Dans un communiqué de presse en date du 5 juillet 2025, l'Union Catholique Africaine de la Presse (UCAP), section Burkina Faso informe avoir tenu une Assemblée Générale Extraordinaire le samedi 5 juillet 2025, dans la salle d'œuvres de la Cathédrale Notre-Dame de l'Immaculée Conception (CNDIC) de Ouagadougou.
L'un des points majeurs à l'ordre du jour était l'élection des membres du bureau exécutif. Le bureau sortant dirigé par Alexandre Legrand Rouamba, a passé le témoin à un nouvel exécutif de 9 membres présidé par Romaric Ouédraogo.
À l'issue des travaux, les membres suivants ont été élus pour un mandat de trois ans (2025-2028) :
1-President : Romaric OUEDRAOGO
2-Vice-president : Hulriche NIAMBA
3-Secrétaire général : Juste Éphrem ZIO
4-Secrétaire général adjoint : Nadine SOME/COMPAORE
5-Secrétaire à la trésorerie : Ramatou KONATE
6-Secrétaire à la trésorerie adjointe : Hortense THIEBA
7-Secrétaire à l'organisation : Marcus KOUAMAN
8-Secrétaire à l'organisation adjoint : Prosper DA
9-Secrétaire à la communication : Alizeta ZONGO
Deux commissaires aux comptes ont également été désignés. Il s'agit de Sandrine Félicité OUEDRAOGO et Paul 1er Jumeau OUEDRAOGO.
Cette nouvelle équipe a pour mission de redynamiser la vie associative de l'UCAP Burkina en ajoutant de la terre à la terre, de renforcer la visibilité des actions des journalistes et communicateurs catholiques et de porter haut les valeurs d'éthique, de vérité et de paix, chères à l'association à travers l'inspiration chrétienne du métier de professionnel des médias.
LUCAP Burkina exprime sa gratitude à tous les membres pour leur participation active et leur engagement constant à mettre leur foi au service du journalisme et de la communication.
Lefaso.net
La Ve édition des « Ambassadeurs de Paix Awards » (APA), événement qui vise à magnifier les personnes physiques et morales œuvrant en faveur de la promotion de la paix, du patriotisme et de la cohésion sociale au Burkina, se tiendra le 1er août 2025 à Ouagadougou sous le thème : « 5 ans des APA : quel bilan ? ». Pour cette édition, outre la remise des récompenses, des activités visant à accompagner des initiatives nationales sont prévues. C'est ce qu'ont annoncé les responsables du Mouvement pour la culture de la paix et l'amour de la patrie (MPAP), porteur des APA, le mardi 8 juillet 2025 à Ouagadougou, à travers une conférence de presse dédiée à l'évènement.
C'est le pavillon « Soleil Levant » du SIAO qui est retenu pour la cérémonie de récompenses, le 1er août 2025 à partir de 20h. L'évènement sera retransmis également en direct sur la télévision nationale du Burkina.
Cette édition permettra donc de porter un regard-bilan sur les cinq années d'existence des APA, à travers un état des lieux des actions menées, les succès engrangés, les défis à relever pour améliorer les éditions à venir. Il s'agira aussi, poursuivent les conférenciers, de réaffirmer l'engagement à œuvrer pour un avenir pacifique, un avenir où l'amour de la patrie et le respect des valeurs citoyennes guideront toujours les actions.
Pour cette cinquième édition, les responsables ont concocté plusieurs activités étalées sur des jours. Ainsi, dès le 31 juillet se tiendra un panel pour faire le bilan des éditions passées et projeter les perspectives. “Ce sera également un moment d'échanges entre acteurs engagés dans la promotion de la paix, partager leurs expériences et analyser les répercussions des différentes thématiques qui ont été abordées au cours des éditions précédentes. Cet événement sera un grand moment de célébration, mais aussi de réflexion collective, car il nous permettra de poser les bases d'une vision commune pour la paix et le développement durable de notre pays”, peut-on retenir de la déclaration liminaire lue par le président du comité d'organisation, Paul-Marie Zoma, par ailleurs vice-président du MPAP.
Le panel réunira également les acteurs institutionnels, des lauréats des précédentes éditions, des spécialistes de la paix ainsi que des partenaires techniques, etc.
La soirée sera, elle, marquée par la remise des trophées et des attestations. Elle servira également de cadre pour le lancement d'un appel à contributions pour constituer une cagnotte au profit de l'initiative présidentielle « Faso Mêbo ».
“Pour la participation au Gala, il est demandé une contribution de 25 000 FCFA par personne ou 250 000 FCFA pour une table complète de 10. Une soirée des partenaires et des ambassadeurs de paix le 02 août à partir de 18h. En amont de toutes ces activités, le MPAP envisage une visite au siège de l'Initiative présidentielle Faso Mêbo, pour saluer et encourager tous ceux qui s'investissent dans la réussite et l'aboutissement de cette initiative”, ont déroulé les conférenciers, ajoutant que les partenaires verront la participation également des lauréats de toutes les éditions des APA.
Les récompenses sont, elles, organisées en catégories de trophées. Le « Grand APA » qui récompense une personne physique ou morale qui s'est investie dans la promotion de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble, et qui a fortement impacté sa communauté par des actions de paix, de rassemblement, des actions sociales (prise en charge de personnes vulnérables par exemple), etc.
La deuxième catégorie est l' « APA du Patriotisme » qui récompense une personne physique ou morale qui, par ses actions quotidiennes, montre un attachement à la patrie, se manifestant par la volonté de la défendre et la promouvoir en posant des actes dans ce sens.
L' « APA du Leadership », elle, récompense une personne physique ou morale qui a une influence positive sur sa communauté. L' « APA de l'Engagement en faveur de la cohésion sociale et du vivre-ensemble » récompense une personne physique ou morale qui s'investit dans la promotion de la cohésion sociale et du vivre-ensemble par des actions, des initiatives très concrètes dans sa communauté.
L' « APA de l'Intégration » qui récompense une personne physique ou morale, expatriée résident au Burkina et menant des actions et des activités en faveur de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble. Cette personne est bien intégrée et contribue aux actions de développement dans son pays d'accueil, le Burkina. Aussi favorise-t-elle des actions d'intégration politique et socio-culturelle.
L' « APA de l'AES » qui récompense une personne physique ou morale de l'espace AES (Mali-Burkina-Niger) qui s'investit dans la promotion de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble et qui promeut les principes et valeurs qui fondent l'AES (Alliance des États du Sahel).
L' « APA d'Honneur » qui récompense une personne physique ou morale qui s'investit dans la promotion de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble et qui soutient les actions du MPAP.
En complément de ces distinctions, des attestations de reconnaissance seront remises à des acteurs et institutions pour saluer leur engagement constant et leur soutien dans les actions de promotion de la paix au Burkina Faso, font-ils savoir.
La Vè édition des Ambassadeurs de Paix Awards est placée sous le patronage de sa Majesté Bifaté II, chef de canton de Gaoua et le co-parrainage du président-directeur général de Sofao Groupe SARL, Hamadé Ouédraogo, par ailleurs président du conseil régional du patronat du Centre ; du président-directeur général du groupe Fortuna, Roch Donation Nagalo, Ve vice-président chargé des organisations professionnelles et faîtières de la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso (CCI-BF) et du président-directeur général de Socodifa International, Abdoul Fatao Ouédraogo.
O.L
Lefaso.net
La Ve édition des « Ambassadeurs de Paix Awards » (APA), événement qui vise à magnifier les personnes physiques et morales œuvrant en faveur de la promotion de la paix, du patriotisme et de la cohésion sociale au Burkina, se tiendra le 1er août 2025 à Ouagadougou sous le thème : « 5 ans des APA : quel bilan ? ». Pour cette édition, outre la remise des récompenses, des activités visant à accompagner des initiatives nationales sont prévues. C'est ce qu'ont annoncé les responsables du Mouvement pour la culture de la paix et l'amour de la patrie (MPAP), porteur des APA, le mardi 8 juillet 2025 à Ouagadougou, à travers une conférence de presse dédiée à l'évènement.
C'est le pavillon « Soleil Levant » du SIAO qui est retenu pour la cérémonie de récompenses, le 1er août 2025 à partir de 20h. L'évènement sera retransmis également en direct sur la télévision nationale du Burkina.
Cette édition permettra donc de porter un regard-bilan sur les cinq années d'existence des APA, à travers un état des lieux des actions menées, les succès engrangés, les défis à relever pour améliorer les éditions à venir. Il s'agira aussi, poursuivent les conférenciers, de réaffirmer l'engagement à œuvrer pour un avenir pacifique, un avenir où l'amour de la patrie et le respect des valeurs citoyennes guideront toujours les actions.
