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Union européenne

La Commission sélectionne les régions admissibles au Fonds de transition juste

Euractiv.fr - Fri, 28/02/2020 - 09:07
Les 7,5 milliards d'euros du Fonds de transition juste visent à rendre l’industrie lourde durable et à soutenir les travailleurs du secteur des énergies fossiles.
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Des poissons et légumes élevés sur les toits pour nourrir les Bruxellois

Euractiv.fr - Fri, 28/02/2020 - 08:30
La plus grande ferme urbaine d'Europe élève des poissons et fait pousser des légumes en hauteur, au coeur de la capitale belge, tout en répondant à un cahier des charges strict en matière d'économie circulaire.
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Post-Brexit: l’UE se prépare à une absence d’accord

RFI (Europe) - Fri, 28/02/2020 - 00:39
Les Européens ont formellement adopté mardi le mandat de négociation confié à Michel Barnier pour la future relation euro-britannique à compter du 1er janvier 2021. Le Royaume-Uni a fait de même et a publié ce jeudi son propre mandat de négociation laissant planer la menace de se retirer des négociations si en juin elles ne paraissaient pas prendre la bonne direction.
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[Revue de presse] Brexit : Londres pose ses exigences pour la relation future avec l'UE

Toute l'Europe - Fri, 28/02/2020 - 00:00
Le Royaume-Uni a publié jeudi 27 février son mandat pour les négociations sur sa relation future avec l'Union européenne. Optant pour une position ferme rejetant tout alignement réglementaire, le pays brandit à nouveau la menace d'une issue sans accord à la fin de la période de transition, le 31 décembre.
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Moria, le camp malade de l’Europe

RFI (Europe) - Thu, 27/02/2020 - 21:42
À Moria, sur l’île grecque de Lesbos, près de 14 000 demandeurs d’asile s’entassent dans un espace prévu pour 3 000 personnes. C’est le plus grand camp de réfugiés d’Europe, il est totalement saturé.
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Le crépuscule de l'aventure européenne

Coulisses de Bruxelles - Thu, 27/02/2020 - 20:14

Jean-Louis Bourlanges, vice-président (Modem) de la commission des affaires européennes de l’Assemblée nationale, ancien député européen (1989-2007), est l’un des plus fins analystes de l’Union européenne. Il ne cache pas son pessimisme sur son avenir.

Comment analysez-vous l’échec du sommet ?

Cela fait plus de deux ans que dure cette mauvaise comédie et l’enjeu du débat est tellement dérisoire que la persistance du blocage ne peut pas ne pas cacher un malentendu très profond. Songez que dans une Europe où les États dépensent en moyenne, sous forme de crédits publics, près de 50%de leur produit intérieur, les Vingt-sept se regardent interminablement en chiens de faïence pour savoir s’ils sont disposés à mettre au pot commun de ce qui devrait être l’entreprise géopolitique du siècle un peu plus ou un peu moins de 1 % de ce même PIB ! C’est vraiment se moquer des peuples de l’Europe que de leur rejouer indéfiniment ce misérable psychodrame.

La crise n’est donc pas budgétaire, mais politique : la volonté de poursuivre l’intégration européenne fait défaut.

La fable, c’est celle de L’Allemagne et des quatre radins, les Pays bas, la Suède, le Danemark et l’Autriche. En apparence ils sont tous d’accord pour ne pas aller plus loin et surtout pour ne pas dépenser plus. L’Union telle qu’elle est convient à des pays qui tirent avantage du marché intérieur - et pour quatre d’entre eux de l’euro - et ne voient pas pourquoi ils devraient payer davantage pour les autres. Trois de ces pays (Autriche, Danemark et Suède) sont issus de la zone de libre-échange créée par les Britanniques à la fin des années cinquante pour faire pièce au marché commun. Ils se méfient depuis toujours d’une Europe intégrée à vocation politique. Les Pays-Bas, quant à eux, ont toujours été sensibles aux sirènes britanniques : ce qu’ils ont préféré en Europe, c’est le parapluie américain !

