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#factoftheday European Council meeting on migration, external relations and trade policy

EU-Logos Blog - Fri, 21/10/2016 - 10:10

Yesterday, EU leaders met to debate on long-term relations with Russia, on cooperation with third countries to reduce illegal migration and on the EU-Canada trade agreement (CETA).

Regarding migration, the first point on the agenda, the European Council remarked the importance of the European Border and Coast Guard Regulation in strengthening control of the external borders as well as internal border controls.

EU leaders called for a adoption of the revised Schengen Borders Code enforcing systematic controls on all travellers crossing EU external borders and called on the Council to establish its position on an entry/exit system before the end of 2016.

They stated that efforts had been made to strengthen illegal migration prevention along the Central Mediterranean route and to tighten control of the Eastern Mediterranean route.

They mentioned:

  • the importance of continuing to work towards the implementation of a Partnership Framework of cooperation with countries of origin or transit;
  • the need to tackle the root causes of migration in the region,
  • the contribution of the Valletta Action Plan;
  • the need for further efforts to accelerate returns from the Greek islands to Turkey, in line with the EU-Turkey statement;
  • The need for further progresses on the full range of commitments vis-à-vis all Member States contained in the EU-Turkey statement, including the issue of visa liberalisation

Regarding the second issue on the agenda, the European Council strongly condemned the attacks by the Syrian regime and its allies, notably Russia, on civilians in Aleppo.

“EU leaders are considering all available options, should the current atrocities continue. Everything should be done to extend the ceasefire, bring in humanitarian aid to the civilian population and create the conditions for opening negotiations on a political transition in Syria.” as yesterday press release states.

Today, the meeting chaired by Donald Tusk will discuss trade issues mainly aimed at trade policy benefitting from open markets, including the future of CETA agreement.


Classé dans:Uncategorized
Categories: Union européenne

Valls placé sous surveillance des hollandais

Le Point / France - Fri, 21/10/2016 - 10:09
L'affaiblissement du président fait renaître la candidature de Manuel Valls pour 2017. Au PS, les stratèges cogitent et les couteaux sont sortis...
Categories: France

Pour les 8 de Goodyear, la fin du cauchemar approche

L`Humanité - Fri, 21/10/2016 - 10:07

Lors du procès en appel des syndicalistes accusés d’avoir séquestré deux cadres de l’entreprise sur le site d’Amiens-Nord promis à la fermeture, le parquet n’a plus requis de prison ferme. La relaxe des syndicalistes semble même envisageable.

Categories: France

Livre de confidences : «Ce qui compte, c'est ce que j'ai fait», se défend Hollande

LeParisien / Politique - Fri, 21/10/2016 - 10:07
Pour la première fois depuis la sortie du livre « Un président ne devrait pas dire ça... », le président de la République a répondu, dans la nuit de jeudi à vendredi, aux questions sur ses confidences...
Categories: France

Le come-back de la bulle chinoise

La Tribune - Fri, 21/10/2016 - 10:06
Chaque matin, l'actualité commentée par Marc Fiorentino...
Categories: France

Obama et Hollande aux Nations unies, la confirmation d’un front renversé


Article pour TheConversation.fr



Pour la dernière fois de la présidence de Barack Obama et du mandat de François Hollande, les deux hommes intervenaient devant l’Assemblée générale des Nations Unies. Après cinq années de relations politiques et de coopération, c’était le temps des bilans : bilan des politiques étrangères, des visions, de la relation. Les discours ont été conformes à ce que les dernières années avaient laissé pressentir. Le président américain développe une vision, mais il lui est reproché d’intellectualiser les problèmes sur le temps long, plutôt que de répondre aux situations présentes. La France s’inquiète parfois, à l’inverse, de ne plus avoir de vision stratégique et de dériver vers une posture sécuritaire de court terme. Mais comment ne pas prendre acte des impasses actuelles, bien réelles ?
Un monde de vents contrairesOn connaît le contexte international difficile qui préside à ces fins de mandats. Les relations internationales ont vu la réaffirmation politique de deux puissances en mesure de concurrencer les États-Unis (ou « peer competitors »). La Chine, tout d’abord, prend ses marques en Asie – de revendications territoriales (en Mer de Chine du Sud) en construction de bases militaires sur des îles artificielles. La Russie, ensuite, inquiète l’Europe occidentale avec son action en Crimée et dans l’est ukrainien depuis 2014.
Les Alliés sont ainsi confrontés à une double résurgence : celle des sphères d’influence et celle des puissances révisionnistes. En insistant sur leur primauté historique dans une région donnée, Pékin et Moscou contestent l’idée d’un village global régi par des règles universelles. En imposant le changement des frontières (Crimée), en refusant les arbitrages juridiques internationaux sur celles-ci (comme la Chine à propos de son litige territorial avec les Philippines), les deux capitales sortent du consensus international. Cela complique la gestion collective des conflits en cours, à commencer par le drame syrien, où l’irruption russe semble souligner l’impuissance occidentale, et consacrer la politique de la force.
L’autre trait marquant des dernières années est le maintien de la menace terroriste. Daech a pris le relais d’Al-Qaida, a conquis des territoires ou y a installé des combattants, tout en fomentant des attentats dans le monde et notamment en France, comme on le sait. Quelques années après les États-Unis, la France est devenue la cible privilégiée des terroristes. Dans le débat public, l’intervention néoconservatrice de 2003 en Irak, mais également les frappes alliées sur la Libye en 2011, sont parfois considérées comme déclencheurs du chaos proche-oriental et sahélien. En d’autres termes, les mouvements radicaux violents sont loin d’avoir disparu, et cela sonne comme un échec franco-américain.
Enfin, les défis globaux ont été pris à bras le corps, mais leur gestion demeure entravée par les rapports de force politique. Le climat est devenu un enjeu fort à Washington (revenu dans la négociation environnementale après des années Bush à bien des égards irresponsables) comme à Paris, converti à la diplomatie sectorielle pour une COP21 devenue moment de gloire de la diplomatie française. Les inégalités sont désormais reconnues comme des facteurs de conflit potentiels.
Objectifs communs, agendas divergentsLire la suite sur TheConversation.fr

