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"Désormais, tout candidat qui tire le chant lors de l'épreuve pratique devra exécuter le Ditanyè dans une langue nationale de son choix, parmi celles disposant d'une version traduite et harmonisee." C'est ce qu'indique un communiqué du secrétariat général du ministère en charge de l'éducation nationale, signé par Ibrahima Sanon. Selon le document, cette mesure vise à permettre à chaque élève de maîtriser et de comprendre les paroles du Ditanyè, symbole fort de notre identité nationale, inculquer aux élèves les valeurs d'unité et de patriotisme contenues dans l'Hymne national, valoriser les langues nationales comme instruments d'expression et de transmission des valeurs republicaines et citoyennes.
Dans sa dynamique de digitalisation, la Société nationale d'électricité du Burkina Faso (SONABEL) a procédé au lancement officiel de sa plateforme E-recrutement. La cérémonie s'est tenue le mardi 11 novembre 2025 à Ouagadougou. Comme son nom l'indique, il s'agit d'un outil numérique dédié à la gestion des recrutements de la société nationale d'électricité.
Fini le dépôt physique des dossiers ! Désormais, plus besoin de se déplacer pour candidater à un poste à la SONABEL. En quelques clics, la candidature est reçue et évaluée en ligne. Les postulants devront se rendre sur le site www.sonabel.bf (uniquement pendant les périodes de recrutement) pour soumettre leurs dossiers.
La plateforme comprend quatre fonctionnalités à savoir :
– L'administration : configuration des concours et des profils ;
– La candidature : espace dédié au candidat pour créer son profil et postuler ;
– Le questionnaire de présélection : outil de filtrage des candidatures ;
– La commission : module réservé à l'évaluation et à la sélection finale.
Ce nouvel outil remplace les méthodes classiques de dépôt physique et de traitement manuel des candidatures. Il offre un processus centralisé, fluide, transparent et entièrement dématérialisé. Le E-recrutement garantit ainsi l'équité et l'égalité des chances dans l'accès aux offres d'emploi proposés par la SONABEL. En résumé, la plateforme E-recrutement marque une avancée significative vers une gestion plus moderne, efficace et transparente des candidatures. Elle vient renforcer l'attractivité et la compétitivité de la SONABEL sur le marché de l'emploi.
La SONABEL souhaite que les recrutements se déroulent de manière transparente grâce à cette plateforme« Dans un contexte où la demande d'emploi, notamment chez les jeunes diplômés, ne cesse de croître, et où nos concitoyens aspirent à plus de transparence dans la gestion des affaires publiques, cette plateforme représente une réponse concrète et adaptée. Elle reflète notre ambition de rendre les procédures de recrutement plus simples, plus rapides et plus sécurisées », a déclaré le secrétaire général de la SONABEL, Émile Sawadogo.
La SONABEL a réaffirmé sa volonté de poursuivre sa dynamique de digitalisation de ses servicesEt d'ajouter : « Cette plateforme se distingue par les multiples atouts qu'elle offre à la SONABEL et au public, notamment un gain de temps et une optimisation des ressources financières, grâce à la simplification du processus de recrutement et à la mise à disposition d'informations pertinentes aux candidats dans les meilleurs délais. Elle assure également une meilleure visibilité des offres de recrutement de la SONABEL, permettant ainsi d'attirer les meilleurs talents. J'encourage vivement les jeunes diplômés ainsi que les professionnels en quête d'emploi à s'approprier cette innovation. La création de comptes personnalisés leur permettra d'accéder à un large éventail d'offres correspondant à leurs compétences et aspirations », a-t-il dit.
Émile Sawadogo a félicité les équipes qui ont mis en place ce projetUne collaboration interne au service de la digitalisation
Ce projet a été réalisé grâce à la collaboration entre la Direction des ressources humaines (DRH) et la Direction des systèmes d'information (DSI) de la SONABEL.
« Cette plateforme est née de la volonté de notre direction générale, qui prône désormais la digitalisation. Nous avons constaté que, lors des recrutements, de longues files d'attente se formaient. Certains candidats passaient la nuit sur place. La direction générale a voulu mettre fin à cela en mettant en place cet outil, qui permet désormais de déposer sa candidature sans se déplacer. Il permet aussi bien aux candidats qu'au recruteur de gagner un temps précieux », a expliqué le directeur des systèmes d'information de la SONABEL, Kalo Koumbia.
