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Afrique

Santé: Des chercheurs suisses découvrent une molécule contre le paludisme

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 18:29

Des chercheurs suisses ont découvert deux protéines clé dans le développement et la dissémination du parasite du paludisme ainsi qu’une molécule pour les neutraliser, suscitant un nouvel espoir de mise au point d’un traitement efficace.

Cette maladie est responsable chaque année de 500.000 morts, dont 80% sont des enfants de moins de cinq ans vivant en Afrique.

Cette découverte pourrait non seulement aboutir au développement de thérapies pour détruire le parasite inoculé par le moustique mais également empêcher sa transmission, ont relevé ces scientifiques, dont les conclusions ont été publiés jeudi dans une revue américaine spécialisée. Des stratégies thérapeutiques sont déployées depuis longtemps contre le paludisme mais elles restent jusqu’à présent moyennement efficaces, ont-ils ajouté.

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Ooredoo Algérie perturbé par l’éloignement de son PDG Hendrik Kasteel privé de permis de travail

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 18:13

La dernière apparition publique de Hendrik Kasteel remonte à sept mois et l’opérateur qatari ne semble pas avoir trouvé l’aval des autorités algériennes pour son retour à Alger.

L’opérateur de téléphonie mobile Ooredoo Algérie fonctionne depuis des mois sans son Président Directeur général. Hendrik Kasteel, nommé à la tête de l’entreprise, filiale du groupe télécom Ooredoo, le 21 septembre 2016 en remplacement de Joseph Ged, a manqué plusieurs rendez-vous médiatiques importants.

Sa dernière apparition publique remonte à la cérémonie de lancement de l’offre « Haya ! » le 22 mars dernier à Alger, suivie d’une conférence de presse. Depuis, le PDG de Ooredoo est systématiquement absent des grands événements publics de l’opérateur.

Le dernier en date est la cérémonie de la remise des prix du concours journalistique Média-Star 2017, organisée chaque année par Ooredoo. Pour sa onzième édition, ce concours a été « chamboulé » par l’absence de M. Kasteel qui n’aurait pas obtenu son permis de travail en Algérie, apprend-on de bonnes sources.

Selon notre source, son dossier de permis de travail s’est enlisé dans le « circuit bureaucratique » algérien, en raison d’une décision importante qu’il aurait prise alors qu’il n’avait qu’une autorisation de travail temporaire. « M. Kasteel a signé une décision de rapatriement des dividendes de l’exercice précédant son installation comme PDG de l’entreprise », explique notre source.

L’autorisation de travail temporaire de M. Kasteel suspendue, les dirigeants du groupe qatari ont eu des contacts avec les hautes autorités algériennes. Les négociations n’ont pas aboutis, alors qu’il y avait des prémices au règlement de cette affaire avant septembre, affirme notre source.

L’opérateur continue à fonctionner sans son principal dirigeant, mais surtout à expédier les affaires courantes. Comme la cérémonie de remise des prix du concours Médias-Star qui s’est déroulée sans lui le 15 octobre dernier, qu’il aura fallu «délivrée », après plusieurs mois de retard. Toutefois, il convient de signaler que M. Kasteel a été présent le 25 octobre dernier à Paris à la cérémonie de remise des diplômes aux cadres managériaux de Ooredoo ayant suivi le programme Executive MBA International-Paris en partenariat avec MDI-Business School d’Alger.

L’absence du premier manager de l’entreprise risque d’avoir un impact néfaste sur l’opérateur qui évolue dans un environnement très concurrentiel.

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Les banques catalanes accentuent leur chute

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 17:56

Les banques catalanes accentuaient leur chute, ce jour, à la Bourse de Madrid après la proclamation de l’indépendance de la Catalogne par le parlement régional, CaixaBank, troisième banque espagnole, perdant environ 5% et Banco Sabadell 6%.

Banco Santander, première banque de la zone euro, perdait environ 2,5% tandis que la baisse de l’Ibex-35, indice vedette espagnol, restait sensiblement au même niveau qu’avant la proclamation, à environ -1,7%.CaixaBank et Banco Sabadell avaient déjà vu leurs titres plonger début octobre, après le référendum d’autodétermination organisé par l’exécutif catalan et interdit par Madrid.

Les deux banques ont ensuite dû faire face à des retraits de dépôts de la part de leurs clients, qui les ont poussées à transférer leurs sièges sociaux hors de Catalogne. Ni CaixaBank ni Banco Sabadell n’ont communiqué le montant de ces retraits, mais toutes deux ont assuré que cette fuite s’était arrêtée et « inversée » après la décision du changement de siège.

Dans la foulée, de nombreuses entreprises catalanes ont aussi décidé de transférer leur siège, comme Gas Natural ou le groupe autoroutier Abertis.Au total, près de 1.700 entreprises ont ainsi quitté la Catalogne depuis le 1er octobre.
La prolongation de la crise pourrait avoir des retombées économiques très négatives pour la région comme pour le pays, 4e économie de la zone euro, ont averti le gouvernement ainsi que le Fonds monétaire international (FMI).

