A la résidence universitaire des filles de Blida, deux étudiantes se disputent pour un pantalon que l’une aurait volé à l’autre. L’altercation vire au combat avec armes blanches . Bilan : deux étudiantes blessées. La gendarmerie nationale continue à mener son enquête sur la base de témoignages et des vidéos enregistrées par les caméras de surveillance.
Plusieurs anciens agents de sécurité de l’aéroport d’Orly accusent leur société, Securitas, de discrimination. Ils déclarent avoir été convoqués par la direction ou licenciés parce qu’ils portaient une barbe, et parce qu’ils sont de confession musulmane. Selon Force ouvrière, au moins neuf agents ont été convoqués depuis les attentats de Paris du 13 novembre dernier. Tous seraient musulmans, et porteraient une barbe. Mais leur employeur refuse de parler de discrimination. Plusieurs motifs figureraient sur les lettres de licenciement comme des retards ou le refus d’effectuer certaine missions. Le problème du port de la barbe est également écrit noir sur blanc. Certains employés ont déposé plainte au pénal pour discrimination, le conseil des prudhommes devra également trancher dans ce dossier.
Le ministère de la Défense nationale (MDN) a annoncé, mardi, dans un communiqué la destruction de casemates au cours des opérations antiterroristes menées, hier, par les éléments de l’Armée Nationale Populaire (ANP).
Le MDN a précisé que « dix casemates aménagées ont été découvertes et détruites lundi par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) relevant du secteur opérationnel de Tizi Ouzou, dans le cadre de la lutte antiterroriste.
Pour la sixième année consécutive, le site www.almanach-dz.com (site électronique d’informations documentaires nationales) présente sa liste des personnalités les plus influentes (Very influent personalities, VIP). Selon Belkacem Ahcene-Djaballah, les deux premières années, la liste avait sacrifié aux canons habituels en se limitant à un Top ten (10) . Depuis 2011, il s’agit d’un TOP 15. Le choix se porte, non sur des personnalités occupant des postes de décideurs (dites « importantes ») mais, sur des personnalités (ou groupes de personnes) qui, tenant compte de leur notoriété, position, fonctions et actions ont un « pouvoir » d’influence durable, un temps ou longtemps, sur tout ou partie (s) de la société et/ou sur la vie quotidienne des citoyens et leur devenir. Nouveauté à partir de 2013 : Les personnalités occupant des postes de responsabilité stratégiques ou assumant de très hautes fonctions décisionnelles ou de commandement sont exclues du classement pour éviter toute « concurrence déloyale ». Le choix s’est fait sur la base d’une observation continuelle des médias (et de la société ), mensuellement, tout au long de l’année avec, en parallèle, la récolte d’avis et d’opinions , tout particulièrement dans les milieux de l’enseignement universitaire et de la presse (large panel de consultants bénévoles).
RAPPELS :
VIP 2014 (TOP 15), Liamine Zeroual suivi de Haddad Ali / VIP 2013 (TOP 15), Me Ali Yahia Abdenour suivi de Zohra Drif / VIP 2012 (TOP 15), Abdelmalek Sellal / VIP 2011 (TOP 15), Daho Ould Kablia, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales / VIP 2010 (TOP 10), Gendarme et-ou Policier chargé de la circulation routière / VIP 2009 (TOP 10), Bouteflika Abdelaziz, Chef de l’Etat/. (Voir fiches documentaires in www.almanach-dz.com / Société /personnalités).
1/ NOURIA BENGHEBRIT –REMAOUN : Nouria Benghebrit, épouse Remaoun, est une femme qui a occupé tout au long de sa carrière professionnelle, plusieurs postes de responsabilité dans les domaines de la recherche scientifique, le développement technologique et la connaissance outre la coordination de projets de recherche sur l’école et l’éducation. Le dernier poste qu’elle occupait avant sa nomination, lundi 5 mai 2014, ministre de l’Education nationale dans le nouveau gouvernement (de A. Sellal) à la place d’Abdelatif Baba Ahmed, était celui de directrice du Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc/Oran).
Depuis sa nomination aux fonctions de ministre, elle n’a pas manqué de « déranger » bien des habitudes bureaucratiques, ce qui ne fut guère apprécié , au départ, par les syndicalistes et, surtout, par les « conservateurs » rentiers du secteur…qui n’ont trouvé comme excuse que sa pratique hésitante (au tout début, car bien des progrès ont été faits) de la langue arabe. On a même vu une certaine « campagne de presse » à caractère diffamatoire menée à son encontre. Elle a su résister et imposer des améliorations aux réformes précédentes au niveau de l’Education nationale et ce, malgré les campagnes de presse et politiques menées par les tendances conservatrices. Elle a « réussi », fin novembre 2015, après de longues négociations avec les principaux syndicats (hors le Cla et le Cnapeste) à faire signer une « Charte d’éthique éducative »
2/ ARMEE NATIONALE POPULAIRE (ANP) : Pour les succès rencontrés lors des opérations continuelles anti-terroristes menées à travers le territoire national et aux frontières : terroristes abattus, terroristes arrêtés, saisies d’armes et d’explosifs, autres saisies (carburants , drogues, or et autres métaux, détecteurs de métaux…). Il y a , aussi, tout ce qui fait, en matière d’opération de détection de mines et leur destruction, opération très coûteuse et parfois meurtrière, et de nettoyage des terres (Total des mines détruites par l’ANP, de 1963 à 1988: 7 819 120 / De 2004 à 2014: 927 571….d’où un total de 8 746 691 ….et 57 884 ha nettoyés…..sur un total de 10 à 11 millions des mines placés essentiellement dans les zones frontalières par la colonisation.
Au 31 octobre 2015, le total des mines découvertes et détruites s’élevait à 807 478 mines, soit 674 388 mines antipersonnel, 128 149 mines anti-groupes et 4941 mines éclairantes. Le nombre de restant de mines doit être détruit avant 2017.
3) MEDIENE MOHAMED : Bien qu’admis à faire valoir ses droits à la retraite en septembre 2015 , le général de corps d’armée « Tewfik », ancien responsable du Drs/Mdn, reste encore dans l’imaginaire populaire ,et surtout pour ceux qui ont tout fait pour l’écarter, un homme influent. Durant vingt-cinq années, il ne s’était montré en public que très rarement et encore moins ne s’était exprimé.
