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Afrique

Ituri : trois journée ville morte décrétées pour dénoncer la recrudescence de la criminalité

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:52


En Ituri, les activités économiques sont à l'arrêt depuis jeudi 2 mai sur toute l'étendue du territoire d'Aru, situé à 260 kilomètres au nord de Bunia, en réponse à l'escalade de la criminalité qui a culminé avec le meurtre d'un enfant par des hommes armés la semaine dernière. Cette paralysie est le résultat d'un mot d'ordre de la société civile locale qui décrète trois journées ville morte, en signe de protestation.


 

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Soirée cinématographique de l'ISTIC : Des étudiants en fin de formation présentent leur savoir-faire

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 14:48

L'Institut des sciences et techniques de l'information et de la communication (ISTIC) a organisé, le mercredi 1er mai 2024 à Bobo-Dioulasso, une soirée cinématographique. Au programme, ce sont deux films d'une durée de 26 minutes chacun, qui ont été projetés au bonheur du public.

Il s'agit des films documentaires « Alléluia/Alhamdoulila : Pour le meilleur et le pire » de Rasmane Zongo et « Prise en charge des PDI : Le sacrifice des familles hôtes » de Amandine Tago. Ces deux films sont tous réalisés par des étudiants en fin de formation à l'ISTIC. Le premier aborde la problématique des mariages inter-religieux. Il relate les difficultés rencontrées par des couples de religions différentes, notamment celles du couple Herman et Korotimi. Cette dernière (Korotimi), issue de la religion musulmane, a été reniée par son père pour s'être mise en couple avec son compagnon Herman, de la religion catholique. Une problématique qui est d'actualité et décriée par Rasmane Zongo, qui espère un changement de comportement à travers sa production.

Le public présent à cette soirée cinématographique

Le deuxième film aborde la question liée à la gestion et à la prise en charge des personnes déplacées internes. Ce film relate les réalités des personnes déplacées internes hébergées dans certaines familles d'accueil. Focus a donc été fait sur ces familles qui accueillent des PDI. A travers cette production, Amandine Tago dit vouloir montrer la solidarité de ces familles d'accueil au regard des sacrifices qu'elles consentent au quotidien. Présente à cette soirée, Amandine Tago avoue avoir réalisé ce film dans des conditions difficiles au moment où certaines personnes n'acceptaient pas se confier à sa caméra et à son micro. « Il a fallu donc s'armer de courage et d'enthousiasme pour y arriver », a-t-elle confié.

Amandine Tago, la réalisatrice du deuxième film exprimant sa satisfaction

Cette soirée s'inscrit dans le cadre de l'organisation d'un voyage pédagogique de l'ISTIC, du 24 avril au 6 mai 2024 à Bobo-Dioulasso. Cette immersion dans la ville de Sya a pour objectif de permettre aux stagiaires de mettre en pratique les enseignements reçus et d'être en situation réelle d'apprentissage. Cette soirée a eu lieu dans la salle Casimir Koné de la RTB2 Hauts-Bassins qui était bondée de monde. En effet, les cinéphiles bobolais, majoritairement composés d'étudiants, n'ont pas voulu se faire conter l'événement.

La projection du deuxième film sur la « Prise en charge des PDI : Le sacrifice des familles hôtes » de Amandine Tago

Ces films ont été bien appréciés par des spectateurs, à l'image de la directrice générale de l'ISTIC, Dr Alizèta Ouoba. Elle a affirmé que cette soirée a permis au public de découvrir le savoir-faire des étudiants de son institut. « En fin de cycle, les stagiaires doivent présenter des études de cas pour ce qui concerne les étudiants en communication et journalisme, à travers des productions, pour montrer que l'ISTIC c'est vraiment une école professionnelle qui va directement vers des cas pratiques. Ce sont ces deux productions qui ont été sélectionnées et présentées au public à l'occasion de cette soirée », a-t-elle expliqué.

