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Union européenne

Les Français plus inquiets du coût de la vie que de l’immigration

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2019 - 10:14
Une nouvelle enquête souligne que l’immigration n’est pas la préoccupation majeure des électeurs, plutôt inquiets de problèmes nationaux comme la corruption, le chômage ou le coût de la vie.
Categories: Union européenne

La BCE s’inquiète des risques d’un Brexit sans accord pour la zone euro

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2019 - 10:00
Alors que les députés britanniques ont rejeté pour la troisième fois l’accord de retrait de Theresa May, la BCE s’inquiètent des conséquences d’un Brexit sans accord pour la croissance économique en zone euro. Un article de notre partenaire EuroEfe
Categories: Union européenne

Quiz : Etes-vous incollables sur les européennes?

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2019 - 09:53
Les élections européennes, c’est quoi ? ça sert à quoi ? Devenez incollable grâce à notre quiz !
Categories: Union européenne

Vidéo d'une réunion d'une commission - Mardi 2 avril 2019 - 15:36 - Sous-commission "droits de l'homme"

Durée de la vidéo : 172'
Vous pouvez télécharger manuellement cette vidéo au format WMV (1.7Gb)

Clause de non-responsabilité : L'interprétation des débats facilite la communication mais ne constitue en aucun cas un enregistrement authentifié des débats. Seuls le discours original ou la traduction écrite révisée du discours original peuvent être considérés authentiques.
Source : © Union européenne, 2019 - PE
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Elections européennes : qui sont les têtes de liste en France ?

Toute l'Europe - Tue, 02/04/2019 - 17:00
Ecologiste, insoumis, souverainiste, communiste, frontiste, républicain… tous les grands partis, mais aussi certains plus petits, ont aujourd'hui une tête de liste pour les élections européennes de mai 2019. Et d'autres doivent encore les rejoindre. Mais qui sont-ils ? Toute l'Europe dresse les portraits de ces hommes et femmes.
Categories: Union européenne

Un Brexit sans accord serait «pratiquement inévitable»

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 11:42
Après avoir rejeté pour la troisième fois l’accord de retrait négocié par Theresa May, les députés britanniques ont également rejeté les quatre alternatives à cet accord, faisant du Brexit sans accord un scénario « pratiquement inévitable ».
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[Revue de presse] Brexit : nouveau rejet de toutes les alternatives à l'accord de sortie

Toute l'Europe - Tue, 02/04/2019 - 11:30
Trois jours après avoir de nouveau rejeté l'accord de sortie, les députés britanniques ont, le 1er avril, encore dit "no" à toutes les options alternatives. A dix jours du Brexit, le no deal est l'issue la plus probable.
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Brexit : quels scénarios possibles ?

Toute l'Europe - Tue, 02/04/2019 - 11:30
L'accord de retrait de l'UE, négocié par Theresa May avec Bruxelles, a été rejeté par la Chambre des communes à trois reprises. Entretemps, les Européens ont accepté de repousser le Brexit au 12 avril. Mais la menace d'un no deal plane toujours. A moins que les Britanniques participent aux élections européennes et demandent un report long ? Mais pour quoi faire ? Un nouveau référendum ? Toute l'Europe fait le point sur les scénarios encore possibles.
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Les gendarmes européens dotés de plus de pouvoir contre le blanchiment d’argent

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 11:10
Les États membres ont décidé de donner de nouveaux pouvoirs à l’Autorité bancaire européenne pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Categories: Union européenne

L’actu en capitales: le pape estime que Tsipras mérite le prix Nobel

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 10:29
L’actu en capitales récapitule l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
Categories: Union européenne

L’enjeu du revenu de base intéresse aussi l’Allemagne

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 10:17
Un projet allemand de crowdfunding pour un revenu de base a déjà permis de récolter de quoi verser 1 000 euros par mois à 300 participants pendant un an. 13 départements français veulent tenter l’expérience. Un article d’Euractiv Allemagne.
Categories: Union européenne

Les Britanniques se sentent trahis par Westminster

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 09:16
Plusieurs groupes pro-Brexit manifestent une révolte citoyenne inédite au Royaume-Uni. Certains craignent d'être privés du Brexit dont ils rêvent.
Categories: Union européenne

