ALGER- Le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi devra prendre part à la première réunion des ministre de la Culture des pays membres du dialogue des 5 + 5 de l’ouest de la Méditerranée prévue vendredi à Tunis, indique un communiqué du ministère.
Cette première réunion consultative, dédiée à « étudier les voies de renforcement de la coopération culturelle », sera axée sur le thème « La culture au service du rapprochement et du développement solidaire », ajoute le communiqué.
Plusieurs dossiers en rapport avec le patrimoine seront abordés par les participants dont « la sauvegarde » et la « mise en valeur » du patrimoine culturel matériel et immatériel des pays membres et la « préservation des manuscrits ».
La coopération dans le domaine des industries culturelles et créatives, le livre, le soutien des jeunes créateurs ou encore la participation aux de différents festivals et rencontres dans les pays concernés, figurent également à l’ordre du jour de cette réunion.
La réunion vise également à rapprocher les peuples et les cultures des pays des deux rives de l’ouest méditerranéen et à renforcer les échanges.
Cette première réunion des ministre de la Culture des pays membres du dialogue des 5 + 5 a été approuvée lors de la dernière réunion des ministres des Affaires étrangères des pays membres, tenue en octobre 2016 à Marseille (France) sous la co-présidence de l’Algérie et de la France.
BERLIN- Le documentaire de fiction « Tahqiq fel djenna » (Enquête au Paradis), dernière £uvre du réalisateur algérien Merzak Allouache, est programmé au 67e Festival international du film de Berlin (Berlinale) qui s’ouvre jeudi à Berlin, ont indiqué les organisateurs.
Programmé dans la sélection « Panorama », une des sections non compétitives destinée à la promotion de nouvelles production, « Tahqiq fel djenna » sera projeté aux côtés d’une cinquantaine de films de France, d’Allemagne, du Brésil et du Maroc, entre autres.
Le long métrage documentaire, une coproduction franco-algérienne, s’intéresse au phénomène de l’extrémisme religieux -un thème souvent abordé par Allouache dans ses fictions- à travers l’histoire d’un groupe de journalistes menant une enquête sur ce phénomène étranger à la société algérienne.
Sorti en 2017, « Tahqiq fel djenna » a été primé récemment au 30e Festival international des programmes audiovisuels (Fipa) de Biarritz (France).
18 films (court, long métrage et documentaire) sont en lice pour l’Ours d’or », la plus haute distinction de la Berlinale.
Des oeuvres des Etats-Unis, du Mexique et d’Espagne, entre autres, seront projetées hors compétition dans la section « Berlinale Special ».
Le jury de cette 67e édition qui se poursuivra jusqu’au 19 février est présidé par le réalisateur néerlandais Paul Verhoeven (« Basic Instinct », « RoboCop », « Elle »).
La Berlinale qui se tient depuis 1951 est un des plus anciens festival de cinéma en Europe et dans le monde où il est considéré comme un des plus grands rendez-vous du 7e art.
Une citoyenne canadienne de confession musulmane qui dit vivre au Québec depuis plus de 20 ans croit qu’elle n’a pu entrer aux États-Unis samedi dernier à cause de sa religion.
Fadwa Alaoui, qui habite Brossard près de Montréal, de même qu’une cousine, ont subi un long interrogatoire au poste frontalier
de Highgate Springs, au Vermont, face à celui de Saint-Armand/Philipsburg.
En compagnie de deux enfants, elles voulaient se rendre à Burlington pour faire du magasinage.
Dans des entrevues livrées à divers médias d’information, Mme Alloui explique qu’elle a d’abord signalé au douanier américain qu’elle était née au Maroc tel qu’indiqué sur son passeport canadien valide jusqu’en 2018.
Les deux femmes ont ensuite été conduites aux bureaux des douanes où elles ont remis leurs téléphones cellulaires et les mots de passe avant d’attendre pendant une heure.
De longs interrogatoires ont suivi. Mme Alaoui signale qu’elle a été questionnée presque uniquement sur sa religion.