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La lecture en danger

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 17:38

Combien de personnes observez-vous par jour dans la rue, dans les lieux publics ou dans les transports en commun avec un livre à la main? Très peu? Pas du tout ? Un homme a décidé de faire de cette question une expérience,Sadek Kebir, qui a sillonné toute la ville de Constantine pendant 24 H et n’est revenu à la fin bredouille n’ayant trouvé qu’un vieil homme dans un café faisant des mots croisés dans un journal.

Les lecteurs assidus ont toujours été une espèce rare au sein de la société algérienne. Force est de constater que les statistiques sont tout aussi accablants que porteur d’une triste réalité : L’individu algérien lit en moyenne 10 minutes / an en parallèle un individu européen lit pas moins de 200 H / an.

Selon le directeur du Centre International de conseil et d’études économiques, Abdellah Badida, 56.86% de la population ne lit aucun livre dans l’année, ce qui représente 20 millions de personnes qui ne lisent pas, c’est la moitié de la société. Il n’existe par-ailleurs presque aucune autre étude statistique sur cette pratique sociale et intellectuelle en Algérie ni même de la fréquentation des librairies ou de l’achat de livres, le constat se fait au quotidien au sein du paysage urbain et ce serait mentir que de jeter la pierre aux jeunes.

Toutes les tranches d’âge sont concernés et toutes les classes sociales. Même le SILA est devenu plus une sorte de lieu de rencontre, de sortie familiale ou entre amis qu’un véritable festival destiné à l’échange, le débat et la lecture.

Mais pourquoi boudons-nous donc cette pratique qui n’a que pour autre but que d’instruire ?

Il y’a deux axes majeures qui influencent de manière directe cet état déplorable. Le premier est historique et intimement lié avec une mauvaise gestion du gouvernement. En 1962, la France en quittant le territoire algérien a laissé pas moins de 600 bibliothèques qui vous vous doutez en vue du haut niveau d’illettrisme des algériens à l’époque ( 93%) était principalement destinés aux pieds-noirs et aux colons.

En 2015, pour 40 millions d’habitants avec un taux d’illettrisme considérablement bas depuis ( 19,8%) c’est ironiquement un total de 229 bibliothèques dans tout le territoire national.

Prenons pour exemple la Grande-Bretagne c’est 60 millions d’habitants un taux d’illettrisme qui n’atteint pas les 1% et pas moins de 6000 Bibliothèques sans compter les librairies caractérisés comme étant des commerces privés. Louise Brown une anglaise de 91 ans a lu 25,000 livres depuis l’âge de 5 ans. Sentez-vous le fossé culturel ?

Le Second est culturel et social, tout d’abord avec les réseaux sociaux fléau qui rends improductifs bon nombre de personnes. Les médias aussi, on favorise volontairement les programmes humoristiques, sportifs et culinaires à de réelles émissions culturelles. France 5 a la Grande Librairie là ou nous avons le Grand Sbitar.

Le milieu familial a une influence important sur la formation du lecteur. Lorsque les parents ne portent aucun intérêt à la lecture ou qu’ils découragent leurs enfants pour des raisons psychologiques, philosophiques ou religieuses, ils impactent négativement sur cette dernière.

A côté la disponibilité du livre dans l’espace familiale et du temps consacré à la lecture les chances d’acquérir cette pratique sont multipliés.

Notre pays est encore jeune la plupart de nos aïeux n’ont malheureusement pas eu accès à l’éducation, l’idée qu’envoyer son enfant à l’école signifie qu’il acquiert culture et peut être considérer comme un intellectuel est fausse. L’enfant a l’école s’instruit de la même manière que la quasi-totalité de ses camarades, c’est aux enseignants de l’école primaire qui ont ce double rôle de maître de classe ainsi que d’éducateur de mettre très tôt un livre entre les mains des écoliers car c’est à travers la lecture qu’il se découvrira sa réelle vocation ce pourquoi il se passionne et ou il pourra produire et créer.

En conclusion, la situation de la lecture en Algérie est alarmante. La pensée et les représentations sociales se transforment. La régression est visible : ignorance, religiosité, intolérance, violence, censure et autocensure, libertés muselées ou corruption sont autant de signes de cette dévolution. La citation de Mikhaïl Naimi, penseur et écrivain libanais, est à méditer :  » le jour ou une bibliothèque sera tout aussi vitale qu’une chaise, un lit ou une cuisine au sein d’un foyer. Nous pourrons dire que nous sommes une société évoluée. »

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Espagne : Le Sénat autorise la mise sous tutelle de la Catalogne

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 17:25

Le Sénat espagnol a autorisé, ce vendredi, le gouvernement de Mariano Rajoy à prendre des mesures de mise sous tutelle de la Catalogne, qui comprennent notamment la destitution de ses dirigeants indépendantistes.

