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La Mère

Le Monde Diplomatique - Sat, 18/02/2017 - 11:54

Publié en 1907, peu de temps après les grèves insurrectionnelles de 1905, « La Mère » raconte la prise de conscience politique d'une femme du peuple dont le fils, impliqué dans la rédaction de tracts et de journaux subversifs, a été arrêté.

— Vous avez un mari ?
— Il est mort… J'ai un fils…
— Où est-il ? Il vit avec vous ?
— Il est en prison ! répondit la mère.

Et elle sentit que dans son cœur une fierté paisible se mêlait à la tristesse dont ces paroles la remplissaient toujours.

— C'est déjà la seconde fois qu'on l'enferme, parce qu'il a compris la vérité divine et qu'il l'a ouvertement semée, sans se ménager !… Il est jeune, il est beau… il est intelligent ! C'est lui qui a eu l'idée de faire un journal ; c'est grâce à lui que Rybine s'est occupé de la distribution, quand même Rybine est deux fois plus âgé que lui !… On va bientôt juger mon fils pour tout cela… et après, quand il sera en Sibérie, il s'enfuira et reviendra se mettre à l'ouvrage… Il y en a déjà beaucoup de ces gens, leur nombre augmente sans cesse, et tous ils lutteront jusqu'à la mort pour la liberté, pour la vérité…

Oubliant toute prudence, mais sans pourtant citer des noms, elle raconta ce qu'elle savait du travail souterrain qui s'accomplissait pour libérer le peuple. En exposant ce sujet cher à son cœur, elle mettait dans ses paroles toute la force, tout l'excès de l'amour jailli si tard en elle sous les nombreux chocs de la vie.

Sa voix était égale ; elle trouvait maintenant les mots facilement, et, comme des perles multicolores et brillantes, elle les enfilait avec rapidité sur le fil solide du désir de purifier son cœur de la boue et du sang de la journée. Les paysans avaient pris racine à l'endroit où ses paroles les avaient trouvés, sans faire un mouvement, ils la regardaient gravement ; elle entendait la respiration haletante de la femme assise à côté d'elle ; et l'attention de ses auditeurs fortifiait sa croyance dans les choses qu'elle disait et promettait…

— Tous ceux que l'injustice et la misère accablent, le peuple tout entier, doivent aller au devant de ceux qui périssent pour eux en prison ou sur l'échafaud. Ils n'ont aucun intérêt personnel en jeu, ils expliquent où est la voie qui mène au bonheur pour tous, ils disent ouvertement que ce chemin est difficile ! Ils n'entraînent personne de force ; mais quand on se place dans leurs rangs, on ne les quitte plus, car on voit qu'ils ont raison, que ce chemin-là est le bon, qu'il n'y en a point d'autre…

Il était doux à la mère de réaliser enfin son désir : maintenant, elle parlait elle-même de la vérité aux gens !

— Le peuple peut marcher sans crainte avec des amis pareils ; ils ne se croiseront pas les bras avant que le peuple ait formé une seule âme, avant qu'il ait dit d'une seule voix : « Je suis le maître, je ferai moi-même des lois, les mêmes pour tous ! »

Fatiguée enfin, Pélaguée se tut. Elle avait la paisible certitude que ses paroles ne s'évanouiraient pas sans laisser des traces…

La Mère, traduit du russe par René Huntzbuchler, Les Éditeurs français réunis, Paris, 1952.

Confusion autour des futurs avions embarqués de la marine indienne

Zone militaire - Sat, 18/02/2017 - 11:46

Cette semaine, Éric Trappier, le Pdg de Dassault Aviation, a indiqué que le Rafale Marine serait proposé à la marine indienne dans le cadre de son programme Multi Role Carrier Borne Fighters (MRCBF), qui vise à acquérir 57 avions de combat multirôles embarqués. « Nous sommes les seuls à avoir proposé strictement le même avion pour […]

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Categories: Défense

Házi őrizetbe kerültek P. B.-ék

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Sat, 18/02/2017 - 11:38

Előzetes letartóztatásból házi őrizetbe került ifjabb és idősebb P. B. Az előzetes letartóztatásukat házi őrizetre váltó alapfokú rendelkezést megtámadta a székelyudvarhelyi ügyészség, de a Hargita megyei törvényszéken visszautasították a fellebbezést.
Kategória: Aktuális/Udvarhelyszék