Pour cette cinquième édition, les responsables ont concocté plusieurs activités étalées sur des jours. Ainsi, dès le 31 juillet se tiendra un panel pour faire le bilan des éditions passées et projeter les perspectives. “Ce sera également un moment d'échanges entre acteurs engagés dans la promotion de la paix, partager leurs expériences et analyser les répercussions des différentes thématiques qui ont été abordées au cours des éditions précédentes. Cet événement sera un grand moment de célébration, mais aussi de réflexion collective, car il nous permettra de poser les bases d'une vision commune pour la paix et le développement durable de notre pays”, peut-on retenir de la déclaration liminaire lue par le président du comité d'organisation, Paul-Marie Zoma, par ailleurs vice-président du MPAP.
Le panel réunira également les acteurs institutionnels, des lauréats des précédentes éditions, des spécialistes de la paix ainsi que des partenaires techniques, etc.
La soirée sera, elle, marquée par la remise des trophées et des attestations. Elle servira également de cadre pour le lancement d'un appel à contributions pour constituer une cagnotte au profit de l'initiative présidentielle « Faso Mêbo ».
“Pour la participation au Gala, il est demandé une contribution de 25 000 FCFA par personne ou 250 000 FCFA pour une table complète de 10. Une soirée des partenaires et des ambassadeurs de paix le 02 août à partir de 18h. En amont de toutes ces activités, le MPAP envisage une visite au siège de l'Initiative présidentielle Faso Mêbo, pour saluer et encourager tous ceux qui s'investissent dans la réussite et l'aboutissement de cette initiative”, ont déroulé les conférenciers, ajoutant que les partenaires verront la participation également des lauréats de toutes les éditions des APA.
Les récompenses sont, elles, organisées en catégories de trophées. Le « Grand APA » qui récompense une personne physique ou morale qui s'est investie dans la promotion de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble, et qui a fortement impacté sa communauté par des actions de paix, de rassemblement, des actions sociales (prise en charge de personnes vulnérables par exemple), etc.
La deuxième catégorie est l' « APA du Patriotisme » qui récompense une personne physique ou morale qui, par ses actions quotidiennes, montre un attachement à la patrie, se manifestant par la volonté de la défendre et la promouvoir en posant des actes dans ce sens.
L' « APA du Leadership », elle, récompense une personne physique ou morale qui a une influence positive sur sa communauté. L' « APA de l'Engagement en faveur de la cohésion sociale et du vivre-ensemble » récompense une personne physique ou morale qui s'investit dans la promotion de la cohésion sociale et du vivre-ensemble par des actions, des initiatives très concrètes dans sa communauté.
L' « APA de l'Intégration » qui récompense une personne physique ou morale, expatriée résident au Burkina et menant des actions et des activités en faveur de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble. Cette personne est bien intégrée et contribue aux actions de développement dans son pays d'accueil, le Burkina. Aussi favorise-t-elle des actions d'intégration politique et socio-culturelle.
L' « APA de l'AES » qui récompense une personne physique ou morale de l'espace AES (Mali-Burkina-Niger) qui s'investit dans la promotion de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble et qui promeut les principes et valeurs qui fondent l'AES (Alliance des États du Sahel).
L' « APA d'Honneur » qui récompense une personne physique ou morale qui s'investit dans la promotion de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble et qui soutient les actions du MPAP.
En complément de ces distinctions, des attestations de reconnaissance seront remises à des acteurs et institutions pour saluer leur engagement constant et leur soutien dans les actions de promotion de la paix au Burkina Faso, font-ils savoir.
La Vè édition des Ambassadeurs de Paix Awards est placée sous le patronage de sa Majesté Bifaté II, chef de canton de Gaoua et le co-parrainage du président-directeur général de Sofao Groupe SARL, Hamadé Ouédraogo, par ailleurs président du conseil régional du patronat du Centre ; du président-directeur général du groupe Fortuna, Roch Donation Nagalo, Ve vice-président chargé des organisations professionnelles et faîtières de la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso (CCI-BF) et du président-directeur général de Socodifa International, Abdoul Fatao Ouédraogo.
O.L
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La société minière Endeavour Mining a présenté son rapport 2024 de développement durable le lundi 7 juillet 2025 à Ouagadougou. Du rapport, il est noté une amélioration des performances de Endeavour Mining en 2024. De l'économie à la santé en passant par le secteur d'emploi ; l'environnement ; l'humanitaire et beaucoup d'autres secteurs, ce rapport met en exergue les grandes actions de la société extractive au Burkina Faso en 2024.
C'est désormais un exercice annuel depuis 2022 qu'Endeavour Mining s'est donné pour présenter son rapport de l'année écoulée.
Ce lundi 7 juillet, le directeur pays de Endeavour Mining, Souleymane Boly, himself, a procédé à la présentation du rapport. Avant de lever le voile sur le rapport, le premier responsable de la société au Burkina a d'abord expliqué que Endeavour Mining possède deux mines au pays des hommes intègres. Il s'agit, notamment, de celle de Houndé construite en 2017 et de celle de SEMAFO BURKINA (Mana). Et en Afrique de l'Ouest, poursuit-il, la société a, à son actif, cinq mines.
Après ce débriefing sur les généralités de la mine, il a procédé point par point à la présentation du rapport. Lequel rapport met en avant les efforts constants du groupe allant de l'environnement au social en passant par la gouvernance. Sur le volet social, le premier responsable de la mine s'est réjoui de constater une avancée significative en termes d'impact. Selon Souleymane Boly, par ailleurs vice-président chargé des affaires publiques d'Endeavour Mining au Burkina Faso, la société extractive a généré 4 640 emplois directs et indirects, dont 97 % occupés par des Burkinabè et 10 % par des femmes.
Le directeur-pays d'Endeavour Mining, Souleymane Boly, a annoncé que la société va réfléchir davantage aux projets plus structurants en matière d'infrastructuresParallèlement à cet effort entrant dans le cadre de sa responsabilité sociétale, la société a aussi accueilli un grand nombre de jeunes stagiaires.
En effet, pour l'année 2024, Endeavour Mining a offert 121 stages à de jeunes Burkinabè qui ont pu exercer à Houndé et Mana. En plus, ajoute le directeur-pays, 20 étudiants burkinabè ont bénéficié des bourses universitaires de quatre ans et 287 femmes ont été accompagnées à Siou dans la production de riz, entre autres.
Plus de 150 milliards dans le budget de l'État
En 2024, Endeavour Mining a soutenu le budget national à hauteur de plus de 135 milliards de francs CFA selon son directeur-pays. « Le groupe a contribué à hauteur de 5,2 milliards au fonds de développement minier et plus de 135 milliards de francs CFA au budget national en 2024 », a-t-il confié, ajoutant que les achats effectués au Burkina Faso sont estimés à 279 milliards de francs CFA.
En dépit de ses efforts de contribution au budget national, le groupe a étendu aussi, comme à son habitude, ses actions dans l'humanitaire et l'autonomisation de l'autre moitié du ciel. Il ressort du rapport que des projets d'autonomisation des femmes, des jeunes, des projets d'activités génératrices de revenus et des aides à l'endroit des personnes déplacées internes ont été entrepris. Selon le directeur pays, en 2024, la mine a fait, entre autres, 600 millions de FCFA de dons humanitaires au profit des Personnes déplacées internes (PDI) ; 40 millions de FCFA pour la réhabilitation du centre pénitentiaire agricole de Baporo ; un appui à la Maison d'arrêt et de correction de Ouagadougou (construction d'un hall visiteurs, acquisition d'un minibus, pavage, et infrastructure judiciaire pour audience foraine pour un coût total de 73 millions de FCFA). Toutes les initiatives réalisées grâce au dévouement de ses travailleurs ont permis à la société de renforcer la résilience sanitaire de ses agents afin de leur permettre d'être toujours performants.
C'est ainsi que le groupe dit avoir réussi à réduire de 36 % sur les sites les cas de paludisme à l'échelle du groupe Endeavour Mining en 2024.
Distinctions et prix en 2024
En 2024, les mérites d'Endeavour Mining ont été reconnus tant par ses pairs dans le secteur minier que par l'État. Chevalier de l'ordre de l'Étalon (mine de Houndé) ; meilleure entreprise patriote de l'année ; prix du meilleur partenaire de la SNC ; médaille d'honneur des collectivités locales pour la mine de Houndé sont, entre autres, les distinctions reçues en 2024. Cette notoriété acquise au fil du temps et les performances enregistrées en 2024 sont saluées par les autorités.