La diffusion par voie de presse, le 4 décembre 2015, de sa « lettre ouverte » , « une sortie exceptionnelle », défendant un de ses plus proches collaborateurs, le général « Hassan », condamné à 5 ans de prison ferme, par le Tribunal militaire de Blida, l’a transformé, selon le politologue Hosni Abidi, en « chef du plus grand parti politique d’opposition »
4/ GROUPE DES 19 : Vendredi 6 décembre 2015, la lettre adressée le vendredi 1er novembre, au Président de La République Abdelaziz Bouteflika, est rendue publique lors d’une conférence de presse. Elle est signée de 19 personnalités (dont Zohra Drif- Bitat, Lakhdar Bouregâa, Abdelkader Guerroudj, Mustapha Fettal, Mohamed Lemkami, Nouredine Benissad, Meriam Benhamza, Rachid Boudjedra,Pr Abdelhamid Aberkane, Khalida Toumi, Louisa Hanoune…..) , demandant une audience….car « inquiets pour sa santé et pour l’avenir du pays ». Elle n’a été rendu publique, ont-ils précisé, que parce qu’ils n’avaient reçu aucune réponse à leur demande. Le groupe sera « maltraité » par une partie de la classe politique (tout ou parties du pouvoir dit parallèle ?) et ses soutiens économiques qui les traiteront , entre autres , de « salonnards » , leur demandant d’ « aller écrire leurs mémoires » . Certains opposants les critiqueront aussi . Malgré les défections en cours de route de quatre signataires (Zehira Yahi, Samia Zennadi, Rachid Hadj Naceur puis Fettouma Ousliha ; les trois premiers invoquant leur « naïveté politique et la précipitation » , la quatrième , comme les autres, ayant « subi », selon Khalida Toumi ,des « pressions intolérables et inhumaines ») , les autres membres sont catégoriques : « Nous ne reculerons pas ! », d’autant qu’ils estiment avoir été « confortés » par la lettre, rendue publique , elle aussi, du général de corps d’armée (désormais) à la retraite Toufik.
5/ HADDAD ALI : Il a été élu , jeudi 27 novembre 2014, « patron » des patrons algériens pour diriger la plus importante organisation patronale d’Algérie, le FCE (Forum des chefs d’entreprise). Candidat unique, il a été élu à l’unanimité pour un mandat de deux ans..
Ali Haddad est considéré comme l’un des hommes d’affaires les plus importants depuis une décennie. Il s’est affiché ,durant les dernières années, comme un soutien indéfectible pour la politique économique du président A.Bouteflika.
Natif de Azzefoun, 49 ans, lancé dans les affaires à partir de 1988, il est le patron du premier groupe privé de bâtiment et de travaux publics algérien, Etrhb Haddad, avec un chiffre d’affaires de 40 milliards de DA. Il est également présent dans les médias ( Quotidiens Waqt El Djazaïr en arabe et Le Temps d’Algérie en français et deux télévisions satellitaires : Dzaïr TV et Dzaïr News) , l’hôtellerie et la concession automobile.
Profitant de la professionnalisation du football, Ali Haddad a acquis l’USM Alger, un club prestigieux de la capitale.
6) SAÂDANI AMAR: Né le 17 avril en 1950 à Tunis (Tunisie), Amar Saadani, père de sept enfants, a été, entre 2004 et 2007, président de l’Assemblée populaire nationale (APN). C’est un fervent soutien de A. Bouteflika qu’il défend bec et ongles.
Ancien cadre syndical (UGTA), A. Saâdani a occupé le poste de Mouhafedh pendant 15 ans, député à l’APN en 1997, et membre du comité central du FLN. Il a été, au sein de l’APN, président de la commission des Tansports, des Transmissions et des Télécommunications.
Réélu député en 2002, il a occupé le poste de vice-président de l’Assemblée avant d’être élu, le 23 Juin 2004, président de l’APN. Nouveau Secrétaire général du FLN, il succède à Abdelaziz Belkhadem, qui a été écarté de son poste après un retrait de confiance, en janvier 2013.
Amar Saâdani est désigné , jeudi 29 août 2013, onzième Secrétaire général du parti du Front de Libération Nationale (FLN) à l’issue de la 6 ème session de son Comité central. Depuis, bien qu’en butte à de multiples attaques tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du parti, tant sur le plan de sa gestion politique que sur le plan personnel, alternant les discours rassembleurs et les propos provocateurs et parfois surréalistes, il a réussi à s’imposer.
7/ ISAAD REBRAB : Patron de Cevital, il a fait son entrée pour la première fois dans le classement annuel des fortunes arabes établi par le magazine Arabianbusiness qui le classe (décembre 2014) à la 32e place des hommes d’affaires arabes les plus riches. Sa fortune est estimée par Forbes à 3,2 milliards de dollars. Né à Tagmount Azzouz (Kabylie), plus de 70 ans, président du Conseil d’administration de Cevital (Industries alimentaires, matériaux de construction, presse avec le quotidien Liberté, automobiles, affichage publicitaire…plus de 25 entreprises ). Il a résisté en ne tombant pas dans le piège de la « provocation » par voie médiatique – au pouvoir qui voulait « l’éliminer » (rumeur d’un « mandat d’arrêt » contre lui) . Du fait du soutien de ses nombreux employés notamment en Kabylie , les autorités auraient fait marche arrière par peur ( ?) de la réaction de la rue.
Le 17 février 2014, il avait été reçu, avec une délégation de patrons de grandes multinationales (25) par le président français François Hollande qui cherchait à attirer en France des investisseurs.
A noter qu’après avoir acquis , en 2013, Oxxo, spécialiste français des portes et fenêtres , il acquiert Fagor-Brandt le spécialiste de l’électroménager puis , l’italien Lucchini, groupe italien de sidérurgie. Fin 2015, une information non confirmée annonce son intention d’investir plusieurs centaines de millions de dollars….au Brésil. Une autre provocation ?
8) BOUCHOUAREB ABDESSELAM : L’ancien directeur de communication de la campagne du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et ancien ministre de l’Industrie et de la Restructuration (1996), Abdessalem Bouchouareb, a été nommé lundi 5 mai 2014, ministre de l’Industrie et des Mines, dans le nouveau gouvernement dirigé par Abdelmalek Sellal (remplaçant ainsi Amara Benyounès) . Né le 3 juin 1952 à Ain Khercha, dans la wilaya d’Oum el Bouaghi, A. Bouchouareb est détenteur de plusieurs diplômes universitaires dans les sciences médicales et humaines. Il a occupé, en 1994, la présidence du Conseil national économique et social (CNES), puis a été nommé, en 1996, ministre de l’Industrie dans le gouvernement de Ahmed Ouyahia. Il avait été chef de cabinet et membre du bureau politique au Rassemblement national démocratique (RND), élu député de 2002 à 2007 de la wilaya d’Oum El Bouaghi et fondateur et président de la première confédération patronale (CGEOA) en Algérie (1989). Dans le cadre de ses activités en tant que Commissaire auprès du chef du gouvernement pour la promotion de l’emploi des jeunes (1998), puis en tant que ministre délégué à l’emploi en 2000, A. Bouchouareb a eu l’occasion de lancer puis de redynamiser l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) après avoir été un de ses initiateurs au CNES. A. Bouchouareb a été également élu député de la wilaya d’Alger, membre du bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN), vice-président, chargé du suivi des affaires administratives et du contrôle financier depuis son élection aux dernières législatives du 10 mai 2012. A. Bouchouareb a été, par ailleurs, élu vice-président de l’Internationale démocratique centriste en septembre 2012 (Rome).
9) HOUDA IMANE FERAOUN: Née le 16 juin 1979 , elle a grandi à Sidi Bel Abbes, dans l’Ouest algérien. Elle obtient, en 1999, un Diplôme d’études supérieures (DES) en physique du solide. Elle pousse son cursus jusqu’au magistère en science des matériaux qu’elle obtient en 2002.