"Mainz bleibt Mainz, wie es singt und lacht" / Besetzungsliste der Fernsehfastnacht am 24. Februar 2017, 20:15 Uhr im Ersten (FOTO)

Presseportal.de - Sat, 18/02/2017 - 11:32
SWR - Das Erste: Mainz (ots) - Mit viel Spannung erwartet wurde die Besetzungsliste der Fernsehfastnachtssendung "Mainz bleibt Mainz, wie es singt und lacht". Jetzt hat die Redaktion des in diesem Jahr federführenden SWR die Beteiligten bekanntgegeben, die am 24. ...

Les collaborateurs du CICR toujours otages en Afghanistan

Bruxelles2 - Sat, 18/02/2017 - 11:25

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(B2) Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a lancé un appel, aujourd’hui (samedi 18 février), pour que ses deux collaborateurs – enlevés le 8 février dernier lors d’une embuscade dans la province de Jowzan – « soient libérés sains et saufs et sans conditions ». Lors de cette attaque, six autres collaborateurs de l’organisation internationale avaient été tués.

Un appel à la libération et à éviter toute action intempestive

« Nous en appelons au sens de l’humanité des ravisseurs et demandons la libération immédiate et inconditionnelle de nos collègues », déclare Monica Zanarelli, la cheffe de la délégation du CICR en Afghanistan. « Nous leur demandons également de n’entreprendre aucune action susceptible de leur nuire, car nous tenons à éviter que cette tragédie ne prenne une tournure encore plus dramatique. » Concrètement, le CICR a demandé « aux autorités et aux groupes armés qui opèrent dans la région de tout mettre en œuvre » pour que ses deux collaborateurs soient libérés sains et saufs mais aussi « de renoncer à prendre quelque mesure que ce soit qui risquerait de mettre leur vie en danger ».

Le CICR, qui est présent en Afghanistan depuis une trentaine d’années, a décidé de « suspendre momentanément toutes ses activités en Afghanistan » tant que la sécurité de ses hommes et femmes ne sera pas assurée.

(NGV)

Categories: Défense

Propos de Macron sur la colonisation : le débat engagé est utile

Le Monde / Politique - Sat, 18/02/2017 - 11:04
Editorial. Si qualifier de « crime contre l’humanité » ce chapitre de notre histoire est maladroit, cela a permis d’engager la discussion sur une question sensible.
Categories: France

Timide progrès en matière de lutte contre les violences faites aux femmes

EU-Logos Blog - Sat, 18/02/2017 - 10:54

L’UE réitère son engagement dans la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique. Que ce soit pour demander une ratification plus étendue de la convention d’Istanbul (Convention du Conseil de l’Europe contre la violence à l’égard des femmes et contre la violence domestique) ou encore pour condamner les récentes mesures russes concernant la loi sur la dépénalisation de la violence domestique.

Une violence structurelle

Lors d’une conférence à La Valette le 3 février dernier, les représentants des institutions européennes ont adopté une déclaration qui demande un dialogue à la fois ouvert et constructif afin de dégager les causes et conséquences de la violence basée sur le genre (autrement dit, la violence touchant les femmes parce qu’elles sont des femmes). Dans le même mouvement, elle exhorte les États membres à s’attaquer à cette forme de discrimination et de violence, notamment, en ratifiant la convention d’Istanbul. Cette dernière, portée par le Conseil de l’Europe, a comme intérêts la prévention et la lutte contre la violence à l’égard de la femme ainsi que la violence domestique. À ce jour, le texte n’est ratifié que par la moitié des pays de l’Union européenne. Sont encore manquants ; la Bulgarie, la Croatie, la République tchèque, l’Estonie, la Grèce, Chypre, la Hongrie, l’Irlande, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, La Slovaquie, l’Allemagne et le Royaume-Uni.

