Le Premier ministre, Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a procédé à l'évaluation de la mise en œuvre des contrats d'objectifs des membres du gouvernement pour le premier semestre de l'année 2024. Parmi les ministres évalués le mercredi 7 août, Nandy Somé / Diallo, ministre de l'Action humanitaire et de la Solidarité nationale. D'après elle, son département enregistre un taux d'exécution des activités de plus de 62%.
Le Premier ministre, Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a procédé à l'évaluation de la mise en œuvre des contrats d'objectifs des membres du gouvernement pour le premier semestre de l'année 2024. Parmi les ministres évalués le mercredi 7 août, le commandant Ismaël Sombié, ministre de l'Agriculture, des Ressources animales et halieutiques. Son département, dit-il, enregistre un taux d'exécution des activités de 57,34%.
Le Premier ministre, Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a procédé à l'évaluation de la mise en œuvre des contrats d'objectifs des membres du gouvernement pour le premier semestre de l'année 2024. Le ministre de la Santé et de l'Hygiène publique, Robert Lucien Kargougou, figure parmi les ministres évalués le mercredi 7 août. Son département, dit-il, enregistre un taux de réalisation de 48% pour un taux repère de 50%.
Le Premier ministre, Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a procédé à l'évaluation de la mise en œuvre des contrats d'objectifs des membres du gouvernement pour le premier semestre de l'année 2024. Aboubacar Nacanabo, ministre de l'Economie et des Finances, figure parmi les ministres évalués le mercredi 7 août. Son département, dit-il, enregistre un taux de réalisation de 56%, pour une cible semestrielle de 50%.
BFVK N°2024-08-002/MOPSS/SNV
Le programme Mobilité Pastorale transfrontalière apaisée et Stabilité sociale au Sahel (MOPSS) est le fruit d'une construction entre l'Agence Suédoise de Coopération Internationale au Développement (ASDI) et le consortium composé de l'Organisation Néerlandaise de Développement (SNV), chef de file, le Réseau Billital Maroobé (RBM), l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS), le Réseau des Organisations Paysannes et des Producteurs de l'Afrique de l'Ouest (ROPPA), Hub Rural et CARE Danemark. La coopération suisse (DDC Bénin) et la coopération danoise (Danida) ont décidé d'accompagner le consortium à l'atteinte de ses résultats à travers des financements conjoints.
La mise en œuvre du programme a connu une première phase (MOPSS-1) de trois (3) ans qui a couvert la période de 2020 à 2022. Le MOPSS-2, deuxième phase allant de 2023 à 2026, ambitionne de renforcer les acquis du MOPSS-1, en apportant des réponses adaptées à la détérioration du contexte de crise multidimensionnelle (politique, sécuritaire, humanitaire) et aux nouveaux défis qui prévalent dans les zones de mise en œuvre du MOPSS-1 (Liptako Gourma, Kénédougou/SKBo, WAPO /BBGT).
Dans le cadre du MOPSS-2, il est prévu d'accompagner les acteurs du Ghana et de la Côte d'ivoire dans l'employabilité, les emplois et l'entrepreneuriat des jeunes hommes et femmes dans les chaines de valeurs des filières lait et bétail/viande, suivant l'approche YEE de SNV.
C'est dans ce contexte que les présents termes de référence ont été élaborés pour recruter un prestataire d'accompagnement des acteurs de la Côte d'Ivoire et du Ghana.
1- La consultation est ouverte à égalité de conditions à tout soumissionnaire en règle vis-à-vis de la législation et ayant une expérience et des compé-tences confirmées dans le domaine.
2- Les soumissionnaires intéressées par le présent avis de consultation doivent prendre connaissance des TDR en les téléchargeant à travers le lien sui-vant : la version anglaise https://urlz.fr/rB70 et la version française https://urlz.fr/rB79
Les soumissionnaires intéressé(e)s par la présente mission devront faire parve-nir par courriel leur offre à l'adresse électronique procurementbf@snv.org en gardant en copie hbationo@snv.org et syonli@snv.org au plus tard le 22 Août 2024 à 16 heures avec, selon le choix du lot, la mention suivante en objet du mail
– « ACCOMPAGNEMENT DES ACTEURS ET 20 JEUNES (HOMMES ET FEMMES) EN CÔTE D'IVOIRE, DANS LE CADRE DE L'APPUI DES JEUNES HOMMES ET FEMMES DANS LES EMPLOIS DES CHAINES DE VALEURS AGRO-PASTORALES_Lot 1 »
– « ACCOMPAGNEMENT DES ACTEURS ET 15 JEUNES (HOMMES ET FEMMES) DU GHANA, DANS LE CADRE DE L'APPUI DES JEUNES HOMMES ET FEMMES DANS LES EMPLOIS DES CHAINES DE VALEURS AGRO-PASTORALES_Lot 2 »
L’enquête dans le cadre de l’affaire de la mort de l’adolescent Nahel, tué par un policier le 27 juin 2023 à Nanterre, prend fin. Le […]
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La cour militaire de Kinshasa Gombe, siégeant en matière répressive au premier degré, à la prison de Ndolo a condamné, jeudi 8 août, Corneille Nangaa et consorts à la peine de mort.