Andriukaitis, le croisé de la vaccination

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 08:58
Candidat à la présidentielle lituanienne, le commissaire européen à la santé, Vytenis Andriukaitis vient de passer quatre ans à lutter contre les infox sur les vaccins en Europe.
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Selmayrgate: la Commission Juncker s'achève dans l'infamie

Coulisses de Bruxelles - Tue, 02/04/2019 - 08:33

Martin Selmayr démission ! Le Parlement européen, par 313 voix contre 246, a exigé mardi soir le départ immédiat du secrétaire général de la Commission accusé de s’être propulsé illégalement, le 21 février 2018, au plus haut poste de l’administration communautaire. Les députés ouvrent ainsi une crise institutionnelle majeure avec l’exécutif européen puisque l’étape suivante ne peut être que la censure de Jean-Claude Juncker et de ses vingt-sept commissaires si Selmayr ne démissionne pas ou n’est pas renvoyé. Le président de la Commission ayant lié son sort à celui de son âme damnée, on peut parier qu’il va envoyer paître la seule institution tenant sa légitimité directement du peuple. A deux mois des élections européennes, il va administrer la démonstration que Bruxelles est bien la caricature que dressent d’elle eurosceptiques et europhobes.

Motion de censure

C’est peu dire que, contrairement à ce qu’espérait la Commission, le «Selmayrgate» n’est pas tombé dans l’oubli, un an après la nomination surprise de l’ancien chef de cabinet de Juncker…Libération avait alors révélé comment les règles du statut de la fonction publique européenne avaient été violées par cet Allemand de 48 ans. Le Parlement de Strasbourg a confirmé l’ensemble de nos enquêtes, qualifiant, dans une résolution votée en avril, la promotion de Selmayr de «coup d’Etat». La médiatrice européenne a été plus loin en septembre en publiant l’ensemble des courriels échangés en interne qui montraient que l’institution avait conscience de violer la loi. Mais le Parlement, dominé par les conservateurs du PPE, c’est-à-dire la famille politique de Juncker et de Selmayr, n’a pas osé déclencher une crise en exigeant le renvoi de Selmayr sous menace d’une motion de censure. Elle s’en mord les doigts depuis.

En effet, la Commission a balayé avec mépris toutes les critiques du Parlement et de la médiatrice, écartant même toute réforme future du processus de nomination des hauts fonctionnaires… Agacés, les eurodéputés ont haussé le ton en demandant en décembre le départ de Selmayr, en vain. La publication par Libération, le 15 mars, d’une enquête sur le suicide d’une haute fonctionnaire italienne, Laura Pignataro, obligé de couvrir juridiquement la nomination de Selmayr alors qu’elle savait qu’elle violait la loi, a indigné de nombreux parlementaires. Si aucun lien ne peut être établi, notre récit montrait l’atmosphère de terreur que fait régner Selmayr et révélait que c’était cette juriste de haut vol qui avait donné à la médiatrice européenne l’ensemble des mails relatifs au «Selmayrgate».

Technocratie

Dans sa réponse à notre article, la Commission a commis un bel acte manqué en reconnaissant que Selmayr avait supervisé ses réponses au Parlement sur les circonstances de sa nomination, ce qui constitue une prise illégale d’intérêts… Les eurodéputés de gauche ont donc profité de la procédure contraignante de décharge budgétaire pour accuser Selmayr de conflit d’intérêts et exiger sa démission, des amendements qui ont recueilli une très forte majorité. Vingt ans après la chute de la Commission Santer, le 15 mars 1999, acculée à la démission à la suite, là aussi, des révélations de Libération sur les emplois fictifs distribués par la commissaire française Edith Cresson, Juncker va-t-il connaître le même sort ? Lui qui souhaitait l’avènement d’une «Commission politique» aura réussi à accoucher de la Commission la plus technocratique de l’histoire. Triste héritage.