Par la suite, la jeune femme veut couronner ses études avec un doctorat, toujours à Sidi Bel Abbeè. Mais, elle recherche une expérience à l’international et une occasion se présente à travers une bourse industrielle en Franche-Comté, en France. Elle est confrontée à un choix : faire son doctorat ou partir s’installer en France. Qu’à cela ne tienne ! Considérée comme têtue par son entourage, elle fait tout pour mériter son surnom de « la pierre » (el hadjra). Pour le moins déterminée, elle fait des allers-retours entre la France et l’Algérie et réussi à mener à bien ses deux projets en 2005.
Houda Imane Faraoun prend la tête de l’Agence nationale pour le développement de la recherche universitaire (Andru) en 2011. Une première expérience dans la gestion d’une administration publique. Ensuite, elle atterrit à l’Agence thématique de recherche en sciences et technologies (ATRST) où elle continue de participer à l’effort de gestion et contribue à « tracer la politique de recherche en Algérie », jusqu’à sa nomination à la tête du MPTIC, en mai 2015.
À 36 ans, elle est la plus jeune ministre du gouvernement algérien(Aicha Tagabou n’est que ministre déléguée chargée de l’Artisanat) . Mieux, elle est l’une des plus jeunes de l’histoire de l’Algérie indépendante à accéder à des fonctions ministérielles.
Au sujet de sa nomination, la nouvelle ministre estime que c’est un défi. En effet, elle convient qu’il s’agit d’un lourd héritage. Elle reconnaît qu’elle ne peut que « colmater les brèches » à court-terme, car il règne une certaine « léthargie dans le secteur ». Cela dit, elle affirme vouloir ouvrir de nombreux chantiers dès maintenant et poser les jalons d’une véritable politique de développement de son secteur. « Cela ne va pas être facile », reconnaît-elle.
Ambitieuse ? « Pas tellement », pense-t-elle, dès lors qu’il s’agit surtout de combler le retard accumulé. Malgré son poste de ministre, elle continue d’aller faire son marché elle-même, presque incognito. Elle se dit plutôt casanière et passe le plus clair de son temps dans son bureau : « Quand je ne travaille pas, je m’amuse. Et quand je m’amuse, c’est en travaillant ». Sa nomination n’a pas changé son mode de vie, « à peu de choses près ».
10) TEBBOUNE ABDELMADJID : 67 ans, né à Mechria (Naâma). Diplômé de l’ENA, 2è promotion. Plusieurs fois wali (Djelfa, Adrar, Tiaret, Tizi-Ouzou), ministre délégué chargé des collectivités locales, ministre de la Communication et de la Culture, de nouveau ministre chargé des Collectivités locales, ministre de l’Habitat et ce l’Urbanisme . Il a représenté le président A. Bouteflika lors de plusieurs missions à l’étranger après son départ du gouvernement. Ministre de l‘Habitat depuis le 4 septembre 2012 dans le nouveau gouvernement de A. Sellal. Un poste qui se conjugue intimement avec l’insondable et inextricable problème du logement dont la demande ne que fait que croître . Chargé de la Communication en 1999, il avait alors contribué (discrètement, mais efficacement), en avril 2000, à la mise place, par les journalistes, d’un Conseil de l’Ethique et de la Déontologie. Sous des dehors tranquille et discret, il a un sens efficace de la communication. En 2015, il est en bonne voie, en compagnie du wali de la ville, de réellement transformer Alger en « ville sans bidonvilles », phénomène rare en Afrique et dans la région
11/ DAOUD KAMEL : Journaliste au Quotidien d’Oran (Chronique Raina Raï), dont il a été rédacteur en chef, natif de Mostaganem, 45 ans, écrivain, auteur de « Meurseault , contre-enquête », édité d’abord en Algérie en 2013 puis en France en 2014. Trois prix (deux en France : le « Mauriac de l’Académie française » et le « Cinq Continents de l’OIF », et un en Algérie : « L’Escale Littéraire Alger 2014 ») et une double nomination pour le « Goncourt » et le « Renaudot » avec une « qualification » pour les « finales ». Par le passé, en 2008, , avec son recueil de nouvelles,« La Préface du Nègre », il avait obtenu le Prix Mohamed Dib. Son dernier roman (édité, il faut le préciser, en 2013, en Algérie) est passé inaperçu des conservateurs, des islamistes, des nationalistes sourcilleux, ainsi d’ ailleurs que des autres écrivains algériens, de la presse arabophone et des télévisions satellitaires francophobes. C’est son passage sur le plateau d’une télévision française dans une émission à grand succès (France 2 avec Laurent Ruquier), autour de son roman et de ses idées sur la vie politique, la vie cultuelle (la pratique de l’Islam) et culturelle (la pratique des langues) du pays, la mémoire franco-algérienne … qu’une « vague d’indignation » est soulevée , portée par un « imam » salafiste, Hamadache, qui avait appelé à le « tuer ». Un appel de haine qui a suscité une mobilisation nationale et internationale en guise de solidarité avec un journaliste-écrivain qui assume tous ses propos et qui refuse de se comporter en victime d’une campagne de dénigrement (orchestrée ?) visant à le pousser à quitter l’Algérie…. une Algérie qu’il veut seulement « raconter au reste du monde » . Son livre a été classée aux Etats Unis comme un des dix plus importants livres de l’année.
12) SANSAL BOUALEM : Né en 1949 à Théniet El Had, Boualem Sansal a fait des études d’ingénieur à l’Ecole Polytechnique d’Alger et à l’Ecole supérieure des télécommunications de Paris. , avant de soutenir un doctorat en économie. Son premier roman, le Serment des Barbares (1999) a reçu le prix du Premier roman et le prix des Tropiques (France). Il a reçu, en octobre 2011, le prix de la Paix des libraires allemands. Son roman, le Village de l’Allemand (2008) a reçu le Grand prix RTL, le Grand prix de la francophonie et d’autres distinctions européennes.Son œuvre compte, fin 2011, six romans ainsi que deux essais, des nouvelles et des contributions diverses. Dans une interview parue dans El Watan (22 octobre 2011) , il précise que c’est son ami Rachid Mimouni qui l’a encouragé à écrire. Ils étaient voisins à Boumerdès, les deux étant des cadres du secteur de l’Industrie. Lundi 19 décembre 2012, il est choisi comme membre du jury international du 62è Festival du film de Berlin (9-12 février 2012). A noter que Boualem Sansal est, avec Assia Djebbar , le romancier algérien le plus traduit en allemand. Et, en Allemagne, il a reçu plusieurs prix. L’Académie française lui décerne, jeudi 13 juin 2013, le Grand Prix de la Francophonie, doté de 20.000 euros…En décembre 2013, il reçoit le prix Jean Zay (France) de la laïcité et en septembre 2015, il est dans la première liste des nominés pour le Prix Goncourt (livre : « 2084 ») et il est, finalement, Grand prix de l’Académie française 2015. A noter qu’aucun de ses ouvrages n’a été édité en Algérie, mais la presse nationale a publié plusieurs entretiens….tous toujours marqués par un engagement sans détours laïc et anti-fondamentaliste
13/ JORNANE GOSTO : C’est une émission humoristique et satirique (des hommes politiques entre autres , et de l’actualité ), fabriquée au jour le jour, un concept unique dans le monde arabe, diffusée chaque soir après le f’tour du Ramadan sur El Djazaria Tv, animée dans le « stah » (car « chaque algérien a un « stah » dans la tête ») , avec vue panoramique, dominante, sur Alger, par des acteurs de talent et percutants (Nabil Asli dit Bahlito , Moufida Addas, Madli, Mohamed Khassani dit Abou Obeida, le faux homme religieux, Kamal Abdat, Nassim Haddouche, Wassila Mokrane, Fatima Belabed, à leur tête Abdelkader Djeriou) .L’émission a permis de « banaliser » bien des sujets alors tabous. Aucun numéro n’a subi de censure. L’émission (ainsi que de nouveaux concepts dont « Pas de panique ») ainsi que les animateurs « passent », avec armes et bagages, à KBC News fin 2014 . En juillet 2015, la chaîne de télévision KBC et son émission Jornane El Gosto refusent de se plier aux injonctions du président de l’ARAV concernant les critiques satiriques à l’endroit des responsables, tout particulièrement durant le mois de Ramadhan. Mais, on croit savoir que l’équipe a « éclaté », chaque élément entamant une carrière d’artiste prometteuse. En tout cas , elle laisse une empreinte notable dans le paysage audiovisuel national et redonné plus que du sourire aux Algériens.