Quelle politique étrangère pour la droite républicaine ?







En quelques années, l’environnement stratégique de la France et de l'Europe s’est assombri. Les suites des soulèvements arabes au sud, les menées de Vladimir poutine à l’est, une crise européenne financière, politique (illustrée par le Brexit), morale (crise des réfugiés) et sécuritaire (retour du terrorisme), ont mis fin à l’illusion d’une Europe « post-tragique ». Dans le même temps, des alliés s’interrogent sur la garantie de sécurité américaine. Comment imaginer que cet ensemble ne constitue pas un défi majeur pour les prochains dirigeants français, de gauche ou de droite, après l’échéance électorale de 2017 ? Commençons, en l’occurrence, par la droite.


Une boîte à outil doctrinale nécessairement pragmatique
Il est difficile d'identifier en France une politique étrangère de droite ou de gauche : les débats sont trans-partisans (alliance atlantique, Proche-Orient, Russie…), l’attachement au devoir de consensus reste fort, et les partis de gouvernement ont travaillé plusieurs fois ensemble (en période de cohabitation ou pas : Bernard Kouchner fut ministre de François Fillon). Il n’en reste pas moins que dans les vingt dernières années, deux présidences de droite (Chirac 1995-2007, Sarkozy 2007-2012) peuvent offrir à leurs héritiers un corpus de doctrine, des leçons à tirer, ou un devoir d’inventaire. Ces présidences n’ont pas été monolithiques. La période Chirac a connu une phase de volontarisme politique en 1995-97 (reprise des essais nucléaires, posture ferme dans les Balkans ou au Proche-Orient) ; une convergence réaliste entre le président et son ministre de cohabitation Hubert Védrine (2002-2007) ; le rejet assumé et mis en scène de la guerre américaine en Irak (2002-2004) ; enfin un rapprochement avec Washington. Sous Nicolas Sarkozy, l’annonce d’une rupture teintée de droits-de-l’hommisme fut rattrapée par les réalités internationales, et Alain Juppé revint au Quai en 2011. Initiatives multilatérales (au G20) et interventions militaires (Afghanistan, Côte d’Ivoire, Libye), grands desseins collectifs (l’Union pour la Méditerranée) et influence d’acteurs hors-système (Bernard-Henry Lévy sur l’affaire libyenne), furent combinés.Au moins, certaines discussions n’ont plus lieu d’être. La question de l’OTAN est réglée : envisagé par Jacques Chirac en 1996-97, concrétisé par Nicolas Sarkozy en 2009, le retour français dans les instances intégrées est acté. Par ailleurs, l’opposition entre « gaullo-mitterrandisme » et néo-conservatisme comme grille de lecture des postures diplomatiques a montré ses limites. Vouloir se contenter de reproduire la geste gaullienne dans le monde actuel sans l’actualiser n’a aucun sens. L’essence très américaine du néo-conservatisme, courant intellectuel né à gauche et marqué par une diplomatie transformationnelle, s’applique mal à la France (même s’il a ses partisans). C’est en réalité une nouvelle discussion qui s’ouvre, dans laquelle la droite modérée a des points de repères possibles.
Urgences et questions qui fâchent   Lire la suite sur Lemonde.fr

SOUTENEZ LE PREMIER DISQUE DE LA TÊTE A L'EST !

