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Debate: Croatia blocks Serbia's accession negotiations

Eurotopics.net - Wed, 14/12/2016 - 12:03
Brussels has opened two new chapters in the EU accession talks with Serbia. Croatia, however, blocked the opening of the chapter on education and culture, as it already did on other issues last spring. This has provoked angry reactions and harsh criticism from the Serbian side. Is Zagreb's obstructive stance justified?
Categories: European Union

Debate: EU divided over Turkey

Eurotopics.net - Wed, 14/12/2016 - 12:03
The EU states have unanimously condemned the attacks in Istanbul, but they are at odds on the matter of Turkey's EU accession talks. At a meeting in Brussels the foreign ministers resolved not to open a new chapter of the negotiations for the time being. Austria, however, defied the other states, calling for formal steps to freeze the talks completely and refusing to go along with the resolution. What approach should the EU adopt vis-à-vis Ankara?
Categories: European Union

Einladungsschreiben von Präsident Donald Tusk an die Mitglieder des Europäischen Rates

Europäischer Rat (Nachrichten) - Wed, 14/12/2016 - 12:00

Wir werden am Donnerstag zusammenkommen, um über die Verteidigungspolitik, die Migration sowie über wirtschaftliche Fragen zu beraten. Wie vereinbart, beginnen wir dieses Mal um 12.30 Uhr mit dem traditionellen Gedankenaustausch mit dem Präsidenten des Europäischen Parlaments.

Während des Mittagessens werden wir unsere Gespräche fortsetzen. Premierminister Fico wird uns über die Fortschritte bei der Umsetzung der vorherigen Schlussfolgerungen des Europäischen Rates informieren. Anschließend werden wir uns der Migration zuwenden, wo wir erheblich vorangekommen sind – nicht zuletzt im Hinblick auf unsere Außengrenzen –, wo es aber noch immer viel zu tun gibt. Wir werden die Fortschritte bei der internen und der externen Komponente, einschließlich der Umsetzung der Erklärung EU-Türkei und des Partnerschaftsrahmens, sowie bei den Finanzierungsmechanismen zur Unterstützung der Herkunfts-, Transit- und Aufnahmeländer prüfen. Anschließend werden wir uns mit auswärtigen Angelegenheiten befassen: zunächst mit dem Entwurf eines Beschlusses über das Assoziierungsabkommen mit der Ukraine, der den Weg für die Ratifizierung des Abkommens ebnen soll; Präsident Hollande und Kanzlerin Merkel werden dann über den Stand der Dinge in Bezug auf die Umsetzung der Minsker Vereinbarungen und die Lage in Syrien berichten; und schließlich wird uns Präsident Anastasiades über die Verhandlungen über eine Regelung der Zypernfrage unterrichten.

Die Arbeitssitzung am Nachmittag beginnt mit der Verteidigungspolitik, für die die Europäer mehr Verantwortung übernehmen müssen. Unser Ziel ist klar: die Stärkung der Sicherheit Europas in einem komplizierten geopolitischen Umfeld und ein besserer Schutz unserer Bürgerinnen und Bürger. Wir müssen starke, politische Impulse in zentralen Fragen geben, sodass wir mehr investieren und besser untereinander und mit unseren Partnern zusammenarbeiten können. Hier stehen die Mitgliedstaaten in der Pflicht, doch die EU kann und wird ihre Bemühungen unterstützen. NATO-Generalsekretär Stoltenberg wird sich zu Beginn dieser Sitzung an einem Meinungsaustausch über die Zusammenarbeit zwischen der EU und der NATO beteiligen.

Nach der Annahme der Schlussfolgerungen zu Sicherheit und Verteidigung werden wir uns mit wirtschafts- und sozialpolitischen Fragen befassen. Wir werden die vorgeschlagene Verlängerung der Investitionsoffensive für Europa und die jüngsten Initiativen für junge Menschen, auch in den Bereichen Mobilität, Bildung und Kompetenzentwicklung, prüfen. Zudem habe ich den Präsidenten der Europäischen Zentralbank eingeladen, uns in einem kurzen Beitrag seine Ansichten zur Konjunkturerholung und zu den Wirtschaftsprognosen darzulegen. Wir sollten unsere Beratungen vor dem Abendessen abschließen.