14 / EQUIPE NATIONALE DE FOOTBALL DES U-23 : Disputant la CAN 2015 des footballeurs de moins de 23 ans à Dakar (Sénégal), elle a réussi à se qualifier aux Jeux Olympiques de Rio en 2016 (en compagnie du Nigéria et de l’Afrique du sud), ce qui n’était pas arrivé depuis plusieurs décennies et à disputer la finale de la Can (finale perdue face au Nigéria : 1-2).
Ces réussites ont poussé la FAF à relancer son Académie destinée à accueillir les jeunes footballeurs souhaitant entamer une carrière professionnelle tout en poursuivant des études.
15/ AHMED DJOGHLAF : Une des principales chevilles ouvrières de la COP 21 ( Paris Le Bourget, décembre 2015)
Diplômé d’Universités françaises et américaines, Ahmed Djoghlaf est un diplomate algérien qui a effectué une carrière tant en Algérie (au ministère des Affaires étrangères et à la Primature en tant que conseiller chargé de l’Environnement) qu’au sein des Nations-unies (sous-directeur exécutif du Pnue puis directeur, au titre du Pnue, du Fonds mondial sur l’Environnement).
Le 7 janvier 2010, à l’occasion du lancement par le Brésil de l’Année internationale de la biodiversité, l’une des villes les plus vertes du pays, Curitiba, a inauguré un nouveau parc urbain de 11 000 m2 baptisé au nom de Ahmed Djoghlaf.
ALGER- La ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (TIC), Imane Houda Feraoun a annoncé mercredi à Alger le lancement officiel de la 4G durant le premier semestre de 2016.
« Le lancement officiel de la 4G est prévu pour le premier semestre de 2016 », a indiqué la ministre dans une déclaration à la presse, en marge de la cérémonie d’oblitération du timbre-poste « 40 années de télécommunications spatiales » organisée par Algérie telecom satellite (ATS).
A une question sur le « retard » accusé dans l’utilisation du GPS (localisation géographique par satellite) notamment par téléphone, Mme Feraoun a affirmé que l’étude du projet était à un « niveau avancé », sans pour autant fixer de date à son entrée en service.
Evoquant la position de l’Algérie en matière de télécommunications spatiales, la ministre a salué le travail accompli depuis l’indépendance jusqu’à ce jour, annonçant une couverture satellitaire à 100% de tout le territoire national.
« L’Algérie peut aujourd’hui relever le défi des nouvelles technologies, d’autant que nos capacités humaines qui sont exceptionnelles peuvent être exploitées et valorisées », a-t-elle dit.
La facture des importations des véhicules s’est chiffrée à 3,024 milliards de dollars (mds usd) sur les onze (11) premiers mois de 2015, contre 4,806 mds usd sur la même période de 2014, soit une baisse de 37%, a appris, mardi, l’APS auprès des Douanes.
Le nombre des véhicules importés a connu une baisse quasiment de même ampleur que celle de la facture avec 255.236 unités importées contre 370.549 (-31%), précisent les données du Centre national des statistiques des Douanes (Cnis).
La majorité des importations opérées par une quarantaine de concessionnaires exerçant sur le marché national a enregistré une tendance baissière, en particulier celles européennes, notamment françaises et allemandes, qui ont connu une baisse en valeur et en nombre.
Les importations des véhicules par des concessionnaires de marques chinoises ont, par contre, enregistré des hausses notables entre les deux périodes de comparaison, allant jusqu’à une augmentation de 128% même si la facture et la quantité importée sont largement inférieures par rapport à celles des voitures européennes.
Par ailleurs, pour le seul mois de novembre 2015, les importations des véhicules ont atteint près de 181 millions usd contre 387 millions usd en novembre 2014, soit une baisse de 53,23%.
Par catégorie, les importations des véhicules de tourisme ont totalisé 125,83 millions usd en novembre dernier contre 201,15 millions usd en novembre 2014 (-37,44%).
Concernant les véhicules de transport de personnes et de marchandises, les importations ont chuté de 70,35% passant à 55,11 millions usd contre 185,88 millions usd.
La baisse amorcée des importations des véhicules depuis 2014 est le fruit des décisions prises par le gouvernement pour assainir le marché de l’automobile caractérisé par de profonds dysfonctionnements et des pratiques illégales.
Le marché des importations des véhicules est régi, depuis avril dernier, par un nouveau cahier des charges relatif aux conditions et modalités d’exercice de l’activité des concessionnaires de véhicules neufs.
En outre, il est prévu l’introduction des licences d’importation pour les véhicules en 2016 pour plafonner ces importations qui dépassent largement les besoins du marché national.
En 2014, les importations des véhicules s’étaient chiffrées à 6,34 mds usd contre 7,33 mds usd en 2013 (-13,56%), alors que leur nombre avait atteint 439.637 unités contre 554.263 unités (-20,68%). (Aps)
TIZI-OUZOU – Le chanteur Taleb Rabah, une icône de la chanson kabyle, natif du village Tizit dans la commune d’Illilten (Tizi-Ouzou) est décédé mardi à l’âge de 85 ans, a-t-on appris auprès de la direction locale de la culture.
La nouvelle de sa mort s’est vite répandue parmi ses fans, ses amis et la famille artistique suscitant une grande émotion parmi ces derniers qui ont afflué, nombreux, vers son domicile familial sis a la nouvelle ville de Tizi-Ouzou (cité 2.000 logements) pour lui rendre un dernier hommage, a-t-on constaté.
Sa dépouille sera ensuite transférée, en milieu d’après midi vers la maison de la culture Mouloud Mammeri, pour un dernier adieu à l’un des chanteurs ayant glorifié la guerre de libération nationale, a-t-on appris de la direction de la culture, qui a informé que l’enterrement de l’auteur de l’emblémaique « Wessan n’ni » aura lieu demain (mercredi) au village natal, Tizit.
Taleb Rabah est né en 1930. A l’âge de 20 ans, il quitte sa région pour un voyage en France ou il s’intéressa à la musique et au chant et fréquenta le milieu artistique avant de se lancer dans la chanson en 1955 en participant à l’émission de chanteurs amateurs à Radio Paris, dirigée alor par Amraoui Missoum.