Les Allemands sont évidemment travaillés par les mêmes pulsions, mais ils ne peuvent oublier qu’ils sont depuis le début au cœur de la construction européenne et que celle-ci est largement leur œuvre. Curieusement, toutefois, cette histoire, celle de cet après-guerre rédempteur, contribue à les paralyser, car elle leur semble trop parfaite pour être dépassée par quelque chose de mieux. Une Allemagne paisible et démocratique, protégée des violences de l’Histoire par une Amérique tutélaire et bienveillante et vivant prospère dans une Europe pacifiée et quasi désarmée, c’est pour eux le Paradis sur terre. Alors quand Emmanuel Macron arrive à cheval pour leur dire avec raison, mais sans ménagement, que ça ne peut pas durer comme ça, que l’Europe, elle-même travaillée par des passions de plus en plus tristes, est désormais seule dans un monde devenu plutôt malveillant et que pour sauver ses valeurs , ses intérêts et ses modes de vie, il va falloir être beaucoup plus solidaire et beaucoup plus politique, les Allemands ont du mal à accepter un discours aussi perturbateur économiquement, politiquement et moralement. Du coup, tout ce monde freine des quatre fers.

Les pays de l’Est ont demandé un budget plus conséquent. Est-ce à dire qu’ils ont pris conscience des avantages de l’intégration?

Sans doute, mais il ne faudrait pas que leur seul lien avec le train de l’Europe, ce soit le wagon-restaurant. Reconnaissons toutefois à leur décharge qu’on ne leur a rien proposé de bien exaltant. Les géopoliticiens ont coutume de dire que le développement de forces centrifuges de dislocation à la périphérie d’un système est toujours la conséquence de la fragilité et de l’incertitude du centre. C’est très exactement ce que nous vivons au sein de l’Union européenne. Contrairement à ce que pensent nombre de nos compatriotes, notre principal problème ne vient pas des pays dits de Visegrad qui sont eux- mêmes profondément divisés, par exemple sur la question des rapports avec la Russie ou sur celle de l’intégration à l’Union. Il vient de l’incapacité des Allemands et des Français à penser en convergence leur avenir et celui de l’Union. Nous avons parfaitement réussi, et ce n’est pas rien quand on songe au passé, à civiliser nos échanges et à pacifier nos relations, mais la tâche qui est la nôtre depuis la fin de la guerre froide est d’un autre ordre : il s’agit d’agir ensemble et de réussir notre révolution copernicienne et là le bilan est très pauvre et la force d’entraînement du couple très faible. Nous avons jusqu’à présent réussi à protéger l’Union, mais pas à la développer. Cette Europe à gaz pauvre ne résistera pas indéfiniment aux vents mauvais de l’histoire.

Au fond, seuls la France, la Belgique, le Luxembourg, l’Espagne et le Portugal veulent poursuivre l’aventure européenne. Ne faudrait-il pas en tirer les conséquences ou se résigner aux années d’eurosclérose qui s’annoncent?

Se résigner, mais à quoi sinon à disparaître ? Nous sommes tous plombés par le triomphe de l’individualisme, du corporatisme, du localisme et du sectarisme, ces trois-là n’étant d’ailleurs que des individualismes à plusieurs. Nous semblons de plus en plus en plus incapables de faire ce que j’appellerai le “détour de solidarité ” dans le temps comme dans l’espace, c’est-à-dire de faire l’effort d’accepter le différé de résultats à attendre d’un investissement ou d’un acte de solidarité. La vraie devise de l’Europe c’était : “Égoïsme bien ordonné commence par les autres”. Avec nos criailleries budgétaires, nous sommes dangereusement loin du compte. L’Europe est une création de l’histoire qui n’a plus la volonté de faire face.