Ce verdict est tombé après des plaidoiries de la partie civile et avocats de la défense.
Le ministre des Sports, de la jeunesse et de l'emploi, Boubakar Savadogo a affirmé que les travaux de réhabilitation du Stade du 4 Août ont été réalisés en fonction du rapport de la Confédération africaine de football (CAF) au mois de novembre 2023.
« Nous pensons avoir bien exécuté les travaux comme il se devait. Et nous attendons l'appréciation de la CAF pour nous dire s'il y a encore du travail à faire ou si toutes les normes édictées ont été respectées, afin de pouvoir procéder à l'ouverture du stade », a-t-il indiqué.
Il répondait aux questions de la presse à l'issue de son évaluation mi-parcours par le Premier ministre Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, ce jeudi 8 août 2024, à Ouagadougou.
Selon Boubakar Savadogo, le ministère des Sports, de la jeunesse et de l'emploi a atteint un taux de réalisation de 35%.
Lefaso.net
Une soirée qui aurait pu tourner au drame a été évitée de justesse au cœur du Jardin d’Essai d’El Hamma, véritable poumon vert d’Alger. Mercredi […]
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Dans le cadre de l'évaluation semestrielle des ministres par le chef du gouvernement, Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, le ministre de l'Éducation nationale, de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales, Jacques Sosthène Dingara, a annoncé ce jeudi 8 août 2024 à Ouagadougou, la réouverture d'environ 1300 écoles. Présentant son bilan pour le premier semestre de l'année, le ministre Sosthène Dingara a déclaré avoir réalisé un taux de réalisation de 65% de son contrat d'objectifs.
Malgré les défis sécuritaires que traverse le Burkina Faso, le ministre de l'Éducation nationale, de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales, Jacques Sosthène Dingara a annoncé la réouverture d'environ 1 300 écoles dans la période d'octobre 2023 à juin 2024.
« Rien que hier, nous avons reçu, de la région de la Boucle du Mouhoun, la demande de réouverture pour la rentrée prochaine d'environ 300 écoles. Nous avons foi que dans cette dynamique, bien d'autres écoles dans les zones à forts défis sécuritaires vont rouvrir d'ici la rentrée scolaire prochaine », a confié le ministre Dingara.
Concernant le Lycée Philippe Zinda Kaboré, le ministre a dit être toujours en réflexion sur la transformation et le devenir de cet établissement. La vision du gouvernement est selon lui, d'ériger aujourd'hui, des complexes scolaires comme ce sera le cas pour l'école de Bonheur ville qui va bientôt être inaugurée.
Lefaso.net
L'Académie nationale des sciences, des arts et des lettres du Burkina Faso (ANSAL-BF) à travers le collège sciences naturelles et agricoles a organisé une conférence publique. Elle porte sur la problématique de la gestion (utilisation et conservation) et de la protection du patrimoine national des ressources génétiques animale, aquatique, végétale, forestière et microbienne. La conférence a eu lieu ce jeudi 8 août 2024, à Ouagadougou.
Cette conférence vise à présenter l'état des lieux des actions existantes sur la thématique. Faire une analyse critique des structures actuelles en charge des ressources génétiques et faire des recommandations pour améliorer leur fonctionnalité. Faire un plaidoyer auprès des décideurs politiques afin que la problématique soit intégrée dans les politiques générales de souveraineté et de développement économique, social et culturel aux niveaux national et local. Et sensibiliser le public sur les valeurs des ressources génétiques et l'urgence de leur gestion (utilisation et conservation) et protection (patrimoine national) durables pour les générations présentes et futures dans un contexte de changements globaux.
Trois thèmes seront abordés au cours de cette rencontre. Le premier thème porte sur « le patrimoine national en ressources génétiques animale, faunique, aquatique, végétales, forestière et microbienne : enjeux, défis et opportunités pour sa gestion ». Un spécialiste fera une analyse des différents organes en charge de la gestion des ressources génétiques.
Le second thème porte sur « Situation des ressources génétiques animale, faunique, aquatique, végétale, forestière et microbienne : états des lieux ». Il y aura sept intervenants pour ce thème. Un spécialiste de chaque catégorie fera le point sur les ressources nationales, les problèmes liés à leur gestion, les risques et les menaces qui pèsent sur ces ressources génétiques.
Le troisième thème porte sur « Le Protocole de Nagoya sur l'accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation ». Pour ce thème, il s'agit de présenter les grands points de la convention et les implications pour les acteurs au Burkina Faso.
Dr Paco Sereme, président de L'ANSAL-BFL'ANSAL-BF se préoccupe des sujets d'intérêt général du pays. « Parmi ces sujets nous avons perçu la nécessité de mieux informer la population sur l'importance des ressources génétiques et surtout sur l'urgence de leur protection. Cette sensibilisation devrait permettre de mieux comprendre comment le Burkina et les différents acteurs sont organisés pour contribuer à cette protection et comment la population peut tirer profit de ces connaissances et surtout développer des propositions en vue d'amener le gouvernement à inscrire dans les dispositions constitutionnelles de notre pays la gestion des ressources naturelles qui est du domaine de la souveraineté à tous les plans », a indiqué le président de L'ANSAL-BF, Dr Paco Sérémé.