Les félicitations des autorités
Après la présentation, une copie du rapport a été remise au représentant du ministre en charge des mines et au conseiller spécial du président du Faso. Représentant le ministre des mines et des Carrières, Salif Boussim a félicité la mine pour ses performances. Il les a invités à « mouiller davantage le maillot ». À l'occasion, il a invité les autres sociétés minières à emboîter le pas d'Endeavour Mining.
Note: ">LIRE AUSSI : Secteur minier : Endeavour Mining Burkina présente son rapport de développement durable 2023
Serge Ika Ki
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La société minière Endeavour Mining a présenté son rapport 2024 de développement durable le lundi 7 juillet 2025 à Ouagadougou. Du rapport, il est noté une amélioration des performances de Endeavour Mining en 2024. De l'économie à la santé en passant par le secteur d'emploi ; l'environnement ; l'humanitaire et beaucoup d'autres secteurs, ce rapport met en exergue les grandes actions de la société extractive au Burkina Faso en 2024.
C'est désormais un exercice annuel depuis 2022 qu'Endeavour Mining s'est donné pour présenter son rapport de l'année écoulée.
Ce lundi 7 juillet, le directeur pays de Endeavour Mining, Souleymane Boly, himself, a procédé à la présentation du rapport. Avant de lever le voile sur le rapport, le premier responsable de la société au Burkina a d'abord expliqué que Endeavour Mining possède deux mines au pays des hommes intègres. Il s'agit, notamment, de celle de Houndé construite en 2017 et de celle de SEMAFO BURKINA (Mana). Et en Afrique de l'Ouest, poursuit-il, la société a, à son actif, cinq mines.
Après ce débriefing sur les généralités de la mine, il a procédé point par point à la présentation du rapport. Lequel rapport met en avant les efforts constants du groupe allant de l'environnement au social en passant par la gouvernance. Sur le volet social, le premier responsable de la mine s'est réjoui de constater une avancée significative en termes d'impact. Selon Souleymane Boly, par ailleurs vice-président chargé des affaires publiques d'Endeavour Mining au Burkina Faso, la société extractive a généré 4 640 emplois directs et indirects, dont 97 % occupés par des Burkinabè et 10 % par des femmes.
Le directeur-pays d'Endeavour Mining, Souleymane Boly, a annoncé que la société va réfléchir davantage aux projets plus structurants en matière d'infrastructuresParallèlement à cet effort entrant dans le cadre de sa responsabilité sociétale, la société a aussi accueilli un grand nombre de jeunes stagiaires.
En effet, pour l'année 2024, Endeavour Mining a offert 121 stages à de jeunes Burkinabè qui ont pu exercer à Houndé et Mana. En plus, ajoute le directeur-pays, 20 étudiants burkinabè ont bénéficié des bourses universitaires de quatre ans et 287 femmes ont été accompagnées à Siou dans la production de riz, entre autres.
Plus de 150 milliards dans le budget de l'État
En 2024, Endeavour Mining a soutenu le budget national à hauteur de plus de 135 milliards de francs CFA selon son directeur-pays. « Le groupe a contribué à hauteur de 5,2 milliards au fonds de développement minier et plus de 135 milliards de francs CFA au budget national en 2024 », a-t-il confié, ajoutant que les achats effectués au Burkina Faso sont estimés à 279 milliards de francs CFA.
En dépit de ses efforts de contribution au budget national, le groupe a étendu aussi, comme à son habitude, ses actions dans l'humanitaire et l'autonomisation de l'autre moitié du ciel. Il ressort du rapport que des projets d'autonomisation des femmes, des jeunes, des projets d'activités génératrices de revenus et des aides à l'endroit des personnes déplacées internes ont été entrepris. Selon le directeur pays, en 2024, la mine a fait, entre autres, 600 millions de FCFA de dons humanitaires au profit des Personnes déplacées internes (PDI) ; 40 millions de FCFA pour la réhabilitation du centre pénitentiaire agricole de Baporo ; un appui à la Maison d'arrêt et de correction de Ouagadougou (construction d'un hall visiteurs, acquisition d'un minibus, pavage, et infrastructure judiciaire pour audience foraine pour un coût total de 73 millions de FCFA). Toutes les initiatives réalisées grâce au dévouement de ses travailleurs ont permis à la société de renforcer la résilience sanitaire de ses agents afin de leur permettre d'être toujours performants.
C'est ainsi que le groupe dit avoir réussi à réduire de 36 % sur les sites les cas de paludisme à l'échelle du groupe Endeavour Mining en 2024.
Distinctions et prix en 2024
En 2024, les mérites d'Endeavour Mining ont été reconnus tant par ses pairs dans le secteur minier que par l'État. Chevalier de l'ordre de l'Étalon (mine de Houndé) ; meilleure entreprise patriote de l'année ; prix du meilleur partenaire de la SNC ; médaille d'honneur des collectivités locales pour la mine de Houndé sont, entre autres, les distinctions reçues en 2024. Cette notoriété acquise au fil du temps et les performances enregistrées en 2024 sont saluées par les autorités.
Les félicitations des autorités
Après la présentation, une copie du rapport a été remise au représentant du ministre en charge des mines et au conseiller spécial du président du Faso. Représentant le ministre des mines et des Carrières, Salif Boussim a félicité la mine pour ses performances. Il les a invités à « mouiller davantage le maillot ». À l'occasion, il a invité les autres sociétés minières à emboîter le pas d'Endeavour Mining.
Note: ">LIRE AUSSI : Secteur minier : Endeavour Mining Burkina présente son rapport de développement durable 2023
Serge Ika Ki
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Dans un contexte où les entreprises burkinabè cherchent à renforcer leur compétitivité, fidéliser leurs clients et structurer leur croissance, la fonction Qualité devrait être un pilier stratégique.
Pourtant, elle reste souvent cantonnée à un rôle secondaire, perçue comme une contrainte administrative plutôt que comme un levier de transformation durable.
Dans la majorité des organisations, l'allocation des ressources est guidée par la recherche d'un retour sur investissement immédiat. Dans ce cadre, la Qualité est trop souvent considérée comme un centre de coûts. Résultat : elle souffre d'un manque chronique de reconnaissance, de moyens et de soutien.
Un rôle complexe, une légitimité à défendre
Les responsables Qualité doivent composer avec des responsabilités multiples et parfois contradictoires.
Ils sont à la fois :
Garants de la conformité réglementaire et normative,
Porteurs de sens collectif et de valeurs partagées,
Moteurs d'amélioration continue et de transformation organisationnelle.
Et pourtant, leur rôle reste mal compris, souvent réduit à la gestion documentaire ou à la préparation des audits.
Le véritable défi ne réside pas uniquement dans la complexité de leur mission, mais dans :
Le manque de moyens,
L'absence d'une culture Qualité partagée,
Le déficit de formation à tous les niveaux sur ce que la Qualité représente réellement.
Un paradoxe révélateur
Ce que l'on attend d'eux n'est pas toujours clairement défini.
Et bien souvent, ce que l'on attend d'eux ne correspond pas à ce qu'ils aspirent à accomplir.
Ils souhaitent :
Impulser une dynamique d'amélioration continue,
Développer une culture Qualité vivante,
Travailler en synergie avec les équipes.
Mais dans bien des cas, leur poste a été créé pour répondre à des contraintes externes : conformité réglementaire, certification, gestion des réclamations…
Leur cœur est tourné vers le progrès, la mobilisation, le sens.
Mais leur quotidien est souvent fait de contrôle, de justification… et de résistance passive.
Ils passent plus de temps à légitimer leur rôle qu'à l'exercer pleinement.
Et le plus frustrant, ce n'est pas de faire face à des problèmes.
C'est de savoir exactement ce qu'il faut faire… mais devoir convaincre, encore et encore, pour être entendu.
Quand la pression devient une atteinte à l'éthique
Le plus grave, c'est lorsque certains dirigeants tentent d'imposer leur vision au détriment de l'intégrité du système Qualité :
En modifiant des rapports d'audit,
En dissimulant des non-conformités,
En instrumentalisant la fonction Qualité pour des objectifs de façade.
Ces pratiques, en plus d'être contre-productives, sapent la crédibilité du responsable Qualité et compromettent la confiance au sein de l'organisation.
La Qualité ne peut pas être portée seule
Un responsable Qualité ne peut réussir seul.
Il dépend de l'engagement de ses collègues, de ses managers et de la direction.
La Qualité ne peut pas reposer sur un seul service.
Elle doit être comprise, partagée et incarnée par tous, du terrain à la gouvernance.
Conclusion : faire de la Qualité une culture vivante
Il est grand temps de changer de regard sur la fonction Qualité.
La Qualité ne doit plus être considérée comme un simple outil de conformité, mais comme un vecteur de sens, de cohésion et de performance durable.
Les responsables Qualité ne demandent pas à être applaudis.