La directrice générale de l'ISTIC, Dr Alizèta Ouoba, salue la qualité des productions

En tant que première responsable de l'institut, elle se réjouie de la qualité des productions présentées et profite de l'occasion féliciter les acteurs impliqués dans la réalisation de ces films. « Je suis vraiment satisfaite de la qualité des productions. J'adresse mes remerciements aux encadreurs qui ont pris leur temps pour que ces productions puissent être à la hauteur des attentes de l'institut. C'est un travail de qualité qui a été présenté et ceux qui veulent aller à la pratique, l'ISTIC est la bonne adresse », se réjouit Dr Alizèta Ouoba.

Dr Sita Diallo/Traoré est la directrice de la formation initiale de l'ISTIC. Elle a rappelé que cette soirée s'inscrit dans le cadre du voyage pédagogique qui est une pratique professionnelle ancrée dans la formation des stagiaires de l'ISTIC. « Ce voyage leur permet de faire le web journalisme en pratique et en même temps, ils découvrent les potentialités de la localité en produisant des articles du web et les communicants essaient d'organiser l'événementiel », a-t-elle indiqué. L'organisation de ce voyage coïncide avec la tenue de la 21e édition de la Semaine nationale de la culture. A en croire la directrice de la formation initiale, cette coïncidence n'est pas un fait du hasard. « Nous avons organisé ce voyage à l'occasion de la Semaine nationale de la culture pour permettre aux stagiaires d'apprendre plus », a-t-elle dit.

La directrice de la formation initiale de l'ISTIC, Dr Sita Diallo/Traoré, rappelant les objectifs de cette soirée

Pour donner plus de visibilité à ces productions et permettre qu'elles puissent jouer leur rôle d'éducation et de sensibilisation, l'ISTIC prévoit nouer des partenariats avec des chaînes de télévision pour qu'après, ces films puissent être diffusés. « Cela permettra au public de découvrir les potentialités de nos stagiaires », a dit Dr Sita Diallo/Traoré. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]

Romuald Dofini
Lefaso.net
Crédit photos : Herman Bassolé

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Nord-Kivu : à l’occasion de la journée mondiale du Travail, le REDHO plaide pour la mécanisation des fonctionnaires

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:44


À l'occasion de la journée mondiale du Travail, le réseau pour les droits de l’homme (REDHO) plaide pour la mécanisation des agents publics des villes de Beni, Butembo ainsi que les territoires de Lubero et Beni, afin qu'ils soient reconnus et rémunérés par le Trésor public.

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Beni : un mort et un véhicule incendié au cours d’attaques de rebelles ADF

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:17


Dans le territoire de Beni, une double attaque perpétrée par les rebelles des ADF a secoué la région ce mercredi 1er mai, sur l'axe routier Eringeti-Kainama, à une soixantaine de kilomètres au nord de la ville de Beni. Lors de ces affrontements, les forces conjointes FARDC-UPDF (armée ougandaise) ont réussi à libérer des civils pris en otage par les assaillants.

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Kindu : la société civile de Lubutu dénonce la présence de militaires sur des sites miniers

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:05


Dans la province du Maniema, la Société civile forces vives du Maniema, antenne de Lubutu, dénonce la présence de militaires sur des sites miniers du territoire de Lubutu. Cette structure citoyenne en appelle aux autorités politico-administratives locales, provinciales et nationales, ainsi qu'au ministre de la Défense, pour mettre fin à cette situation.


 

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La Voix des sans voix demande aux autorités d’annuler l’information judiciaire à charge du Cardinal Ambongo

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 13:56


 


L’ONG La Voix des sans voix pour les droits de l’Homme (VSV) a publié une déclaration ce jeudi 2 mai, appelant les autorités judiciaires à reconsidérer l’ouverture d’une information judiciaire à l’encontre du Cardinal Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de l’archidiocèse catholique de Kinshasa.