Le président de L'ANSAL-BF espère qu'à partir des discussions qui auront lieu des recommandations pertinentes seront faites et mises à la disposition du pouvoir public.
Aujourd'hui, au Burkina Faso, il y a beaucoup de défis à relever concernant les ressources génétiques. Car, il y a des difficultés à résoudre à différents niveaux.
« Les ressources génétiques sont sujets à beaucoup de problèmes d'abord dans la gestion des structures qui sont en charge de la gestion. Il y a des problèmes de chevauchement. Il y a des problèmes interinstitutionnels pour la gestion. Il y a également la méconnaissance des questions relatives à la propriété de ces ressources qui sont des ressources nationales par l'ensemble de la communauté et par certains des chercheurs de notre pays. Il y a aussi le problème d'insécurité que connaît notre pays qui menace également ces ressources génétiques. Le fait que nous introduisions des ressources génétiques extérieures remet en cause notre droit sur ces ressources génétiques. Donc aujourd'hui il y a de gros défis concernant ces ressources génétiques », a souligné Aboubacar Toguyeni, membre du collège sciences naturelles et agricoles.
Rama Diallo
Lefaso.net
Le Premier ministre, Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, poursuit l'évaluation de la mise en œuvre des contrats d'objectifs des membres du gouvernement pour le premier semestre de l'année 2024. Ce Jeudi 8 août, le ministre de l'environnement, de l'eau et de l'assainissement, Roger Baro, est le premier à se prêter à l'exercice. À l'heure du bilan à mi-parcours, le ministre a rapporté un taux de réalisation de 44,87%.
Au niveau du secteur de l'Eau, le ministre Roger Baro a souligné des progrès notables. Le ministère a permis à plus de 300 000 personnes, dont 20 000 personnes déplacées internes (PDI), d'accéder à l'eau potable, en particulier dans les zones d'accueil. Ces efforts témoignent de l'engagement du gouvernement à répondre aux besoins urgents en matière d'eau potable, malgré un contexte difficile.
Assainissement et mobilisation des ressources en eau
Pour la question de l'assainissement, le ministre a annoncé la construction de plus de 101 000 latrines, dont 14 000 dans les zones de départ et de retour des PDI. Cette initiative vise à améliorer les conditions de vie et à réduire les risques sanitaires, en particulier pour les populations les plus vulnérables.
Le ministère a également achevé la construction du barrage de Dawélgué, d'une capacité de 829 000 m³. Ce barrage est destiné à soutenir la mobilisation des ressources d'eau de surface, un élément clé de l'offensive agropastorale et halieutique du gouvernement. Le ministre Roger Baro a exprimé sa satisfaction quant à l'impact potentiel de cette infrastructure sur la sécurité alimentaire et le développement rural.
Le ministre Roger Baro pendant son évaluation avec le Premier ministre Apollinaire Joachimson Kyélèm de TambèlaSécurisation des massifs forestiers
Dans le cadre de la campagne nationale de reforestation 2024, couplée à la 6e Journée nationale de l'arbre, le ministère a introduit des innovations et des nouveaux concepts pour encourager le reboisement. Ces initiatives visent à mobiliser aussi bien les citoyens que les entreprises pour la cause environnementale. Les résultats de ces efforts seront présentés d'ici la fin de l'année, a précisé le ministre.
« Une réorganisation du dispositif d'intervention des eaux et forêts pour la protection des massifs forestiers et la reconquête du territoire a été faite. Cette réorganisation va être mise en œuvre au cours du second semestre pour sécuriser nos massifs forestiers et contribuer à la reconquête du territoire national », a confié Roger Baro.
Concernant l'amélioration de la qualité de l'environnement, le ministère a contribué à l'inspection de plus de 150 établissements classés, y compris des installations radiologiques. Le ministre Baro a rappelé qu'il est crucial de renforcer les dispositifs de contrôle pour garantir la sécurité environnementale, dans un contexte où le Burkina Faso envisage de se tourner vers l'énergie nucléaire. De plus, un suivi des plans de gestion environnementale et sociale a été effectué à 109 niveaux.
Avec un taux de réalisation de 44,87% à mi-parcours, le ministre Roger Baro reste optimiste quant à l'atteinte des objectifs fixés pour l'année 2024. Il a réitéré l'engagement de son ministère à intensifier les efforts pour améliorer l'accès à l'eau potable, renforcer l'assainissement, sécuriser les ressources naturelles, et préserver l'environnement pour le bien-être des populations burkinabè.
Hamed Nanéma
Lefaso.net
Crédit photos : Primature
Les travaux de lutte antiérosive lancés à Kananga par le Chef de l’Etat, ont été suspendus depuis le mois de mai 2024. Ils étaient exécutés dans le cadre du Projet d’urgence pour la résilience urbaine de Kananga (PURUK), financé à hauteur de 100 millions USD par la Banque mondiale, à travers le ministère de l’Urbanisme.