comprendre le sens caché, puisque, pour eux, life ne signifie que « vie » et dance floor que « piste de danse ». Ainsi apparaissait une distinction entre ceux qui parlent anglais pour se faire comprendre et ceux qui le parlent pour signifier autre chose.

Mon neveu ne déteste pas l'idée de la France. Il croit à la singularité de son pays en certains domaines ; il adore même la gouaille de Michel Audiard dans Les Tontons flingueurs… ce qui ne l'empêche pas de parler un français plein de mots anglais et de connaître les moindres célébrités hollywoodiennes dont les noms tournent en boucle sur le Réseau. Plus précisément, comme j'ai fini par le comprendre, le mot style, dans sa bouche, signifie « branché », « dans le coup », « d'aujourd'hui ». L'anglais n'est pas une langue, mais un marqueur de mouvement, d'avenir, qui ajoute à n'importe quel concept un caractère de modernité. C'est pourquoi une life paraît plus fraîche et aventureuse qu'une vie banale.

Le 26 mars 2014, M. Barack Obama s'est rendu à Bruxelles pour donner ses recommandations. Avant de participer à une réunion de l'OTAN, il a rencontré les responsables de l'Union européenne et prêché une vigilance renforcée en Syrie, tout en appelant à une grande fermeté face à la Russie de M. Vladimir Poutine. Il est également revenu sur le traité de libre-échange transatlantique cher à Washington comme aux responsables de la Commission. Sur les photos de ce sommet en bras de chemise, les responsables européens, serrés autour du séduisant président américain, ressemblent à des chefs de service autour du patron, flattés qu'il leur parle d'égal à égal. Évidemment ils étaient d'accord sur tout, les buts, les méthodes. Naturellement la rencontre s'est déroulée en anglais. Contrairement à ses lointains prédécesseurs, comme John F. Kennedy, le président américain n'a plus même à envisager l'hypothèse d'un discours en allemand ou d'une conversation en français avec les administrateurs des provinces éloignées.

Rien, en tout cas, dans cet échange politique ne ressemblait à un sommet entre États souverains. Plutôt s'agissait-il d'une réunion de bureau entre partenaires unis par une même vision du monde et des objectifs communs. Bien qu'aucune alliance militaire n'associe l'Union européenne aux États-Unis, les chefs d'État du Vieux Continent semblaient prêts à confondre leurs intérêts avec ceux de l'OTAN. Cette unité de vues s'imposait par consensus. Après avoir importé d'Amérique leurs conceptions économiques, leurs règles d'hygiène et de sécurité, leurs objectifs de dérégulation et de privatisation, leur sigle monétaire barré de deux traits et désormais leur langue commune, ils se ralliaient sans hésiter à une même ligne diplomatique et militaire substituée au vaseux projet d'Europe de la défense.

En quelques années, un supposé pragmatisme a balayé le plurilinguisme de l'Union au profit de l'anglais obligatoire. Dans la société tout entière, cette mutation amorcée depuis le milieu du XXe siècle connaît une phénoménale accélération sous l'influence d'Internet. Google, Facebook, Yahoo, Twitter et tant d'autres moyens de communication nés aux États-Unis restent modelés par les schémas de leur pays d'origine. Non seulement le Net nous confronte à l'emploi quotidien d'un anglais minimal, mais il nous incite à penser américain. Un simple coup d'œil sur la page de Google News, dans son édition française, est édifiant. Au cours de l'été, je me suis amusé à noter, jour après jour, ces informations capitales en ouverture de la rubrique « culture ». 16 août : « Michelle Obama : sa playlist hip-hop pour être en meilleure santé ». 17 août : « Décès de l'actrice Lisa Robin Kelly ». 18 août : « Un duo posthume entre Justin Bieber et Michael Jackson… » Entre les starlettes des séries TV et le dernier biopic consacré à Steve Jobs, il fallait chercher loin dans les profondeurs du classement un écho des festivals de théâtre ou de musique, nombreux en France à cette saison. Les responsables de Google rétorqueront, à juste titre, que leurs actualités sont prélevées dans les médias français. Encore faut-il savoir pourquoi l'influence de Stars Actu ou de Gala conduit à braquer continuellement nos regards sur Beverly Hills. Ainsi se généralise une vision du monde à deux vitesses : une culture internationale principalement importée des États-Unis et une actualité locale qui réduit chaque pays au rang de province.