L'équipe d'informations en charge de la création de la plateformeLa Société nationale d'électricité n'en est pas à sa première initiative dans le domaine du numérique. Elle a déjà mis en service une plateforme digitale pour le traitement des Dossiers techniques (DT) ainsi qu'un e-guichet.
Samirah Bationo
Lefaso.net
L'Ordre des architectes du Burkina Faso et l'ONG Soleil dans la main ont réuni, le samedi 8 novembre 2025 à Ouagadougou, des professionnels du bâtiment et des étudiants en architecture autour d'une masterclass consacrée à la construction bioclimatique. Une initiative qui vise à encourager des pratiques de construction respectueuses de l'environnement et adaptées aux réalités climatiques du Burkina Faso.
Animée par David Demange, architecte et directeur de l'ONG, ainsi que par son équipe, cette session de partage d'expériences a permis aux participants d'échanger sur les principes et les avantages des bâtiments écologiques. Ces constructions, selon les initiateurs, offrent une alternative durable face aux défis climatiques et économiques actuels.
L'architecte David Démange expliquant aux étudiants les matériaux utilisés« Face aux changements climatiques et aux moyens limités des populations, il est nécessaire de promouvoir des bâtiments adaptés au climat, économiques et respectueux de l'environnement. Cette rencontre permet à chacun d'enrichir ses connaissances et de s'inspirer d'expériences concrètes. Avant, on construisait des écoles, mais nous nous sommes rendus compte qu'elles n'étaient pas adaptées aux enjeux actuels. Donc nous avons essayé de trouver des solutions. C'est alors que nous nous sommes tournés vers les bâtiments bioclimatiques, à faible impact environnemental, qui permettent d'avoir un confort amélioré », a expliqué M. Demange.
L'architecte David Démange, directeur de l'ONG Soleil dans la mainL'ancienne présidente de l'Ordre des architectes, Ada Yaya Bocoum, dit apprécier cette rencontre de partage d'expériences qui les renvoie aux fondamentaux et aux éléments ignorés souvent dans les projets de construction. « Il y a beaucoup d'éléments à prendre en compte. Pour qu'un projet puisse atteindre ses objectifs et satisfaire les utilisateurs, il y a plusieurs corps de métier qui interviennent. L'architecte est le maître d'œuvre, oui, mais il est nécessaire que tout soit bien organisé en harmonie. Avec ce bâtiment que nous avons visité ce matin, on constate que beaucoup d'éléments ont été pris en compte. Il s'agit du vent, de la poussière, du soleil, de la pluie et des matériaux disponibles chez nous. Et c'est vraiment intéressant de partager ce genre d'expérience », a indiqué l'architecte.
L'ex présidente de l'Ordre des architectes, Ada Yaya BocoumElle a invité les jeunes architectes à s'intéresser aux ouvrages bioclimatiques et à chercher à en comprendre le fonctionnement. L'architecte a d'ailleurs recommandé aux populations de s'intéresser au logement bioclimatique afin de réduire les dépenses, la dépendance en énergie mais aussi d'avoir des logements respectueux de l'environnement et agréables à habiter.
Mariam Fanny, étudiante en première année d'architectureÉtudiante en première année d'architecture, Mariam Fanny est heureuse d'avoir participé à cette masterclass. Selon elle, elle a appris beaucoup de choses. « Je croyais que le travail de l'architecte c'était seulement de faire le plan. Mais aujourd'hui, je viens d'apprendre qu'il doit travailler avec d'autres personnes et aussi qu'il doit être à l'écoute des suggestions des uns et des autres pour avoir un travail parfait. J'ai beaucoup appris également sur le concept de construction bioclimatique », a-t-elle résumé.
Ladji Aboubacar Ouili, étudiant également en première année d'architecture, dit avoir compris la nécessité d'avoir des constructions bioclimatiques au Burkina Faso grâce à cette masterclass. L'étudiant souhaite participer davantage à ce type de rencontre pour mieux apprendre des autres. Il a promis d'approfondir ses recherches dans le domaine des constructions bioclimatiques pour, plus tard, s'y spécialiser.
Ladji Aboubacar Ouili, étudiant en première année d'architectureDepuis plusieurs années, Soleil dans la main s'investit dans la vulgarisation de l'architecture bioclimatique à travers la formation, la sensibilisation et la construction d'infrastructures éducatives durables. Pour la rentrée scolaire 2025-2026, l'ONG a réalisé 21 nouvelles salles de classe bioclimatiques dans cinq localités du pays, contribuant ainsi à améliorer le confort thermique et la durabilité des bâtiments scolaires.