La proposition du gouvernement, basée sur l’article 155 de la Constitution, a été approuvée par 214 voix pour, 47 contre et une abstention, et sera notamment transmise au gouvernement central et à l’exécutif catalan, a déclaré le président du Sénat, Pio Garcia-Escudero.

Quelques minutes auparavant, le parlement de Catalogne a adopté une résolution déclarant que la région devient un «Etat indépendant prenant la forme d’une République».

Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a immédiatement réagi sur Twitter en promettant de «restaurer la légalité» en Catalogne.

La résolution a été adoptée en l’absence de l’opposition, qui avait quitté l’hémicycle, par 70 voix pour, dix voix contre et deux abstentions. Les partis séparatistes – allant de l’extrême gauche au centre droit – sont majoritaires en sièges (72 sur 135) au Parlement.

A l’extérieur du parlement, plusieurs dizaines de milliers de manifestants indépendantistes ont salué par des clameurs de joie l’annonce du résultat, rapportent des médias.

Selon des sondages, pour une grande partie des Catalans, la déclaration d’indépendance va à l’encontre de leurs souhaits, eux qui veulent rester dans le Royaume d’Espagne.

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Un terroriste narcotrafiquant arrêté à El Oued

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 17:07

Un détachement de l’Armée Nationale Populaire, a procédé jeudi à la wilaya d’El Oued, à l’arrestation d’un terroriste narcotrafiquant répondant aux initiales « G.Mohamed Fares », alors qu’un autre détachement a intercepté des éléments de soutien aux groupes terroristes à Ain Defla.

En revanche, cinq casemates pour terroristes ont été découvertes te détruites à Batna,a-t-on appris du ministère de la défense nationale, lors d’un communiqué récemment rendu public.

«Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un Détachement de l’Armée Nationale Populaire a arrêté, le 26 octobre 2017 à El Oued, le terroriste narcotrafiquant recherché « G. Mohamed Fares », tandis qu’un autre Détachement a appréhendé deux (02) éléments de soutien aux groupes terroristes à Boumerdes et Ain Defla, alors que cinq (05) casemates pour terroristes ont été découvertes et détruites à Batna ».

Le même communiqué ajoute que dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée ,des détachements de l’ANP ont saisi à Bordj Badji Mokhtar, un camion chargé de 5 tonnes de denrées alimentaires et des outils d’orpaillage, tandis que d’autres détachements et des éléments de Garde-côtes ont saisi 18340 litres de carburant à Tébessa, El Taref, Souk Ahras et Bordj Badji Mokhtar, alors que des éléments de la Gendarmerie Nationale ont saisi (6605) unités de différentes boissons à Ain Témouchentet Saïda.

D’autre part, des Garde-côtes ont déjoué, à Oran, une tentative d’émigration clandestine de (20) personnes à bord d’une embarcation pneumatique, tandis que trois (03) contrebandiers et (50) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Tlemcen, Adrar, Tindouf et Ouargla.

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Kenya: Kisumu se prépare

Slateafrique - Fri, 27/10/2017 - 17:03
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RDC: l'ambassadrice américaine

Slateafrique - Fri, 27/10/2017 - 17:03

L'ambassadrice américaine aux Nations unies, Nikki Haley, en visite en République démocratique du Congo, a appelé vendredi à

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Taref : Un lion évadé sème la terreur

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 16:22

La wilaya de Taref a mobilisé toutes les ressources matérielles et humaines, depuis avant-hier afin capturer un lion évadé, qui a semé la terreur parmi les habitants de la ville.
Agents forestiers, gendarmes et même membres du Parc National d’El Kala ,se sont mobilisés dans les hauteurs du Mont de Souani pour mettre les mains sur le lion en liberté.

Plusieurs citoyens de la ville ont témoigné que le félin rodait en toute liberté dans la région boisée, chose qui a semé la terreur parmi les habitants qui se sont retrouvés coincés à la maison. Certains ont même interdit à leurs enfants d’aller à l’école tant que la bête féroce n’a pas encore été capturée.

Les services de sécurité ont passé au peigne fin la région boisée d’El Hadjar située entre Guelma et Souk Ahras allant vers le sol tunisien.

Pour rappel, et selon nos mêmes sources, le lion se serait enfui d’un parc zoologique situé dans la même région.

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Sonatrach: Mustapha Guitouni «24 milliards de dollars de recette pétrolière en 2017»

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 16:09

Le ministre de l’Energie et des mines, Mustapha Guitouni a dévoilé que les recettes pétrolières s’élevaient, fin septembre 2017, à 24 milliards de dollars (USD), soit une hausse de 23% par rapport à la même période de l’année 2016.

Soulignant que le volume des exportations d’hydrocarbures a été stable en 2017 en application de l’accord Opep sur la baisse de production, le ministre a expliqué la hausse des recettes par l’augmentation du prix de pétrole algérien qui s’est établi autour de 51 dollars le baril à la fin de septembre 2017, contre 43 dollars/baril durant la même période de l’année 2016, soit une hausse de quelque 20%.

