You are here

Défense

Poutine: de victoire en catastrophe

C'est pas secret... Blog - Thu, 01/10/2015 - 10:32
Selon l’analyste politique Andreï Piontkovski, après sa visite aux États-Unis, son discours à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies et sa rencontre avec Obama, le triomphe de Poutine est à court terme. Sur le plan stratégique, il a essuyé un échec, non seulement en Ukraine, mais aussi au Moyen-Orient où l’intensification des combats pourrait dégénérer en catastrophes à grande échelle. L’« élite » russe a applaudi les percées momentanées du Chef. Mais elle pourrait être rapidement déçue par cette « victoire ».

Traduit par Elisa Espouy.
Categories: Défense

Mercredi 30 septembre 2015

Méditerranée orientale / Exercice : la Russie a lancé des exercices navals en Méditerranée orientale, entre Chypre et les côtes syriennes, sur le modèle de ceux qu'elle avait réalisés entre le 8 et le 17 septembre dernier. Ces exercices doivent durer...
Categories: Défense

Mistral : une facture de «200 à 250 millions pour l'Etat», selon les sénateurs (Actualisé)

Blog Secret Défense - Tue, 29/09/2015 - 18:23
Le manque à gagner pour DCNS serait de 150 millions, évalue également la commission des finances du Sénat
Categories: Défense

Mardi 29 septembre 2015

Complexe lance-missiles Bastion : le ministre de la Défense Sergeï Shoïgu a annoncé que d'ici la fin de l'année, la flotte recevra 5 batteries côtières lance-missiles Bastion qui seront déployées au sein des flottes du Nord et du Pacifique. En 2016, 5...
Categories: Défense

Des théories françaises reprises par les stratèges de Daesh

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Tue, 29/09/2015 - 06:26
Du hezbollah libanais à Daesh, les praticiens des guerres "hybrides" ont apparemment retenu les leçons... du stratège français Guy Brossolet ! Interview.
Categories: Défense

La Syrie, chemin de croix de la diplomatie française

Blog Secret Défense - Mon, 28/09/2015 - 13:06
Alors que la Russie joue très habilement ses cartes, François Hollande a dû rompre avec la politique incarnée par Laurent Fabius
Categories: Défense

Syrie : la Russie se remet au centre du jeu

Blog Secret Défense - Mon, 28/09/2015 - 13:02
Une analyse vidéo pour l'Opinion
Categories: Défense

Lundi 28 septembre 2015

Aéronavale / flotte du Pacifique : les avions de patrouille maritime et de lutte ASM modernisés Il-38N livrés à la flotte du Pacifique la semaine dernière ont été déployés sur les bases aériennes de Elizovo (Petropavlovsk Kamtchatsky) et Nikolaievka (kraï...
Categories: Défense

SNSM 56: 377 personnes secourues en 2014

MeretMarine.com - Mon, 28/09/2015 - 03:31

Les 260 bénévoles de la SNSM répartis dans les neuf stations morbihannaises ont porté secours à 377 personnes en 2014. Le nombre d'interventions s'élève à 310 pour la période allant de septembre 2014 à septembre 2015. L'assistance aux biens (payante) comme le secours à personne (gratuite) restent stables. Même si cette année, on déplore « des noyades survenus plus brutalement et plus tôt dans la saison ». Les nageurs-sauveteurs de la SNSM ont assuré la surveillance de 65 % des plages surveillées du département (contre 40 % au niveau national).

Categories: Défense

Syrie : quels étaient les objectifs des frappes françaises ?

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Sun, 27/09/2015 - 19:06
François Hollande a lui-même donné quelques éléments d'information sur le raid contre la Syrie devant l'ONU. Mais son bilan demeure inconnu.
Categories: Défense

Les théâtres dans les États du pape.

C'est pas secret... Blog - Sun, 27/09/2015 - 17:36
Dès les années 1585-1590, Sixte Quint avait promulgué un premier décret visant à empêcher les femmes de jouer au théâtre, l'opéra n'existait pas encore. Cette mesure ne dura pas et n'eut pas de conséquences pendant les quelques décennies suivantes. La naissance de l'opéra, puis son succès rapide et croissant au cours du XVIIème siècle commença à attiser les conflits entre public, artistes et papauté.[...] La situation parvint à se maintenir jusqu'à Clément IX (1667-1669), fort bien disposé envers la musique puisqu'il était lui-même l'auteur d'opéras [...]. Le pape n'y faisait cependant aucune concession aux femmes ; tous les rôles féminins étaient interprétés par des castrats, accompagnés de quelques ténors et basses.[...]