Cette masterclass s'inscrit dans la continuité des actions de l'ONG pour accompagner la jeune génération d'architectes et de bâtisseurs dans l'adoption de solutions innovantes, locales et écologiques. L'initiative est soutenue par la coopération luxembourgeoise.
Rama Diallo
Lefaso.net
La ville de Pouytenga est sous couvre-feu douanier, ceci pour un contrôle régulier des marchandises. Dans ces missions, un véhicule suspect a été intercepté dans les encablures de la ville. « Conduit à la brigade pour vérification, le camion a révélé une cargaison d'une ampleur et d'une dangerosité remarquables. Le contrôle minutieux effectué par les agents a permis de découvrir 140 fûts de cyanure de 50 kg chacun, soit 7 tonnes d'une substance hautement toxique, d'une valeur estimée à 21 800 000 FCFA ; 55 cartons de 2 750 cartouches de cigarettes de marques SIR et Gold Seal, d'une valeur évaluée à 13 750 000 FCFA ; 72 cartons d'amphétamines totalisant 4 040 paquets de comprimés divers (Paracétamol, Komix, Gebedol, Mixagrip, Diazole), pour une valeur estimée à 15 540 000 FCFA », lit-on du compte rendu publié sur la page Facebook des douanes du Burkina Faso.
Tout en félicitant les équipes pour ce résultat dont la valeur s'élève à 51 090 000 francs CFA, le directeur général de la douane, Dr Yves Kafando, a réaffirmé faire de la lutte contre la fraude et le crime transfrontalier une priorité nationale.
Lefaso.net
Source : Douanes du Burkina Faso
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La 22ᵉ édition de la Rencontre nationale gouvernement/secteur privé (RGSP) s'est tenue les 10 et 11 novembre 2025 dans la ville de Bobo-Dioulasso, sous le thème : « Développement des infrastructures : enjeux, défis et engagements patriotiques pour une économie durable ». Cette édition, placée sous le patronage du Premier ministre Rimtalba Jean-Emmanuel Ouédraogo, a réuni plusieurs membres du gouvernement, des représentants du secteur privé, des autorités régionales et locales ainsi que des acteurs économiques venus de tout le pays. La cérémonie de clôture a eu lieu ce mardi 11 novembre sur une note de satisfaction.
Durant deux jours, les échanges francs et directs entre les acteurs publics et privés ont permis de débattre des défis liés au développement des infrastructures structurantes indispensables à la transformation économique du Burkina. À l'issue des travaux, plusieurs recommandations et résolutions ont été adoptées, marquant une étape importante dans le renforcement du dialogue public-privé.
Créé pour formaliser les échanges entre le gouvernement et le monde des affaires, le cadre de concertation public-privé s'impose aujourd'hui comme un instrument clé de gouvernance économique. La rencontre nationale en constitue le point culminant, rassemblant les acteurs autour d'enjeux majeurs pour le développement du pays. Cette édition visait principalement à renforcer la concertation autour des infrastructures, moteur de compétitivité et de souveraineté économique. Électricité, eau, routes, télécommunications, logistique, santé : autant de secteurs où les besoins sont urgents et les attentes fortes.
Une vue des membres du gouvernement fortement mobilisés pour cette rencontreLes participants ont souligné que sans infrastructures de qualité, aucune économie ne peut prétendre à une croissance durable. C'est dans ce sens que les représentants des organisations professionnelles du secteur privé ont formulé plusieurs préoccupations et doléances, relatives notamment à l'accès au financement, à la fiscalité, à la qualité des services publics et à la gouvernance des projets d'infrastructures.
Serge Poda : « Il faut des infrastructures en quantité, mais surtout en qualité »
Le ministre du développement industriel, du commerce, de l'artisanat et des petites et moyennes entreprises, Serge Poda, a salué la pertinence des échanges. Il a rappelé que cette rencontre nationale vient couronner un processus de concertation entamé depuis mai dernier, au niveau régional et sectoriel. « Sans infrastructures énergétiques, de télécommunication, d'eau, de transport ou de santé, il n'y a pas de compétitivité de nos produits ni de croissance soutenue », a-t-il déclaré.