M.Guitouni, a notamment rajouté que le groupe Sonatrach avait réalisé 26 découvertes d’hydrocarbures entre le 1er janvier et le 30 septembre 2017 contre 28 découvertes durant la même période de l’année 2016.

«Ces découvertes sont le fruit des efforts individuels du groupe Sonatrach soit sans partenariat étranger », a précisé M. Guitouni lors d’une réunion avec la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) dans le cadre de l’examen des dispositions du projet de loi de finances (PLF) 2018.

Ces découvertes consolideront les réserves nationales de pétrole et de gaz, a-t-il ajouté.

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25 millions de dollars pour l’importation du chewing-gum !

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 13:46

Désormais, certains produits de luxe qui alourdissent la facture des produits importés seront interdits.

La déclaration est du ministre du Commerce qui a été auditionné aujourd’hui par la commission des finances et du budget de l’APN dans le cadre de l’examen du PLF pour 2018. Mais pas seulement, les grains de tournesol et la mayonnaise sont également concernés par cette interdiction. Leur importation est estimée respectivement à 25 et 20 millions de dollars.

Mohamed Benmeradi, a annoncé par ailleurs que son département tend à réduire les importations à 41 milliards de dollars à la fin de l’année et à 30 milliards de dollars en 2018, et ce dans le cadre de la politique du secteur visant à protéger la production nationale. Il a aussi annoncé la suspension définitive de certains produits sans les définir se contentant de dire que l’arrêt concernant la nature de ces produits sera annoncé par décret.

Pour rappel, le projet de loi de finances propose des droits de douanes pour 32 produits et les taxes internes sur la consommation concernant certains autres produits, outre l’établissement d’une liste de 10 produits avec étiquettes.

Le ministre a en outre indiqué qu’une liste de 24 produits est soumise aux licences d’importation, et que le volume des produits à importer sera fixé à chaque début d’année conformément aux besoins du pays. Il sera ensuite procédé à leur distribution « par voie de vente aux enchères », tout en soulignant que ladite liste est en cours d’élaboration et sera annoncée avant sa publication dans le journal officiel aux fins de garantir plus de transparence dans l’opération.

A noter que le pays compte un millier d’importateurs, dont 40 assurent la couverture de 40 % des activités économiques du pays à l’instar du groupe Sonatrach et l’Office national des aliments du bétail, outre des importateurs privés.

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Irak : Les Kurdes proposent de geler le résultat du référendum

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 13:28

Le gouvernement régional du Kurdistan irakien (GRK) a proposé mercredi, de geler le résultat du référendum d’autodétermination du 25 septembre, un geste destiné à résoudre pacifiquement la crise avec le gouvernement central de Bagdad.

Un porte-parole militaire irakien a cependant laissé entendre que se poursuivrait l’offensive lancée il y a dix jours par l’armée de Bagdad pour reprendre le contrôle de territoires contrôlés par les peshmergas (combattants kurdes) depuis trois ans dans le nord du pays. «Les affrontements entre les deux parties ne produiront de victoire pour aucune d’entre elles, et conduiront le pays vers une destruction totale», affirme le GRK dans un communiqué. «Nous faisons la proposition suivante au gouvernement et à l’opinion publique irakienne et internationale :

1- un cessez-le-feu immédiat
2-le gel du résultat du référendum
3-l’ouverture d’un dialogue avec le gouvernement fédéral sur la base de la Constitution irakienne.» Les autorités irakiennes ont déclaré le référendum kurde illégal et ont lancé une offensive le 15 octobre pour reprendre la région pétrolifère de Kirkouk et les «zones disputées». Le Premier ministre Haïdar al Abadi, qui avait posé comme préalable à des discussions que le GRK déclare nul et non avenu le référendum, n’a pas encore réagi aux propositions kurdes. Dans un bref communiqué diffusé mercredi matin, un porte-parole militaire irakien a simplement déclaré: «Les opérations militaires ne sont pas liées à la politique.»
ZONE STRATÉGIQUE

Haïdar al Abadi a entamé une visite officielle en Turquie et en Iran, deux pays où vivent également des populations kurdes, et ce dossier devrait être largement abordé dans les discussions. L’Iran a annoncé la réouverture du point de passage de Bashmagh avec le Kurdistan irakien, qui avait été fermé après le référendum du 25 septembre.

Le Premier ministre irakien, soutenu par Téhéran et Ankara dans sa politique envers les Kurdes, exige de contrôler les postes frontaliers avec la Turquie, qui se trouvent tous dans la région autonome kurde. Mardi, les peshmergas ont annoncé avoir repoussé des miliciens pro-gouvernementaux dans la région de Rabia, à 40 km au sud de la zone frontalière de Fish-Khabour, où passe un tronçon d’un oléoduc permettant aux Kurdes d’exporter du pétrole. Jusqu’ici, les quelques affrontements qui ont eu lieu depuis le 15 octobre s’étaient déroulés en dehors de la région autonome kurde mais Fish-Khabour se trouve à l’intérieur de cette région. Ces combats ont été rares, les peshmergas préférant en général se retirer devant les forces irakiennes.