La violence faite aux femmes se manifeste de plusieurs façons : il peut s’agir de harcèlement, de harcèlement sexuel, de violence physique, psychologique et sexuelle, de mariage forcé, de mutilation génitale mais aussi d’avortement forcé ou entravé (notons que dans ces deux derniers cas, ce sont des formes de violence exclusivement destinées à l’encontre du genre féminin). Ces actes de violence cruels et dégradants sont, dans la grande majorité des cas, perpétrés par des hommes ou selon la tradition patriarcale. Bien que les formes soient différentes, cette violence est fondamentalement d’ordre structurel. Elle est utilisée pour asseoir la domination masculine, pour maintenir le contrôle et le pouvoir des hommes sur les femmes. Ce que dénonce précisément la convention d’Istanbul. Cette dernière, mue par le Conseil de l’Europe, invite les États à lutter en adoptant des mesures de prévention, de protection, mais aussi de sanction.

La convention d’Istanbul ou le premier traité contre la violence à l’égard des femmes

D’un point de vue historique, le rôle moteur du Conseil de l’Europe est indéniable. Cette organisation, déjà très importante au point de vue de la protection des Droits de l’Homme en Europe, se penche dès 1990 sur la question des violences faites à l’encontre des femmes. À coup d’études et d’enquêtes, cette organisation a permis de dessiner les contours de ce fléau en Europe et de montrer à quel point sa gestion nationale varie selon les pays. Face à cela, une harmonisation des normes juridiques s’avère nécessaire afin d’assurer aux victimes la même protection partout en Europe. En proposant cette convention dite d’Istanbul, le Conseil de l’Europe atteste de sa volonté politique d’agir en fixant des normes globales pour prévenir et combattre cette violence. Adoptée par le Conseil des Ministres du Conseil de l’Europe le 7 avril 2011 et ouverte à la signature le 11 mai 2011, la convention est entrée en vigueur le 1er août 2014 après avoir été ratifiée par dix pays (dont 8 États membres). Elle est un instrument juridiquement contraignant qui œuvre à la prévention, à la protection et aux poursuites de ceux qui se rendent coupables de ce type de violences.

Afin d’instaurer une meilleure prévention, les États-parties sont tenus d’appliquer les mesures préconisées dans le texte. Celles-ci renvoient à la formation des professionnels en contact avec les victimes, à l’organisation de campagnes de sensibilisation, mais aussi à l’importance d’inclure dans le matériel pédagogique la notion d’égalité des sexes. Un travail toujours plus étroit avec les ONG’s déjà en place doit être effectué ainsi qu’une conscientisation des médias et du secteur privé pour éliminer les stéréotypes de genre et promouvoir le respect mutuel. Dans un élan inclusif, la convention invite l’ensemble des citoyens et plus particulièrement les hommes, à éradiquer la misogynie persistante (présente dans certaines pratiques traditionnelles dangereuses et dans la discrimination tenace en fonction du genre). Une réelle égalité des sexes doit être envisagée pour comprendre et dépasser cette forme de violence fondée sur le genre. La mise en place d’une politique d’égalité entre les hommes et les femmes est nécessaire pour favoriser l’autonomisation des femmes. La protection et l’aide font également partie des améliorations qu’apporte la convention. Cette dernière garantit une protection aux victimes et aux témoins par la mise en place coordonnée d’interventions policières, de services d’aide spécialisés (tels que les refuges ou l’assistance téléphonique). Cette aide doit assurer un accès clair et pertinent aux informations et outils, notamment juridiques, qui sont à disposition des victimes. Concernant les sanctions définies et mises en place par le texte, les États-parties devront reconnaître et introduire de nouvelles infractions dans les ordres juridiques nationaux (harcèlement, mariage forcé, mutilations génitales féminines). Ils devront également s’assurer que la tradition, la culture ou encore « l’honneur » ne puissent pas être entendus comme étant des justificatifs légitimes de ces comportements. Poursuivre les auteurs de ces violences devient alors possible. Plutôt qu’une instance unique, la mise en place de politiques globales et intégrées réunissant ONG, organismes publics, parlements et pouvoirs nationaux, régionaux et locaux ainsi que la totalité des citoyens, doit être privilégiée. La convention s’attaque aux stéréotypes de genre qui touchent toutes les strates de la société et qui n’ont pas que les femmes pour cible ; les garçons et les hommes, mais aussi les membres de la communauté LGTB et les transgenres souffrent de cette discrimination.

Vers une protection des femmes réfugiées ?