Ils demandent à être écoutés, compris, et soutenus.
Ils veulent contribuer, mobiliser, transformer.
Mais pour cela, ils ont besoin d'un environnement qui reconnaît leur rôle stratégique.
« La qualité n'est pas l'affaire d'un service. C'est une culture partagée, ou ce n'est rien. »
Et si, ensemble, nous faisions de cette culture une réalité dans nos entreprises burkinabè.
Dr Bougouma Edith Christiane ‘'Acteur du changement par la Culture Qualité‘'
Pharm., PhD. En Santé Publique et Microbiologie
(Certifiée en Management de Qualité -Santé-Hygiène
Sécurité-Environnement et Management Stratégique)
BECqualityculture@gmail.com
Dans un contexte où les entreprises burkinabè cherchent à renforcer leur compétitivité, fidéliser leurs clients et structurer leur croissance, la fonction Qualité devrait être un pilier stratégique.
Pourtant, elle reste souvent cantonnée à un rôle secondaire, perçue comme une contrainte administrative plutôt que comme un levier de transformation durable.
Dans la majorité des organisations, l'allocation des ressources est guidée par la recherche d'un retour sur investissement immédiat. Dans ce cadre, la Qualité est trop souvent considérée comme un centre de coûts. Résultat : elle souffre d'un manque chronique de reconnaissance, de moyens et de soutien.
Un rôle complexe, une légitimité à défendre
Les responsables Qualité doivent composer avec des responsabilités multiples et parfois contradictoires.
Ils sont à la fois :
Garants de la conformité réglementaire et normative,
Porteurs de sens collectif et de valeurs partagées,
Moteurs d'amélioration continue et de transformation organisationnelle.
Et pourtant, leur rôle reste mal compris, souvent réduit à la gestion documentaire ou à la préparation des audits.
Le véritable défi ne réside pas uniquement dans la complexité de leur mission, mais dans :
Le manque de moyens,
L'absence d'une culture Qualité partagée,
Le déficit de formation à tous les niveaux sur ce que la Qualité représente réellement.
Un paradoxe révélateur
Ce que l'on attend d'eux n'est pas toujours clairement défini.
Et bien souvent, ce que l'on attend d'eux ne correspond pas à ce qu'ils aspirent à accomplir.
Ils souhaitent :
Impulser une dynamique d'amélioration continue,
Développer une culture Qualité vivante,
Travailler en synergie avec les équipes.
Mais dans bien des cas, leur poste a été créé pour répondre à des contraintes externes : conformité réglementaire, certification, gestion des réclamations…
Leur cœur est tourné vers le progrès, la mobilisation, le sens.
Mais leur quotidien est souvent fait de contrôle, de justification… et de résistance passive.
Ils passent plus de temps à légitimer leur rôle qu'à l'exercer pleinement.
Et le plus frustrant, ce n'est pas de faire face à des problèmes.
C'est de savoir exactement ce qu'il faut faire… mais devoir convaincre, encore et encore, pour être entendu.
Quand la pression devient une atteinte à l'éthique
Le plus grave, c'est lorsque certains dirigeants tentent d'imposer leur vision au détriment de l'intégrité du système Qualité :
En modifiant des rapports d'audit,
En dissimulant des non-conformités,
En instrumentalisant la fonction Qualité pour des objectifs de façade.
Ces pratiques, en plus d'être contre-productives, sapent la crédibilité du responsable Qualité et compromettent la confiance au sein de l'organisation.
La Qualité ne peut pas être portée seule
Un responsable Qualité ne peut réussir seul.
Il dépend de l'engagement de ses collègues, de ses managers et de la direction.
La Qualité ne peut pas reposer sur un seul service.
Elle doit être comprise, partagée et incarnée par tous, du terrain à la gouvernance.
Conclusion : faire de la Qualité une culture vivante
Il est grand temps de changer de regard sur la fonction Qualité.
La Qualité ne doit plus être considérée comme un simple outil de conformité, mais comme un vecteur de sens, de cohésion et de performance durable.
Les responsables Qualité ne demandent pas à être applaudis.
Ils demandent à être écoutés, compris, et soutenus.
Ils veulent contribuer, mobiliser, transformer.
Mais pour cela, ils ont besoin d'un environnement qui reconnaît leur rôle stratégique.
« La qualité n'est pas l'affaire d'un service. C'est une culture partagée, ou ce n'est rien. »
Et si, ensemble, nous faisions de cette culture une réalité dans nos entreprises burkinabè.
Dr Bougouma Edith Christiane ‘'Acteur du changement par la Culture Qualité‘'
Pharm., PhD. En Santé Publique et Microbiologie
(Certifiée en Management de Qualité -Santé-Hygiène
Sécurité-Environnement et Management Stratégique)
BECqualityculture@gmail.com
Le Paris Saint-Germain (PSG) et le Real Madrid s'affrontent dans la soirée de ce mercredi 9 juillet 2025 sur le coup de 19h00 GMT, à l'occasion de la seconde demi-finale de la Coupe du monde des clubs 2025. Si les supporters barcelonais ont l'embarras du choix entre le fait de supporter leur rival historique (le Real Madrid)ou leur bourreau de la ligue des Champions 2024 (le PSG), les supporters madrilènes, quant à eux, sont gonflés à bloc et attendent impatiemment le coup d'envoi. À cet effet, El Hadj Mahamadi Lamine Kouanda, Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso, appelle tous les Madridistas (supporters du Real) à soutenir le Real Madrid avec toute la passion et l'énergie pour une place en finale. Le vainqueur de cette demi-finale croisera en finale, Chelsea qui s'est qualifié la veille au détriment du club brésilien de Fulminense. Ci-après, l'intégralité de la déclaration du Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso.
"Chers Supporters du Real Madrid,
C'est avec un grand honneur et une immense fierté que je m'adresse à vous aujourd'hui, en tant que Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso, El Hadj Mahamadi Lamine Kouanda, Commandeur de l'Ordre National.
Ce mercredi, à 19h, notre équipe, la majestueuse Maison Blanche, affronte le PSG en demi-finale de la Coupe du Monde des Clubs. Un match crucial, un véritable choc qui ne se résume pas uniquement à une simple rencontre de football. Ce match symbolise la quête d'une place en finale, un pas de plus vers la gloire et l'histoire que nous avons l'habitude de vivre.
Mais au-delà de cet enjeu sportif, ce match revêt une signification particulière. D'abord, les retrouvailles entre Kylian Mbappé et son ancien club, le PSG, seront un moment fort. Mbappé, notre champion, affronte son passé et cherche à marquer encore plus l'histoire.
Enfin, ce match, c'est aussi le duel entre deux philosophies, deux visions du football : celle du PSG, soutenu par la puissance financière du Qatar, et celle du Real Madrid, symbolisée par la royauté, l'histoire et l'héritage du football mondial. Nous sommes les héritiers d'une tradition de victoires et de grands moments, et c'est avec toute cette histoire que nous entrons sur le terrain.
Je vous invite donc tous à être unis derrière notre équipe, à soutenir le Real Madrid avec toute la passion et l'énergie qui nous caractérisent. Ensemble, faisons entendre notre voix et montrons que la force de notre communauté transcende les frontières.
Hala Madrid, et que la victoire soit avec nous !
Avec tout mon respect et ma fierté,
El Hadj Mahamadi Lamine Kouanda
Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso
Commandeur de l'Ordre National."
Le Paris Saint-Germain (PSG) et le Real Madrid s'affrontent dans la soirée de ce mercredi 9 juillet 2025 sur le coup de 19h00 GMT, à l'occasion de la seconde demi-finale de la Coupe du monde des clubs 2025. Si les supporters barcelonais ont l'embarras du choix entre le fait de supporter leur rival historique (le Real Madrid)ou leur bourreau de la ligue des Champions 2024 (le PSG), les supporters madrilènes, quant à eux, sont gonflés à bloc et attendent impatiemment le coup d'envoi. À cet effet, El Hadj Mahamadi Lamine Kouanda, Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso, appelle tous les Madridistas (supporters du Real) à soutenir le Real Madrid avec toute la passion et l'énergie pour une place en finale. Le vainqueur de cette demi-finale croisera en finale, Chelsea qui s'est qualifié la veille au détriment du club brésilien de Fulminense. Ci-après, l'intégralité de la déclaration du Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso.
"Chers Supporters du Real Madrid,
C'est avec un grand honneur et une immense fierté que je m'adresse à vous aujourd'hui, en tant que Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso, El Hadj Mahamadi Lamine Kouanda, Commandeur de l'Ordre National.