OFFENSIVE IMMINENTE CONTRE L’EI
Par ailleurs, l’armée de Bagdad s’apprête à lancer une offensive contre les derniers territoires encore contrôlés par le groupe Etat islamique (EI) en Irak, à la frontière avec la Syrie dans l’ouest du pays. Des tracts ont été largués par l’aviation irakienne sur la région frontalière d’Al Kaïm et Rawa où il est écrit: «Vos forces de sécurité viennent maintenant vous libérer,» déclare le Commandement conjoint des opérations. «Dieu est avec nous dans ce dernier assaut contre les membres de Daech.

Dites à ceux parmi vos enfants et vos proches qui ont pris une arme contre l’état de la jeter immédiatement et de se rendre dans toutes les maisons où un drapeau blanc aura été hissé quand les forces de libération entreront dans al Qaïm», peut-on encore lire. Le califat autoproclamé en 2014 par l’Etat islamique sur un territoire à cheval entre l’Irak et la Syrie s’est effondré de facto en juillet avec la capture de Mossoul, dans le nord de l’Irak, après neuf mois de combats acharnés.

En Syrie, le groupe djihadiste a perdu la semaine dernière sa «capitale» Rakka. Il contrôle toujours des territoires dans la région de Daïr az Zour mais cette région rétrécit à mesure que le groupe armé se replie face à deux offensives distinctes, l’une menée par les milices arabo-kurdes des FDS (Forces démocratiques syriennes) avec le soutien de la coalition sous commandement américain, l’autre par l’armée syrienne avec l’appui de la Russie.

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oran: Projet de la centrale électrique de Boutlélis «Livraison en mai prochain !»

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 13:08

Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni a insisté, à Oran, sur la livraison du projet de la centrale électrique de Boutlélis au mois de mai prochain.

Lors d’une visite au chantier de cette station d’une capacité de 246 mégawatts disposant de deux turbines à gaz, le ministre a mis l’accent sur le rattrapage du retard et la réception totale du projet au mois de mai 2018, au plus tard pour satisfaire les besoins en cette énergie, notamment dans la région ouest de la wilaya. M. Guitouni a insisté surtout sur l’entrée en service en juin prochain de la première turbine à gaz d’une capacité de 223 mégawatts et en juillet de la deuxième turbine de même capacité, tout en recommandant le lancement de la phase d’expérimentation respectivement en mars et avril prochain.

Une fois exploitée, cette centrale électrique, dont les travaux de réalisation ont atteint un taux d’avancement de 56 pour cent, renforcera l’alimentation en électricité de la wilaya d’Oran et de wilayas voisines dont Aïn Témouchent et Tlemcen d’une part, satisfera la demande croissante sur cette énergie dans la partie ouest de la wilaya, où la réalisation de près de 30 000 logements est en cours, de même que celle de zones industrielles et autres, selon les informations fournies.

Les travaux de réalisation de cette centrale contribuant à la création de 600 postes d’emploi ont été confiés à deux entreprises algériennes et ceux de l’équipement à deux firmes américaine et française. Une fois exploitée, elle pourvoira 140 postes d’emploi, a-t-on indiqué. Dans une déclaration à la presse en marge de la visite d’inspection, le ministre a souligné que l’Algérie adopte l’énergie solaire depuis 1985 et gére actuellement dans ce domaine 343 mégawatts à travers 22 stations réparties sur 14 wilayas du Sud et des Hauts-Plateaux. «Nous œuvrons à atteindre un seuil de 4 000 mégawatts de cette énergie dans les prochaines années», a ajouté Mustapha Guitouni invitant les entreprises et les industriels à investir dans ce domaine.

Lors d’une encontre avec les cadres de l’activité «Aval» de Sonatrach à Oran, le ministre a indiqué que la consommation de l’essence super et sans plomb et du gasoil a atteint 15 millions de tonnes, alors que la production nationale ne dépasse pas 11,5 millions de tonnes, ce qui nécessite l’importation de 3,5 millions de tonnes, soit une valeur de près de deux milliards de dollars, insistant dans ce sens sur la réussite du raffinage en Algérie.