Nach Abschluss der Tagung des Europäischen Rates werden die Staats- und Regierungschefs der EU-27 bei einem informellen Arbeitsessen über den Brexit beraten. Dabei streben wir eine Einigung über die interne Organisation und die internen Verfahren an, um so sicherzustellen, dass wir für die Brexit-Verhandlungen bereit sind. Ich freue mich, Sie bald in Brüssel begrüßen zu dürfen.

Categories: Europäische Union

EcoVadis, la startup qui note la RSE des entreprises, lève 30 millions d’euros

La Tribune - Wed, 14/12/2016 - 11:59
Pour son premier tour de table, la pépite française EcoVadis frappe fort : la plateforme d’automatisation de la notation de la RSE des entreprises lève 30 millions d’euros auprès du fonds Partech Ventures.
Categories: France

Guerres, migrants, terrorisme : à quoi sert l'ONU ?

La Tribune - Wed, 14/12/2016 - 11:59
[Replay 28'] La Tribune publie chaque jour des extraits issus de l'émission "28 minutes", diffusée sur Arte. Aujourd'hui, à quoi sert l'ONU ?
Categories: France

A britek túl sikeresek voltak a migrációban

Eurológus - Wed, 14/12/2016 - 11:54
Az oktatás és az egészségügy viszont nem tudta tartani a lépést a bevándorlással, ismerte el a hibákat a brit nagykövet.

[Revue de presse] Dumping : accord européen pour une défense commerciale renforcée

Toute l'Europe - Wed, 14/12/2016 - 11:51
Le nouveau "statut d'économie de marché" de la Chine y est pour beaucoup : mardi 13 décembre, les Etats de l'Union européenne sont parvenus à un accord pour renforcer leur arsenal de défense commerciale. Avec ces nouvelles mesures, les Européens pourront imposer des droits de douane plus élevés en cas de concurrence déloyale. Certains jugent néanmoins le texte encore insuffisant, notamment les industriels de l'acier, mis à rude épreuve par le dumping chinois.
Categories: Union européenne

La France lance vr-bnb, le Airbnb de la réalité virtuelle !

La Tribune - Wed, 14/12/2016 - 11:46
Louer une salle immersive aussi simplement que l’on peut louer un appartement via Airbnb, c’est possible depuis ce matin via une initiative bordelaise de création d’une plateforme unique au monde : vr-bnb. Explications.
Categories: France

Présidentielle 2017 : Le Pen baisse dans les sondages, Hamon veut une VIème République

La Tribune - Wed, 14/12/2016 - 11:44
La Tribune publie son "journal de campagne" quotidien, reprenant les principaux faits et déclarations des candidats (et de leurs soutiens) à la présidentielle de 2017. Aujourd'hui : Le Pen qui baisse dans les sondages, deux ministres qui rallient Valls, et Hamon qui présente son programme.
Categories: France

La contrôleure des prisons dénonce un "traitement inhumain" des détenus à Fresnes

France24 / France - Wed, 14/12/2016 - 11:35
La contrôleure des prisons a publié mercredi des observations accablantes sur le centre pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne). Les conditions de vie des détenus "constituent un traitement inhumain ou dégradant", peut-on lire dans son rapport.
Categories: France

Primaire à gauche : Filoche a ses parrainages mais craint les «embrouilles»

LeParisien / Politique - Wed, 14/12/2016 - 11:35
Dernière ligne droite pour les parrainages. Les candidats à la primaire de la gauche ont jusqu'à demain jeudi, 18 heures, pour réunir les soutiens nécessaires à leur participation.   A LIRE. Les...
Categories: France

Ça vous choque ?