Le texte de la convention consacre une part importante aux traitements des mutilations génitales féminines (MGF). Cette pratique existe partout dans le monde, y compris en Europe. En ratifiant la convention, les États-parties se voient contraints d’adopter des mesures préventives en vue de soutenir les femmes et les filles victimes (ou victimes potentielles) de ces mutilations. Une amélioration des procédures qui détermine le statut de réfugié pour les demandeuses d’asile doit aussi être envisagée. Le texte réclame l’adoption de mesures législatives afin de s’assurer que la violence fondée sur le genre puisse être reconnue comme un motif valable de demande d’asile. Il faut réexaminer le statut de réfugié par le prisme d’une interprétation sensible au genre.
La convention crée l’obligation de protéger les femmes indépendamment de leur lieu de résidence ou de leur statut. En respectant ce principe de non-refoulement, les États-parties garantissent à celles qui en ont besoin la certitude de ne pas être expulsées vers un pays où leur vie est en danger. La convention veut intégrer les mutilations génitales féminines comme étant un péril qui nécessite une telle protection.

Au même moment, la Russie dépénalise les violences domestiques

À l’origine du texte, on retrouve des députés conservateurs voulant lutter contre « la destruction de la famille ». Ce projet de loi a comme objectif d’alléger les peines en cas de violence au sein du cercle familial. Il est question de transformer les sanctions punissant les actes de violence n’entraînant pas d’hospitalisation ; soit de passer d’un délit pénal passible de 2 ans d’emprisonnement à une infraction administrative (sauf en cas de violence grave ou de récidive). Rappelons qu’en Russie, 10 000 femmes meurent chaque année sous les coups de leur conjoint. Avec cette nouvelle loi, promulguée le 7 février 2017 par Vladimir Poutine, l’arsenal judiciaire mis à disposition des victimes est considérablement réduit. Cela dit, l’État russe espère pouvoir préserver les valeurs traditionnelles familiales.
Par voie de communiqué, l’Union européenne condamne cette nouvelle loi comme représentant un « net recul » dans l’engagement à lutter contre la violence à l’égard des femmes. En plus de fragiliser les efforts déployés à l’échelle mondiale pour combattre cette violence, elle en nie la gravité et la spécificité propre. La Russie fait partie des quatre états membres sur les quarante-sept du Conseil de l’Europe à n’avoir ni ratifié ni signé la convention d’Istanbul. Cette convention criminalise explicitement tout acte de violence sexuelle ou psychologique au sein de la famille et entre conjoints ou partenaires actuels ou passés.

Assurer un suivi

Pour s’avérer efficaces, la convention et les nouvelles obligations qu’elle impose (réformer les lois, établir des mesures pratiques coordonnées, dégager des ressources pour une meilleure prévention) devront faire l’objet d’une surveillance et d’une évaluation officielle. Si la convention d’Istanbul est le premier traité consacré à la violence faite à l’encontre des femmes et la violence domestique, il est opportun de garder à l’esprit que le texte, adopté en 2011 et ratifié en 2014, ne l’est que par à peine la moitié des États membres. Parmi les abonnés absents, l’Allemagne et le Luxembourg, deux des six pays fondateurs de l’Union européenne l’ont seulement signée. Alors qu’en 2015, pourtant en plein contexte d’élection présidentielle, le président polonais Bronislaw Komorowski passe outre les revendications de la droite conservatrice et de l’Église catholique et permet à la Pologne de ratifier le document. Il déclare à la presse l’importance de « prendre le parti des victimes abusées, des faibles » plutôt que « faire des calculs électoraux ».
Il est utile de rappeler qu’actuellement, aucun pays au monde n’a pu mettre en place une égalité de jure et de facto entre les hommes et les femmes. Selon cette perspective, on peut envisager la convention d’Istanbul comme étant une première pierre à l’édifice européen pour la parité, mais surtout ne pas perdre de vue le travail qu’il reste à réaliser pour enfin y parvenir.