ORAN- Les travaux du 3ème séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique ont pris fin mardi à Oran, après trois journées de débats et de discussions autour des grandes questions touchant la sécurité, la paix et les mécanismes de lutte contre le terrorisme et les zones de tension en Afrique.
La cérémonie de clôture a été présidée par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, en présence du diplomate algérien Lakhdar Brahimi, de ministres africains des Affaires étrangères et d’experts et de représentants d’organisations africaines et onusiennes.
En marge des travaux du séminaire, le chef de la diplomatie algérienne s’est entretenu avec plusieurs de ses homologues africains, rappelle-t-on.
ALGER – Le gouvernement a adopté un nouveau plan de développement pour la Société nationale des véhicules industriels (SNVI), visant à relancer la productivité et la compétitivité de cette entreprise publique, a indiqué, mardi à Alger, le ministre de l’Industrie et des mines, Abdeslam Bouchouareb.
« J’ai présenté au gouvernement, à travers un conseil interministériel tenu (lundi dernier), un plan de développement de la SNVI. Le dossier a été adopté », a souligné le ministre, en marge de la célébration de la 20ème Journée nationale de normalisation, sans fournir plus de détails.
M. Bouchouareb a, toutefois, expliqué que la SNVI, qui était « pratiquement à l’arrêt », avait besoin d’un « plan d’urgence » afin de se mettre en position de produire « très rapidement ».
Il a aussi considéré que cette entreprise devrait faire « un effort par rapport à son plan de restructuration et sa mise en adéquation par rapport aux objectifs tracés ».
Ajoutant que ce plan de développement sera pris en charge par le Conseil des participations de l’Etat (CPE), le ministre a précisé que ce plan de développement est similaire à celui retenu récemment pour le complexe métallurgique d’El Hadjar
Un passager en état d’ivresse a semé, vendredi dernier, la panique sur le vol Istanbul-Alger de la compagnie Air Algérie, rapporte journal El-Khabar.
Le passager, déjà ivre avant de monter à bord de l’avion, a une altercation avec une passagère au moment des formalités d’enregistrement. Dans l’avion, le passager a continué à boire et à se montrer irascible. Une hôtesse de l’air est intervenue pour tenter de le calmer, le passager a réagi avec violence en la frappant et en lui occasionnant des blessures au visage.
Le chef de cabine aidé par des jeunes est intervenu pour isoler le passager violent au fond de l’appareil. Une décision qui a suscité sa furie au point de se frapper la tête sur le siège. Le front ensanglanté, le voyageur a continué à proférer des grossièretés.
Le personnel de cabine, précise le journal El Khabar, « a du l’attacher à coté des toilettes pour éviter des actes violents contre les passagers dont certains hurlaient de panique. Des cas d’évanouissement ont été enregistrés ».
L’homme a continué durant tout le voyage a dire des grossièretés. Une avocate est intervenue fermement auprès du chef de cabine pour lui rappeler les procédures judiciaires à entreprendre dans des cas de ce genre. A l’arrivée à l’aéroport Houari Boumediene, le passager a été conduit au poste de police.
Dix personnes ont péri mardi dans le crash d’un avion bimoteur près de l’aéroport de New Delhi, ont indiqué des sources officielles.
Un avion de location transportant du personnel militaire s’est transformé en boule de feu après s’être écrasé sur une zone résidentielle de New Delhi, près de l’aéroport de New Delhi, provoquant la mort de ses 10 passagers et personnel de bord, a annoncé le ministre de l’Aviation, Mahesh Sharma.
Le petit bimoteur s’est enflammé après avoir percuté un mur peu après son décollage de l’aéroport international de la capitale indienne.
L’avion devait se rendre à Ranchi, dans l’Etat du Jharkhand (est) avec des techniciens des Border Security Force (BSF), chargés de la surveillance des frontières, qui devaient réparer un hélicopère sur place.
L’accident a eu lieu vers 09H50 heure locale, peu après que le pilote eut perdu contact avec les contrôleurs aériens, selon A. K. Sharma, directeur des pompiers de Delhi.
Le 80e derby entre les frères ennemis, l’USMA d’Alger et le Mouloudia d’Alger, qui va se dérouler ce soir au stade du 5-Juillet, est très attendu par les supporters des deux “teams”. Les Rouge et Noir, qui restent sur une étonnante élimination en Coupe d’Algérie face à la formation du PAC, veulent se ressaisir en remportant ce derby algérois, surtout que les protégés de Miloud Hamdi sont leaders du championnat à dix longueurs du Mouloudia.
Un autre succès va écarter définitivement le MCA de la course au titre, ce que les joueurs usmistes savent pertinemment. Ainsi, Hamdi va récupérer à l’occasion du derby de ce soir, ses trois internationaux espoirs qui ont beaucoup manqué à l’équipe face au PAC, en l’occurrence Abdellaoui, Benkhemassa et Ferhat. Koudri et Benmoussa, qui ont purgé leur suspension, sont, eux aussi, de retour. L’entraîneur usmiste va pourvoir bénéficier aussi des services de Bouchema et Baïteche remis de leurs blessures.
Ainsi, les Rouge et Noir, juste après le match du Paradou, sont entrés en stage à l’école d’hôtellerie et de restauration d’Aïn Benian, avant de poursuivre leur préparation au CTN de Sidi Moussa pour une meilleure concertation.
Les Usmistes misent beaucoup sur ce derby pour rebondir et oublier l’élimination amère de Dame Coupe. À cet effet, Miloud Hamdi va jouer avec un 4-4-2, un schéma tactique qui a toujours souri aux Usmistes notamment dans l’enceinte olympique, où l’USMA avait, rappelons-le, pris le dessus sur l’USMH et le CRB. Le onze usmiste pourrait ressembler à cela : dans les bois et en l’absence de Zemmamouche et Berrafane, tous les deux blessés, Miloud Hamdi a choisi de faire confiance à Mansouri. En défense, l’entraîneur usmiste va incorporer des joueurs d’expérience, en l’occurrence Meftah et Bedbouda dans les couloirs, alors que Chafaï et Khoualed constitueront l’axe de la défense.
Dans l’entre-jeu, Koudri et le jeune Benkhemassa seront dans la récupération alors que Ferhat et Benmoussa seront plus excentrés et joueront plus offensifs.
Enfin, la ligne d’attaque sera composée du duo Nadji et Seguer qui ont, à chaque fois, marqué au 5-Juillet. Le Mouloudia veut se rapprocher …
Pour sa part, le Mouloudia d’Alger, contrairement aux Usmistes, est bien meilleur sur le plan moral après sa belle qualification en Coupe d’Algérie face à l’USMO, mais aussi, cette série d’invincibilités qui dure depuis cinq rencontres déjà. L’équipe a retrouvé, un tant soit peu, la sérénité avec l’arrivée du nouvel entraîneur, Ighil, et son adjoint Biskri, puisque l’équipe commence à retrouver son équilibre. Les Vert et Rouge qui sont en 3e position au classement général, à dix points de leur adversaire du jour. Si les Mouloudéens veulent jouer le titre cette saison, ils doivent absolument vaincre leur voisin usmiste pour revenir à sept longueurs. Meziane Ighil sait pertinemment que cette rencontre est très importante pour la suite du championnat.