Ce mercredi, à 19h, notre équipe, la majestueuse Maison Blanche, affronte le PSG en demi-finale de la Coupe du Monde des Clubs. Un match crucial, un véritable choc qui ne se résume pas uniquement à une simple rencontre de football. Ce match symbolise la quête d'une place en finale, un pas de plus vers la gloire et l'histoire que nous avons l'habitude de vivre.
Mais au-delà de cet enjeu sportif, ce match revêt une signification particulière. D'abord, les retrouvailles entre Kylian Mbappé et son ancien club, le PSG, seront un moment fort. Mbappé, notre champion, affronte son passé et cherche à marquer encore plus l'histoire.
Enfin, ce match, c'est aussi le duel entre deux philosophies, deux visions du football : celle du PSG, soutenu par la puissance financière du Qatar, et celle du Real Madrid, symbolisée par la royauté, l'histoire et l'héritage du football mondial. Nous sommes les héritiers d'une tradition de victoires et de grands moments, et c'est avec toute cette histoire que nous entrons sur le terrain.
Je vous invite donc tous à être unis derrière notre équipe, à soutenir le Real Madrid avec toute la passion et l'énergie qui nous caractérisent. Ensemble, faisons entendre notre voix et montrons que la force de notre communauté transcende les frontières.
Hala Madrid, et que la victoire soit avec nous !
Avec tout mon respect et ma fierté,
El Hadj Mahamadi Lamine Kouanda
Président des Supporters du Real Madrid, Section Burkina Faso
Commandeur de l'Ordre National."
Le Colonel Thomas SAVADOGO, Commandant de la Brigade des Volontaires pour la Défense de la Patrie (BVDP), a conduit une visite d'immersion des membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du Fonds de Soutien Patriotique (FSP) sur le terrain, le mardi 08 Juillet 2025 dans la région du Centre-Nord (Kuilsé).
L'objectif de la visite était de permettre aux membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP de prendre la mesure de l'impact de l'utilisation des ressources du FSP dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Sur le terrain, les membres ont pu toucher du doigt les acquis engrangés grâce aux ressources du FSP notamment les dotations en moyens roulants et équipements de combat aux VDP, les nombreux villages réinstallés, les travaux de sécurisation desdits villages, les travaux d'aménagement des voies selon les standards de route nationale, etc.
C'est une population reconnaissante qui s'est mobilisée de façon spontanée pour remercier les plus hautes autorités du pays et témoigner sa gratitude aux unités combattantes grâce à qui elle a retrouvé sa dignité et sa liberté de mouvement. Elle assure que la situation est stable dans ces localités respectives « Avant on ne pouvait même pas sortir, mais aujourd'hui nous arrivons à papoter jusqu'à minuit et vaquer à nos occupations sans soucis », a expliqué un habitant.
Les membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP rassurés de la bonne utilisation des ressources affectées à la lutte contre le terrorisme et à la reconquête de l'intégrité du territoire ont regagné Ouagadougou avec l'engagement d'œuvrer davantage au renforcement de la mobilisation des Burkinabè de l'intérieur et de la diaspora en faveur du financement des efforts de lutte contre le terrorisme.
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la BVDP
Le Colonel Thomas SAVADOGO, Commandant de la Brigade des Volontaires pour la Défense de la Patrie (BVDP), a conduit une visite d'immersion des membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du Fonds de Soutien Patriotique (FSP) sur le terrain, le mardi 08 Juillet 2025 dans la région du Centre-Nord (Kuilsé).
L'objectif de la visite était de permettre aux membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP de prendre la mesure de l'impact de l'utilisation des ressources du FSP dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Sur le terrain, les membres ont pu toucher du doigt les acquis engrangés grâce aux ressources du FSP notamment les dotations en moyens roulants et équipements de combat aux VDP, les nombreux villages réinstallés, les travaux de sécurisation desdits villages, les travaux d'aménagement des voies selon les standards de route nationale, etc.
C'est une population reconnaissante qui s'est mobilisée de façon spontanée pour remercier les plus hautes autorités du pays et témoigner sa gratitude aux unités combattantes grâce à qui elle a retrouvé sa dignité et sa liberté de mouvement. Elle assure que la situation est stable dans ces localités respectives « Avant on ne pouvait même pas sortir, mais aujourd'hui nous arrivons à papoter jusqu'à minuit et vaquer à nos occupations sans soucis », a expliqué un habitant.
Les membres du Conseil d'orientation et du Comité de gestion du FSP rassurés de la bonne utilisation des ressources affectées à la lutte contre le terrorisme et à la reconquête de l'intégrité du territoire ont regagné Ouagadougou avec l'engagement d'œuvrer davantage au renforcement de la mobilisation des Burkinabè de l'intérieur et de la diaspora en faveur du financement des efforts de lutte contre le terrorisme.
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la BVDP
Le Directeur Général des Douanes, l'Inspecteur divisionnaire Yves KAFANDO, a effectué, ce mardi 8 juillet 2025, une série de visites de courtoisie et de prise de contact auprès des plus hautes autorités des Forces de Défense et de Sécurité (FDS), dans le cadre du renforcement de la collaboration interinstitutionnelle.
Cette tournée a conduit le premier responsable de l'administration douanière successivement à l'État-Major Général des Armées, au Commandement de la Gendarmerie nationale, puis à la Direction Générale de la Police nationale.
Ces rencontres avaient pour objectif de consolider les liens de coopération et de renforcer la synergie d'action entre les Douanes et les FDS, face aux défis communs liés à la lutte contre la fraude, à la sécurisation des frontières et à la protection de l'économie nationale.
Le Directeur Général des Douanes a exprimé sa volonté d'œuvrer dans la continuité et a sollicité l'accompagnement des FDS dans l'accomplissement des missions régaliennes de l'administration douanière.
Le Chef d'État-Major Général des Armées, le Général de Brigade Moussa DIALLO, le Chef d'État-Major de la Gendarmerie nationale, le Colonel Kouagri NATAMA, et le Directeur Général de la Police nationale, l'Inspecteur général de police Wennélebsida Jean Alexandre DARGA, rencontrés à cette occasion, ont salué cette démarche et réaffirmé leur disponibilité à soutenir la Douane dans ses efforts de sécurisation du territoire et de lutte contre les trafics illicites.
Ces échanges témoignent de l'engagement partagé des institutions en charge de la défense et de la sécurité pour la stabilité et le développement du Burkina Faso.
Lefaso.net
Source : Douanes du Burkina Faso
Les résultats tant attendus du Certificat de qualification professionnelle (CQP) ont été officiellement proclamés le mardi 8 juillet 2025 à Toma, chef-lieu de la province. Le Nayala qui a accueilli pour la toute première fois cette année, un centre d'examen, enregistre 89 admis sur 91 candidats présents, soit un taux de réussite de 97,80%.
Deux jurys étaient concernés par cette session inédite : le jury 239, relatif à la spécialité couturier, et le jury 253, consacré à la spécialité Teinturier-tisseur. Au total, 112 candidats (exclusivement féminins) étaient inscrits pour ces deux spécialités.
Pour la spécialité couturier (jury 239), 46 candidates étaient inscrites. Après l'absence de 9 d'entre elles, ce sont 37 candidates qui ont effectivement pris part aux épreuves. Sur ce nombre, 35 ont été déclarées admises, soit un taux de réussite de 94,59 %.
Du côté de la spécialité teinturier-tisseur (jury 253), 66 candidates étaient attendues. Malgré 12 absences, les 54 candidates présentes ont toutes été admises, enregistrant ainsi un taux de réussite de 100 %.
À l'échelle provinciale, les résultats cumulatifs révèlent 89 admis sur 91 candidats présents, soit un taux global de réussite de 97,80 %. Ce score exceptionnel place le Nayala parmi les provinces les plus performantes du pays pour cette session 2025 du CQP.
L'organisation d'un centre d'examen dans la province représente une avancée significative pour l'accès à la certification professionnelle, notamment pour les jeunes filles et les jeunes femmes en quête de qualification et d'autonomisation. Cette première édition, marquée par un fort taux de réussite, témoigne non seulement de la qualité de l'encadrement mais aussi de la motivation des apprenantes.
Y.I K-Z
Lefaso.net
Les vitrines RSE qui sont une plateforme de célébration des efforts des acteurs du privé en lien avec la responsabilité sociétale des entreprises, se sont tenues du 26 au 28 juin 2025 à Ouagadougou. Au cours de cette édition, deuxième du genre, Nestlé Burkina a été auréolé de deux prix. Il s'agit du prix pour le meilleur engagement dans le domaine de l'industrie et du prix spécial pour l'accompagnement de la jeunesse. Ces distinctions à en croire Omaro Kane, directeur de la communication et des affaires publiques de Nestlé Burkina, sont une reconnaissance de l'ensemble des programmes impactants conduits par Nestlé Burkina au profit de la population en général et des jeunes en particulier. Dans l'interview qu'il nous a accordé, il revient sur les programmes menés ainsi que sur les prochaines actions qui seront déroulées au profit de la jeunesse.