Clément X se montra encore plus libéral puisqu'il laissa très volontiers les femmes remonter sur les scènes ; celles-ci obtinrent de francs succès pendant les saisons d'opéra 1669-1676, en particulier au théâtre Tor di Nona. Leur popularité, mais aussi leur frivolité et les scènes de débordement collectif qu'elles occasionnaient ne firent qu'exaspérer le successeur de Clément X, le fameux pape "Minga", Innocent XI, déjà mal disposé par nature envers la gent féminine. A son accès au trône, les décrets allèrent bon train : il interdit catégoriquement aux femmes de monter sur scène, prohiba les spectacles publics payants et fit même tout son possible pour empêcher les spectacles privés gratuits, menaçant les castrats qui y participaient de se voir interdits dans les églises de la Ville Éternelle. Les Romains, qui n'étaient pas des gens à s'en laisser compter, surtout dans le domaine des divertissements, contournèrent très vite le véto papal en faisant venir des castrats de l'extérieur des États Pontificaux, qui n'avaient cure des interdictions du pape, et en imaginant des subterfuges pour donner une apparence privée à des spectacles publics et payants. La misogynie de Sa Sainteté s'abattit jusque sur les vêtements féminins dits "à la française", c'est-à-dire trop décolletés : il envoya ses sbires dans toutes les blanchisseries de la ville pour confisquer les chemises féminines jugées indécentes. La Reine Christine de Suède, alors exilée à Rome, y trouva une fois de plus matière à affronter le Pape, ce dont elle se délectait : elle inventa une panoplie de vêtements surnommés "Innocentianes" qui parodiaient et ridiculisaient les prescriptions d'Innocent XI, et avec lesquels elle et sa cour se rendaient au Vatican pour mieux le faire enrager.

Son successeur Alexandre VIII, surnommé le "Pape Pantalon" (du nom du personnage de la Commedia dell'Arte), apporta une bouffée d'air frais dans ce climat musical et social passablement alourdi par son prédécesseur. Pendant son trop court règne (1689-1691), il permis le retour à la normalité des divertissements publics. Les carnavals de 1690 et 1691 furent, dit-on, les plus drôles et les plus "endiablés" du XVIIème siècle. Mais tout bascula très vite avec l'arrivée d'Innocent XII, le "Pape Polichinelle", farouchement opposé au théâtre et aux actrices. Il provoqua une période d'exaspération sans précédent à Rome ; la population se répandait en satires et en manifestations d'hostilité à son égard. La situation atteignit son paroxysme lorsque, par représailles, le pape fit entièrement raser le beau théâtre Tor di Nona, en 1697, devant des Romains indignés.
Rien ne changea au début du XVIIIème siècle avec Clément XI qui interdit tout simplement le chant aux femmes, même à la maison, prétextant qu'il allait "au détriment de cette modestie qui convient si bien à leur sexe" et qu'il les empêchait donc de vaquer à leur tâches ménagères. Il décréta donc "qu'aucune femme, mariée, veuve ou vieille fille n'apprenne à chanter ou à jouer". Il fit de même appel aux maris et aux tuteurs afin de ne jamais laisser entrer aucun professeur de musique chez une femme.
Il fallu attendre Clément XIV, en 1769, pour voir la situation se débloquer un peu : il engagea les directeurs de théâtre à bannir l'usage ridicule de faire jouer les rôles de femmes par de jeunes garçons, des hommes travestis ou des castrats. Comme nous l'avons dit, il accorda également aux femmes de pouvoir chanter à l'église. Jusqu'à ce retournement de situation, toutes les fantaisies avaient été possibles pendant près d'un siècle. On avait vu des castrats passer allègrement d'une liturgie à un spectacle d'opéra dans la même demi-journée, et de jeunes Romaines se faire passer pour des castrats afin d'échapper à la censure et pouvoir accéder à une scène. Après tout, le travestissement n'était-il pas l'essence même de la fête baroque ? Une amie de Casanova parvint ainsi à tromper le prêtre qui faisait passer l'examen imposé à tout nouveau chanteur, en adoptant les vêtements et les manière d'un castrat, et en plaçant un objet évocateur à l'endroit voulu ! 
Ce qui rendait également les États du pape différents des autres états était l'utilisation constante de castrats dans les rôles de femmes, alors qu'ils incarnaient généralement les rôles héroïques de guerriers et de rois. Certes beaucoup commençaient leur carrière à Rome par des personnages féminins, mais ils partaient ensuite à l'étranger et changeaient de rôle. Or il fallait dans cette ville un nombre important de castrats pour assurer les premiers rôles féminins en plus des rôles masculins : c'est ce qu'on appelait far da donna (faire la femme). [...]
Il est clair que les lois papales concernaient aussi les ballets. Toutes les "danseuses" étaient en fait des hommes travestis, et la pudibonderie ambiante s'étendait même jusqu'aux marionnettes, comme l'affirme l'Abbé Richard en 1769 : "Les ballerines ne sont pas permises sur les scènes de Rome. Ce sont des garçons habillés en femmes et la police leur ordonne de porter de petits pantalons noirs. Ce qui était aussi prescrit aux ballerines-marionnettes qui, montrant leurs cuisses de bois, pouvaient elles aussi exciter les sens des séminaristes"[...]