Au passage, Mustapha Guitouni, il a mis l’accent sur la réception en 2018 de la raffinerie d’Alger qui fait l’objet de réhabilitation et de mise à niveau pour pouvoir produire une quantité supplémentaire de près 1,2 million de tonnes, ainsi que sur le lancement d’un avis d’appel d’offres pour la réalisation de raffineries à Hassi Messaoud et Tiaret à l’horizon 2020 et 2022 respectivement pour atteindre une production de 15 millions de tonnes et se diriger vers l’exportation de 35 pour cent de cette production ce qui représente 3 milliards de recettes. Au sujet des prix du pétrole dans les marchés mondiaux, le ministre a rassuré qu’ils s’améliorent, annonçant la prise de mesures nécessaires à la réunion de l’OPEP prévue au mois de novembre prochain à Vienne (Autriche). à noter que le ministre a inauguré le Salon des offres de Naftal, situé à l’avenue Sidi Chahmi à Oran.

Pour rappel, M. Guitouni avait présidé, lundi matin, en compagnie de la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima Zohra Zerouati et du président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Ali Haddad, l’ouverture de la huitième édition du salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable «ERA», qui se tient au Centre des conventions d’Oran (CCO).
«Mohamed Benahmed»

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Attaque au gaz sarin en Syrie: Moscou dénonce des « incohérences » dans le rapport de l’ONU

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 12:35

Le rapport de l’ONU désignant le régime syrien comme responsable de l’attaque meurtrière au gaz sarin sur Khan Cheikhoun en avril comporte de multiples « incohérences » et des « témoignages douteux », a dénoncé vendredi la diplomatie russe.

La lecture de ce rapport montre « de nombreuses contradictions, des incohérences logiques, une utilisation de témoignages douteux et de preuves non confirmées », a dénoncé le ministre adjoint des Affaires étrangères Sergueï Riabkov à l’agence Interfax.

« A la différence de nos interlocuteurs, qui dorment et ne rêvent de ce rapport que pour l’utiliser comme une arme pour leurs propres objectifs géopolitiques en Syrie, nous avons tranquillement et professionnellement étudié le contenu de ce document », a-t-il poursuivi.

Il a précisé que la Russie, alliée de longue date du régime de Bachar al-Assad, livrerait une « analyse » plus complète plus tard.

Dans un rapport de l’ONU publié jeudi, les experts se sont dits « convaincus que la République arabe syrienne est responsable de l’usage de sarin sur Khan Cheikhoun le 4 avril 2017 ».

L’attaque sur cette ville de la province d’Idleb, alors contrôlée par des rebelles et des jihadistes, a fait 83 morts selon l’ONU, au moins 87 dont plus de 30 enfants selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

Les images des habitants, dont ces nombreux enfants, agonisants, avaient fait le tour du monde et poussé l’administration Trump à lancer une attaque sur la base aérienne d’où, selon les puissances occidentales, était parti l’assaut sur la ville.

Dans la nuit du 6 au 7 avril, l’armée américaine avait tiré 59 missiles de croisière Tomahawk depuis deux navires américains vers la base d’Al-Chaayrate.

Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni avaient accusé les forces du président syrien Bachar al-Assad d’être responsables de cette attaque, mais Damas avait démenti toute implication.

La Russie affirme que le sarin retrouvé à Khan Cheikhoun est venu de l’explosion d’un obus au sol et non d’une attaque aérienne syrienne.

Début septembre, la Commission d’enquête de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme en Syrie avait déjà estimé que les forces syriennes étaient responsables de cette attaque au gaz sarin.

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Maroc: Un rapport officiel pointe les retards dans le développement du Rif : trois ministres limogés

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 12:22

Un rapport de la Cour des comptes observe que depuis la signature de la convention-cadre en octobre 2015 et jusqu’à février 2017,  »il y a eu une insuffisance, voire une absence d’initiatives pour démarrer l’exécution effective des projets ».  »Ainsi, ajoute-t-il, sur les 644 projets prévus dans le programme, les réalisations à fin 2016 se limitent à 5 projets achevés (146,8 MDH) et 45 projets en cours (565 MDH) ».

Séisme politique au Maroc après les fracassantes révélations du rapport de la Cour des comptes, commandé par le roi Mohamed 6, sur les retards et les dysfonctionnements dans le développement de la région du Rif.

La décision du monarque de limoger trois ministres et un secrétaire d’Etat du gouvernement El Othmani (PJD, islamiste modéré) intervient au lendemain de la présentation au monarque de la synthèse du rapport de la Cour des comptes, présidée par l’ex-chef de gouvernement Driss Jettou, sur le retard dans l’application du  »programme Al Hoceima, Manarat Al Moutawassit », doté de plusieurs milliards de dirhams.

Rendus responsables du retard accusés par la réalisation du programme de développement de la région d’Al Hoceima, trois ministres (Intérieur, Habitat, et Santé), ont sauté.

En octobre 2016, la mort effroyable d’un poissonnier à Al Hoceima, a été le détonateur d’une contestation populaire généralisée dans le Rif, avec comme principale accusation des jeunes du Hirak contre le pouvoir central, la marginalisation de la région, la corruption de l’administration locale et le chômage et le manque d’infrastructures.

