A reformáció szellemisége egykor és ma címmel rendeztek konferenciát a reformáció 500. évfordulója alkalmából június 14-én a II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskolán. A rendezvény keretében bemutatták dr. Soós Kálmán, a főiskola fiatalon elhunyt egykori rektorának kéziratából készült A reformáció terjedése és megszilárdulása a mai Kárpátalja területén 1517–1600 című könyvet. A kötetet dr. Csatáry György történész, a II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskola tanszékvezető tanára, a Lehoczky Tivadar Társadalomtudományi Kutatóközpont igazgatója és dr. Radvánszky Ferenc református lelkész mutatta be.
Csatáry György röviden ismertette a jelenlévőkkel dr. Soós Kálmán történészi pályáját.
– Soós Kálmán mindig arra törekedett, hogy az igazság jelenjen meg a könyvekben, ezt nagyon fontosnak tartotta. Mindig kiállt az elvei mellett, nem fogadta el azokat a hamisításokat, amelyek rárakódtak a történelmünkre – emlékeztetett Csatáry György. – Munkássága alatt sokat kutatott, nagyon sok időt töltött a levéltárban. A 80-as években nagy kihívás volt vallási témával foglalkozni, ő ezzel nagy feladatot tűzött ki maga elé. A kutatás alapjául szolgáló anyagok elsősorban orosz és magyar nyelvűek voltak, ezekhez a fontos munkákhoz azokban az években nagyon nehéz volt hozzájutni. Kapcsolatai révén neki sikerült szert tennie rájuk.
A könyv három fejezetből áll. Az első fejezet a magyarországi eseményeket mutatja be, a vallás fejlődésének útját, illetve szó van benne a török uralomról is. A második fejezetben mutatja be a vidékünkön élő főurak viszonyulását a reformációhoz. Ezen a vidéken az oligarchák segítségével hódított a reformáció. Megtudhatjuk, hogy ez a folyamat azonban csak ideiglenes volt, hiszen az ellenreformáció idején abbamaradt. A harmadik fejezet a kárpátaljai ruszin lakosság reformációhoz való viszonyulását tárja elénk. Ebből a részből kiderül, hogy ruszin falvak tucatjai állnak át a református vallásra, de később ez a lelkesedés alábbhagyott, és elhagyták az újonnan felvett vallást. A könyvben szó esik a vármegyék társadalmi osztályairól, a társadalmi berendezkedésről, a parasztháborúkról. Bár a reformáció gyorsan terjedt, később a vezetőség visszaállt a katolikus hitre.
– Mikor Soós Kálmán ezt a könyvet írta, érezhető volt a rendszerváltás hatása. Ez nagy kihívás volt, amit már ő maga is tapasztalhatott. A témának a lényege tulajdonképpen az útkeresés, önmagunk megtalálása – mondta beszédében Radvánszky Ferenc.
A könyv számunkra történelmi dokumentum. A lutheri reformáció átalakulásának menetét mutatja be. Választ ad olyan kérdésekre például, hogy miért a kálvini és nem a lutheri reformáció terjedt el. Kitér a szlávok – ruszinok, ukránok – és a reformáció kapcsolatára, a kelet felé nyitásra, és hogy mennyi esély van erre. Soós Kálmán könyvéből az derül ki, hogy ő nem lát esélyt a reformáció kelet felé terjedésére.
A könyvbemutató után a főiskola átriumában megkoszorúzták dr. Soós Kálmán mellszobrát.
Illyés István
Kárpátalja.ma
Visite de la brasserie-musée de Dalešice immortalisée par le film Une blonde émoustillante de Jiří Menzel (1981), adapté du roman de Bohumil Hrabal . . .
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Le Parlement égyptien a approuvé ce mercredi un accord controversé, prévoyant la rétrocession de deux îles de la mer Rouge à l'Arabie saoudite : Tiran et Sanafir.
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Alors qu'un groupe armé libyen a affirmé avoir libéré le fils de l'ex-dictateur Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam, celui-ci est toujours activement recherché en Libye. Dans un communiqué publié ce mercredi, la Cour pénale internationale a exigé son arrestation immédiate, afin qu'il soit jugé pour crimes contre l'Humanité.
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Une plainte pour crime contre l'humanité a été introduite en Belgique contre le ministre d'État congolais en charge de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba. Bruxelles a décidé d'ouvrir une enquête.