Courrier des Balkans - Fri, 21/10/2016 - 09:56

Basé à Rennes, le Chœur à l'Est, c'est un projet artistique amateur accompagné par des musiciens professionnels qui crapahute depuis cinq ans déjà de scènes de festivals en chapelles oubliées, de soirées privées en cafés de pays... et qui s'enrichit et grandit au fil des rencontres !
Pour partager et conserver toutes ces belles voix qui ont participé au projet, et qui continuent de faire battre le chœur de La Tête à l'Est, un appel à contributions est lancé !
• Pour soutenir ce beau projet (avant le (...)

Categories: Balkans Occidentaux

La Wallonie demeure inflexible sur le CETA

Euractiv.fr - Fri, 21/10/2016 - 09:55
Le soir du 20 octobre, le gouvernement wallon a refusé la dernière offre de la Commission sur le CETA. La question sera donc portée à l’attention des chefs d’État et de gouvernement ce vendredi 21 octobre.
Categories: Union européenne

Oscarra nevezett filmek a vásárhelyi Alter-Native fesztiválon

Krónika (Románia/Erdély) - Fri, 21/10/2016 - 09:55

A legjobb idegen nyelvű film Oscar-díjáért versenyez Cisti Puiu Sieranevada című filmje, valamint a német Maren Ade rendezte Toni Erdmann – mindkét film Cannes-ban mutatkozott be idén, és mindkettőt műsorra tűzi a marosvásárhelyi Alter-Native. 
Kategória: Kultúra

„Megvetették” a törcsvári koporsókat

Krónika (Románia/Erdély) - Fri, 21/10/2016 - 09:54

Halloween éjszakáján megszállhatnak a törcsvári kastélyban egy nemzetközi verseny győztesei, amelyet az Airbnb nemzetközi lakásmegosztással foglalkozó weboldal szervez.
Kategória: Színes

Les 28 veulent mettre la gomme sur les partenariats migrations avec l’Afrique

Bruxelles2 - Fri, 21/10/2016 - 09:50
(B2) Limiter les flux de migration en Méditerranée, c'est désormais la priorité des '28'. Les chefs d'État et de gouvernement l'ont réaffirmé, jeudi 20 octobre, dans leurs conclusions. Le flux ayant été largement réduit dans l'est de la Méditerranée (grâce à l'accord UE-Turquie), c'est vers le centre de la Méditerranée que se concentre l'attention européenne, […]
Categories: Défense

Theresa May défend sa place à la table du Conseil européen

Euractiv.fr - Fri, 21/10/2016 - 09:49
La Première ministre britannique, Theresa May, a déclaré hier soir (20 octobre) aux dirigeants européens que le Royaume-Uni ne se contenterait pas de tamponner les accords négociés entre les États membres qui se rencontreront à 27.
Categories: Union européenne

Le pouvoir, le miroir et la plume

Le Point / France - Fri, 21/10/2016 - 09:47
Les présidents ont toujours eu des biographes à qui ils aimaient se confier, mais ils prenaient garde à ce que ces mémoires ne compromettent pas leurs ambitions.
Categories: France

Les indemnités des parlementaires dans le viseur du PS

Le Point / France - Fri, 21/10/2016 - 09:43
Dans l'indifférence, le PS concocte un programme présidentiel pour 2017. Est-ce parce qu'il se sait condamné à l'opposition ? Il est d'une audace folle !
Categories: France

Les Vingt-Huit conditionnent leur aide au retour des migrants africains

Euractiv.fr - Fri, 21/10/2016 - 09:37
L’UE va passer des accords prévoyant des financements pour 5 pays africains en contrepartie d’une amélioration de la surveillance de leur frontière et de leur politique de retour, afin de lutter contre les migrations illégales.
Categories: Union européenne

Az RMDSZ hivatalossá tenné a magyar nyelvet Székelyföldön

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 21/10/2016 - 09:35

A magyar nyelv hivatalos székelyföldi státusának az elérése is szerepel abban a programban, amellyel a Romániai Magyar Demokrata Szövetség (RMDSZ) a decemberi parlamenti választások előtt kívánja megszólítani a választókat. A választási programot Kelemen Hunor, a szövetség elnöke ismertette egy csütörtöki kolozsvári sajtótájékoztatón. Kelemen Hunor arra is kitért, hogy aránytalanok az ügyészségi eljárás alá vont magyar önkormányzati vezetők ellen hozott kényszerintézkedések.