Sophie Mincke

Principales sources d’information/Pour aller plus loin :

Convention d’Istanbul https://rm.coe.int/CoERMPublicCommonSearchServices/DisplayDCTMContent?documentId=0900001680462533

Assemblée parlementaire : réseau parlementaire pour le droit des femmes de vivre sans violence

http://website-pace.net/fr/web/apce/women-free-from-violence

Dépliant du réseau parlementaire pour le droit des femmes de vivre sans violence

http://website-pace.net/documents/19879/730532/DepliantWomenFreeFromViolence-BIL.pdf/c99972f4-74a9-43e5-9691-d0d36434b1e7

le monde : articles sur la dépénalisation de la violence contre les femmes (Russie)

http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/01/26/contre-les-valeurs-occidentales-la-russie-depenalise-les-violences-domestiques_5069197_3214.html

http://www.lemonde.fr/international/article/2017/02/07/russie-la-loi-sur-la-depenalisation-des-violences-domestiques-promulguee-par-vladimir-poutine_5076164_3210.html

la déclaration du porte-parole de la Commission

https://eeas.europa.eu/delegations/council-europe/20567/node/20567_fr 

Conseil de l’Europe : Russie, salle de presse

http://www.coe.int/fr/web/istanbul-convention/-/russia-decriminalising-domestic-violence-would-be-a-clear-sign-of-regression-says-secretary-general-jagland

Conférence : femmes réfugiées et convention d’Istanbul

http://website-pace.net/documents/19879/1646080/20130123_RefugeeWomenIstanbulConvention_F.pdf/55a3591f-0304-46ae-a0f0-c9f747d11066


Classé dans:Conditions d'accueil des migrants et réfugiés, DROITS FONDAMENTAUX, Egalité entre hommes et femmes, Non-discrimination Tagged: Conseil de l'Europe, convention d'Istanbul, dépénalisation, Femmes réfugiées, MGF, politique européenne, Russie, UE, Violence à l'égard des femmes, violence domestique
Categories: Union européenne

M. Trump envisage une « grosse commande » d’avions F/A-18 XT

Zone militaire - Sat, 18/02/2017 - 10:47

Pendant la période de transition ayant précédé son entrée à la Maison Blanche, Donald Trump s’en était pris au programme d’avion de combat dit de 5e génération F-35 Lightning II en critiquant ses coûts beaucoup trop élevés, allant jusqu’à les estimer « hors de contrôle ». Et il avait demandé à Boeing de soumettre une alternative, basée […]

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Categories: Défense

Lutter contre la fraude et le crime, la police de Niamey formée

Bruxelles2 - Sat, 18/02/2017 - 10:00

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Le directeur de la Police technique et scientifique de Niamey de montre sa nouvelle carte (Crédit: Eucap Sahel Niger)

(B2) La police nigérienne a récemment été victime d’un faussaire. L’individu, aujourd’hui en prison, faisait des copies des cartes professionnelles des officiers de police et les utilisait pour s’infiltrer dans les commissariats. Pour y faire face, c’est vers la mission de l’UE de soutien aux capacités de sécurité au Niger, EUCAP Sahel Niger, que les autorités nigériennes se sont tournées.

Livraison d’une nouvelle imprimante

Jusqu’à maintenant la carte de police des officiers nigériens ne comportait, en effet, aucune sécurité particulière. Cette carte pouvait être contrefaite à l’aide d’une simple machine à badge. EUCAP Sahel Niger a donc fourni une nouvelle imprimante aux autorités de Niamey et formé l’unité chargée de son utilisation. Les cartes des policiers nigériens sont maintenant recouvertes recto/verso d’un lamina holographique personnalisé infalsifiable. « L’hologramme a été dessiné par nos soins et seuls les services de police nigériens peuvent se le procurer auprès du distributeur » explique Moustapha Tahirou, directeur de la Police technique et scientifique de Niamey.

Modernisation de la Police technique et scientifique

Plus généralement, les Européens ont accompagné la police technique et scientifique (PTS) dans sa réorganisation, afin de la moderniser. Elle est désormais composée de quatre divisions : la division des laboratoires de police scientifique, la division de l’informatique et des traces technologiques, la division de l’identification et la division de la formation technique. Au bilan. « en 2016, nous avons été requis dans le cadre de 97 affaires, contre 55 en 2015, soit une progression de 57 %. La division de l’identification a enregistré une augmentation de 20% des constatations. On constate également une augmentation de 14% des individus signalisés. »

Création d’un centre d’excellence pour l’Afrique de l’ouest? 