Lefaso.net : Nestlé Burkina a récemment remporté deux distinctions lors des vitrines RSE, parlez-nous de votre participation à cette initiative.
Omaro Kane : Nestlé Burkina a été contacté par le commissariat des vitrines RSE qui lui a présenté l'initiative. Après cela, nous avons cherché à bien comprendre l'initiative, les critères d'évaluation, les catégories qui faisaient l'objet de compétition. Une fois que nous avons pris connaissance de tout cela via l'appel à candidature, Nestlé Burkina a postulé dans deux catégories. Il faut noter qu'il y a plusieurs secteurs comme les mines, les banques, etc. Et nous avons postulé pour le secteur de l'industrie et les initiatives environnementales.
Qu'est ce qui, selon vous, a demarqué Nestlé Burkina de ses challengers et qui a valu ces distinctions ?
Nous avons obtenu le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE. Le deuxième prix que nous avons reçu est une reconnaissance sous forme de prix spécial, reconnaissant l'ensemble de nos initiatives en faveur de l'employabilité et l'entreprenariat des jeunes.
Nestlé Burkina a reçu deux distinctions au cours des vitrines RSEJe dirai que ce qui nous a démarqué des autres, ce sont principalement trois aspects. La première est la qualité de nos initiatives, la deuxième est relative à l'impact qui est créé chez les bénéficiaires et le troisième élément c'est le long terme. De ce que nous avons compris, le jury a particulièrement apprécié le portefeuille élargi d'initiatives que nous avons pour les jeunes. Nous avons une diversité de projets qui visent à employer les jeunes peu importe leur niveau d'études. Qu'ils soient allés à l'école ou pas, Nestlé Burkina développe des programmes relatifs à l'entreprenariat dans la vente de boissons chaudes. Ce programme permet aux jeunes, peu importe leur niveau d'études, de se lancer dans ce business et de réussir à avoir des revenus moyens qui tournent autour de 100.000 FCFA par mois.
En plus de ce programme nous avons d'autres initiatives en lien avec l'entreprenariat. Nous avons un programme de formation digitale qui permet à tout jeune qui se trouve au Burkina Faso, d'aller sur notre plateforme mondiale (www.nestleyouthentrepreneurship.com), de s'inscrire et de suivre des cours sur comment lancer un business de l'idée à sa matérialisation et cette formation est assortie d'un certificat. Nous avons un autre programme qui vise à stimuler l'entreprenariat chez les jeunes étudiants. Aujourd'hui, seulement 10% des étudiants qui se retrouvent sur le marché de l'emploi ont des opportunités directes. Il y a donc 90% qui se retrouve de façon indirecte sur le marché de l'entreprenariat. Nestlé campus challenge permet donc à des jeunes issus des universités, de participer à un concours d'entreprenariat pour stimuler l'esprit d'entreprenariat pendant qu'ils sont toujours sur les bancs. Nous avons également un programme de formation professionnelle avec Chef André par rapport à son centre de formation aux métiers de bouche. À cela s'ajoutent les forums que nous initions sur l'employabilité notamment. Je pense que c'est cet ensemble d'initiatives qui a motivé le jury à decerner à Nestlé le prix spécial pour les initiatives jeunes.
La première distinction est le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE.Le deuxième prix que nous avons reçu est relatif à l'initiative industrie. L'industrie alimentaire est faite de produits mais aussi d'emballages. Aujourd'hui chez Nestlé, tout emballage marketing que nous produisons est récupéré après utilisation et recyclé et transformé en tables-bancs. Et en synergie avec le ministère de l'Éducation, nous identifions des écoles et nous remettons ces tables-bancs. Nous implémentons ce projet depuis trois ans avec environ 700 tables-bancs déjà distribués et qui bénéficient chaque année à un peu plus de 1 500 écoliers.
Comment est-ce que Nestlé accueille ces deux prix ? Que représentent-ils pour vous ?
C'est déjà une reconnaissance donc c'est une fierté. Nous aimons bien dire que nous sommes fiers d'être Nestlé. Et nous sommes encore plus fiers lorsque nous créons plus d'impact. Pour nous, ces distinctions confirment la vision de Nestlé, qui est d'être une force au service du bien. Être une force, c'est parce que nous sommes leader mondial dans l'alimentaire, ce qui signifie que notre responsabilité est grande. Et cette force que nous avons doit être au service du bien donc le bien nutritionnel parce que c'est notre corps de métier. Et au-delà des aspects nutritionnels, il y a les aspects communautaires et planétaires.
La deuxième distinction est un prix spécial récompensant l'engagement de Nestlé dans l'accompagnement de la jeunesseCette reconnaissance est aussi un appel à faire plus et cet appel nécessite l'implication de tout le monde. C'est un appel à faire une synergie d'action avec d'autres entreprises, des organisations de la société civile mais aussi avec le gouvernement. Et ces prix sont aussi des prix qui reviennent au gouvernement parce que tout ce que l'on fait est en droite ligne avec les stratégies du gouvernement et nous nous assurons que tout ce qui est fait est associé avec les autorités gouvernementales donc pour nous c'est une satisfaction partagée.
Ces distinctions reçues tout en reconnaissant vos efforts sont sûrement une invite à la persévérance, quelles sont vos perspectives en matière d'accompagnement des jeunes pour les jours à venir ?
Nous allons continuer à faire ce que nous faisons, car nous estimons que ce qui est fait est déjà bien. Nous allons chercher à être le plus stable possible dans ce que nous faisons et renforcer la collaboration avec les parties prenantes. Notre fierté c'est de voir un jeune qui participe à un programme d'entreprenariat de Nestlé et qui arrive à s'installer, voir son business grandir. Nous allons donc nous assurer de maintenir la stabilité de ce que nous faisons et étendre ces projets à d'autres localités. Pour le cas par exemple du programme Nestlé campus challenge, la deuxième phase va s'ouvrir à plus de jeunes. Nous allons passer de 10 à 15 universités. Nous avons également un programme de stages en gestation et qui sera disponible très bientôt. Il va permettre à plusieurs jeunes d'avoir des stages d'immersion sur une période de deux à trois mois chez Nestlé Burkina. Pour ce qui est de l'aspect durabilité environnementale, le nombre de tables-bancs distribués va être porté à 1 000 à la rentrée prochaine car nous allons ajouter 300 autres tables-bancs.
Un dernier mot ?
Rejoignons nos forces ! Nestlé aujourd'hui est lauréat de ces prix, en réalité les véritables lauréats ce sont les bénéficiaires. C'est également un appel au secteur privé. Nous sommes une force donc regardons les synergies d'actions là où nos intérêts coïncident pour faire plus d'impact. Continuons la collaboration avec la société civile locale et travaillons en synergie avec la stratégie gouvernementale. Nestlé est présent au Burkina Faso pour le long terme et nous continuerons d'impacter.
Propos recueillis par Armelle Ouédraogo
Crédit photo : Auguste Paré
Lefaso.net
Les vitrines RSE qui sont une plateforme de célébration des efforts des acteurs du privé en lien avec la responsabilité sociétale des entreprises, se sont tenues du 26 au 28 juin 2025 à Ouagadougou. Au cours de cette édition, deuxième du genre, Nestlé Burkina a été auréolé de deux prix. Il s'agit du prix pour le meilleur engagement dans le domaine de l'industrie et du prix spécial pour l'accompagnement de la jeunesse. Ces distinctions à en croire Omaro Kane, directeur de la communication et des affaires publiques de Nestlé Burkina, sont une reconnaissance de l'ensemble des programmes impactants conduits par Nestlé Burkina au profit de la population en général et des jeunes en particulier. Dans l'interview qu'il nous a accordé, il revient sur les programmes menés ainsi que sur les prochaines actions qui seront déroulées au profit de la jeunesse.
Lefaso.net : Nestlé Burkina a récemment remporté deux distinctions lors des vitrines RSE, parlez-nous de votre participation à cette initiative.
Omaro Kane : Nestlé Burkina a été contacté par le commissariat des vitrines RSE qui lui a présenté l'initiative. Après cela, nous avons cherché à bien comprendre l'initiative, les critères d'évaluation, les catégories qui faisaient l'objet de compétition. Une fois que nous avons pris connaissance de tout cela via l'appel à candidature, Nestlé Burkina a postulé dans deux catégories. Il faut noter qu'il y a plusieurs secteurs comme les mines, les banques, etc. Et nous avons postulé pour le secteur de l'industrie et les initiatives environnementales.
Qu'est ce qui, selon vous, a demarqué Nestlé Burkina de ses challengers et qui a valu ces distinctions ?
