Le 17 janvier, New Delhi a émis une demande d’informations (RFI) dans le cadre d’un programme Multi Role Carrier Borne Fighters (MRCBF), lequel vise à doter l’aéronavale indienne de 57 avions de combat multirôles embarqués. Cette procédure fait suite à la décision de la marine indienne d’annuler le projet de développer une version navale du […]
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Le 25 Janvier, le nouveau Président des États-Unis, Donald Trump, a signé un ordre exécutif pour la construction d’un mur sur la frontière avec le Mexique, respectant ainsi la promesse faite pendant sa campagne. Le document prévoit également la mise en place de plusieurs zones de détention tout au long de la frontière. Un second décret prévoit l’arrêt de la politique d’Obama sur le financement des villes à la frontière qui protégeaient les migrants entrés illégalement, ainsi qu’une politique plus sévère concernant les rapatriements.
Dans une interview pour ABC, M. Trump a déclaré que la construction du mur avec le Mexique allait commencer « dès que possible, dans quelques mois », alors que le début de la planification doit débuter « immédiatement ». Trump a également expliqué que les coûts de la construction du mur incomberont aux Américains, qui seront ensuite entièrement remboursés par l’Etat mexicain, qui devrait donc in fine régler la facture – selon M. Trump.
La réponse du Mexique ne s’est pas fait attendre : le Président Enrique Pena Nieto a immédiatement annulé son voyage à Washington, prévu pour le 31 Janvier, informant que le Mexique n’avait pas l’intention de soutenir ce projet et encore moins de le payer. Donc, au cours des dernières heures, le Président des États-Unis a trouvé une autre façon de reporter sur les Mexicains les coûts de la construction du mur.
Tout d’abord, Donald Trump a demandé la démission de Mark Morgan, chef de la police des frontières: il a ainsi dû quitter son poste dès que le Président des États-Unis a ordonné la construction du mur. En deuxième lieu, une nouvelle d’une taxe de 20% sur les importations en provenance du Mexique a été présentée: pour couvrir les coûts de construction du mur, M. Trump a en effet proposé une taxe sur les importations en provenance du Mexique, taxe que le porte-parole de la Maison blanche, Sean Spicer, a confirmée : 10 milliards de dollars par an sont espérés, et dans ce cas cet argent semble pourrait suffire à financer ce fameux mur.
Le Mexique conçoit ce mur (long de 2.000 miles selon les projections de M. Trump) comme un affront symbolique, et dans le cadre de l’ensemble des politiques annoncées par Trump, des pertes économiques graves sont attendues, en parallèle d’autres mesures républicaines, dont une répression envers les immigrés entrés illégalement aux États-Unis, et la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain, l’ALENA (Etats-Unis, Canada et Mexique).
Chaque jour, des marchandises d’une valeur de 1,4 milliard de dollars traversent la frontière des deux pays, et des millions d’emplois sont liés au commerce transfrontaliers. Le Mexique est le deuxième client mondial des Etats-Unis en ce qui concerne les produits fabriqués en Amérique, et 80% des exportations mexicaines (voitures, téléviseurs à écran plat) sont vendues aux États-Unis. La construction de ce mur pourrait par conséquent amener à des pertes importantes pour les deux pays.
En savoir Plus :
Site du Washington Post, White House says Mexico border wall might be funded by tax on imports : https://www.washingtonpost.com/world/the_americas/mexican-president-cancels-visit-to-washington-as-tensions-with-trump-administration-intensify/2017/01/26/ececc3da-e3d9-11e6-a419-eefe8eff0835_story.html?utm_term=.2bb1aeebeeea
Site de Le Monde, L’intransigeance de Trump sur le mur précipite une crise avec le Mexique : www.lemonde.fr/donald-trump/article/2017/01/27/l-intransigeance-de-trump-sur-le-mur-precipite-une-crise-avec-le-mexique_5069868_4853715.html
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(B2) « Cher Donald, l’UE a de l’avenir » c’est le plaidoyer vibrant du ministre néerlandais des Affaires étrangères, Bert Koenders, dans les colonnes du quotidien populaire néerlandais AD. Le ministre voit une occasion à l’arrivée du milliardaire américain à la Maison blanche de retrousser ses manches et il appelle à réformer l’Union européenne de façon « radicale ».
Faire du remue-méninges
Bert ne ménage pas sa peine pour appeler au remue-méninges. Il ne mâche pas ses mots enjoignant la Commission européenne « à sortir de sa bulle ». Et ses agents aux « hauts salaires et indemnités » à se rappeler qu’ils sont « au service » de tous. Dénonçant au passage les déplacements mensuels du Parlement à Strasbourg, il met surtout le doigt sur le manque de sérieux des États membres, dans l’application des règles européennes, voire le manque flagrant de solidarité de certains. « Qui ne veut pas partager le fardeau, n’a pas droit aux prestations » lance-t-il visant nommément la Pologne et la Hongrie, qui refusent d’accueillir des réfugiés.
S’éloigner de l’Europe, c’est comme traverser un océan et jeter les rames
Mais il lance aussi un vigoureux plaidoyer pour l’Europe estimant que personne ne peut aujourd’hui se mesurer seul aux défis du monde. « Nous ne pouvons pas négocier en propre avec la Turquie. Et Poutine n’est pas vraiment impressionné par un doigt levé des Pays-Bas. » S’éloigner de l’Europe est un leurre, estime-t-il. C’est « comme essayer de traverser un océan dans un bateau à rames …. et de jeter les rames. Les grandes décisions seraient prises sans nous. Nous serions souverains, mais à la dérive. »
Il finit par un appel en faveur de l’Europe : « Comment l’Europe doit changer pour vous ? A quoi l’Europe de 2047 va ressembler ? J’attends vos idées » Chiche !
(NGV)
A new EDA project aimed at understanding the different forces influencing innovation has just been launched. This initiative represents a first try to identify ways and means by which innovation activities could be more systematically managed in order to create additional value for the Agency and its stakeholders.
Fostering innovation is key in strengthening Europe’s defence capabilities as it has been clearly stated in the new EU Global Strategy (EUGS) and its implementation plan as well as in the European Commission’s European Defence Action Plan which emphasises the multidimensional role of innovation in defence.
In this context, innovation can be perceived as the creation and application of new products, services and processes. This includes the creation of a new technology, product, process or service, as well as the application of existing technology to a different problem or domain.
By introducing innovative technologies developed in other domains, both the initial investment risk and the time from ideation to military capability are minimized. Nevertheless, innovation is not only focused on the creation of new concepts. It also focuses on the value that the new concept will create for end-users. In this regard, innovation in the defence sector should aim at enhancing military capability.
The new project takes the form of two studies to be carried out by RAND Europe and Indra Systemas S.A respectively and dealing with different aspects of innovation. The project’s objectives are the following:
The kick-off meetings of both studies, which took place on 16th and 20th of January respectively, set the ground for a very promising project. The working teams have already discussed in depth the transformation of the objectives into tangible outcomes for the Member States in support to the European efforts of fostering innovation in defence.
The envisaged outputs will help EDA to provide better support to the innovation activities of Member States as well as those innovation actions foreseen under the Preparatory Action for Defence Research and the future European Defence Research Programme.
The kick-off meeting was attended by EDA and staff from the aforementioned contractors. The project is led by Dr. Panagiotis Kikiras Head of Unit Innovative Research.