Les Nigériens veulent maintenant aller plus loin. « Nous souhaitons capitaliser nos acquis et explorer de nouveaux domaines. La criminalité évolue sans cesse et nous avons besoin de nous adapter. Nous envisageons de faire de notre laboratoire PTS un centre d’excellence pour l’Afrique de l’ouest. Mais pour y parvenir, notre volonté ne suffira pas, nous manquons cruellement de moyens » souligne le directeur  de la PTS. L’appui d’EUCAP Sahel Niger est « indispensable ».

(Leonor Hubaut)

Categories: Défense

Rheinische Post: Hasselfeldt attackiert SPD im Streit um Managergehälter

Presseportal.de - Sat, 18/02/2017 - 10:00
Rheinische Post: Düsseldorf (ots) - Die Union hat im Streit über die Begrenzung von Managergehältern ihre Kritik an der SPD verschärft. "Bevor sich die SPD zum großen Kritiker der Managergehälter aufschwingt, sollte sie sich an die eigene Nase fassen", sagte ...

Sudanese radical preacher accuses female journalist of apostasy

Sudan Tribune - Sat, 18/02/2017 - 09:28

February 17, 2017 (KHARTOUM) - A Sudanese radical Islamic preacher Mohamed Ali al-Gazouli, Friday, has accused a Sudanese female journalist of apostasy, which is punishable by death in Sudan, and called on worshipers to protect their religion.

Shamael al-Nur

Al-Gazouli who is known for his support to Jihadist groups, in his Friday sermon slammed Shamael al-Nur, a journalist and columnist at the independent Al-Tayyar newspaper for writing an article saying that Islamic regimes are more preoccupied with virtue, female clothing, appearance and behaviour issues than health and education issues.

"It is easy to drop spending on health in the state budget, but it remains very difficult to (grant) the Ministry of Health the right to distribute condoms," she wrote on 2 February, denouncing the "virtue's obsession" of Islamic groups.

In his sermon of Friday prayer at a mosque in the Khartoum suburb of Al-Jarif West, the preacher pledged to mobilise religious scholars against al-Nur and the "seculars", adding that his action will be through the media and the judiciary.

"Get up to protect your religion. Get angry for your law and your Lord," he called before to wonder, "How can a girl dare to write about condoms?". He further vowed to file a legal complaint to see whether the court will consider what she wrote is "an apostasy or not".

Al-Gizouli had already published an article against the journalist on Thursday in Al-Siha newspaper of al-Tayeb Mustafa, the uncle of President Omer al-Bashir and head of the Just Peace Forum (JPF).

Mustafa himself was the first person to write against the female journalist and called to prevent the journalist and "her likes of worms" from corrupting the virtues of the country.

Al-Nur, filed a complaint against Mustafa and accused him of inciting radical and extremists groups against her. Also, Al Tayyar newspaper has officially requested the police authorities to protect the female journalist.

"The matter now should be dealt with under the Terrorism Act. We have officially sent a letter to the police to clarify the magnitude of the threat against the newspaper and Shamael," wrote Osman Mirghani, the publisher and chief editor of Al-Tayyar.

He further warned that the competent authorities should bear their responsibilities on this respect.

(ST)

Categories: Africa

Rheinische Post: NRW-CDU will neues Internet-Ministerium schaffen

Presseportal.de - Sat, 18/02/2017 - 09:25
Rheinische Post: Düsseldorf (ots) - Die NRW-CDU will im Fall ihrer Regierungsbeteiligung nach der Landtagswahl im Mai ein eigenes Ministerium zur Verbesserung der Digitalisierung in NRW gründen. "Wir setzen uns für ein eigenes Ministerium für Digitale Entwicklung ...