Le ministre Serge Poda réaffirme la volonté du gouvernement de travailler avec le secteur privé pour garantir des réalisations de qualitéLe ministre a également insisté sur la nécessité de mobiliser des ressources innovantes pour financer des infrastructures structurantes capables de soutenir la production nationale. Il a réaffirmé la volonté du gouvernement de travailler main dans la main avec le secteur privé pour garantir des réalisations de qualité, ayant un impact réel sur le développement. « Le gouvernement prendra toutes les dispositions pour que les résolutions ne dorment pas dans des tiroirs », a-t-il promis, annonçant la mise en place d'un suivi mensuel de l'état d'exécution des recommandations. Le ministre a par ailleurs salué l'engagement patriotique du secteur privé, appelé à investir davantage dans les infrastructures et à contribuer activement au développement endogène prôné par les plus hautes autorités du pays.
Des acteurs du secteur privé présents à la 22e édition de la RGSP à Bobo-DioulassoLe secteur privé réaffirme sa mobilisation patriotique
Prenant la parole, Roland Sow, président de la délégation spéciale consulaire de la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso (CCI-BF), a exprimé la fierté du secteur privé d'avoir pris part activement à cette rencontre nationale. « Depuis notre installation en juin 2025, c'est le deuxième grand événement que nous organisons après le forum Investir au Burkina. Cette rencontre témoigne de la vitalité du partenariat entre l'État et les opérateurs économiques », a-t-il déclaré.
Roland Sow, président de la délégation spéciale consulaire de la CCI-BF, a exprimé la fierté du secteur privé d'avoir pris part activement à cette rencontre nationaleLe président de la délégation spéciale consulaire a salué la mobilisation exceptionnelle des acteurs économiques venus de tout le pays, ainsi que le soutien constant du chef de l'État, le capitaine Ibrahim Traoré, et du Premier ministre. « Sans infrastructures, il n'y a pas de développement. Nous devons, en tant qu'acteurs économiques, nous mobiliser comme un seul homme pour construire les bases matérielles de notre prospérité », a-t-il ajouté.
Le secteur privé, à travers la chambre de commerce, s'est ainsi engagé à participer activement à la mise en œuvre du plan d'action issu des recommandations. Des rapports mensuels permettront d'en évaluer les avancées afin d'assurer un passage de la parole aux actes.
Des membres du gouvernement présents à cette rencontre nationale« Investir burkinabè, produire burkinabè, consommer burkinabè », Jean-Emmanuel Ouédraogo
Clôturant les travaux, le Premier ministre, Jean-Emmanuel Ouédraogo, a salué la qualité des échanges et réaffirmé la détermination du gouvernement à traduire les conclusions en actions concrètes et mesurables. « Nous sommes convaincus qu'avec un engagement patriotique franc et sincère à tous les niveaux, notre économie ne peut que prospérer au profit de notre peuple », a-t-il souligné. Pour le chef du gouvernement, le dialogue public-privé s'inscrit dans la dynamique de la révolution progressiste populaire conduite par le capitaine Ibrahim Traoré, qui vise à bâtir une économie souveraine et endogène, fondée sur les ressources et les compétences nationales.
Le Premier ministre a invité les acteurs économiques à adopter une attitude patriotique dans les affaires, fondée sur la production et la consommation locales. « Le patriotisme économique doit devenir le moteur de notre redressement. Investir chez nous, produire burkinabè, consommer burkinabè, c'est affirmer notre dignité collective et renforcer notre souveraineté », a-t-il martelé, avant de donner rendez-vous à la 23ᵉ édition pour évaluer les progrès réalisés.
Le Premier ministre, Jean-Emmanuel Ouédraogo, a salué la qualité des échanges et réaffirmé la détermination du gouvernement à traduire les conclusions en actions concrètes et mesurablesLes conclusions de cette 22ᵉ édition traduisent une volonté commune de passer à l'action. Les recommandations portent notamment sur la mobilisation de financements innovants pour les projets d'infrastructures structurantes ; la promotion du partenariat public-privé (PPP) dans la réalisation des grands projets ; la priorisation des entreprises nationales dans l'exécution des chantiers ; etc. À l'issue des travaux, les participants ont exprimé leur satisfaction quant à la qualité des débats et à la pertinence des recommandations formulées. Tous ont convenu de l'urgence d'une mise en œuvre rapide et rigoureuse des résolutions adoptées. La 22e RGSP s'achève donc sur une note d'engagement, d'espoir et de responsabilité partagée.
Romuald Dofini
Lefaso.net