Le Monde Diplomatique - Wed, 14/12/2016 - 11:33

Féminisme ! Prononcer le mot — pis, s'en revendiquer — attire souvent des froncements de sourcils. Goût pour l'outrance, tendance à l'exagération, le « féminisme » est encore aujourd'hui considéré comme un gros mot. La journaliste Clarence Edgard-Rosa a préféré tenter de le définir, pour mieux s'en saisir. Extraits d'un abécédaire « joyeusement moderne du féminisme » (1).

« Queen bee » Syndrom

« Queen bee » n'est pas seulement le petit surnom de Beyoncé. C'est aussi le nom d'un « syndrome », celui de la reine de la ruche. Au début des années 1970, une étude de psychologie révèle que les femmes ayant atteint un poste de leadership traitent leurs subordonnés plus durement s'il s'agit de femmes. Pire, elles les piétinent parfois sciemment pour protéger leur place. Une seconde étude vient dans la foulée renforcer cette idée, et décrit la « queen bee » comme une femme « ayant réussi professionnellement, refusant d'aider les autres femmes à en faire autant ». Nous sommes à l'orée des années 1980, avènement de la figure d'une executive woman qui doit jouer des coudes pour se faire une place dans un monde du travail encore massivement trusté par les hommes, où la compétition ne peut faire que rage. Un mythe est né, et l'imagerie qui l'accompagne s'illustre désormais dans une pop culture qui prend l'habitude de montrer les femmes de pouvoir comme des bitches malveillantes à l'égard de leurs semblables. L'idée fait son chemin dans l'imaginaire collectif : les femmes préfèrent aujourd'hui que leur boss soit un homme plutôt qu'une femme. Le symbole de la « queen bee » est-il toujours une réalité ? Après plus de quarante ans de statu quo, des chercheurs ont questionné la véracité du syndrome, et révèlent que cette malveillance supposée toute féminine ne se vérifie pas du tout chez les executive women de la nouvelle génération (2). Il est peut-être temps de dépoussiérer l'idée qu'on se fait des femmes qui en ont.

Règles

Les Suédoises parlent de la « semaine des airelles », les Allemandes de celle « des framboises », les anglophones disent que « tante Flo » ou « Bloody Mary » vient rendre visite. Au Danemark, il y a « des communistes à la fête foraine » ; en Afrique du Sud, « Maie est coincée dans les embouteillages » ; en Chine, « la petite sœur est arrivée ». D'où qu'elles viennent dans le monde, les femmes déclarent être gênées de parler de leurs règles.

En 2015, une marque de sous-vêtements proposant des culottes « pour les femmes qui ont leurs règles » utilisait sobrement le mot dans une campagne placardée dans le métro de New York. Selon la marque, la MTA (équivalent new-yorkais de la RATP parisienne) a estimé que la campagne était « trop risquée ». Leur inquiétude : si des enfants voyaient le mot « règles », ils pourraient demander à leurs parents sa signification. Aïe, vous imaginez le bazar dans les chaumières si les enfants en venaient à s'interroger sur le fonctionnement du corps humain…

(1) Clarence Edgard-Rosa, Les Gros Mots, Hugo Doc - Les Simone, Paris, 2016.

(2) Il s'agit d'une étude de la Colombia Business School, qui a étudié le comportement des executive women sur une période de vingt ans.

Do the EU-27 need a strategy?

FT / Brussels Blog - Wed, 14/12/2016 - 11:33

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A draft “annex” prepared for the summit expects EU leaders to “nominate the European Commission as the Union negotiator”. This is good news for Michel Barnier, the Commission’s Brexit point-man. The hitch is that representatives of the EU member states (the Council staff and presidency) will be in the negotiating room as well, albeit “in a supporting role”.

