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Union européenne

Merkel et Hollande réclament un front uni face à une crise migratoire durable

Euractiv.fr - Tue, 25/08/2015 - 09:12

Lors d’une rencontre à Berlin, François Hollande et Angela Merkel ont plaidé pour une réponse « unifiée » de l'UE face à la crise migratoire, alors que l’afflux de migrants ne faiblit pas, notamment sur la route des Balkans de l'Ouest 

Categories: Union européenne

Les Allemands jugent la BCE plus influente que la Commission

Euractiv.fr - Tue, 25/08/2015 - 08:46

Pour les citoyens allemands, les commandes de l’Union européenne sont aux mains de la Banque centrale européenne, qui devance la Commission européenne et l’Allemagne, selon les résultats d’une étude. 

Categories: Union européenne

L'intervention de Bruxelles sur les marchés du lait et du porc n’enraye pas la crise

Euractiv.fr - Tue, 25/08/2015 - 08:43

Les syndicats agricoles français tentent de mobiliser le gouvernement et Bruxelles pour augmenter le prix d’intervention. Mais face au recul structurel de la consommation de porc et de lait, la Commission préfère miser sur de nouveaux marchés.

Categories: Union européenne

L'UE seule face à l'afflux de réfugiés

Coulisses de Bruxelles - Mon, 24/08/2015 - 12:54

Jamais l’Union européenne n’a été confrontée à un tel afflux de réfugiés sur son sol. La hausse, perceptible depuis janvier 2015, s’est brutalement accélérée en juillet : 107.500 entrées illégales contre 70.000 en juin, soit trois fois plus qu’un an plus tôt. Et il s’agit bien de réfugiés fuyant des zones de guerre, les migrants économiques n’étant qu’une partie minoritaire de l’afflux actuel : « Syriens et Afghans se taille la part du lion dans le nombre de migrants entrant illégalement dans l’UE » souligne ainsi Frontex, l’agence européenne de contrôle des frontières extérieures, Irakiens et Érythréens constituant le reste de ces demandeurs d’asile.

Par exemple, selon le Haut commissariat aux réfugiés des Nations Unies (HCR), les 160.000 personnes entrées en Grèce depuis janvier 2015 (contre 50.242 pour l’ensemble de 2014) proviennent essentiellement de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan. Plus précisément, sur les 20.843 personnes entrées la seconde semaine d’août, 82 % sont Syriens, 14 % Afghans et 3 % Irakiens, dont « la grande majorité (…) devrait recevoir le statut de réfugiés ». « C’est sans aucun doute la plus grande crise de l’asile depuis la Seconde Guerre mondiale », reconnait Patrick Weil, directeur de recherche au CNRS et professeur à l’École d’économie de Paris et à l’université de Yale (États-Unis). À tel point qu’Angela Merkel, la chancelière allemande, a déclaré le 16 août que le sujet allait « nous occuper bien, bien plus que la Grèce ou la stabilité de l’euro ». Son pays, qui assume le traitement de 40 % des demandes d’asile dans l’Union, s’attend à recevoir 800.000 réfugiés cette année, soit quatre fois plus qu’en 2014 !

Collectivement, l’Union a essayé de réagir en mettant en place, en juin, une mission navale en Méditerranée (« EU Navfor Med » dont le QG est à Rome) destinée à lutter contre les passeurs responsables de la mort de plus de 2000 personnes. Mais faute d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU l’autorisant à avoir recours à la force dans les eaux territoriales libyennes, c’est-à-dire au plus prêt des côtes, elle permettra seulement d’identifier et de surveiller les réseaux. La Commission a aussi proposé, en mai, que les Vingt-huit se répartissent le traitement des demandes d’asile émanant de Syriens et d’Erythréens afin de décharger les pays de la « ligne de front » (Italie et Grèce). Mais ce mécanisme de « relocalisation » obligatoire, qui ne concernait pourtant que 40.000 personnes, a été torpillé par les pays d’Europe centrale (les trois Baltes, la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie, l’Autriche, la Slovénie) ainsi que par l’Espagne qui estime avoir fait sa part du travail en étant parvenu à bloquer le départ des « pateras » qui franchissaient le détroit de Gibraltar. Résultat, seuls les pays volontaires ont accepté d’accueillir des demandeurs d’asile dans la limite de 32.256 personnes… En revanche, l’Union a accepté d’accueillir sur son sol 20.000 Syriens bénéficiant déjà du statut de réfugiés, mais résidant dans des pays tiers (Turquie, Liban , Jordanie, etc.).