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Décès de YERBANGA Ignace : Faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 13:20

Les grandes familles YERBANGA ET TONDE à Manga, Ouagadougou et Paris ;
Mme YERBANGA / ARNAUD Jeanne à Saaba à Ouagadougou ;
Les enfants Céline, Eric et Elodie ;

Les grandes familles alliées ARNAUD, COMPAORE, MARE, KABRE, OUEDRAOGO, DAO, SANON, SANFO, COULDIATY, DEMBELE, SAVADOGO, NGUYEN ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur fils, frère, père, époux, grand père et Arrière-grand-père :

Monsieur YERBANGA Ignace,
Magistrat à la retraite le 1er Mai à l'âge de 71 ans de suite de courte maladie.
Un hommage lui sera rendu le 3 Mai 2024 à 10H 00 au CONSEIL D'ETAT suivi du transfert de la dépouille à Manga pour l'inhumation à 15H.

Union de prière.

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Journée des coutumes et des Traditions chaque15 mai : « Éclatante manifestation d'une justice immanente au Burkina Faso et en Afrique Noire », selon Anatole Gomtirbou-Noma Tiendrebeogo

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 13:12

Ceci est le premier jet de réflexions proposées en partage par Son Excellence Anatole Gomtirbou-Noma Tiendrebeogo, à propos de la consécration du 15 mai, Journée Nationale des Coutumes et des Traditions.

Qu'à cela ne tienne ! Ni erreur, ni omission, a sonné le Début de la Fin de la fameuse sentence dictatoriale et multiséculaire imposant au monde la malheureuse vision erronée : "les Anges sont blancs et les Diables sont Noirs”.
Cette décision des autorités compétentes de la transition sur la Journée des Coutumes et des Traditions, est un acte fort qui consolide le choix et l'action politique pour la renaissance et la souveraineté complète de notre pays, et de l'Afrique Noire entière à y voir de près.

En effet, cette décision historique nous renvoie à l'existence de nos communautés et Peuples africains au cours des cinq derniers siècles écoulés, tout au long desquels nos parents, arrières-parents, aïeux ont enduré des moments et traitements douloureux innommables : La traite des Noirs, l'esclavage des Noirs, la colonisation dite civilisatrice des Noirs, etc.

En sus, retenons toujours que ces souffrances physiques de nos aïeux ne représentaient pas grand chose au regard de leur douleur morale et spirituelle lorsqu'ils comprirent qu'en réalité leurs tortionnaires d'époque, théoriciens et praticiens confondus cherchaient à leur nier le moindre statut d'ETRES HUMAINS : ils n'auraient pas d'âme, pas d'esprit ascendantal, pas de dignité humaine, donc sont et demeurent des animaux maniables et corvéables à volonté.

De ce point de vue, comment imaginer l'acceptation d'une religion traditionnelle, endogène, africaine. D'où la persécution systématique de nos croyances ancestrales, de nos coutumes et traditions. La chappe fatale s'abattit alors sur nos pays et sur nos communautés à partir du 20ème siècle : la matérialisation-terrain du partage du continent tel qu'opéré par la Conférence de Berlin (1885) se dessine et se fortifie.
L'invasion et l'occupation de nos pays et communautés obéirent alors à quelque chose près, au même mode operandi ci-après :

d'abord les forces militaires pour anéantir toutes velléités de résistance quelconque endogènes ;
ensuite les forces d'intérêt économiques et financières pour asseoir les bases de l'exploitation et de la corruption systématique ;
puis les forces administratives et politiques pour la gestion du nouveau butin bien balisé ;

enfin les forces spirituelles et religieuses pour répandre l'idée de soumission ou nouvel ordre établi mais aussi et surtout pour imposer leur revendication capitale : Dépositaire-Monopoliste de Dieu. En clair il fallait nous amener à croire et à accepter l'inexistence du lien ombilical entre les vivants et les ancêtres.