 »Une insuffisance voire une absence d’initiatives »

La contestation a été violente et plusieurs manifestations ont été organisées entre octobre 2016 et juillet 2017. Résultat: des arrestations de plusieurs centaines de jeunes du mouvement Hirak, d’autres de la région. Plusieurs ont été condamnés à de lourdes peines d’emprisonnement, alors que d’autres, dont les leaders du mouvement, Nasser Zefzafi et Ahmed Ahmadjik, attendent encore leurs procès.

Dans ses conclusions, le rapport de la Cour des comptes relève notamment que  »la mise en œuvre du programme a connu un démarrage timide ». En effet, observe-t-il, depuis la signature de la convention-cadre en octobre 2015 et jusqu’à février 2017, il y a eu une insuffisance, voire une absence d’initiatives pour démarrer l’exécution effective des projets par la plupart des intervenants aussi bien au niveau central que local ».

Cinq projets réalisés sur 644

 »Ainsi, ajoute le rapport, sur les 644 projets prévus dans le programme, les réalisations à fin 2016 se limitent à 5 projets achevés (146,8 MDH) et 45 projets en cours (565 MDH)  ». Les raisons avancées par plusieurs parties prenantes pour expliquer ce retard se rapportent à la réception tardive de la convention-cadre, à la non programmation des crédits budgétaires et aux difficultés de mobiliser le foncier.

La cour des comptes estime que ces arguments ne peuvent justifier le manque d’initiatives pour entamer le démarrage du programme :  »Le retard dans la notification de la convention aurait pu être évité par la remise aux différentes parties-prenantes, de copies certifiées conformes à l’original, dès le lendemain de la signature de la convention ».

Les experts de la Cour des comptes enregistrent une amélioration dans l’exécution du  »programme Al Hoceima, manarat el Moutawassit », mais après plus de huit mois de manifestations, de protestations, de violations des droits de l’Homme dans l’ensemble de la région rifaine, des centaines d’arrestations d’activistes rifains. Il souligne, en effet, qu’ »avec l’installation du nouveau Gouvernement, et surtout après le Conseil des ministres du 25 juin 2017, une nouvelle dynamique a été enregistrée et comme conséquence de cette mobilisation, l’état d’avancement du programme s’est amélioré de manière significative », avec 512 projets en cours de réalisation ou en phase de démarrage, pour un montant global de 3,9 MMDH.

Que fera El Othmani

Pour le moment, le chef du gouvernement Saad Eddine El Othmani a écarté un remaniement élargi, et toutes les suppositions penchent pour un remplacement des ministres déchus. Les tractations devraient avoir lieu dans les prochains jours entre la majorité gouvernementale.

La procédure de limogeage des trois ministres fait débat, car c’est le roi qui est intervenu directement, après avoir pris connaissance des conclusions du rapport de la Cour des comptes.  »Le limogeage survenu hier procède d’une autre procédure, qui n’a jamais été évoquée par le chef du gouvernement, ni qui était à l’ordre du jour », indique Saâd Loudiyi, chef de cabinet de Saad Eddine El Othmani. « Pour l’instant, nous disposons d’un communiqué clair du cabinet royal. Le chef du gouvernement proposera uniquement des noms pour remplacer les responsables démis de leurs fonctions », a-t-il ajouté dans une déclaration à l’hebdomadaire TelQuel.

Pour les Rifains,  »c’est insuffisant »

A Al Hoceima, on estime que les décisions du roi sont insuffisantes.  »Ce qu’a fait le roi, c’est bien, mais c’est insuffisant. Car ceux qui ont failli à ces postes à responsabilités doivent être présentés devant le juge, pas seulement limogés puis remplacés par quelqu’un d’autre », estime un habitant d’Al Hoceïma cité par RFI.

Un autre rifain, cité par la même radio souligne que  »c’est normal que les ministres soient limogés et c’est grâce au Hirak ». Et d’ajouter que  »d’autres villes doivent faire la même chose » et doivent elles aussi  »protester ».

Pour Azzedine Akesbi, de Transparency Maroc,  »ces dysfonctionnements concernent plusieurs régions autres que le Rif ». Et d’expliquer :  »Il faudrait avant tout résoudre les problèmes de gouvernance pour répondre réellement aux besoins des Marocains. Cette décision est la reconnaissance au plus haut niveau de l’Etat que c’est un problème global de développement et qu’il serait très difficile d’isoler les responsabilités au niveau d’un ou plusieurs ministres. »

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Terrorisme et trafic de stupéfiants Messahel veut des «cordons sanitaires»

Algérie 360 - Fri, 27/10/2017 - 11:51

L’interconnexion entre le crime organisé et le terrorisme n’est plus à démontrer. Le ministre des Affaires étrangères a rappelé hier que la large palette de trafics menaçait la stabilité de la région. Il a pointé du doigt le trafic de stupéfiants, en particulier celui du «haschich». Messahel plaide pour la création de «cordons sanitaires» autour des zones de production de psychotropes.