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Le goût des conservateurs pour les aventures malheureuses laisse pantois les partenaires de Londres : presque un an après le hasardeux référendum du 23 juin 2016 qui a donné la victoire au Brexit, ils ont eu droit au coup de poker perdu de Theresa May… Si le résultat de ces législatives anticipées du 8 juin ne remet pas en cause la sortie du Royaume-Uni de l’UE, les conditions dans lesquelles elle se passera deviennent incertaines, Theresa May n’ayant pas obtenu «le mandat fort et clair» qu’elle demandait pour négocier un «hard Brexit». Or l’horloge tourne : les négociations, qui doivent officiellement commencer le 19 juin (rendez-vous confirmé par la Première ministre) devront être terminées d’ici au 29 mars 2019 à minuit, sinon le Royaume-Uni sautera dans le vide.
Une telle hypothèse prend corps puisqu’il «y a une tension entre le message populaire, qui n’est pas favorable à une rupture totale avec l’Union, et le résultat des élections, qui va faire dépendre la survie du gouvernement May des franges les plus extrémistes du Parti conservateur», observe un diplomate français de haut rang. «C’est totalement paradoxal : les citoyens sont contre un hard Brexit, mais ils ont renforcé les tenants du hard Brexit», ajoute-t-il. Theresa May va donc aborder les négociations avec l’Union européenne dans une position de très grande faiblesse. «On est suspendu à ce qui va se passer à Londres, confie un diplomate européen. Quelles leçons la Première ministre va-t-elle tirer de ces élections ?» A Bruxelles, on craint qu’elle devienne encore plus imprévisible qu’elle ne l’était en changeant sans cesse de ligne en fonction des rapports de force internes. Car elle s’est placée elle-même dans une seringue : «Si elle se montre trop laxiste, elle perdra le soutien des durs de son parti. Mais si elle se montre trop dure, elle n’aura pas de majorité au Parlement, les travaillistes et les Ecossais voulant garder autant que se peut les avantages du marché unique», ajoute un autre diplomate. Surtout, «elle a perdu l’élément de chantage qu’elle avait sur l’Union en menaçant, si on ne faisait pas droit à ses exigences, de transformer son pays en paradis fiscal et social. Or les Britanniques ont montré qu’ils ne voulaient pas d’un démantèlement de l’Etat social et nous le savons tous», analyse ce fin connaisseur des enjeux du Brexit.
On se demande aussi à Bruxelles comment Theresa May va parvenir à se débarrasser de la promesse imprudente qu’elle a faite en s’engageant à régler le statut futur du Royaume-Uni vis-à-vis de l’Union avant la conclusion des négociations sur le Brexit, ce que refusent les Européens. «Si elle a convoqué ces élections anticipées, c’était aussi pour se donner deux ans de plus, jusqu’en 2022, pour conclure un accord de libre-échange après le Brexit, car elle sait que c’est impossible d’ici à 2019. Mais pour ça, il lui fallait une majorité à sa main, ce qu’elle n’a pas obtenu», s’amuse un diplomate français de haut rang, qui se demande comment la locataire du 10, Downing Street va parvenir à se sortir de ce piège. Car s’il n’y a aucun accord sur le statut futur du Royaume-Uni, la Chambre des communes risque de retoquer le résultat des négociations. Si résultat, in fine, il y a… Bref, comme le résume Manfred Weber, le président du groupe PPE (conservateur) au Parlement européen, May «voulait de la stabilité, mais elle a plutôt apporté le chaos à son pays».
A Paris, on ne dit pas vraiment autre chose : «On sait que le résultat des négociations sera mauvais pour le Royaume-Uni, mais on peut divorcer soit de manière ordonnée - c’est-à-dire en donnant au pays des périodes de transition nécessaires afin de limiter les effets négatifs du Brexit -, soit de manière désordonnée. Et là ça fera très très mal.» A la Commission européenne de Bruxelles, on se demande si les autorités britanniques ont vraiment pris la mesure des défis qui les attendent, à la fois pour transposer dans leur droit l’ensemble de la législation communautaire, ce qui imposera, par exemple, de créer toute une série d’autorités qui n’existent pour l’instant qu’au niveau européen, mais aussi pour ménager les intérêts de leurs entreprises. Or Theresa May vient de faire perdre deux mois précieux à son pays, puisqu’il ne s’est rien passé depuis le 29 mars, date à laquelle elle a activé l’article 50 du traité sur la sortie de l’UE. Et face à elle, le bloc des Vingt-Sept n’a jamais été aussi uni, et uni sur une ligne dure. L’avenir du Royaume-Uni s’est donc un peu plus assombri jeudi.
N.B.: article paru dans Libération du 10 juin
En marge d'une réunion à Berlin entre investisseurs et dirigeants africains, le ministre allemand du Développement Gerd Müller a appelé l'ONU à créer un fond d'aide d'urgence de 10 milliards d'euros pour répondre rapidement aux crises humanitaires récurrentes, rapporte Reuters.
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