NB : Cette dernière catégorie de forces d'invasions est la plus pernicieuse. Elle a la prétention de détenir le monopole de Dieu le Tout Puissant. Elle revendique que toute communauté de tout Peuple voulant aller à Dieu passe par elle pour le droit de passage, le choix de l'intercesseur, les modalités de la démarche vers Dieu etc.
Manifestement ces gesticulations doivent arrêter ou être recentrées car NUL ne peut détenir le monopole de Dieu qui est le même pour tous les êtres humains, pour toutes les communautés organisées pour tous les peuples de la terre.
Cela est valable unanime et indiscutable au Burkina Faso malgré la soixantaine d'ethnies ou de communautés ; il en est de même sur le continent africain en dépit de sa cinquantaine de peuples ou de nationalités.

Cette croyance fondamentale des africains (surtout noirs) s'est mue en réalité vivante gravée dans leurs us et coutumes et Traditions qui ne s'altèrent nullement malgré les nombreux relâchements socio-générationnels observés çà et là au contact des civilisation étrangères non maîtrisées ou mal régulées.
Évidemment après des centaines d'années de persécutions diverses nos coutumes et traditions n'ont plus leurs lustres d'autan. Leur pratique souvent exercée dans une sorte de clandestinité n'a pas permis un transfert de connaissances identiques de génération en génération

Dès lors il n'est pas superflu de faire un rappel succinct de la quadrature de nos coutumes et traditions. Appartenant à l'une des dernières générations ayant bénéficié de ces us et coutumes encore immaculés nous pensons pouvoir livrer les informations qui suivent.

Nos coutumes constituent les produits dynamiques de notre COSMOGONIE africaine et burkinabé. Ils sont l'expansion vivante de notre spiritualité africaine dont la charpente présente un DIEU UNIQUE Tout Puissant entouré de la communauté de nos Ancêtres, eux-mêmes ayant un lien ombilical avec nos communautés des vivants.
Il est remarquable que dans cette trilogie vivifiante les Ancêtres occupent un rôle prépondérant. Ils constituent le point d'ancrage entre DIEU et les humains.

Les prières et les offrandes des vivants sur Terre remontent à Dieu à travers ce passage obligé. Les Mosse traduisent bien cette situation dans leur adage bien connu : Nous sommes infiniment petits et insignifiants pour oser nous adresser directement à DIEU. Notre premier intermédiaire est donc l'immense cortège des mânes de nos ancêtres, aïeux et parents siègent au paradis avec ceux des autres peuples et communautés.

Ainsi le sang du poulet immolé par le patriarche pour la santé ou la prospérité de la famille est adressé à l'âme de l'ancêtre qui séjournant déjà au paradis, assurera la transmission à Dieu selon le protocole divin le plus efficace. A n'en point douter ce sang de poulet est le même que celui du bélier d'Abraham et de la tabaski tout comme celui de l'Agneau divin des Tabernacles.

Mais attention ! Cela ne fonctionne pas mécaniquement comme par magie ou par sorcellerie. Il s'agit d'un culte humano-divin. Les célébrants sont astreints à la pureté du cœur, à une vie conduite dans la crainte de Dieu. Ils ne sont plus légion comme jadis, mais il en existe toujours. Les grandes familles dans les grandes communautés y veillent constamment dans les plus grandes discrétions. Il y va de l'intérêt communautaire, même national. Les résultats sont probants, visibles et vérifiables. Des démonstrations concrètes les plus fiables se retrouvent dans l'émission télévisée "YELSOLMA" de la RTB, malheureusement suspendue à la demande et sous la pression de certaines religions dites révélées, selon le brave animateur de l'émission très suivie et très appréciée.

Il est temps de remettre tout cela en marche vers la conquête de notre entière SOUVERAINETÉ Nationale. Il n'y aura pas de véritable indépendance politique, économique et autre, sans l'indépendance spirituelle. Nous devons nous libérer de l'esclavage spirituel et réfuter tout lavage de cerveau avilissant.