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Categories: European Union

Ghana, l’exception de l’alternance

IRIS - Wed, 14/12/2016 - 11:23

L’alternance politique est un phénomène suffisamment exceptionnel en Afrique pour que le cas du Ghana mérite d’être souligné. Sur les 200 chefs d’Etat qui se sont succédés sur le continent depuis 1960, une vingtaine seulement ont quitté le pouvoir volontairement et, sur ce nombre, la moitié l’ont fait dans le cadre d’une transition démocratique. Au Ghana, les gouvernants – successivement depuis trente-cinq ans Jerry Rawlings, John Agyekum Kufuor, John Atta-Mills, John Dramani Mahama et à présent Nana Akufo-Addo – ne manipulent pas la Constitution pour rester en place. Et quand ils sont battus, ils abandonnent la place avec l’élégance des chefs traditionnels destitués par les cadets.

Pour en arriver là, il a fallu que le pays passe par différentes phases, douloureuses parfois. Faisons le compte : 12 ans de parti unique, 23 ans de régime militaire, 23 ans de pluripartisme. Nana Akufo-Addo, le nouveau président, fit en février 2006 devant les étudiants de l’Université de Kumasi ce résumé imagé de l’histoire de son pays :

« Imaginez que vous prenez la route de Kumasi. Vous commencez sur une large mais brève autoroute, avec optimisme et une bonne dose d’idéalisme. Mais avant même d’arriver à la barrière d’Ofankor, le trafic est tel qu’il désespère n’importe quel homme. Chemin faisant, nous avons perdu du temps, nous avons aussi perdu beaucoup de nos bons compatriotes ; nous nous sommes arrêtés pour changer nos pneus crevés ; notre radiateur a explosé et les durits ont fui ; nous avons tourné à droite quand il était indiqué d’aller à gauche causant de graves collisions ; nous avons perdu patience avec d’autres automobilistes ; le sang a coulé, provoqué par des disputes de chauffards ; nous n’avons pas respecté les feux, ignoré la signalisation, heurtant de front d’autres véhicules en tentant d’éviter des nids de poule, empruntant aussi de nombreuses déviations sur une route en travaux brisant les amortisseurs des voitures ; nous nous sommes arrêtés pour embarquer les morts et les blessés ; parfois continuant la route de peur d’une embuscade de ces coupeurs de route qui volaient notre trésor – la liberté – alors que nous rêvions de lendemains qui chantent. Nous avons commandé de nouvelles routes qui résistèrent moins de trois ans au trafic croissant. En bref, cela fut un voyage rough et tough sous la conduite de chauffeurs malveillants, méprisant notre légitime besoin d’un peu de confort. Mais nous avons survécu. Savez-vous pourquoi ? Parce que tout le long de ce périple plein de dangers, nous avons serré notre ceinture de sécurité de la confiance – de la foi tenace que Dieu ou Allah nous a donnée et qu’aucune iniquité ne peut nous ôter. Nous sommes restés sur le chemin parce que nous sommes demeurés fidèles à notre identité, à cette chose qui fait de nous des Ghanéens, et cette chose, c’est notre amour de la liberté. »

Selon l’Afrobaorometer Survey, plus de 80% des Ghanéens estiment que la démocratie est préférable à n’importe quelle autre forme de gouvernement. La vitalité démocratique trouve diverses formes d’expression et le pays présente beaucoup d’avantages appréciables : pas d’élections truquées ou suspectes, pas d’exclusion dans la fonction publique ou l’Université sur des critères ethniques ou religieux, pas d’atteintes à l’indépendance de la justice, pas d’instrumentalisation des règles de citoyenneté par les politiciens pour évincer des opposants ou des groupes de la vie politique, aucun prisonnier politique dans les geôles du pays. Autant de bonnes pratiques qui réduisent la vulnérabilité du pays à des coups d’Etat, comme dans le passé, quand les envies de renverser les gouvernements par la force trouvaient leur terreau dans les comportements déviants des régimes non-démocratiques.