Pour le reste, c’est le chacun pour soi, chacun tentant de se débarrasser du mistigri. Ainsi, la Grèce n’hésite pas à transporter à la frontière macédonienne des réfugiés syriens, sachant pertinent que ceux-ci vont traverser le pays puis la Serbie pour se rendre dans l’Union via la Hongrie, ce qui a poussé Budapest à se lancer dans la construction d’un mur… Ainsi, le 19 août, les autorités grecques ont gracieusement envoyé dans l’ex-République yougoslave 2600 Syriens. Les autorités macédoniennes viennent d’ailleurs de crier grâce. Les Italiens font exactement la même chose, laissant les migrants filer chez leurs voisins, en Allemagne surtout. D’où la récente colère de Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur allemand : « nous ne dédouanerons pas nos partenaires et la Commission de leurs responsabilités » : « la commission doit agir contre les États membres qui n’assument par leurs devoirs ».

Pis : les États européens se sont lancés dans l’érection de murs à leurs frontières, à l’image de ce qu’a fait depuis longtemps l’Espagne autour de ses enclaves marocaines de Ceuta et Melilla. La Bulgarie a décidé, fin 2014, de prolonger de 130 km le mur de 30 km qu’elle a déjà érigé à sa frontière de 275 km avec la Turquie. Même si le ministre de la Défense, Anguel Naydenov, a reconnu qu’il n’était « pas fier de cette clôture«, ce qu’on peut comprendre de la part d’un pays qui a connu le rideau de fer durant quarante ans. La Hongrie n’est pas en reste : ce pays qui a fait tomber le mur du communisme érige à son tour une barrière « anti-immigrés » afin de rendre infranchissable sa frontière de 175 km avec la Serbie : sur les 81.000 migrants entrés illégalement dans le pays depuis janvier, 80.000 sont, de fait, passés par son voisin… La Grèce a elle-aussi, depuis 2012, son mur « anti-immigrés » de 12,5 km afin de protéger la partie la plus vulnérable de sa frontière de 150 km avec la Turquie.

Le vice-chancelier allemand, le social-démocrate Sigmar Gabriel, n’a donc pas tort d’affirmer que « l’Union a échoué lamentablement ». De fait, une gestion collective de ce flux sans précédent semble hors de portée des Européens. Tout simplement parce que « s’enfermer dans une logique purement intra-européenne, c’est donner la priorité aux agendas nationaux », analyse Patrick Weil. En effet, la plupart des pays sont confrontés à un ras-le-bol de leur population (hormis en Allemagne qui se réjouit de l’arrivée de Syriens parfaitement formés) vis-à-vis de l’immigration musulmane. C’est le cas en France, avec un FN menaçant, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, en Belgique, en Autriche ou encore en Suède. « Il faut sortir du psychodrame européen dans lequel l’ONU nous a enfermé en affirmant que l’Union ne prenait pas ses responsabilités ce qui est faux quand on voit les chiffres », poursuit Patrick Weil, « en convoquant une conférence internationale afin d’impliquer toutes les parties prenantes de cette crise. Ainsi David Cameron aura du mal à faire valoir ses contingences domestiques face à Barak Obama ».

Si la Syrie, l’Afghanistan, l’Irak fournissent aujourd’hui le gros du contingent de réfugiés, c’est dû à l’action des États-Unis et de ses alliés britanniques, australiens, saoudiens ou des monarchies du Golfe qui a déstabilisé la région. « Cette crise de l’asile n’est pas due à l’Europe, elle est simplement géographiquement proche de l’épicentre de la crise », insiste Patrick Weil. Une conférence internationale s’impose d’autant plus que plusieurs pays du Moyen-Orient sont menacés de déstabilisation : un tiers de la population de la Jordanie ou du Liban est composée de réfugiés et deux millions de Syriens se trouvent en Turquie. C’est en réalité toute la région qui est devenue un baril de poudre et ce n’est pas une énième réforme des lois européennes qui y changera quoi que ce soit.