Tout ce qui précède nous autorise à sublimer la création de la journée des coutumes et des traditions qui impulsera la lutte contre le monopole de Dieu, contre le commerce de Dieu et pour la résurrection du Dieu de nos Aïeux et de nos PERES, notre Dieu, Unique, omnipotent, omniprésent et omniscient depuis des siècles et des siècles, "NABA ZIDWENDE" ou simplement "WENDE", "WENNAM".
Qu'il bénisse le Burkina Faso et toute l'Afrique. Amen.

De ce point de vue bien sincère, il convient de féliciter les autorités de la transition nonobstant leurs graves insuffisances et déviances non nécessaires ; toutefois il est impérieux d'éviter la tentation de chercher à s'immiscer dans l'exercice concrète de l'organisation et des célébrations rituelles de nos coutumes et traditions. Il s'agit de notre religion traditionnelle. Les faitières de nos communautés coutumières en sont pleinement compétentes et bien disponibles.

Chaque communauté et même chaque grande FAMILLE connaissent leurs propres personnels compétents, habilités en matière de célébrations coutumières, rituelles, culturelles qui sont officiées la plupart du temps dans la plus grande discrétion. Dans le domaine des coutumes, il n'y a point la moindre place pour les tricheries, la corruption ou les "affaires."

Par contre la pratique de nos traditions réserve une place importante aux aspects festifs populaires qui viennent agrémenter l'élan communautaire vers le rassemblement, l'union, la solidarité et l'épanouissement des membres de la société humaine concernée. A ce niveau, toute action bienveillante de l'État est la bienvenue dans le respect des conduits protocolaires du milieu concerné. De même, chaque composante de la Société Nationale y compris les intellectuels, les chercheurs et autres en toute humilité, apporter leur contribution constructive.

Dans le même ordre d'idée, la religion traditionnelle reste aimante, tolérante, dépourvue de rancœur et de toute idée de compétition religieuse. Cela est suffisamment démontré dans le présent dialogue interreligieux tout comme dans la période d'avant l'arrivée des religions étrangères dans notre pays et sur le sol du continent africain.

Par conséquent, que nul ne perçoive une menace quelconque à son existence en raison de l'avènement heureux de la journée du 15 mai qui consacre la délivrance et la purification des consciences des fils et filles du Burkina et de l'Afrique.
Dans la recherche continue de la cohésion sociale, l'État pourrait souligner fermement dans les textes d'application de la journée du 15 mai, le vibrant Appel à toutes les religions reconnues à éviter autant que possible dans leurs prêches, les dénigrements et les allusions à une autre confession religieuse quel que soit le thème développé par les célébrants.

Chaque religion confesse ses propres concepts et préceptes, et respecte ne serait-ce que par le silence, les autres religions et leurs concepts et préceptes à elles.
Vraiment, soyons suffisamment éclairés pour ne pas tomber dans la bêtise de nous disputer le "Bon Dieu" seul et unique en dépit de la différence des noms qui lui sont attribués par nous les pauvres humains.

Mais encore faut-il, au dessus de tout, que les fils et filles du Burkina obéissent pleinement à leurs propres lois et règlements et à commencer par leurs dirigeants eux-mêmes qui doivent donner le bon exemple.
Gloire à nos peuples, victoire à nos ancêtres et adoration profonde à Dieu, l'Éternel que nous appelons "NABA ZID WENDE" ou "WENNAM".

PS : Grandement merci aux Patriotes de la Transition et du Pays.

Qui est Anatole Gomtirbou TIENDREBEOGO ?

