Ebből a pénzből 286 harci járművet akar vásárolni a tárca, amelyeknek rendelkezniük kell a Spike páncéltörő rakétarendszer beszerelésére alkalmas, forgó tetőszerkezettel. A kiírás szerint a dízelmotorral felszerelt, de kerozin-típusú üzemanyaggal is működtethető járműveknek közúton óránként legalább száz kilométeres sebességet kell elérniük, páncélzatuknak pedig megfelelő védelmet kell biztosítania 7,62 milliméteres lövedékekkel, könnyű gránátokkal és aknákkal szemben.
Az ajánlatokat egy hónap múlva bírálják el, a járműveket másfél éven belül kell leszállítani.
Az év elején a bukaresti védelmi tárca 93 millió eurós szerződést kötött az Eurospike német-izraeli konzorciummal páncéltörő rakétarendszerek beszerzéséről. A Hotnews a román haditengerészet egymillió eurós távvezérlésű gépfegyver-licitjéről is beszámolt, felidézve, hogy a román védelmi minisztériumnál egy másik, 188 millió eurós versenytárgyalás is folyamatban van két fregatt korszerűsítése és felfegyverzése érdekében.
A NATO-kötelezettségeinek és legfőbb stratégiai szövetségesének, az Egyesült Államok elvárásainak megfelelve Románia tavaly vállalta, hogy 2017-ig a hazai össztermék legalább két százalékára növeli védelmi kiadásait, és azt tíz évig nem csökkenti, függetlenül attól, ki alakít kormányt.
Le Conseil Municipal de Cotonou a entamé le mercredi 21 septembre 2016, sa troisième session ordinaire pour le compte de l'année. Il convient de noter que le même état d'esprit d'apaisement et de rassemblement qui a toujours prévalu depuis l'installation du Maire Léhady Vinagnon SOGLO continue de régner au sein du conseil. Ce qui était encore le cas hier lors des travaux qui se sont déroulés dans une ambiance conviviale et chaleureuse entre les élus municipaux, toutes tendances politiques confondues.
Prévus pour durer trois jours, les travaux de la session ordinaire portent sur un ordre du jour en cinq points. Il s'agit de la présentation des rapports de mission du Maire Léhady Vinagnon SOGLO en France et du Premier adjoint au Maire Isidore GNONLONFOUN en Chine, de l'examen du projet de mise en place du Fonds de Développement Municipal de Cotonou, du compte rendu relatif au dossier SODECIB, de l'examen du collectif budgétaire, de la présentation des rapports des commissions permanentes, de l'élection du nouveau Chef du 2ème Arrondissement en remplacement de Bruno DOSSOU dont le siège a été invalidé. Tous unis autour du président du Conseil, les distingués conseillers ont examiné les différents dossiers prévus pour le compte de la première journée. Ainsi, le rapport de mission du Maire en France a été applaudi par l'ensemble du conseil. Un document très apprécié de plusieurs élus municipaux qui ont salué les efforts de l'autorité municipale dans la recherche de solutions idoines aux différents problèmes des Cotonois notamment la gestion des ordures ménagères.
L'autre point qui a reçu l'approbation des conseillers est celui relatif au projet de création d'un Fonds de Développement Municipal destiné à accompagner les jeunes, les femmes, les artisans dans la promotion de leur activités.
Dans son allocution d'ouverture, Le Maire Léhady SOGLO a attiré l'attention des conseillers sur certains évènements regrettables que subissent les populations de Cotonou depuis quelques temps. Il s'agit de l'épidémie de choléra et de la montée des eaux des cours d'eaux dans la ville avec leurs menaces sur la quiétude des citoyens de la Capitale économique du Bénin. Face à cette situation dramatique, l'édile de Cotonou a invité les membres de son conseil à s'impliquer dans la recherche de solutions pour contrer cette épidémie de choléra dans un esprit de solidarité et d'entraide. S'agissant toujours de cette situation relative à la montée des eaux, l'édile de Cotonou a présenté aux élus quelques actions préventives entreprises. Entre autres, il s'agit de la formation des pairs éducateurs ; de l'identification des sites successible d'accueillir les sinistrés en cas de nécessité ; de l'élaboration d'un plan de communication et de sensibilisation impliquant les élus.