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L’industrie européenne en souffrance

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 08:30
La croissance de l'industrie manufacturière dans la zone euro a enregistré sa plus forte contraction depuis plus de six ans au mois de mars. Un article de notre partenaire, La Tribune.
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La guerre commerciale menace l’Amazonie

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 08:30
La forêt amazonienne pourrait être la grande perdante de la guerre commerciale que se livrent les États-Unis et la Chine, depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche. Un article de notre partenaire, le Journal de l’environnement.
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Les Français de Renaissance rêvent d’un putsch sur l’ALDE

Euractiv.fr - Tue, 02/04/2019 - 08:00
Renaissance joue les trublions en voulant changer le nom et les frontières de l'ALDE au Parlement européen. Un pari loin d'être gagné.
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Berlin-Paris: crise de couple

Coulisses de Bruxelles - Thu, 28/03/2019 - 18:34

Que reste-t-il du couple franco-allemand ? Peu de chose. Depuis que la République de Berlin a succédé à la République de Bonn, l’Allemagne se désintéresse de la France : elle ne l’ignore pas, ce serait difficile, mais elle ne tient plus compte de ce qu’elle dit. Cet inexorable éloignement a un corollaire : elle ne s’intéresse à l’Europe qu’à condition qu’elle soit allemande, c’est-à-dire qu’elle serve ses intérêts. En 1953, Thomas Mann appelait ses concitoyens à aspirer à une Allemagne européenne et non à une Europe allemande. Mais il n’aurait pu imaginer qu’au XXIe siècle, l’histoire accoucherait d’une « Allemagne européenne dans une Europe allemande », comme l’a dénoncé le philosophe Ulrich Beck.

Emmanuel Macron fait l’expérience depuis deux ans de l’hubris allemande, tout comme ses prédécesseurs avant lui : son discours de la Sorbonne de septembre 2017 dans lequel le chef de l’État détaillait son projet de relance de l’Europe est resté lettre morte. En dépit de ses efforts répétés, il s’est heurté à un constant « nein » de la chancelière allemande : pas de fédéralisation de la zone euro, pas de circonscription électorale paneuropéenne, pas de taxe GAFA, etc. Sa dernière tentative en date, sa lettre aux « citoyens européens » du 4 mars, a été balayée cinq jours plus tard par la successeure désignée de Merkel, Annegret Kramp-Karrenbauer (dite AKK) qui, elle aussi, a pris la plume.

Le point central de cette lettre est la défense de l’intergouvernementalisme, un changement complet de doctrine pour les chrétiens-démocrates allemands jusque-là attachés au fédéralisme. La République de Berlin a manifestement pris goût à cette Europe des Etats qui donne une prééminence mécanique au pays le plus puissant, en l’occurrence l’Allemagne, alors que le fédéralisme donne le pouvoir à des organes qui ne sont pas contrôlés par les gouvernements, à l’image de la Banque centrale européenne.

À partir de cette prémisse, AKK écarte logiquement la création d’un budget de la zone euro, même alimenté par des ressources nouvelles, celle d’un parlement de la zone euro et bien sûr celle d’un gouvernement de la zone euro. La solidarité financière n’est pas à l’ordre du jour pas plus que le « bouclier social » proposé par Macron : que chacun gère au mieux ses affaires internes et tout ira bien dans le meilleur des mondes.

Il est vrai qu’elle ne dit pas non à tout ce que propose Macron. Mais il ne faut se tromper : si AKK se montre intéressée par l’Europe de la défense, c’est parce que Berlin sait que les États-Unis se désengagent du continent européen et qu’elle a besoin du savoir-faire français. De même, si elle partage la volonté du chef de l’État de renforcer le contrôle aux frontières ou de relancer l’harmonisation fiscale, c’est parce qu’il y va de l’intérêt de l’Allemagne.

À l’image de Staline qui affirmait : « ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi est négociable », la présidente de la CDU estime que la France devrait renoncer à accueillir le Parlement européen à Strasbourg, pour centraliser toutes les institutions à Bruxelles. Mais bien sûr pas question que la BCE quitte son siège de Francfort. De même, elle ferait bien main basse sur le siège permanent de la France au conseil de sécurité de l’ONU en proposant de l’européaniser. On est presque soulagé qu’AKK ne demande pas le transfert de la tour Eiffel à Berlin !

Photo Bernd von Jutrczenka. dpa. AFP

N.B.: article paru dans Libération du 25 mars

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