Anatole Gomtirbou TIENDREBEOGO est titulaire d'un doctorat de 3ème cycle en relations internationales. Il est diplomate de formation et de carrière.
Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Burkina Faso en République Fédérale d'Allemagne (Bonn) de 1981 à 1986
Adjoint du secrétaire Général de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA) de 1995 à 1999, actuelle UA (Union Africaine)

Député à l'Assemblée générale de 1978 à 1980,
Ministre de l'environnement et du tourisme de 1992 à 1995.
Membre (DOYEN) du Conseil constitutionnel de 2015 à 2017.
Doyen de l'Association des Ambassadeurs du Burkina Faso à la retraite.
Commandeur de l'Ordre National.

Aujourd'hui à la retraite, il se consacre à l'écriture de ses mémoires et à son centre écologique.

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En Côte d’Ivoire, Guillaume Soro entretient le suspense sur son retour

LeMonde / Afrique - Thu, 02/05/2024 - 13:00
Soupçonné d’avoir fomenté une « insurrection » fin 2019, l’ex-allié d’Alassane Ouattara est toujours sous le coup d’une condamnation à la prison à vie pour « atteinte à la sûreté de l’Etat ».
Categories: Afrique

Aide au développement : alors que les pays les plus pauvres s’enfoncent dans la crise, les Etats les plus riches coupent dans leurs budgets

LeMonde / Afrique - Thu, 02/05/2024 - 13:00
Pour la première fois depuis le début du siècle, les 75 pays les plus pauvres sont en plein décrochage. Le tiers d’entre eux est plus pauvre qu’en 2020 et ne s’est toujours pas remis de la crise liée au Covid-19. La moitié est en situation de surendettement, avec une charge de la dette alourdie.
Categories: Afrique

Messe pour le repos de l'âme de de Ange Ydo Yao

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 12:00

Ses amis et connaissances à Ouagadougou ont l'honneur de vous inviter à une messe pour le repos de l'âme de de Ange Ydo Yao Directeur du Bureau international d'éducation de l'UNESCO à Genève (Suisse) le dimanche 05 mai 2024 à 9h à l'église St Camille

Union de prière

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Au Kenya, le bilan des inondations s’alourdit à 188 morts depuis mars

LeMonde / Afrique - Thu, 02/05/2024 - 11:16
Depuis le début de la saison des pluies, de fortes précipitations, amplifiées par le phénomène climatique El Niño, ont provoqué des inondations dévastatrices.
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Décès de BAMBARA Yamnissou Luc : Faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 11:06

La grande famille BAMBARA et MONE à Garango, Ouagadougou, Bobo Dioulasso ont le profond regret de vous annoncer le décès de leur fils, petit-fils, oncle et père BAMBARA Yamnissou Luc Précédemment attaché d'éducation en service à Bingo décédé ce jour 01/05/24 des suites d'une courte maladie.

Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
Mercredi 1er mai 2024 : veillée de prière 19h00 au domicile familial sise au 1200 logements, villa 207

Jeudi 02 mai 2024 :
12h : levé du corps à la morgue de Bogodogo
Transfère au domicile familial à la villa 207 sise aux 1200 logements suivis de l'absoute à l'église saint Camille à 14h
14h : inhumation au cimetière de Karpala

Jésus dit : « je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt ; et quiconque vit en croyant en moi ne mourra jamais. Croyez-vous cela » ?
Jean 11 ; 25-26

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Demande d'ouverture d’une information judiciaire contre le Cardinal Ambongo : le clergé kinois qualifie cette initiative de « maladroite »

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 10:44


L’Assemblée du clergé kinois (ACKIN), une structure de l’église catholique de Kinshasa, a qualifié de « maladroite » la demande d’ouverture d’une information judiciaire contre le Cardinal Fridolin Ambongo.


Dans un message aux fidèles catholiques de Kinshasa, aux hommes et femmes de bonne volonté, publié mercredi 1er mai, l’ACKIN se dit convaincue de la rectitude des différentes interventions du Cardinal sur la situation socio-politique du pays.