Soulignons qu'en respect de la décision de la Cour suprême invalidant le siège de l'ancien Chef du 2ème arrondissement M Bruno DOSSOU, le président du Conseil Municipal de Cotonou a procédé à l'installation officielle du nouveau conseiller Ali KAMAROU.
Il convient de noter qu'avant l'ouverture des travaux de la session, le Maire Léhady Vinagnon SOGLO et ses adjoints ont fait d'une pierre deux coups en procédant à la remise officielle des matériels roulants aux agents de liaison. A cet effet, un lot de vingt-quatre motos flambant-neufs ont été officiellement mis à la disposition du personnel qui assure la liaison entre la ville et les autres structures. Un geste très apprécié par les différents responsables syndicaux de la mairie qui ont salué cet effort de l'édile de Cotonou.
Par : Willy N.OJUOLA
Mandatée par les sages et les peuples de Porto-Novo, une délégation du Front des républicains pour le développement (Frd), le parti du bâtonnier Jacques Migan était ce jeudi au cabinet de Mme Odile Atanasso, la ministre béninoise en charge de l’Enseignement supérieur pour avoir des explications sur le sort réservé à la ville, capitale du Bénin.
L’affaire ne fait surface qu’aujourd’hui dans les médias, mais elle remonte au printemps dernier avec la mise en ligne par le gouvernement hongrois d’un site internet destiné à promouvoir le référendum «anti-migrants» qui se déroulera le 2 octobre prochain. On peut lire sur ce site que l’on recense «plus de 900 no-go zones dans les grandes villes européennes». Des no-go zones décrites comme des «espaces urbains que les autorités ne parviennent pas à garder sous leur contrôle. Les règles écrites ou non écrites de la société d’accueil ne s’y appliquent pas. Dans les villes d’Europe où les immigrés vivent en grande quantité, on trouve plus de cent no-go-zones de ce type».
Comme on peut le voir sur la brochure ci-dessus, la géographie de ces zones de déréliction est assez aléatoire, plaçant sur le territoire français des no-go-zones à Orléans, Tours, Chartres, Montargis et Nevers, ainsi qu’à Montpellier, Béziers, Nîmes et Mende. Curieusement, n’y figurent ni la région parisienne ni Marseille, laquelle avait été présentée en 2015 par Viktor Orbán comme un «grand camp de réfugiés». Interrogé par le site d’actualité 444.hu, l’ambassadeur de France à Budapest, Éric Fournier, a estimé que les «no-go-zones» étaient «une expression à la consonance exotique, laquelle ne correspondait (…) à aucun concept connu en français».
Mais les premiers à avoir réagi sont les Britanniques par la voix du Foreign Office lui-même, puis de sa représentation officielle à Budapest : «les éléments rassemblés dans le livret communiqué ne correspondant pas à la réalité : il n’existe pas de zone au Royaume-Uni où les lois ne sauraient être appliquées». Interviewé par la BBC sur les sources d’informations ayant permis aux autorités hongroises de décréter de telles no-go zones à Londres, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, s’est trouvé quelque peu déstabilisé.
Également interpellées par nos confrères de 444.hu, les ambassades d’Allemagne et de Suède ont réagi sensiblement de la même façon aux allégations du gouvernement hongrois. Les Allemands se félicitant que de «nombreux Hongrois visitent chaque année Berlin et les autres régions allemandes (…) et qu’ils puissent ainsi se faire leur propre idée de ce pays».
Cette polémique n’est pas sans rappeler la petite guerre de tranchées qui a opposé l’année dernière le «Petit journal» de Canal+ avec la chaîne américaine Fox News, laquelle mettait en garde les touristes américains contre ces prétendues zones de non-droit au cœur de Paris.