Quelques semaines avant les dernières élections du Parlement européen, la chaîne Euronews (société française, comme ne l'indique pas son nom) organisait un débat entre les chefs de file des principaux groupes politiques de l'Union (28 avril 2014). Les quatre candidats étaient de nationalité belge (M. Guy Verhofstadt), luxembourgeoise (M. Jean-Claude Juncker) et allemande (M. Martin Schulz, Mme Ska Keller). Tous parlent impeccablement l'allemand et trois sur quatre le français — les deux premières langues maternelles de l'Europe (90 millions de germanophones, 70 millions de francophones), mais aussi celles des pays fondateurs du Marché commun, désignées depuis l'origine comme « langues de travail ». Pourtant, ce débat européen allait se dérouler entièrement en anglais sous la houlette d'un journaliste américain et d'une journaliste britannique, Chris Burns et Isabelle Kumar.

Aucune protestation, aucun étonnement ne s'exprima dans la presse ni dans la classe politique. Tout juste les téléspectateurs purent-ils remarquer que les deux intervieweurs jouaient un peu le rôle de maîtres d'école dominant le langage et ses nuances. Au contraire, les quatre participants à cet EU Debate faisaient figure d'élèves brillants et pleins de bonne volonté, sans pouvoir masquer complètement les imperfections de leur accent. Aucun d'entre eux, d'ailleurs, n'aura souligné, même pour en sourire, l'étrangeté de la situation : quand quatre locuteurs germanophones et francophones relèguent leurs langues au rang de patois et préfèrent aligner de longues phrases en anglais, avec la fière assurance de candidats à la gouvernance mondiale.

Tout, dans cette mise en scène du débat, semblait conçu pour imiter un show électoral sur CNN. Debout derrière leurs pupitres, les quatre candidats faisaient face au couple de journalistes comme pour signifier : l'Europe est une grande démocratie à l'image des États-Unis. Malgré leurs divergences politiques, les intervenants se sont également retrouvés pour dénoncer le principal danger : la « Russie de Poutine ». Et, quand la représentante des Verts a regretté que l'Europe ne s'oppose pas plus fermement à la Russie, « comme font les Américains », les autres l'ont approuvée d'un air grave. Pour le reste, tous auront proclamé la grandeur de l'Europe, la singularité de l'Europe, la puissance de l'Europe, l'influence de l'Europe, la voix de l'Europe. Mais cette parole n'était qu'une parole étrangère, dans la forme comme dans le fond, y compris pour ânonner que cette entité européenne serait seule « assez vaste pour se faire entendre à l'échelle de la planète ».

Imaginerait-on que la Chine, les États-Unis, la Russie, ces entités avec lesquelles l'Europe prétend rivaliser, s'expriment dans une autre langue que la leur ? La caractéristique de ces nations tient précisément dans ce bien commun ; si bien que la Chine s'administre en mandarin, que la Russie se gouverne en russe et les États-Unis en anglais… En ce sens, l'Union européenne, pressée de jouer son rôle au club des grandes puissances, ne saurait leur être comparée, puisqu'elle est la seule entité mondiale à s'exprimer dans une langue qui n'est pas la sienne, ou seulement très partiellement. Délaissant celles des fondateurs (le français, l'allemand, l'italien…), renonçant au principe du plurilinguisme qui a longtemps caractérisé ses institutions, elle s'en remet à la langue du plus lointain de ses partenaires : le Royaume-Uni, membre de l'Union sur la pointe des pieds et qui, bientôt, n'en sera peut-être plus, ôtant toute justification à cet extraordinaire privilège.

Lire aussi le courrier des lecteurs dans notre édition de juillet 2016.

Article - Emissions scandal: “The key is to make the rules as robust as possible”

European Parliament (News) - Thu, 09/02/2017 - 16:02
General : The Volkswagen scandal - involving the manipulation of emission tests - exposed the weakness of the current EU car certification system. On Thursday the internal market committee adopted proposals aimed at making this more difficult, including checks on cars already in circulation. The proposals will now need to be approved by all MEPs during an upcoming plenary session. We talked to UK ECR member Daniel Dalton, the MEP in charge of steering these plans through Parliament.

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Article - Emissions scandal: “The key is to make the rules as robust as possible”

European Parliament - Thu, 09/02/2017 - 16:02
General : The Volkswagen scandal - involving the manipulation of emission tests - exposed the weakness of the current EU car certification system. On Thursday the internal market committee adopted proposals aimed at making this more difficult, including checks on cars already in circulation. The proposals will now need to be approved by all MEPs during an upcoming plenary session. We talked to UK ECR member Daniel Dalton, the MEP in charge of steering these plans through Parliament.

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

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