N.B.: version longue de l’entretien paru dans Libération du 24 février

Photo: Photo Busà. Getty Images

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Budget: Les radins ne veulent pas rallonger d'un radis

Coulisses de Bruxelles - Thu, 27/02/2020 - 20:10

Angela Merkel, Mark Rutte, Sebastian Kurz

L’échec était prévisible, il a eu lieu. Vendredi, vers 19 heures, après 36 heures de négociations au couteau, les Vingt-sept ont décidé de jeter l’éponge, incapable de trouver l’ombre d’un début de compromis sur le cadre financier pluriannuel (CFP), le budget de l’Union pour les années 2021-2027. « Les différences étaient trop importantes », a sobrement commenté Angela Merkel, la chancelière allemande qui a souligné au passage l’absence de toute « position commune franco-allemande ». « Nous avons besoin de plus de temps », n’a pu que constater le Belge Charles Michel, le président du Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement. Si l’Union veut éviter que les programmes européens soient brutalement interrompus en janvier 2021, il faudra organiser un ou plusieurs sommets supplémentaires très rapidement : car adopter un budget est une chose, le mettre en œuvre en est une autre. Une course contre la montre pour éviter le défaut de paiement de l’Union a débuté.

On se demande comment les Européens en sont arrivés là. En effet, la Commission a déposé sa proposition sur la table du Conseil européen en mai 2018, il y a presque deux ans, ce qui laissait du temps pour négocier. Jean-Claude Juncker, l’ancien président de l’exécutif communautaire claironnait même à l’époque qu’un accord était possible avant les élections européennes de mai 2019… On a vu. En fait, le Brexit a pompé les énergies et les Etats, mais aussi le Polonais Donald Tusk, l’ancien président du Conseil européen, se sont littéralement désintéressés de l’affaire. Charles Michel, en poste depuis le mois de décembre, a repris le dossier au vol et a tenté de forcer une décision, après avoir multiplié les voyages dans les capitales européennes, en convoquant un sommet extraordinaire jeudi.

Sur la table, une proposition de compromis représentant 1,074 % du Revenu national brut européen (RNB), soit 1094 milliards d’euros sur 7 ans à 27. Une nette baisse par rapport à la proposition de la Commission (1,114 %) qui a fait le choix de ne pas compenser le manque à gagner du Brexit (10 à 12 milliards par an, en « solde net », c’est-à-dire diminué des sommes dont bénéficiait le Royaume-Uni) par une augmentation des recettes, mais de tailler dans les dépenses… Ce n’est pas la première fois que le budget européen est ainsi en baisse, puisqu’en 2014 il s’est établi à 1,12 % du RNB, loin du CFP 1993-1999 (2,18 %)…

Mais c’était largement insuffisant pour le club des radins, autobaptisé club des « frugaux » : Autriche, Danemark, Pays-Bas et Suède soutenus en sous-main par l’Allemagne. Ils estiment « payer pour les autres » puisqu’ils versent davantage au budget qu’ils n’en reçoivent, passant par pertes et profits tous les avantages dont ces pays très compétitifs bénéficient grâce au marché intérieur et à l’euro. Pour eux, le budget ne doit pas dépasser 1 % du RNB. Pour mesurer leur pingrerie, il faut rappeler que la moyenne des dépenses publiques dans les États membres est de plus de 47 % du RNB…

Tous les contributeurs nets ne sont pas sur cette ligne, à l’image de la France, de l’Irlande ou de l’Italie. En réalité la ligne de fracture est entre ceux qui considèrent que l’Union doit rester une zone de libre-échange, avec un minimum de transfert entre pays riches et pauvres, et ceux qui considèrent que l’Union doit non seulement se doter de politiques souveraines (défense, spatial, contrôle des frontières, numérique, etc.), mais aussi organiser des transferts financiers pour compenser les rentes de situations créées par l’ouverture des frontières au profit des plus riches.