Une victoire permet non seulement aux Mouloudéens de réduire l’écart qui les sépare du leader, mais également de prendre un ascendant psychologique, notamment pour les matchs du championnat qui restent à disputer. Pour y parvenir, Ighil va disposer de la totalité de son effectif, hormis Bechiri, qui est incertain, tous les joueurs sont opérationnels pour le derby de ce soir. Le coach du Mouloudia va reconduire, à une exception près, la même équipe qui a battu l’USMO en Coupe d’Algérie.
De ce fait, dans les bois, sans surprise, Chaouchi sera incorporé. En défense, Hachoud et Zeghdane occuperont les couloirs. Pour ce qui est de l’axe de la défense, Ighil va aligner Bouhenna et Demmou ou Azzi. Surtout que Bouhenna n’est pas à 100% de ses moyens. Dans l’entre-jeu, le Mouloudia jouera avec trois joueurs, Chita et Karaoui à la récupération alors que Derardja jouera derrière les attaquants afin de distiller de bons ballons. Enfin, la ligne offensive sera composée d’Aouedj, de Gourmi et de Merzougui, en pointe.
“L’objectif de cet entrepreneuriat, expliquent les responsables de l’association, est d’améliorer les conditions de vie et le bien-être des citoyens”.
Le projet intitulé Entrepreneuriat social et citoyen franco-algérien, initié par l’association de bénévolat Imghane-Tizamourine d’Akfadou (Abita) en partenariat avec l’association française Projet pour l’emploi, est en voie de concrétisation. “Les deux structures se félicitent d’avoir atteint des objectifs fixés sur un an et inscrivent ainsi leur collaboration dans la durée”, ont écrit les responsables de l’association Abita dans un communiqué.
Lancé début août dernier, ce projet vise à créer un collectif franco-algérien d’entrepreneurs, hommes ou femmes, décidés à développer des projets sociaux, dans les domaines culturels, éducatifs, environnementaux etc. “L’objectif de cet entrepreneuriat, expliquent les responsables de l’association, est d’améliorer les conditions de vie et le bien-être des citoyens”. Le projet a été cofinancé par l’ambassade de France, la région Île-de-France, l’école de management HEC et la fondation Konrad-Adenauer.
L’association a sollicité d’autres financements de la part de la DAS, de la DJS, de l’APW, de l’APC d’Akfadou et de plusieurs entreprises. Pour la concrétisation du projet, 18 femmes ont été sélectionnées et 7 parmi elles ont été formées en France par l’école de management, HEC Paris, du 1er au 5 décembre.
Elles ont reçu un certificat d’entrepreneure sociale qui leur permettra de convaincre des mécènes et autres partenaires financiers. Une autre jeune de l’association a été choisie pour représenter cette dernière à la Conférence des jeunes (COY 11) qui se déroulera du 24 au 29 décembre à Paris.
Lors de leur séjour en France, les membres de la délégation conduite par le président d’Abita, Hakim Tamazouzt et le P/APC d’Akfadou ont pris part à plusieurs réunions de travail et rencontres avec d’autres structures, experts et élus français et saisi l’occasion pour exprimer leur volonté de développer des partenariats à l’avenir.
À noter que l’association a, dans le cadre du même projet, organisé récemment à l’université de Béjaïa une conférence-formation accélérée pour les étudiants en économie sous le thème “Introduction à l’entrepreneuriat social, moteur économique et social”.
La droite conservatrice a reçu une douche froide dimanche soir, après la publication des résultats des législatives qui ont permis l’entrée en jeu de nouvelles forces politiques en Espagne pour la première fois en quarante ans.
L’Espagne a amorcé, hier, une nouvelle ère politique qui rompt avec le système de gouvernance bipartite, sur lequel droite et gauche s’alternaient depuis la fin du Franquisme, il y a trente ans. Après avoir perdu la majorité absolue au Parlement, face à de nouvelles formations politiques Podemos (Gauche radicale) et Ciuadadnos (Centre-droit), le Parti populaire (conservateur) du Premier ministre sortant Mariano Rajoy se trouve dans une véritable impasse. Sa politique d’austérité, alignée sur celle de l’Union européenne, a été contre-productive.
Outre le Parti socialiste, qui a eu 22% des suffrages et 90 des sièges aux législatives de dimanche, son plus mauvais score en quarante ans, Podemos a affirmé, hier, qu’il voterait contre la reconduction de Mariano Rajoy à la tête du prochain gouvernement, alors que le parti libéral Ciudadanos a indiqué qu’il s’abstiendrait, ce qui ne laisserait aucune chance à M. Rajoy d’être investi. “Le PSOE (parti socialiste) va agir avec prudence et responsabilité, mais le PSOE va voter non au Parti populaire et à Rajoy”, a déclaré le secrétaire d’organisation du PS espagnol. “Podemos ne permettra, d’aucune manière, un gouvernement du PP”, a, de son côté, déclaré Pablo Iglesias, le leader de 37 ans de parti issu du mouvement Indignados (indignés). Podemos est arrivé en troisième position avec 20,6% des voix qui lui permettent d’obtenir 69 sièges dans la nouvelle Assemblée. “Notre message à l’Europe est clair.
La souveraineté est la priorité pour nous en termes d’organisation du système politique”, a rappelé, hier, Pablo Iglesias, lors d’une conférence de presse à Madrid, a rapporté l’AFP. Mais rien n’est encore joué pour le Parti populaire qui dispose de 127 sièges sur un total de 350.
Contrairement à Podemos qui défend l’option de l’autodétermination et défend “la diversité des peuples d’Espagne», le PSOE et le PP sont d’accord sur certaines questions de fond comme leur refus de l’indépendance de la Catalogne.
Par ailleurs, les deux partis divergent totalement dans leurs choix économiques. Le Parti socialiste est contre la poursuite de la politique d’austérité dictée par Bruxelles, tout comme il demande l’abrogation de l’actuel code du travail. La Constitution prévoit que le roi désigne, après consultations, un candidat chargé de former un cabinet qui doit être investi par la chambre.
Pour ce faire, il doit obtenir la majorité absolue des sièges, 176 sur 350. En cas d’échec, l’investiture est possible à la majorité simple, que Mariano Rajoy n’obtiendrait pas. Comme l’a noté le célèbre quotidien de gauche espagnol El Pais, dans son éditorial d’hier, “le Parlement sera un Parlement de minorités, où aucun parti ne sera en mesure d’agir seul, vu qu’aucun n’approche de la majorité absolue”.
Après la Grèce et le Portugal, où la politique d’austérité a provoqué la chute de la droite, c’est donc au tour de l’Espagne de passer le test d’une nouvelle gouvernance.
Lors d’une réunion tenue au siège de la wilaya de Jijel, la semaine passée, à laquelle ont pris part les directeurs de l’exécutif, les chefs de daïra, les présidents des APC concernés ainsi que les investisseurs, le wali de Jijel Larbi Merzoug, qui fait de l’investissement local son cheval de bataille, a fait savoir que l’administration est prête à aider tous les investisseurs afin qu’ils puissent travailler dans de bonnes conditions.
À ce sujet, les investisseurs qui ont vu leurs dossiers validés par le Calpiref, il y a quelques mois, ont posé les problèmes et les contraintes rencontrés afin de les débattre et trouver des solutions définitives aux obstacles.