Beyrouth, étape très prisée des candidats en campagne

Le Monde / Politique - Sat, 18/02/2017 - 09:23
Après Emmanuel Macron fin janvier, Marine Le Pen se rend au Liban dimanche. Un passage obligé pour aborder la crise syrienne et enrichir son carnet d’adresses.
Categories: France

Rock thrown at Donald Trump's motorcade in Florida

News.Az - Sat, 18/02/2017 - 09:00
Protestors had gathered at an intersection in West Palm Beach when the objects were thrown.
Categories: Russia & CIS

California hit by `bombogenesis`, biggest storm in years

News.Az - Sat, 18/02/2017 - 08:55
One of the strongest storms possibly in decades - dubbed a "bombogenesis" - is set to drench California this weekend, prompting fears of flash floods.
Categories: Russia & CIS

Fogorvosi ügyelet Csíkszeredában

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Sat, 18/02/2017 - 08:36

A Hargita Megyei Fogorvosi Kamara értesítése szerint február 18-án, szombaton és 19-én, vasárnap Orbán Tímea fogorvos látja el a fogászati sürgősségi ügyeletet Csíkszeredában.
Kategória: Aktuális/Csíkszék

Gambia Rejoins ICC

HRW / Africa - Sat, 18/02/2017 - 08:29

Gambia’s announcement this week that it would rejoin the International Criminal Court sends a strong message of support for the court and victims of grave international crimes. Along with Burundi – and its soaring human rights violations in the past year – South Africa is now the outlier on ICC exit.

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The Permanent Premises of the International Criminal Court in The Hague, Netherlands. 

© 2016 UN Photo/Rick Bajornas

Gambia’s decision to rejoin the ICC reflects shifting priorities under newly elected President Adama Barrow, who will be inaugurated tomorrow. The departure of his predecessor, Yahya Jammeh, who left for exile on January 21 after initially refusing to accept his December election defeat, ended two decades of repressive rule.

Gambia’s decision – along with numerous expressions of support from African ICC members since South Africa first announced its withdrawal in October – belie rhetoric that Africa is headed for a mass departure from the ICC.

Botswana, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Democratic Republic of Congo, Ghana, Lesotho, Mali, Malawi, Nigeria, Senegal, Sierra Leone, Tanzania, Tunisia, and Zambia are among those that have reaffirmed their support for the ICC. A number of these countries, joined by Liberia and Cape Verde, also pushed back against adoption of a so-called “ICC withdrawal strategy” at the African Union summit in January.

Gambia’s decision reflects the new government’s recognition of the important role that the court plays. The ICC is the only permanent court that has the potential to offer redress to victims of the worst crimes when national courts are unable or unwilling to prosecute.

Despite persistent claims by some African leaders that the ICC targets Africa, most ICC investigations in the continent have been opened as a result of requests from African governments themselves, or the United Nations Security Council, and offer redress for African victims.

The ICC faces steep challenges, particularly expanding its reach to crimes committed in a number of the most powerful countries. But the court still represents a rare hope for victims around the world at a time when horrific crimes continue to be perpetrated with impunity in many countries.

After years of playing a leading role on the court, South Africa opted to curtail access to the ICC for victims, instead of working to expand the ICC’s reach. This is real loss – as the Nigerian foreign minister said around the AU summit, the ICC has “an important role to play in holding leaders accountable.”

Categories: Africa

Central African Republic: Executions by Rebel Group

HRW / Africa - Sat, 18/02/2017 - 08:29

In December 2016, a rebel group in the Central African Republic executed at least 32 civilians and captured fighters after clashes with another rebel group in the Ouaka province. In the town of Bakala, rebels from the Union for Peace in the Central African Republic (l'Union pour la Paix en Centrafrique, UPC) on December 12 executed 25 people after calling them to a school for an alleged meeting. Earlier that day, UPC fighters executed seven men who were returning from a nearby gold mine. At least 29 other civilians have been killed in fighting around Bakala since late November. 

Categories: Africa

Sportversenyek a KFOR kontingensnél

Honvédelem.hu / Balkán - Sat, 18/02/2017 - 08:29
Több sportversenyen is részt vettek az elmúlt napokban a Koszovóban szolgáló MH KFOR Kontingens 15. váltásának katonái.
Categories: Nyugat-Balkán

Megkezdte a munkáját a huszadik váltás

Honvédelem.hu / Balkán - Sat, 18/02/2017 - 08:29
Ünnepi állománygyűlést rendeztek a napokban a szarajevói Butmir-táborban az MH EUFOR Kontingens 19. váltásának katonái részére. A rendezvényen Négyesi József, Magyarország bosznia-hercegovinai nagykövete megköszönte a kontingens elmúlt hat hónapban végzett munkáját.
Categories: Nyugat-Balkán

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