Dès lors, aucune des propositions sur la table ne pouvait agréer à l’un des deux camps. Charles Michel, en proposant, vendredi soir, un compromis à 1,069 % du RNB est allé dans le mur. D’autant que le front des pays « amis de la cohésion » (les aides régionales), rebaptisés, les « amis d’une Europe ambitieuse » s’est alignés sur la position du Parlement européen (qui devra approuver l’accord final) en réclamant un budget à 1,3 %... « Les Européens n’ont pas besoin de la Grande-Bretagne pour faire montre de désunion », a noté désabusé Emmanuel Macron…

La bataille s’est concentrée en bonne partie sur l’une des grandes politiques traditionnelles, la Politique agricole commune (PAC) qui pèse encore 31 % du budget : pour les radins, il faut couper dans cette « politique du passé » et réorienter une partie des crédits vers les « politiques d’avenir ». A priori, le poids de la PAC semble effectivement disproportionné, mais il faut bien voir qu’il s’agit de la seule politique presque totalement intégrée : 70 % des dépenses publiques agricoles des 27 sont communautarisées, dépenses qui en additionnant les parts nationales, ne représentent en réalité que 1,1 % de la dépense publique de l’UE. Autrement dit, la part de la PAC n’est absolument pas exorbitante : elle témoigne simplement de la faiblesse de l’intégration dans les autres domaines. Si par exemple on fédéralisait les dépenses militaires, elles représenteraient 90 % du budget… En s’attaquant à la PAC, les radins mènent en réalité une bataille politique : ils veulent tuer ce qui reste des ambitions fédérales de l’Union, puisque les budgets des « nouvelles politiques » ne viennent qu’en appoint des financements nationaux.

Ce n’est pas un hasard si les pingres se sont opposés à la création de nouvelles « ressources propres », c’est-à-dire de recettes ne dépendant pas des budgets des États comme l’est actuellement la « ressource RNB » calculée sur la richesse nationale de chaque pays (70 % du budget) : outre les droits de douane déjà existants, il était proposé de créer une taxe sur les plastiques non recyclables et qu’une partie des droits d’émission de carbone lui soit affectée tout comme, à l’avenir, la taxe carbone qui devrait frapper les produits d’importation, la taxe sur les activités numériques ou encore la taxe sur les transactions financières. Car accepter un budget indépendant des États, c’est perdre le contrôle et prendre le risque d’une Union forte. Bref, l’Europe à Vingt-sept est entrée en hibernation et sans doute pour longtemps…

N.B.: article paru dans Libération du 24 février

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Les manifestations anti-migrants se poursuivent sur les îles grecques

RFI (Europe) - Thu, 27/02/2020 - 17:22
Plus d'un millier d'habitants de l’île grecque de Lesbos se sont rassemblés jeudi au port de Mytilène, chef-lieu de l'île, pour manifester contre un nouveau camp de migrants, au lendemain de violents affrontements avec les forces anti-émeutes ayant fait de nombreux blessés. La contestation s’amplifie sur les îles égéennes où s’entassent toujours plus de migrants. Le Premier ministre appelle au dialogue.
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Syrie: «Les objectifs divergents de la Turquie et de la Russie conduisent à la situation en cours à Idleb»

RFI (Europe) - Thu, 27/02/2020 - 17:13
Les accords de Sotchi signés en 2018 entre la Turquie, la Russie et l’Iran faisant d’Idleb une « zone de désescalade » ont volé en éclats depuis décembre. Les attaques qui touchent les forces turques ont entraîné des tensions entre la Russie, principal allié du régime syrien, et la Turquie qui soutient, elle, plusieurs groupes rebelles dans la région. Mercredi, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a exclu de faire «le moindre pas en arrière» face au régime de Bachar al-Assad et les affrontements sont devenus quasi-routiniers entre soldats turcs et forces syriennes.
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L’Europe aux prises avec les inégalités

RFI (Europe) - Thu, 27/02/2020 - 16:35
Vivons-nous dans une Europe de plus en plus inégalitaire où le fossé entre riches et pauvres ne cesse de se creuser ? La montée des populismes et des partis d’extrême droite, les mouvements contestataires comme les «Gilets jaunes» en France nous interpellent.
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Royaume-Uni: la justice rejette la demande d'extension de l'aéroport d'Heathrow