Nous avons obtenu le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE. Le deuxième prix que nous avons reçu est une reconnaissance sous forme de prix spécial, reconnaissant l'ensemble de nos initiatives en faveur de l'employabilité et l'entreprenariat des jeunes.
Nestlé Burkina a reçu deux distinctions au cours des vitrines RSEJe dirai que ce qui nous a démarqué des autres, ce sont principalement trois aspects. La première est la qualité de nos initiatives, la deuxième est relative à l'impact qui est créé chez les bénéficiaires et le troisième élément c'est le long terme. De ce que nous avons compris, le jury a particulièrement apprécié le portefeuille élargi d'initiatives que nous avons pour les jeunes. Nous avons une diversité de projets qui visent à employer les jeunes peu importe leur niveau d'études. Qu'ils soient allés à l'école ou pas, Nestlé Burkina développe des programmes relatifs à l'entreprenariat dans la vente de boissons chaudes. Ce programme permet aux jeunes, peu importe leur niveau d'études, de se lancer dans ce business et de réussir à avoir des revenus moyens qui tournent autour de 100.000 FCFA par mois.
En plus de ce programme nous avons d'autres initiatives en lien avec l'entreprenariat. Nous avons un programme de formation digitale qui permet à tout jeune qui se trouve au Burkina Faso, d'aller sur notre plateforme mondiale (www.nestleyouthentrepreneurship.com), de s'inscrire et de suivre des cours sur comment lancer un business de l'idée à sa matérialisation et cette formation est assortie d'un certificat. Nous avons un autre programme qui vise à stimuler l'entreprenariat chez les jeunes étudiants. Aujourd'hui, seulement 10% des étudiants qui se retrouvent sur le marché de l'emploi ont des opportunités directes. Il y a donc 90% qui se retrouve de façon indirecte sur le marché de l'entreprenariat. Nestlé campus challenge permet donc à des jeunes issus des universités, de participer à un concours d'entreprenariat pour stimuler l'esprit d'entreprenariat pendant qu'ils sont toujours sur les bancs. Nous avons également un programme de formation professionnelle avec Chef André par rapport à son centre de formation aux métiers de bouche. À cela s'ajoutent les forums que nous initions sur l'employabilité notamment. Je pense que c'est cet ensemble d'initiatives qui a motivé le jury à decerner à Nestlé le prix spécial pour les initiatives jeunes.
La première distinction est le prix de la meilleure initiative des industries en matière de RSE.Le deuxième prix que nous avons reçu est relatif à l'initiative industrie. L'industrie alimentaire est faite de produits mais aussi d'emballages. Aujourd'hui chez Nestlé, tout emballage marketing que nous produisons est récupéré après utilisation et recyclé et transformé en tables-bancs. Et en synergie avec le ministère de l'Éducation, nous identifions des écoles et nous remettons ces tables-bancs. Nous implémentons ce projet depuis trois ans avec environ 700 tables-bancs déjà distribués et qui bénéficient chaque année à un peu plus de 1 500 écoliers.
Comment est-ce que Nestlé accueille ces deux prix ? Que représentent-ils pour vous ?
C'est déjà une reconnaissance donc c'est une fierté. Nous aimons bien dire que nous sommes fiers d'être Nestlé. Et nous sommes encore plus fiers lorsque nous créons plus d'impact. Pour nous, ces distinctions confirment la vision de Nestlé, qui est d'être une force au service du bien. Être une force, c'est parce que nous sommes leader mondial dans l'alimentaire, ce qui signifie que notre responsabilité est grande. Et cette force que nous avons doit être au service du bien donc le bien nutritionnel parce que c'est notre corps de métier. Et au-delà des aspects nutritionnels, il y a les aspects communautaires et planétaires.
La deuxième distinction est un prix spécial récompensant l'engagement de Nestlé dans l'accompagnement de la jeunesseCette reconnaissance est aussi un appel à faire plus et cet appel nécessite l'implication de tout le monde. C'est un appel à faire une synergie d'action avec d'autres entreprises, des organisations de la société civile mais aussi avec le gouvernement. Et ces prix sont aussi des prix qui reviennent au gouvernement parce que tout ce que l'on fait est en droite ligne avec les stratégies du gouvernement et nous nous assurons que tout ce qui est fait est associé avec les autorités gouvernementales donc pour nous c'est une satisfaction partagée.
Ces distinctions reçues tout en reconnaissant vos efforts sont sûrement une invite à la persévérance, quelles sont vos perspectives en matière d'accompagnement des jeunes pour les jours à venir ?
Nous allons continuer à faire ce que nous faisons, car nous estimons que ce qui est fait est déjà bien. Nous allons chercher à être le plus stable possible dans ce que nous faisons et renforcer la collaboration avec les parties prenantes. Notre fierté c'est de voir un jeune qui participe à un programme d'entreprenariat de Nestlé et qui arrive à s'installer, voir son business grandir. Nous allons donc nous assurer de maintenir la stabilité de ce que nous faisons et étendre ces projets à d'autres localités. Pour le cas par exemple du programme Nestlé campus challenge, la deuxième phase va s'ouvrir à plus de jeunes. Nous allons passer de 10 à 15 universités. Nous avons également un programme de stages en gestation et qui sera disponible très bientôt. Il va permettre à plusieurs jeunes d'avoir des stages d'immersion sur une période de deux à trois mois chez Nestlé Burkina. Pour ce qui est de l'aspect durabilité environnementale, le nombre de tables-bancs distribués va être porté à 1 000 à la rentrée prochaine car nous allons ajouter 300 autres tables-bancs.
Un dernier mot ?
Rejoignons nos forces ! Nestlé aujourd'hui est lauréat de ces prix, en réalité les véritables lauréats ce sont les bénéficiaires. C'est également un appel au secteur privé. Nous sommes une force donc regardons les synergies d'actions là où nos intérêts coïncident pour faire plus d'impact. Continuons la collaboration avec la société civile locale et travaillons en synergie avec la stratégie gouvernementale. Nestlé est présent au Burkina Faso pour le long terme et nous continuerons d'impacter.
Propos recueillis par Armelle Ouédraogo
Crédit photo : Auguste Paré
Lefaso.net
Ouagadougou, 8 juillet 2025. L'Institut des sciences des sociétés (CNRST) organise un colloque international les 10 et 11 juillet 2025 sur les langues, les langages numériques, l'intelligence artificielle et l'éducation en Afrique.
Dans un monde en constante évolution, l'essor du numérique et de l'intelligence artificielle (IA) modifie en profondeur les pratiques éducatives et l'apprentissage des langues. Ces nouvelles technologies proposent des traductions automatiques et des plateformes d'enseignements adaptatifs et intuitifs. En passant par les chatbots pédagogiques et les systèmes de reconnaissance vocale, elles redéfinissent la place de l'enseignant, les méthodes d'enseignement et les modes d'acquisition des compétences linguistiques.
Ainsi, les technologies numériques ont révolutionné l'enseignement/ l'apprentissage des langues en facilitant l'accès à une variété de ressources pédagogiques, encouragent l'apprentissage autonome et stimulent l'interaction entre apprenants à l'échelle mondiale.
Pour ce qui est de l'IA, elle apporte des perspectives nouvelles à l'enseignement des langues grâce à sa capacité à traiter d'importants volumes de données, à offrir des solutions personnalisées et à ses possibilités d'instrumentation des langues africaines et leur enseignement, …
Cependant, l'IA soulève des préoccupations éthiques concernant la collecte et l'utilisation des données par des apprenants, ainsi que son impact sur le rôle central de l'enseignant dans le processus éducatif. Mais en intégrant à bon escient les possibilités de l'IA, l'Afrique peut accélérer la mise en œuvre de l'Objectif de Développement Durable 4, visant à garantir une éducation équitable et de qualité pour tous.
Face à ce défi, la recherche joue un rôle déterminant d'où l'organisation de ce colloque, afin que les chercheurs et les universitaires proposent des réflexions pouvant aboutir à une exploitation intelligente et efficiente de l'IA en faveur de l'éducation. En effet, l'IA demeure un sujet central pour le monde de la recherche, du CNRST et de l'Institut des Sciences des Sociétés. Il offre un cadre d'expression pluridisciplinaire et les regards croisés permettront d'appréhender son impact sur nos sociétés dans leurs préoccupations au quotidien ; ainsi que les leviers d'adaptation pour réduire les risques liés à ses utilisations.
Pour ce faire, plusieurs dizaines de chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants et autres professionnels du Burkina Faso, du Mali, de la Côte d'Ivoire, du Togo, de l'Algérie, du Gabon, de Madagascar, du Congo, sont annoncés à ce colloque international qui permettra d'analyser les implications des langues, des langages numériques et de l'intelligence artificielle pour l'éducation inclusive de qualité en Afrique.