 La folie de l'opéra et du travestissement avait du reste gagné toute l'Italie ecclésiastique du XVIIIème siècle. A Venise, certains prêtres pouvaient participer à des spectacles d'opéra ; Saint-Didier nous raconte comment, un soir où il se trouvait là, un spectateur s'écria : "Tiens, voilà le père Pierro qui joue la vieille." Près d'un demi-siècle plus tard, Nemeie constata que des moines jouaient dans l'orchestre du théâtre. On donnait aussi, dans certains couvents de Florence, des comédies en musique et de petits ballets : ici les frères novices se déguisaient en ballerines et là les religieuses jouaient des rôles d'hommes. Le théâtre de la Pergola avait même organisé, lors de certains carnavals, des représentations spéciales pour les moines florentins : le spectacle commençait plus tôt, car ils n'avaient pas la permission de minuit, et le prix des billets était réduit. C'est ce qu'on appelait des séances de "masques pour moines". Un peu partout à travers l'Italie, les monastères s'ouvraient à la musique de leur temps : dans l'un les moines chantaient l'opéra, dans l'autre les moniales formaient un orchestre de cordes. On assista même un jour à une bataille rangée entre des religieuses d'un couvent qui n'étaient pas d'accord sur le fait de  jouer ou non de l'opéra : l'une d'elles périt dans le combat, tuée à coups de couteau avant d'être jetée au fond d'un puits, et l'on dénombra plusieurs blessées !


Extraits tirés de  "Histoire des Castrats" par Patrick Barbier (pp 135-140)
Categories: Défense

Syrie : les frappes françaises, outil de communication politique

Blog Secret Défense - Sun, 27/09/2015 - 16:14
(Actualisé-2) Elles ont eu lieu très opportunément au moment où le président Hollande arrivait à New-York pour l'Assemblée générale des Nations Unies.
Categories: Défense

Intervention française en Syrie : plan de frappes ou plan de com ?

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Sun, 27/09/2015 - 12:41
Bien des questions planent sur les frappes françaises en Syrie. Ou quand les opérations militaires sont mises au service d'un plan de communication politique !
Categories: Défense

26 Minutes - Armée Suisse

CSDP blog - Sat, 26/09/2015 - 00:00

Voir notre entrée de blog sur l`Armée suisse ici

26 minutes 19.03.2016 19h15
L'invité de la rédaction : Lt Col Karl-Heinz Inäbnit
Le lieutenant-colonel Karl-Heinz Inäbnit, suppléant du commandant de la place d’armes de Bure (JU), dresse un bilan de la première semaine des écoles de recrues de printemps.

Source
Environ 6’900 recrues sont attendues à l’ER du printemps 2016
Règlement de service de l’armée suisse 510.107.0 (RS.04)


26 minutes 29.01.2016 19h15
L'invité de la rédaction : Lt Col Karl-Heinz Inäbnit
26 minutes plus tôt: les véganes sont-ils les bienvenus à l’armée ?