Nawal Imès – Alger (Le Soir) – Les participants à la première réunion régionale du Groupe de travail du Forum mondial de lutte contre le terrorisme (GCTF) sur la relation entre le terrorisme et le crime organisé transnational partagent la même conviction : l’éradication du terrorisme passe par une lutte sans merci contre le crime organisé. La relation entre les deux fléaux est «complexe» de l’aveu du ministre des Affaires étrangères. Si le lien étroit entre les deux n’est plus à démontrer, Abdelkader Messahel a insisté hier à l’ouverture des travaux de ladite réunion sur la nécessité de coordonner les efforts pour mieux lutter contre les deux phénomènes.

La région à laquelle appartient l’Algérie, dit-il, souffre aussi bien du crime organisé que du terrorisme. «La bande sahélo-sahélienne est aujourd’hui une zone meurtrie et menacée par le développement de ces deux fléaux et par la densification de leurs canaux de collaboration, par la solidité des interconnexions de leurs intérêts et par la mutualisation progressive de leurs moyens pour la conduite et la protection de leurs activités criminelles progressives», affirme le ministre des Affaires étrangères qui place le trafic de stupéfiants en tête des menaces, notamment celui du «haschich».
Il vient s’ajouter au trafic de cocaïne, d’armes, la traite des êtres humains, l’exploitation de la migration illégale, le blanchiment d’argent, la contrebande ainsi que le vol de bétail.

Des activités illégales qui permettent à leurs auteurs de drainer des sommes colossales qui servent, par la suite, dans la planification d’attentats terroristes. D’où l’urgence de mieux cerner les ramifications des différents groupes et de comprendre leur fonctionnement, surtout qu’ils agissent souvent à l’international. Messahel avance des pistes de réflexion et voit en la délinquance ordinaire un risque certain qui peut conduire à la radicalisation et au terrorisme.

S’il estime que des arsenaux juridiques existent déjà pour lutter de manière efficace conte chacun des deux fléaux, un effort reste à faire pour mieux appréhender la relation entre les deux en organisant l’échange d’informations et données entre pays, en renforçant la coopération judiciaire au niveau régional et international ainsi que les institutions qui luttent contre le crime organisé. Messahel plaide pour la création de «cordons sanitaires» autour des zones de production de psychotropes. Une analyse partagée par le représentant du Royaume-Uni qui co-présidait la réunion.

Son ambassadeur a rappelé que l’initiative lancée en septembre dernier visait à harmoniser les bonnes pratiques pour développer une meilleure compréhension entre crime organisé et terrorisme. Il s’agit, selon lui, de relever les nombreux défis que vit la région en renforçant l’Etat de droit tout en impliquant les sociétés civiles. Il a tenu à rappeler le caractère transnational du terrorisme qui ne peut être combattu que grâce à des pratiques consensuelles identifiées par l’ensemble des pays directement ou indirectement concernés.
N. I.

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Burkina Faso: une vidéo menaçante de Simon Compaoré suscite la polémique

RFI /Afrique - Fri, 27/10/2017 - 10:47
Au Burkina Faso, Simon Compaoré fait le buzz sur les réseaux sociaux avec une vidéo qui le montre au domicile d'un député d'opposition pour le rassurer sur sa sécurité. Sauf que sur ces images, le ministre d'Etat, qui n'est pas un militaire, tient entre ses mains une arme de guerre.
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Sénégal: l'immunité parlementaire de Khalifa Sall pourrait être levée

RFI /Afrique - Fri, 27/10/2017 - 10:36
Au Sénégal, l'immunité parlementaire du maire de Dakar, élu député en prison, pourrait être levée prochainement. C'est en tout cas ce que souhaite le procureur de la République, qui en a fait la demande auprès de l'Assemblée nationale. Khalifa Sall est incarcéré depuis mars, notamment pour des accusations de détournement de deniers publics. Il a toujours clamé son innocence.
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Dossiers régionaux: convergence de vue entre Alpha Condé et Alassane Ouattara

RFI /Afrique - Fri, 27/10/2017 - 10:20
Alassane Ouattara, le président ivoirien, était ce jeudi 26 octobre en Guinée, à Conakry, pour une visite de quelques heures. Cette visite lui a permis d'évoquer des sujets d'actualités avec son homologue Alpha Condé, président en exercice de l'Union africaine. Compte-rendu de la rencontre entre les deux dirigeants.
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Madagascar: la refonte de la loi électorale se fait attendre

RFI /Afrique - Fri, 27/10/2017 - 09:16
A Madagascar, la refonte du code électoral se fait attendre à un an de l'élection présidentielle de 2018. Contrairement au projet modification de la Constitution, tout le monde s'accorde à dire qu'il faut un nouveau code électoral pour encadrer les élections à venir. Pendant deux mois, organisations de la société civile et partis politiques ont planché sur des recommandations de modification du code électoral. Des recommandations qu'ils ont soumis à un comité interministériel, présidé par le Premier ministre malgache.
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