Par ailleurs, le chef de l’exécutif a précisé qu’il accordera des facilités à tous ceux qui veulent travailler et concrétiser leurs projets d’investissements sur le terrain, tout en les mettant en garde contre les retards qui peuvent être enregistrés.
En effet, un délai de six mois, à compter de la date d’obtention du permis de construire, a été accordé aux investisseurs pour lancer leurs projets, faute de quoi la concession sera annulée, a-t-on précisé.
Nous apprendrons aussi que les dossiers d’investissement récemment déposés seront étudiés prochainement et seront classés selon l’importance de l’activité proposée et son impact sur la société, en l’occurrence la création d’emplois.
Il convient de rappeler que sur 811 dossiers d’investissement déposés, 137 ont été validés pour un montant de 75 milliards de dinars.
Le gouvernement du Mali a annoncé, lundi, avoir décrété l’état d’urgence pour une durée de 10 jours, à compter de minuit, pour prévenir le danger d’éventuelles menaces terroristes.
Cette mesure a été arrêtée lors d’un Conseil des ministres extraordinaire présidé par le président Ibrahim Boubacar Keïta, consacré à l’évolution de la situation sécuritaire au Mali et dans la sous-région.
L’institution de l’état d’urgence donne aux autorités compétentes « les moyens de droit de circonscrire et de combattre tout projet d’atteinte à la sécurité des personnes et de leurs biens », a-t-on indiqué de même source.
Le 20 novembre dernier, les autorités Maliennes avaient déjà institué l’état pour une durée de dix jours des suites d’une attaque terroriste contre un grand hôtel de Bamako.
L’année 2015 aura été prolifique en initiatives politiques émanant de la majeure partie de la classe politique algérienne, allant du « front national » proposé par le FLN au « pôle politique » préconisé par le RND en passant par l’idée de « reconstruction du consensus national » prônée par le FFS.
D’autres initiatives sont venues cette fois de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), qui regroupe des partis politiques et des personnalités nationales et politiques, dont le credo est le « changement » radical du système politique et du mode de gouvernance.
Cette fébrilité inhabituelle des différentes formations politiques –sur fond de volonté de réformes affichée par les pouvoirs publics à travers la finalisation annoncée du projet de révision constitutionnelle– traduit à n’en pas douter une exigence de positionnement en prévision des prochaines échéances politiques, à savoir les élections législatives et locales de 2017 et l’élection présidentielle de 2019.
Parmi toutes ces initiatives, celle d’un « front national » suggérée par le FLN aura recueilli l’adhésion de plusieurs partis politiques et associations de la société civile tant elle vise à rassembler, autour du programme du président Abdelaziz Bouteflika, « une majorité de sensibilités politiques autour de grands objectifs nationaux afin de consolider le front interne et faire face aux dangers
qui guettent la nation aux plans sécuritaire, politique et social », selon les termes de son secrétaire général.
En plus de considérations d’ordre politique, l’idée du FLN aura été dictée en effet par une actualité nationale fortement marquée, en 2015, par une brusque détérioration des moyens financiers de l’Etat consécutive à un effondrement des prix internationaux du pétrole ainsi que par des dangers grandissants aux frontières du pays et nécessitant, pour y faire face, un renforcement des capacités de riposte internes.
Le Parti du renouveau algérien (PRA), Tajamoue Amel el Jazair (TAJ), l’Alliance nationale républicaine (ANR), le Front du changement (FC) et l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), notamment ont déjà annoncé leur adhésion à l’initiative du FLN.
C’est au terme du 10ème congrès du parti, tenu le 28 mai 2015, que Amar Saadani a appelé à la formation d’un « Front national » élargi regroupant les différentes formations politiques et organisations de la société civile ayant soutenu le président de la République.
Pour sa part, le secrétaire général par intérim du Rassemblement national démocratique (RND) Ahmed Ouyahia, fraîchement plébiscité à la tête de ce parti, a lancé une initiative visant à constituer un « pôle politique » constitué des partis majoritaires au Parlement et ceux faisant partie du gouvernement actuel (RND, FLN, TAJ et MPA).
Le RND a recommandé de « collaborer avec tous ceux qui partagent ses positions relatives au soutien au président de la République et à la défense des intérêts supérieurs du pays ».
Le FFS et la CNLTD aussi …
Mais la démarche la moins attendue de 2015 est venue, dès le début de l’année, du vieux parti de l’opposition, le Front des forces socialistes (FFS) qui a appelé à l’organisation d’une « conférence du consensus national », à laquelle il convie les partis de l’opposition au même titre que ceux au pouvoir.
Pour tenter de forcer la décision, le FFS a approché des syndicats, des associations et personnalités nationales et politiques pour un débat politique sur la situation du pays et les défis internes et externes auxquels il doit faire front.
L’initiative du FFS a reçu un accueil différencié dans la mesure où des formations politiques, des syndicats et des associations y ont adhéré, alors que d’autres se sont déclarés simplement « non concernés ».
La fin de non-recevoir la plus évidente aura été l’oeuvre de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), laquelle a estimé que la démarche de ce parti ne visait rien d’autre qu’à faire « échouer » son action, le FFS ayant auparavant participé aux diverses actions menées par la Coordination.
La CNLTD, qui regroupe des partis et des personnalités politiques et nationales a fait étalage d’une série de propositions allant dans le sens de ce qu’elle appelle un « vrai changement capable de consacrer la souveraineté du peuple ainsi que sa liberté de choisir ses dirigeants et ses représentants ».
Mettant l’accent sur l’idée de « transition démocratique », la CNLTD qui avait tenu sa première réunion à Alger en juin 2014, a proposé une plate-forme de propositions pouvant constituer « la solution idoine à la crise que traverse le pays », à commencer par l’institution d’une « instance indépendante permanente pour l’organisation des élections ».
Il reste que la profusion d’initiatives politiques, constatée durant l’année qui s’achève, vient consolider la pratique de la démocratie en Algérie à la faveur de réformes politiques engagées en 2011 et qui auront déjà permis la promulgation de nouvelles lois organiques relatives notamment au régime électoral, aux partis politiques et à l’information, en attendant la nouvelle révision constitutionnelle.
Un total de 3.494 jeunes chômeurs a bénéficié d’un emploi, en 2015 dans la wilaya de Skikda, dans le cadre des différents dispositifs gérés par l’Agence de développement social (ADS), a indiqué mardi à l’APS le directeur régional de cette agence à Annaba, Khelifa Rebahi.
S’exprimant en marge d’une campagne d’information sur les dispositifs sociaux gérés par cette agence qui couvre cinq wilayas de l’Est du pays, dont le coup d’envoi a été donné depuis la wilaya de Skikda, le même responsable a précisé que parmi les emplois créés, 2.594 l’ont été à la faveur de la réalisation de 232 projets des programmes TUP-HIMO (travaux d’utilité publique à haute intensité de main- d’oeuvre) et Blanche Algérie.
Ces projets, en cours de réalisation, portent essentiellement sur le curage des réseaux d’assainissement, l’entretien des routes et des espaces verts, l’aménagement des établissements scolaires et le nettoyage de sites urbains, a déclaré le même responsable lors de cette campagne organisée au centre culturel Aissat Idir de la ville de Skikda.