Contacts :
Tél : (226) 25-35-55-94/25 35-88-68
E-mail : insscolloque25@gmail.com
Ouagadougou, 8 juillet 2025. L'Institut des sciences des sociétés (CNRST) organise un colloque international les 10 et 11 juillet 2025 sur les langues, les langages numériques, l'intelligence artificielle et l'éducation en Afrique.
Dans un monde en constante évolution, l'essor du numérique et de l'intelligence artificielle (IA) modifie en profondeur les pratiques éducatives et l'apprentissage des langues. Ces nouvelles technologies proposent des traductions automatiques et des plateformes d'enseignements adaptatifs et intuitifs. En passant par les chatbots pédagogiques et les systèmes de reconnaissance vocale, elles redéfinissent la place de l'enseignant, les méthodes d'enseignement et les modes d'acquisition des compétences linguistiques.
Ainsi, les technologies numériques ont révolutionné l'enseignement/ l'apprentissage des langues en facilitant l'accès à une variété de ressources pédagogiques, encouragent l'apprentissage autonome et stimulent l'interaction entre apprenants à l'échelle mondiale.
Pour ce qui est de l'IA, elle apporte des perspectives nouvelles à l'enseignement des langues grâce à sa capacité à traiter d'importants volumes de données, à offrir des solutions personnalisées et à ses possibilités d'instrumentation des langues africaines et leur enseignement, …
Cependant, l'IA soulève des préoccupations éthiques concernant la collecte et l'utilisation des données par des apprenants, ainsi que son impact sur le rôle central de l'enseignant dans le processus éducatif. Mais en intégrant à bon escient les possibilités de l'IA, l'Afrique peut accélérer la mise en œuvre de l'Objectif de Développement Durable 4, visant à garantir une éducation équitable et de qualité pour tous.
Face à ce défi, la recherche joue un rôle déterminant d'où l'organisation de ce colloque, afin que les chercheurs et les universitaires proposent des réflexions pouvant aboutir à une exploitation intelligente et efficiente de l'IA en faveur de l'éducation. En effet, l'IA demeure un sujet central pour le monde de la recherche, du CNRST et de l'Institut des Sciences des Sociétés. Il offre un cadre d'expression pluridisciplinaire et les regards croisés permettront d'appréhender son impact sur nos sociétés dans leurs préoccupations au quotidien ; ainsi que les leviers d'adaptation pour réduire les risques liés à ses utilisations.
Pour ce faire, plusieurs dizaines de chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants et autres professionnels du Burkina Faso, du Mali, de la Côte d'Ivoire, du Togo, de l'Algérie, du Gabon, de Madagascar, du Congo, sont annoncés à ce colloque international qui permettra d'analyser les implications des langues, des langages numériques et de l'intelligence artificielle pour l'éducation inclusive de qualité en Afrique.
Contacts :
Tél : (226) 25-35-55-94/25 35-88-68
E-mail : insscolloque25@gmail.com
1. Contexte
L'ONG AGN s'engage pour la professionnalisation de la lutte anti-braconnage et l'autonomisation des communautés rurales via des alternatives durables. Dans ce cadre, AGN a lancé une unité de transformation du manioc visant la génération de revenus alternatifs.
Dans un souci de respect des normes agroalimentaires (ISO 22000, ISO 9001, ISO 14000, HACCP) et de l'économie circulaire, AGN souhaite intégrer des solutions de gestion durable des déchets (solides et effluents) issus de la transformation du manioc.
2. Objectif général
Recruter un cabinet ou un consultant qualifié pour :
• Réaliser une étude technique, environnementale et économique sur le traitement des déchets générés par la transformation du manioc.
• Proposer et accompagner la mise en place de systèmes de traitement et valorisation des déchets en conformité avec les normes internationales et les principes de l'économie circulaire.
3. Objectifs spécifiques
• Identifier la typologie et les volumes des déchets solides et liquides générés pour un traitement journalier de 10 tonnes de manioc.
• Proposer des solutions techniques de traitement et valorisation (compostage, méthanisation, recyclage, réutilisation).
• Élaborer les plans techniques des installations proposées.
• Fournir un budget estimatif des équipements, des infrastructures et de l'exploitation.
• Évaluer l'impact environnemental des solutions proposées.
• Former le personnel à l'exploitation durable des systèmes de gestion des déchets.
4. Résultats attendus
• Rapport diagnostic des flux de déchets.
• Étude de faisabilité des solutions proposées.
• Plans d'implantation des équipements.
• Budget détaillé d'investissement et de fonctionnement.
• Manuel de procédures de traitement/valorisation des déchets.
• Formation du personnel de l'unité AGN.
5. Durée de la mission
La mission est prévue sur une durée de 8 à 12 semaines, répartie comme suit :
• 3 semaines pour l'étude et les relevés sur site.
• 3 semaines pour la rédaction des rapports et propositions techniques.
• 2 à 4 semaines pour l'installation et formation.
6. Profil recherché
• Cabinet ou consultant avec expérience avérée en ingénierie environnementale ou agroalimentaire.
• Maîtrise des normes ISO 14000, ISO 22000, HACCP.
• Expertise en traitement des déchets agro-industriels, compostage, bio-digestion.
• Références de projets similaires en Afrique ou milieux ruraux.
7. Modalités de soumission
Les candidats intéressés doivent soumettre :
• Une proposition technique (compréhension, méthodologie, chronogramme).
• Une proposition financière détaillée.
• Les CV des consultants et références de projets similaires.
• Le numéro IFU et le registre de commerce (pour les cabinets).
8. Contact
Les dossiers de candidature devront être envoyés par mail à : contact@agn-burkinafaso.com au plus tard le 15 juillet 2025.
“Ensemble faisons de la nature un paradis où vivraient des populations résilientes”
1. Contexte
L'ONG AGN s'engage pour la professionnalisation de la lutte anti-braconnage et l'autonomisation des communautés rurales via des alternatives durables. Dans ce cadre, AGN a lancé une unité de transformation du manioc visant la génération de revenus alternatifs.
Dans un souci de respect des normes agroalimentaires (ISO 22000, ISO 9001, ISO 14000, HACCP) et de l'économie circulaire, AGN souhaite intégrer des solutions de gestion durable des déchets (solides et effluents) issus de la transformation du manioc.
2. Objectif général
Recruter un cabinet ou un consultant qualifié pour :
• Réaliser une étude technique, environnementale et économique sur le traitement des déchets générés par la transformation du manioc.
• Proposer et accompagner la mise en place de systèmes de traitement et valorisation des déchets en conformité avec les normes internationales et les principes de l'économie circulaire.
3. Objectifs spécifiques
• Identifier la typologie et les volumes des déchets solides et liquides générés pour un traitement journalier de 10 tonnes de manioc.
• Proposer des solutions techniques de traitement et valorisation (compostage, méthanisation, recyclage, réutilisation).
• Élaborer les plans techniques des installations proposées.
• Fournir un budget estimatif des équipements, des infrastructures et de l'exploitation.
• Évaluer l'impact environnemental des solutions proposées.
• Former le personnel à l'exploitation durable des systèmes de gestion des déchets.
4. Résultats attendus
• Rapport diagnostic des flux de déchets.
• Étude de faisabilité des solutions proposées.
• Plans d'implantation des équipements.
• Budget détaillé d'investissement et de fonctionnement.
• Manuel de procédures de traitement/valorisation des déchets.
• Formation du personnel de l'unité AGN.
5. Durée de la mission
La mission est prévue sur une durée de 8 à 12 semaines, répartie comme suit :
• 3 semaines pour l'étude et les relevés sur site.
• 3 semaines pour la rédaction des rapports et propositions techniques.
• 2 à 4 semaines pour l'installation et formation.
6. Profil recherché
• Cabinet ou consultant avec expérience avérée en ingénierie environnementale ou agroalimentaire.
• Maîtrise des normes ISO 14000, ISO 22000, HACCP.
• Expertise en traitement des déchets agro-industriels, compostage, bio-digestion.
• Références de projets similaires en Afrique ou milieux ruraux.
7. Modalités de soumission
Les candidats intéressés doivent soumettre :
• Une proposition technique (compréhension, méthodologie, chronogramme).
• Une proposition financière détaillée.
• Les CV des consultants et références de projets similaires.
• Le numéro IFU et le registre de commerce (pour les cabinets).
8. Contact
Les dossiers de candidature devront être envoyés par mail à : contact@agn-burkinafaso.com au plus tard le 15 juillet 2025.
“Ensemble faisons de la nature un paradis où vivraient des populations résilientes”