N.B.: article paru dans Libération du 21 août

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Hollande remet la Légion d'honneur aux « héros » du Thalys

Euractiv.fr - Mon, 24/08/2015 - 10:17

Le président français a décerné la Légion d'honneur aux trois jeunes Américains et au Britannique du Thalys Amsterdam-Paris ayant maîtrisé vendredi Ayoub El Khazzani, qui tentait d'ouvrir le feu à la kalachnikov à bord du train.

Categories: Union européenne

Syriza et ses frondeurs s'écharpent avant le scrutin en Grèce

Euractiv.fr - Mon, 24/08/2015 - 09:46

La Gauche radicale grecque Syriza et ses frondeurs, en complet désaccord avec le premier ministre Alexis Tsipras, se sont livrés à de virulents échanges alors que la Grèce est entrée vendredi dans une nouvelle période d'instabilité politique et que des élections anticipées sont prévues en septembre.

Categories: Union européenne

La corruption à l'étranger n'émeut pas les États membres

Euractiv.fr - Mon, 24/08/2015 - 09:36

Onze États européens n'ont pas de mesures efficaces contre la corruption lors de transactions à l'étranger, selon un nouveau rapport de Transparency International.

Categories: Union européenne

Le Premier ministre danois craint la «bombe» du Brexit

Euractiv.fr - Mon, 24/08/2015 - 09:23

Lars Løkke Rasmussen, Premier ministre danois, veut avancer la date du référendum sur l’abandon de la clause d’exemption de la politique européenne en matière de justice.

Categories: Union européenne

Juncker, Merkel, Hollande et Porochenko pour discuter Ukraine et réfugiés

Euractiv.fr - Mon, 24/08/2015 - 09:03

La rencontre lundi 24 août France-Allemagne-Ukraine-Commission européenne devait se focaliser sur le conflit ukrainien. L'urgence du problème des réfugiés risque de modifier l'agenda.

Categories: Union européenne

Article - Toutes les ressources numériques du Parlement européen en un seul endroit

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 24/08/2015 - 09:00
Général : Informer sur le Parlement européen est devenu plus facile grâce à notre blog où nous fournissons nos dernières ressources numériques. Mis à jour régulièrement, il contient des images, des infographies, des vidéos et des photos que vous pouvez télécharger et publier sur votre site web ou sur les réseaux sociaux. En plus d’être libres de droits, ces ressources sont souvent disponibles dans les 24 langues officielles de l’Union européenne.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
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A Frangy-en-Grèce, Varoufakis s’alarme du déficit démocratique de l’UE

Euractiv.fr - Sun, 23/08/2015 - 22:25

Le maintien des politiques d’austérité au mépris des choix des citoyens fait le jeu de l’extrême-droite en Europe, selon Yanis Varoufakis et Arnaud Montebourg.

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Highlights - Statement on Yemen: “EU should respond immediately to the latest UNICEF appeal” - Subcommittee on Human Rights

Elena Valenciano (S&D, ES), Chair of the Subcommittee on Human Rights, calls for the European Union to disburse all the available funds to alleviate the human suffering in Yemen and to assist in particular organisations which assist children. Elena Valenciano urges the international community to respond swiftly to the latest appeal launched by UNICEF.
Further information
Press statement by Elena Valenciano on the worsening humanitarian situation in Yemen
Source : © European Union, 2015 - EP
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NATO NRF : insuffisante face à la Russie

CSDP blog - Thu, 20/08/2015 - 00:00

L'exercice d’alerte "Noble Jump" en Pologne a mis en lumière les défauts de la Force de réaction rapide de l’OTAN (NATO NRF) face à la Russie. La capacité de déploiement de la nouvelle force de réaction rapide de l'Otan, testée du 9 au 19 juin sur le camp d'entraînement de Zagan (ouest de la Pologne), est insuffisante face à la réactivité militaire russe, car les forces de l'Alliance ont besoin d'un mois au moins afin de déployer 30.000 militaires en Europe de l'Est. De son côté, la Russie a réussi en 24 heures à déplacer jusqu'à 100.000 soldats avec des équipements au cours de manœuvres militaires réalisées fin mai dans le District militaire central.