Pas moins de 900 autres postes de travail ont été affectés à des jeunes sans emploi dans le cadre du programme d’insertion des diplômés (PID) de l’enseignement supérieur et des techniciens supérieurs de la formation professionnelle, a-t-il ajouté.
Le dispositif PID géré par l’ADS, a été mis en place par décret exécutif en remplacement de l’ancien contrat de pré-emploi (CPE). Il s’inscrit dans le cadre d’une « politique active d’insertion des jeunes diplômés », d’une durée d’une année renouvelable une seule fois pour la même période dans tous les secteurs administratifs et économiques publics et privés, a expliqué M. Rebahi.
Cette campagne d’information vise, entre autres, à « redynamiser » les actions de l’ADS dans les wilayas couvertes par sa direction régionale d’Annaba, à informer les familles éligibles aux programmes d’aide et les rapprocher des administrations concernées, et à promouvoir une synergie locale, a encore fait savoir la même source.
Mustapha Heddane a entraîné le MCA et l’USMA, entre autres. A quelques heures du derby, il nous livre quelques anecdotes à ce sujet.
Aujourd’hui, le stade du 5-Juillet sera le théâtre d’un USMA-MCA très attendu, que représente ce derby à vos yeux ?
J’ai joué d’autres derbys, avec le CRB et l’USMH, je dois dire que celui entre l’USMA et le MCA est particulier. C’est le derby numéro un en Algérie. Il réunit deux clubs populaires et intéresse le grand Alger, pas seulement Bab El-Oued et Soustara. Il y a une ferveur qu’on ne retrouve nulle par ailleurs au pays. Les deux clubs vivent des moments forts, surtout au niveau des supporters, et des dirigeants à un degré moindre. Les fans des deux camps vivent ensemble, ce sont des amis, issus du même quartier, très souvent du même immeuble et de la même famille. Il y a une passion immense au sein du public qui, à son tour, la transmet aux joueurs et aux entraîneurs. Les joueurs n’ont pas besoin d’être motivés, des fois on doit même intervenir pour tempérer les ardeurs et calmer les excitations.
Vous avez entraîné les deux clubs, racontez-nous quelques anecdotes sur ce derby ?
J’en ai quelques-unes très croustillantes. En 1997, je coachais l’USMA. A l’approche du match face au MCA, j’ai entamé un travail psychologique pour mettre mes joueurs dans les meilleures dispositions mentales. Il y avait à l’époque comme un blocage psychologique des Usmistes, qui ne gagnaient pas souvent contre le Mouloudia. On l’a finalement emporté 3-1 et, depuis ce jour-là, la tendance a été inversée. On avait fait un grand match.
C’était la fois où Hadj Adlène s’est permis quelques jongles sur le terrain…
Oui, d’ailleurs je le lui ai reproché sévèrement après le match. On ne ridiculise pas un adversaire, on le bat, un peu comme a fait le Real Madrid récemment face au Rayo Vallecano qu’il a battu 10-2. Pour revenir à la préparation de ce derby, je me rappelle avoir pris Dziri en aparté pour le sensibiliser en tant que leader de l’équipe. Il m’a sidéré par sa réponse. Il m’a dit : «Mustapha, ne te casse pas la tête en ce qui me concerne. Moi, je vais rentrer sur le terrain, je vais gagner et j’en ressortirai !» Il était le seul joueur à m’appeler par mon prénom, il avait un mental d’acier. Ça s’est passé comme il l’avait envisagé. Il y a eu néanmoins une attitude qui m’avait déplu de la part d’un dirigeant usmiste. Avant le match, il m’avait dit : «Demain, on devra gagner de gré ou de force !» Je l’ai ramené à la raison en lui expliquant qu’on n’allait tout de même pas user de violence comme si on allait à la guerre. Le lendemain, le dirigeant dont je tairai le nom s’en est excusé.
Et côté MCA ?
En l’an 2000, j’avais quitté l’USMA pour rejoindre justement le MCA. Le derby est survenu presqu’aussitôt. La veille du match, le jeune avant-centre Bouras est venu me voir pour me dire : «Cheikh, demain je marquerai un but, je l’ai vu dans un rêve !» Etant très pieux, il en était convaincu. Mais, moi, ça me posait problème car il ne figurait pas dans mon équipe de départ. Le jour du match, alors qu’on était menés 1-0, je l’ai incorporé et il a marqué le but de l’égalisation ! Le derby était retransmis à la télé, on ne s’est pas privés de faire un geste que je n’ai pas oublié : il a couru vers moi et on s’est donné trois ou quatre coups de tête comme des béliers.
A quoi pourrait-on avoir droit aujourd’hui sur le terrain ?
Le derby est un match retard, tout le monde sera donc branché dessus, en plus en soirée. Ce match se joue sur le plan mental. L’USMA a manqué deux objectifs majeurs, son moral est au plus bas. Le MCA, lui, a le moral gonflé à bloc. La partie sera extrêmement disputée. Personnellement, je vois un match nul ou une petite victoire du Mouloudia.
H. D.
USMA-MCA : appel au fair-play
A quelques heures du derby algérois, entre le MC Alger et l’USM Alger, les supporters des deux équipes préparent la fête. L’Association pour l’éthique sportive de la wilaya d’Alger lance «un appel aux supporters des deux clubs pour être à la hauteur de l’évènement, en montrant aux admirateurs du sport en général et du football en particulier que les fans du MCA et de l’USMA sont contre la violence, quelle que soit sa nature, et pour le fair-play entre deux clubs frères». Ladite association ajoute : «Nous sommes convaincus que les deux galeries seront à la hauteur du derby et que ce match sera une grande fête au stade du 5-Juillet.»
Des fans de la JSK attendaient les tirs au but à Relizane, après l’élimination…
Avant son match de coupe à Relizane, la JSK a été battue en match amical (1-0) par la JS Azazga. A la fin de la partie, l’entraîneur des Canaris, Dominique Bijotat, a invité ses joueurs à effectuer des tirs au but, histoire de se préparer à l’éventualité d’y recourir à Relizane, dans l’épreuve populaire. Finalement, la JSK a été défaite une nouvelle fois (1-0) p ar le RC Relizane, se faisant ainsi éliminer. Curieusement, des supporters des Canaris sont restés dans les tribunes bien au-delà de la fin du match. On s’est naturellement posé la question. L’un d’eux nous en a fourni l’explication. «Noua attendions la série des tirs au but, comme l’avait fait Bijotat après la défaite 1-0 contre Azazga», nous a laissé entendre un fan des Jaune et Vert, présent au stade de Relizane, pour narguer le technicien français, qui fait de moins en moins l’unanimité…
L’international algérien Carl Medjani attend toujours le verdict de la FIFA suite à la plainte déposée à l’encontre de son club Trabzonspor avec qui il a résilié unilatéralement son contrat du fait qu’il n’a pas été payé pendant plusieurs mois.
Le joueur, qui se trouve actuellement en France, sera fixé dans les prochains jours sur ce dossier pour ensuite ouvrir la porte des contacts avec les clubs qui veulent l’engager au mercato hivernal. Aux dernières nouvelles, le joueur intéresse plusieurs clubs en France.