Après notre manchette de mercredi dernier « les grosses bourdes de Talon à l’Elysée (lire ici) », nous pensions en avoir fini avec la polémique inutile soulevée par la sortie malencontreuse du chef de l’Etat.
(Son sort dans les mains de la commission des lois) Depuis qu’il s’est présenté illégalement à l’hémicycle lors de la dernière séance plénière, le député Jacques Yempabou aurait reçu des injonctions fermes lui interdisant désormais l’accès au Parlement en attendant le verdict des membres de la commission des lois de l’Assemblée nationale.
(Ils réclament justice et appellent au secours) A la Commission électorale nationale autonome (Cena), le feu couve sous la cendre. Sous le calme apparent observé pendant toute la période électorale, il y a une fronde syndicale qui ne tardera pas à secouer la maison.
Pourquoi ces coupures répétées ? A quand la fin ? Telles sont entre autres les questions que se posent bon nombres de Béninois ces jours-ci. Reçu jeudi dernier sur l’Ortb, le ministre de l’énergie et de l’eau a tenté d’apporter des réponses et des approches de solutions à ce problème.
Invité de la radio cotonoise Océan Fm ce dimanche, l’activiste politique et syndicaliste, Jacques Ayadji est revenu sur les propos controversés du président Patrice Talon lors de son audience de l’Elysée mardi dernier. Le secrétaire général du Syntra-Ttp s’est également prononcé sur certaines réformes administratives annoncées par la rupture.
Présent jeudi dernier à un atelier de réflexion autour des évaluations trimestrielles sur les procédures judiciaires relatives aux affaires de Criminalité transnationale organisée (Cto) et de corruption, le ministre béninois de la justice, Joseph Djogbénou a pris l’engagement d’œuvrer contre l’impunité devant des acteurs du système judiciaire invités par l’Autorité nationale de lutte contre la Corruption (Anlc).