Source
Ce jeune homme a été exclu de l’armée suisse pour cause de véganisme


26 minutes 05.12.2015, 8h40

Source
Réalisation du projet de police aérienne 24


26 minutes 28.11.2015, 20h45
L'invité de la rédaction : Pouki
Pouki, membre du DARD (Détachement d’action rapide et de dissuasion de la Police cantonale vaudoise) nous présente les activités de cette unité d'élite.

Source


26 minutes 17.10.2015, 20h45
L'invité de la rédaction : Lt Col Karl-Heinz Inäbnit
Un F/A-18 de l'armée suisse s'est écrasé dans le Doubs (France). Le lieutenant-colonel Karl-Heinz Inäbnit, suppléant du commandant de la place d'armes de Bure, nous explique les circonstances et les conséquences du crash d'un avion des forces aériennes suisses.

Source
http://www.rts.ch/info/suisse/7168104-un-f-a-18-de-l-armee-suisse-s-ecra...


26 minutes, 12.09.2015, 20h10
L'invité de la rédaction : Lt Col Karl-Heinz Inäbnit
Le Lt Col Karl-Heinz Inäbnit, suppléant du commandant de la place d’armes du Bure, nous explique le pourquoi de la présence de la Brigade blindée 1 au Comptoir suisse.

Source
http://www.he.admin.ch/internet/heer/fr/home/verbaende/pzbr1.parsysrelat... ;
http://www.vtg.admin.ch/internet/vtg/fr/home/dokumentation/publik_zeitrs...


26 minutes, 21.02.2015, 18h45
L'invité de la rédaction: Karl-Heinz Inäbnit
Le lieutenant-colonel Karl-Heinz Inäbnit revient sur la proposition du brigadier Denis Froidevaux d’introduire la conscription obligatoire pour les femmes.

Source :
http://www.nzz.ch/schweiz/wehrpflicht-fuer-frauen-weitet-den-personalpoo...


Régebbi adások
(120 Secondes)
http://www.120secondes.info/videoscategory/armee/
Magyar kommentár
Sources
http://www.asmz.ch/

Tag: 26 minutes

Au moins en Russie les "muzz" ils rasent les murs !!!!

C'est pas secret... Blog - Fri, 25/09/2015 - 22:39

Quelques polissons tchétchènes s'égayent dans les rues de Moscou.
Categories: Défense

La SNSM inquiète pour son avenir

MARTOLOD (Blog d'information marine) - Fri, 25/09/2015 - 19:30
La sauvegarde de la vie humaine en mer est de la responsabilité de l’État, elle a été confiée à une association de droit privé.

Chacun sait le rôle joué depuis 150 ans sur nos côtes par la SNSM qui a contribué au fil du temps au sauvetage de très nombreuses vies humaines. Or, des interrogations se font jour aujourd’hui sur les moyens de financement dont doit pouvoir disposer la SNSM pour l’entretien et le renouvellement de sa flotte de navires de sauvetage.

La Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM) est une association loi de 1901, fondée le 1er juin 1967, et reconnue d’utilité publique par décret n° 602 du 30 avril 1970. Par arrêté du 21 juin 2006, elle a été officiellement agréée par le ministre chargé de la mer en qualité d’organisme de secours et de sauvetage en mer. Cet agrément est le seul délivré à ce jour à un organisme privé. Il témoigne de la reconnaissance de l’État envers cette association qui s’intègre, de fait, dans le dispositif opérationnel de l’action de l’État en mer.
La SNSM est un intervenant privilégié dans les opérations de secours, de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer. Opérationnelle vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept, sur l’ensemble du territoire français, elle participe grâce au dévouement de ses 7 000 bénévoles, au sauvetage d’environ 50% des personnes secourues en mer dans le cadre des interventions coordonnées par les Centres Régionaux Opérationnels de Surveillance et de Sauvetage en mer (CROSS). Lorsqu’elle n’est pas directement engagée dans des opérations de sauvetage, la SNSM assure la gestion et la maintenance de ses moyens matériels (embarcations, infrastructures, divers équipements), la formation de ses ressources humaines (essentiellement bénévoles), ainsi que l’organisation de campagnes de communication sur la sécurité en mer ou encore, l’encadrement de manifestations nautiques telles que le trophée SNSM.
La SNSM dispose de 219 stations de sauvetage, 600 embarcations, 274 postes de secours sur les plages et 32 Centres de Formation et d’Intervention (CFI). « Si l’État devait reprendre à sa charge ce service irremplaçable, ça lui coûterait de 300 à 400 M€ quand la SNSM a un budget de l’ordre de 25-27 M€ », explique Xavier de la Gorce, président de la Société nationale de sauvetage en mer. Or, l’État « participe actuellement à hauteur de 8% de notre budget », quant aux collectivités locales, dont c’est une compétence facultative confirmée par la réforme des collectivités territoriales, elles participent à hauteur de 17%. « Nous ne pouvons pas leur demander plus ». La baisse des dotations de l’État est passée par là. « Nous sommes à un tournant crucial de la vie de la SNSM pour des problèmes d’ordre financier ». 75% des subsides de l’association de sauvetage proviennent de mécènes et de donateurs privés, au nombre de 75 000. « Cette année, nous avons perdu 2,5 à 3 M€ sur les legs », indique Xavier de la Gorce qui se tourne vers les plaisanciers, les principaux bénéficiaires des interventions de la SNSM. « Nous en recensons un million sur le littoral français. Si seulement un quart d’entre eux donnaient 30 € à la SNSM – l’équivalent d’un paquet de cigarettes après déduction fiscale – l’association serait hors d’eau ! ».

Il faut rappeler que le sauvetage en mer est gratuit pour les personnes et forfaitaire pour les biens.

Je soutiens la SNSM, je fais un don

Categories: Défense

Dire les relations internationales en France : acteurs et dynamiques


 
Qui anime le débat sur les relations internationales (RI) en France depuis vingt-cinq ans ? Répondre à cette question tient de la gageure, dans la mesure où ni la définition desdites RI, ni le type de sources considérées comme légitimes, ni les attentes qui y sont adressées, ne sont consensuelles. Il y a, par ailleurs, des sous-questions dans la question. Se dégage-t-il un discours français spécifique en matière de RI ? Si oui, celui-ci prend-il les contours d’une pensée unique ou d’une idéologie dominante – et laquelle ? –, ou plutôt ceux d’une « French touch » qui, sans être monolithique, permettrait de tracer les contours d’une sensibilité particulière, ou bien encore d’une mosaïque qui, faute de cohérence, devient illisible depuis l’extérieur ? Le paysage est-il figé sur cette période, ou a-t-il évolué au cours de ces vingt-cinq dernières années ? Enfin, l’analyse des RI en France est-elle propice à l’initiative privée ou, au contraire, au contrôle étatique ?
Ces enjeux ne sont pas neutres pour un pays dont la politique étrangère reste l’une des plus actives de la planète – qu’autant qu’elle sert un membre permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies – et dont l’outil militaire est mis régulièrement à contribution. Ces politiques publiques ainsi mises en œuvre, sont-elles guidées par la seule analyse interne à la machine étatique ? Sont-elles correctement nourries ou assistées par les enseignements d’une réflexion extérieure, libre, indépendante et de qualité ? Et si oui, cette dernière est-elle pluraliste, ou bien y décèle-t-on des biais politiques, des routines, des tabous ?
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le n°99-Sept.2015 de la Revue Internationale et Stratégique, "Regards critiques sur vingt-cinq ans de relations internationales" - Sous la direction de Samuel Carcanague, Pim Verschuuren
Sommaire
Dire les relations internationales en France : acteurs et dynamiquesBref état des lieuxLa « non discipline » RILes voix(es ?) non académiquesQuelles attentes ?
Variables et paramètres de l’analyseDu gaullo-mitterrandisme au néo-conservatisme ?Un paysage figé ?Un débat sous tutelle étatique ? 

L'armée de l'air célèbre les 80 ans du parachutisme militaire

Blog Secret Défense - Fri, 25/09/2015 - 13:14
Les commandos de l'air sont les héritiers des premiers paras français... formés en URSS
Categories: Défense

Mistral : l'idylle égyptienne se poursuit

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Thu, 24/09/2015 - 11:25
La vente des deux porte-hélicoptères à l'Égypte porte les achats en France du maréchal al-Sissi à près de 10 milliards d'euros pour la seule année 2015.
Categories: Défense

Pages