Az RMDSZ elnöke elmondta, hogy a választási program a magyar közösségi jogok megerősítésére, a minőségi oktatás megteremtésére, az erdélyi infrastruktúra fejlesztésére és a vállalkozói szféra segítésére, a családok jólétének és biztonságának a megteremtésére irányul.
A közösségi jogok sorában megemlítette, hogy új alkotmány kell Romániának, és ebben az Erdély és Románia egyesülését kimondó gyulafehérvári nyilatkozatnak is helyet kell biztosítani. Úgy vélte, ezt az a körülmény teszi lehetővé, hogy Románia 2018-ban ünnepli az egyesülés centenáriumát. “Ha a modern román állam jogalapját a gyulafehérvári egyesülés és nagygyűlés nyilatkozata képezi, akkor az ott elfogadott rezolúció nemcsak egy ígéret, hanem törvény, amit be kell tartani” – fogalmazott Kelemen Hunor.
Az RMDSZ elnöke azt is a választási programba foglalt nemzetpolitikai célok közé sorolta, hogy húsz százalékról tíz százalékra csökkentsék a kisebbségek helyi arányának a küszöbét, amely fölött nyelvhasználati jogokat biztosítanak a kisebbségeknek. Hozzátette: a nyelvhasználat jogát azokon a településeken is biztosítani szeretnék, ahol egy közösség számaránya nem éri el a tíz százalékot, de a közösség lélekszáma meghaladja az ötezer főt.
Kelemen Hunor kijelentette, az RMDSZ olyan oktatási törvény elfogadását szorgalmazza, amely a minőségi oktatásra fekteti a hangsúlyt, és felkészíti a gyerekeket arra, hogy a 21. században sikeresek, versenyképesek legyenek.
Az RMDSZ elnöke a kiemelt célok közé sorolta az erdélyi autópályák befejezését és a mezőgazdaság fejlesztését. A szövetség azt szorgalmazza, hogy Romániában is vezessék be a családi adófizetést, és az adópolitikával ösztönözzék a gyermekvállalást. A szegénység felszámolását az RMDSZ a minimálbér jelentős megemelésével szeretné elérni. Amint Kelemen Hunor elmondta, a jelenlegi 1250 lejről (87 500 forint) a négyéves ciklus végéig 2000 lejre (140 ezer forint) kell emelni a minimálbért. A szövetségi elnök hozzátette, hogy az RMDSZ a romániai rezsicsökkentést is kezdeményezi. Ezt azzal segítené elő, hogy a villany-, a gáz- és a szennyvízszolgáltatás áfáját – a víz áfájához hasonlóan – a jelenlegi húsz százalékról kilenc százalékra csökkentené.
Kijelentette, hogy a szövetség nem ígér olyasmit, amit ne lehetne megvalósítani az elkövetkező négy évben. Hozzátette: a program összeállításakor abból indultak ki, hogy ami jó Erdélynek, az jó Romániának is, ami jó a magyaroknak, az minden közösségnek jó lehet.
Kelemen Hunor az élet biztonságossá, kiszámíthatóvá tételét tekintette a szövetség céljának “az elbizonytalanítás időszakában”. Az elbizonytalanítás jelének tekintette a romániai korrupcióellenes ügyészségnek (DNA) a magyar önkormányzati vezetőkkel kapcsolatos eljárásait. A Mezei János volt gyergyószentmiklósi polgármester, Ráduly Róbert csíkszeredai, Antal Árpád sepsiszentgyörgyi polgármester, valamint a Horváth Anna kolozsvári alpolgármester ellen indított ügyészségi eljárást az aránytalanságok miatt tartotta aggályosnak. Megjegyezte, hogy az ügyészség mind a négy politikust eltiltotta hivatala gyakorlásától, miközben más polgármesterek – akiket jóval súlyosabb ügyekben vádolnak – továbbra is dolgozhatnak.

Les députés augmentent l’aide au développement grâce à la TTF

Euractiv.fr - Fri, 21/10/2016 - 09:32
L'Assemblée nationale a élargi l'assiette et le taux de la taxe sur les transactions financières pour allouer davantage d'argent à l'aide publique au développement française, dont le budget n’a cessé de baisser depuis 2012.
Categories: Union européenne

Nyolc új játszóteret építenek Munkácson

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 21/10/2016 - 09:31

Három játszótér építése már folyamatban van – mondta el Oleh Cinik, a városi gazdasági osztály vezetője.

A gyermekeknek szánt létesítményeket a játszóterek létrehozásáról szóló 2016-os program keretében építik meg és szerelik fel. A közeljövőben további öt új játszóteret alakítanak ki – olvasható a Munkácsi Városi Tanács honlapján október 18-án közzétett bejegyzésben.

Kárpátalja.ma

L'iPhone 7 veut combler le vide laissé par le Galaxy Note 7

La Tribune - Fri, 21/10/2016 - 09:31
L'iPhone 7 d'Apple a débarqué dans les rayons vendredi en Corée du Sud. Le smartphone américain va tenter de combler le vide laissé par son grand rival sud-coréen Samsung en raison des batteries explosives du Galaxy Note 7 .
Categories: France

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