Si la politique se joue avec vigueur mais sans débordements violents, c’est que le Ghana dispose aujourd’hui d’institutions et de règles acceptées. Pour devenir ministre, préfet, juge à la Cour Suprême ou membre du Conseil d’Etat, il faut passer devant l’Assemblée nationale. Après avoir été désigné par le président, le candidat se présente devant une commission parlementaire pour « vérification » (le vetting) avant de prêter serment devant le juge de la Cour suprême. Ce n’est pas une simple formalité, les députés en profitent pour affirmer leur indépendance, avec un empressement proche du zèle.

La corruption reste, comme ailleurs, un défi. Ses causes sont à chercher dans une multitude de facteurs combinés, qui vont du sentiment de l’obligation que certains individus ressentent envers les leurs (famille, clan…) jusqu’à la manière discriminatoire dont le pays a été intégré dans l’économie mondiale. Le Ghana n’échappe pas au phénomène, et la rente pétrolière a, depuis dix ans, exercé sa « malédiction » sur les comportements, mais dans des proportions modérées, autant que l’on puisse en juger. La pratique des « cadeaux » oblige les hommes politiques à disposer, pour leurs campagnes électorales comme pour respecter une partie de leurs promesses, de moyens financiers très importants. Ensuite, une fois élu, le député est jugé à « sa capacité à retourner » (ability to deliver the goods) des gratifications et des ressources de l’Etat en direction de ses électeurs : la réfection d’une route, la construction d’une maternité, l’octroi de bourses d’études pour les jeunes, des faveurs diverses… La provenance de ces fonds peut-être diverse, fortune personnelle, redistribution de fonds du parti, ressources de l’Etat mis à la disposition des parlementaires pour le développement de leur circonscription. La gestion des fonds publics au Ghana est encadrée par la Constitution et par un certain nombre de textes votés par le Parlement depuis 2000. Malgré cela, des lacunes importantes subsistent notamment dans l’application du code des marchés publics dont la règle de concurrence est souvent détournée, dans l’efficacité du contrôle interne des dépenses non-salariales et dans la gestion du fichier de la solde des agents publics.

Plusieurs institutions veillent au grain. La Ghana Anti-Corruption Coalition (GACC) reconnaît que si des mesures ont été prises depuis 2000 pour rénover la gestion des finances publiques, renforcer la liberté de la presse ce qui permet la dénonciation des abus, les résultats ont été encore insuffisants. Cela tient au fait que chez les gouvernants et les fonctionnaires, l’adhésion aux normes de l’Etat impartial et de l’éthique de l’intérêt général peut parfaitement coexister avec un attachement tout aussi sincère à des normes qui favorisent l’enrichissement personnel et les intérêts particuliers. Le passage à des institutions démocratiques et le renforcement de la liberté d’expression constituent au Ghana des conquêtes indéniables de ces vingt dernières années. Il ne semble cependant pas avoir encore bouleversé les pratiques abusives de prélèvement mais avoir seulement permis d’en dénoncer publiquement les excès.
A défaut d’être riches, les journalistes ghanéens sont mal payés pour leur papier mais leur liberté n’est pas menacée. Les relations qu’ils entretiennent avec les magistrats, les policiers et les militaires, ne sont pas toujours simples. Ils revendiquent leur rôle de « chiens de garde », de journalistes d’investigation. Lorsque des hauts fonctionnaires sont soupçonnés d’être impliqués dans des affaires de corruption ou de drogue, la presse ne prend pas de gants. Il est des thèmes plus délicats. La religion et les disputes entre chefferies font partie des sujets qui nécessitent le plus de précautions. Il vaut mieux éviter une excommunication ou des représailles de chefs courroucés.

Le Ghana semble bien installé dans une démocratie pacifiée et mature. Certes l’histoire de l’Afrique enseigne la modestie aux prévisionnistes, mais il y a peu de risques que le pays revienne en arrière. Avec Nana Akufo-Addo, on peut raisonnablement parier que les velléités autoritaires seront contenues, les contre-pouvoirs respectés, les libertés garanties. De toutes les manières, la société civile y veillera.

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