RFI (Europe) - Thu, 27/02/2020 - 16:19
Au Royaume-Uni, un jugement de la cour d’appel a rejeté l’extension de l’aéroport d’Heathrow à Londres pour des raisons environnementales. C’est la première fois qu’un jugement est rendu en se basant sur les Accords de Paris sur le climat.
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Au Salon de l’agriculture, le commissaire européen souhaite « un budget de la PAC ambitieux »

Euractiv.fr - Thu, 27/02/2020 - 11:25
Le nouveau commissaire européen à l’agriculture, le Polonais Janusz Wojciechowski, défend une Politique agricole commune forte. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
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Retraites : le gouvernement face au casse-tête des inégalités

Euractiv.fr - Thu, 27/02/2020 - 11:09
Une enquête du Centre d’études de l’emploi et du travail (CEET) montre que l’individualisation des parcours promue par la réforme des retraites risque de renforcer les inégalités au moment de la retraite. Un article de notre partenaire, la Tribune.
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Emmanuel Macron à Naples pour un sommet sur fond de coronavirus

RFI (Europe) - Thu, 27/02/2020 - 10:17
Le président Emmanuel Macron a atterri en début d’après-midi à Naples ce jeudi 27 février pour un sommet avec le président du conseil italien Giuseppe Conte. Ce sommet était prévu de longue date pour évoquer la situation des migrants, la Libye et aussi la relance de la coopération entre les deux pays. Mais l’épidémie de coronavirus s'est imposée au programme de ce sommet.
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18/2020 : 27 février 2020 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-298/19

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 27/02/2020 - 10:03
Commission / Grèce (Pollution par les nitrates)
Environnement et consommateurs
Pour avoir tardé à mettre en œuvre le droit de l’Union sur la protection des eaux contre la pollution par les nitrates à partir de sources agricoles, la Grèce est condamnée à payer une somme forfaitaire de 3,5 millions d’euros

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17/2020 : 27 février 2020 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-240/18 P

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 27/02/2020 - 10:02
Constantin Film Produktion / EUIPO
Propriété intellectuelle et industrielle
L’EUIPO doit de nouveau statuer sur la demande d’enregistrement de Constantin Film du signe « Fack Ju Göhte » comme marque de l’Union européenne

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Autriche: à Vienne, une application mobile récompense les trajets propres

RFI (Europe) - Thu, 27/02/2020 - 08:14
La capitale autrichienne a lancé ce mercredi 26 février une phase de test pour une application mobile pas comme les autres. Elle permettra aux habitants qui se déplacent à l'aide de moyens de transport propres, d'obtenir gratuitement des billets de spectacle ou des tickets de musée.
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[Revue de presse] Fortes tensions dans les îles grecques autour de la construction de centres pour les migrants

Toute l'Europe - Thu, 27/02/2020 - 00:00
Depuis plusieurs jours, des îles grecques sont le théâtre d'affrontements entre habitants et forces gouvernementales. Au cœur des tensions, la construction de nouveaux centres fermés pour accueillir des migrants venus de la côte turque. Les opposants dénoncent un projet de "vaste prison pour âmes humaines".
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Italie: Salvini de retour devant la justice?

RFI (Europe) - Wed, 26/02/2020 - 23:21
En Italie, la politique migratoire de Matteo Salvini pourrait le renvoyer une deuxième fois devant la justice. Une commission du Sénat doit statuer ce jeudi sur une demande de renvoi en justice. En cause, la décision de l'ancien ministre de l'Intérieur de bloquer les ports pour empêcher tout débarquement de migrants recueillis en Méditerranée par des ONG. Le leader de la Ligue, parti d'extrême droite, a déjà perdu son immunité parlementaire en janvier.
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Le coronavirus se propage, attisant l'anxiété dans le monde

RFI (Europe) - Wed, 26/02/2020 - 23:19
Le coronavirus progresse inexorablement : il a débarqué en Amérique latine, jusqu'ici épargnée par l'épidémie, en y entrant par le Brésil, tout en continuant à se propager en Europe et en Asie. Ce qui porte à environ quarante le nombre de pays désormais affectés.
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