Les manœuvres en Pologne occidentale impliquent plus de 2.000 soldats provenant de neuf pays de l'OTAN. Les troupes aéroportées tchèques et néerlandaises, l'infanterie mécanisée allemande et norvégienne, les forces spéciales lituaniennes et polonaises, l'artillerie belge, des hélicoptères américains et une unité hongroise de coopération civilo-militaire y prennent part. L'exercice Noble Jump a été conçu pour tester les troupes de préparation élevée de l'OTAN dans les conditions du champ de bataille et veiller à ce que les concepts et les procédures soient prêts en cas de véritable crise. Le Pentagone a également révélé son intention de déployer en Europe de l'Est des chars, des véhicules blindés et des stocks d'armes lourdes, nécessaires afin d'équiper 5.000 soldats. En plus, il est prévu de créer un groupe "très mobile" fort de 30.000 soldats capables d'être rapidement déployés dans les pays Baltes, en Pologne, en Roumanie ou en Bulgarie en cas d'éventuelle "agression russe".

La formation qui se déroule en Pologne fait partie d'une série plus vaste d'activités de formation prévue en juin et appelée Allied Shield. La série comprend, outre Noble Jump :
- Baltops 2015, un exercice naval allié majeure en Pologne;
- Sabre Strike, un exercice de terrain dans les pays Baltes;
- et Trident Joust, un exercice de commandement et contrôle en Roumanie.
Au total, environ 15.000 soldats de 19 pays, dont le Canada, et trois pays partenaires participeront à cette série d'événements de formation qui se déroulent au sein de l'Alliance en 2015.

Sur fond de crise ukrainienne, l'OTAN a multiplié les manœuvres militaires conjointes dans les pays baltes ainsi qu'en Pologne. Moscou a exprimé ses préoccupations face au renforcement de la présence militaire de l'Alliance à proximité de ses frontières.

Source :
http://fr.sputniknews.com/international/20150615/1016545578.html

Tag: NATO NRFAllied ShieldNoble JumpSabre StrikeTrident Joust

Article - Découvrez le Parlement européen sur les réseaux sociaux

Parlement européen (Nouvelles) - Wed, 19/08/2015 - 09:00
Général : De Pinterest à LinkedIn, le Parlement européen est présent sur les plupart des réseaux sociaux afin d'être plus proche des citoyens. Sur ces plateformes, vous trouverez des informations liées à l'actualité, mais aussi des photos, des vidéos ou des infographies. Vous aurez également l'occasion d'échanger sur de nombreux sujets liés au Parlement européen. Notre infographie interactive vous permet de découvrir nos différentes plateformes un en clic.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
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Hôtel California

Coulisses de Bruxelles - Tue, 18/08/2015 - 22:44

«You can check out anytime you like, but you can never leave» («Tu peux quitter l’hôtel quand tu veux, mais tu ne pourras jamais partir»). Pour ceux qui en doutaient encore, la Grèce vient de démontrer que l’euro, c’est comme la chanson Hotel Californiades Eagles : on est libre d’y entrer, mais une fois dedans, plus question d’en sortir. Non pas parce que la Commission européenne, l’Allemagne ou la Finlande enverraient leurs divisions pour éviter une sécession, mais parce que le coût d’une sortie serait si faramineux pour le pays qu’aucun gouvernant sensé n’oserait prendre une telle responsabilité.

S’il y a un parti qui aurait pu tenter l’aventure du retour à la monnaie nationale pour s’affranchir des contraintes européennes, c’est bien Syriza, une nébuleuse regroupant l’ensemble de la gauche radicale grecque, à la fois anti-austéritaire, nationaliste (rappelons qu’il gouverne sans problème avec Anel, un parti de droite extrême anti-austéritaire) et dont une forte minorité (environ 40 %) est europhobe. Yánis Varoufákis, l’ancien ministre grec des Finances, avait d’ailleurs préparé un plan de retour à la drachme. Mais Aléxis Tsípras a tranché : pas question de quitter l’euro. Même si le prix à payer implique de se soumettre aux dures exigences de ces créanciers contre lesquelles Syriza s’est fait élire en promettant la fin de l’austérité.