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Hasna El Becharia, chanteuse pionnière de la musique diwane, est morte

LeMonde / Afrique - Thu, 02/05/2024 - 10:36
Née à Béchar, dans le sud de l’Algérie, en 1950, elle était célèbre pour avoir été la première femme à jouer du guembri, une sorte de guitare nord-africaine à trois cordes, interdite autrefois aux femmes.
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Décès de KABORÉ née KABORÉ Martine : Remerciements et faire- part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 10:30

« Très bien, serviteur bon et fidèle, entre dans la joie de ton Seigneur » (Matthieu 25:21)

Sa Majesté le Mogho Naaba Baongo ; Les grandes familles OUANGRAOUA, KABORÉ et KONGO à Doundoulma Nabitenga I, Ouagadougou, en Côte d'Ivoire, France, aux Etats-Unis et au Canada ; M. Sibiri Philippe KONGO KABORÉ et ses enfants P. Tatiana en France, N. Ghislain Patrick à Ouagadougou, Z. Wilfried aux Etats-Unis, P. Larissa à Banfora ;

Sa Majesté Naaba Saaga de Méguet ; Les grandes familles KABORÉ, KAFANDO, SOUDRÉ et KORSAGA à Méguet, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso ;

Les familles alliées KI, KOUDOUGOU, YANOGO, KABORÉ, OUANGRAOUA et M'BAYE vous renouvellent leurs sincères remerciements pour les soutiens multiformes, les prières, la compassion et la solidarité que vous leur avez témoignés lors du rappel à Dieu de leur épouse, sœur, mère, tante, belle-sœur, belle-mère, grand-mère et arrière-grand-mère, Madame KABORÉ née KABORÉ Martine, Educatrice Sociale à la retraite, le vendredi 29 mars 2024 à Ouagadougou à l'âge de 77 ans.

Merci à vous, Merci à Dieu !
Union de prière


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Décès de SAWADOGO Germaine : Faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 10:30

Le Tiib-soba de Gaoua (KAYA),
Les grandes familles SAWADOGO, OUEDRAOGO à Kaya (Gaoua), Koumlakré, Tangasgo, Yaoghin, Ouagadougou, Abidjan, Lyon, Mulhouse ;
Les familles alliées SAWADOGO, OUEDRAOGO, NION, TRAORE, KAMBOU, DRABO à Kongoussi, Ouahigouya, Chicago, Philadelphie ;
M. Boukary SAWADOGO, ses frères et sœurs à Kaya ;
M. Basile SAWADOGO et frères et sœurs à Kaya, et à Ouagadougou ;
M. Yssouf SORE et frères à Ouagadougou et Kaya ;

Les enfants Servanne, Mireille Chantal, Roméo et frères et sœurs,
Les petits enfants Alexandra, Joel, Yohann, Abigael, Nael, Betshalel, Danielle et cousins,
ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur sœur, tante, mère, belle-mère, et grand-mère Madame SAWADOGO Germaine archiviste documentaliste à la retraite, décès survenu le 30 Avril 2024 au CHU de Bogodogo dans sa 71 ème année, de suite de maladie.
Par ailleurs, elles vous informent que les obsèques auront lieu selon le programme suivant :

2 Timothée 4 verset 7 : « J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. ».

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Le Congo de Denis Sassou-Nguesso observe de loin les bouleversements politiques en Afrique

LeMonde / Afrique - Thu, 02/05/2024 - 10:23
Le chef de l’Etat, 80 ans, a dirigé une première fois le pays sous le régime du parti unique, de 1979 à 1992, puis est revenu aux affaires après une guerre civile en 1997.
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Beni : les vendeurs des marchés de Kilokwa et Mayangose au travail le 1er mai

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 09:21


À Beni, dans la province du Nord-Kivu, la journée du 1er mai, bien que fériée, n'était pas synonyme de repos pour les vendeurs des marchés de Kilokwa et Mayangose. Alors que les bureaux et autres services publics étaient fermés et que les travailleurs se reposaient, ces vendeurs étaient dès le matin devant leurs étalages.

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