La clé de cette capitulation en rase campagne a été livrée par le Premier ministre le 14 juillet, au lendemain du Conseil européen au cours duquel Tsípras et ses partenaires de la zone euro sont parvenus à un accord ouvrant la voie au maintien du pays au sein de la monnaie unique et à un troisième plan d’aide financière validé vendredi (on en sera à plus de 320 milliards d’euros, un montant sans équivalent dans l’histoire). Au cours d’un entretien télévisé, le Premier ministre grec a reconnu avoir commandé en mars une étude sur les conséquences d’un «Grexit» qui lui a fait comprendre qu’il n’y avait pas d’alternative crédible à l’euro : le retour à la drachme aurait ajouté la catastrophe à la catastrophe. Le PIB grec aurait sans doute été ramené à son niveau de la fin des années 80…

Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des Finances, a donc eu beau jeu de mettre brutalement le marché dans les mains de Tsípras à la veille du 13 juillet : le Grexit accompagné d’une restructuration de la dette publique et d’une «aide humanitaire», ou le respect - même douloureux - de la règle du jeu définie en commun pour rester dans l’euro. Et c’est ça l’autre leçon de la crise grecque : l’appartenance à la monnaie unique impose de respecter son règlement intérieur. En ratifiant le traité de Maastricht, les Etats ont signé un contrat qui les lie et dont ils auraient dû lire tous les paragraphes. Les Etats du Sud, France comprise, croyaient avoir fait main basse sur le mark et ses taux d’intérêt à faire rêver sans réelle contrepartie : au fond, la bonne gestion, ce serait pour un jour lointain…

Les pays du Nord ont profité de la crise grecque pour bien faire comprendre à chacun que tel n’était pas le cas : la monnaie, c’est aussi un ensemble de règles et de valeurs qui doivent être respectées bon gré mal gré. On peut s’en abstraire, mais alors il faut être prêt à en payer le prix. On comprend mieux, dès lors, que la gauche radicale et l’extrême droite françaises, sortent sonnées de l’affaire. La démagogie, Syriza l’a montré, n’est plus de saison.

N.B.: éditorial paru dans Libération du 17 août

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Article - Glossaire : tout savoir sur l'ère du numérique

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 17/08/2015 - 09:00
Général : Chaque jour, 315 millions d'Européens utilisent Internet. Pour que le secteur du numérique profite pleinement à la croissance et à l'emploi, la Commission européenne a présenté en mai une stratégie pour le marché unique numérique. En juin, le Conseil et le Parlement ont conclu un accord sur la fin des frais d'itinérance en 2017 et la garantie d'une égalité de traitement de tout le trafic Internet. Consultez notre glossaire pour comprendre les grands enjeux du numérique en Europe.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
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Le futur que Google nous prépare

Regards citoyens - Sun, 16/08/2015 - 16:41
Source : Pierrick Marissal, pour L'Humanité, le 29 juillet 2015. Hégémonique et tentaculaire, la firme californienne est une entreprise au pouvoir quasi souverain. Mais derrière le prédateur ...
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Article - Stages au Parlement européen : une nouvelle période d'inscription débute

Parlement européen (Nouvelles) - Fri, 14/08/2015 - 09:00
Général : A la recherche d'une première expérience professionnelle dans le milieu des affaires européennes ? Envie de découvrir le travail d'une institution ? Le Parlement européen propose plusieurs types de stages et permet ainsi aux diplômés universitaires ou aux étudiants de se familiariser avec ses activités. Une nouvelle période d'inscription débute le 15 août : découvrez comment vous porter candidat.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
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Turquie: il n’y aura pas de coalition gouvernementale

RFI (Europe) - Fri, 14/08/2015 - 00:21
En Turquie, le Premier ministre et président de l'AKP, le parti au pouvoir, Ahmet Davutoglu, a annoncé jeudi soir l’échec des concertations avec le principal parti d’opposition, le CHP, pour former une coalition gouvernementale. Cet échec ouvre une voie quasi-certaine à de nouvelles élections à l’automne.
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À Kos, l’accueil s’améliore, mais la situation reste critique

RFI (Europe) - Thu, 13/08/2015 - 18:23
La situation sur l’île de Kos en Grèce toujours préoccupante : ce matin, des centaines de réfugiés - des Syriens pour la plupart - ont de nouveau débarqué sur les plages de l’île, en provenance de Turquie. Ils doivent ensuite s’enregistrer auprès des autorités locales. Après les violences qui ont éclaté ces derniers jours, des moyens supplémentaires ont été déployés pour faire face à l’afflux de migrants. Et jeudi 13 août, pour la première fois depuis le début de la semaine, l’accueil s’est fait dans des conditions un peu moins chaotiques.
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