On lui a ensuite demandé ce qu’elle pensait du président Donald Trump; elle a répondu qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de son pays.
Après quatre heures d’attente, Fadwa Alaoui, ses enfants et sa cousine ont été avisés qu’ils ne pourraient pas entrer aux États-Unis. Les deux femmes ont dû signer des documents, fournir leurs empreintes digitales et rebrousser chemin.
Mme Alaoui affirme qu’elle a pourtant franchi souvent la frontière canado-américaine dans le passé.
ALGER- « L’échappée » coréalisé par l’Algérien Hamid Saidji et le Britannique Jonathan Mason est programmé au 39e Festival du court métrage de Clérmont Ferrand (France) qui se poursuit jusqu’au 11 février, annonce-t-on sur le site du festival.
Le film sera projeté dans la catégorie « Regards d’Afrique » qui prévoit la projection de dix courts métrages réalisés sur le continent.
Sorti en 2016, « L’échappée » aborde avec dérision le parcours d’un chauffeur de taxi algérois, campé par le photographe Said Ait Ali, qui rêve de devenir grand photographe en Italie en s’exerçant à réaliser des clichés de ses clients et de ses proches.
« El Bayda » des réalisateurs marocains Alaa Akaaboune et Ayoub Lahnoud, « Tikitat-A-Soulima » du Marocain Ayoub Layoussifi, « Le reste est l’oeuvre de l’homme » de la tunisienne Doria Achour, « Djibril » du sénégalais Mamadou Lamine Seck, ou encore « Initiation » du Sud Africian Teboho Edkins sont également au programme de cette section.
80 courts métrages sont en en lice pour le Grand prix du festival, décerné par un jury présidé par la cinéaste tunisienne Kaouther Ben Hania.
Des sections spéciales dédiées à l’humour noir, au cinéma colombien, ou encore aux films de laboratoire sont également au programme de ce festival, inauguré le 3 février. Une exposition de l’artiste « Hyppolyte », « Les enfants de Kinshasa », et un reportage en bande dessinée sur les enfants des rues de la capitale congolaise sont aussi prévus.
ALGER- Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Mohamed Larbi Ould Khelifa a indiqué mercredi à Alger que l’Algérie et la France oeuvraient ensemble à hisser le niveau de leurs échanges dans un climat marqué par des défis sécuritaires et des mutations politiques effrénées.
« Les relations algéro-françaises ont connu une évolution remarquable ces dix dernières années notamment suite aux visites échangées au plus haut niveau des deux pays », rapporte un communiqué de l’APN, citant M. Ould Khelifa qui a reçu la présidente de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française Elisabeth Guigou.
Il a évoqué les résultats positifs perçus à l’issue de ces précédents entretiens avec le présidents de l’assemblée nationale et d’autres responsables.
Le président de l’APN a estimé que ces entretiens ont révélé une grande entente et une volonté commune de promouvoir la coopération bilatérale sous tous ses aspects, ajoute le communiqué.
Dans le même contexte M. Ould Khelifa a mis en avant la nécessité de concrétiser les accords convenus dans le cadre de la haute commission bilatérale qui représente un des principaux espaces de coopération parlementaire entre les deux pays.
Abordant la situation sécuritaire, le président de l’APN a rappelé que l’Algérie qui a lutté seule et le long d’une décennie entière contre le terrorisme est aujourd’hui une source de sécurité et de stabilité et un pole qui accueille les réfugiés et migrants dans une région qui connait des crises et des foyers de tension.
« L’Algérie encourage le dialogue en tant que moyen unique favorisant le rapprochement de vues entre plusieurs antagonistes au Mali, en Libye et en Syrie », a rappelé M. Ould Khelifa qui a réitéré son appel à permettre au peuple palestinien d’exercer ses droits dans le cadre de la solution des deux Etats, rapporte encore le communiqué.
Pour sa part Mme Guigou a affirmé que les parlementaires français suivaient avec intérêt les efforts consentis par l’Algérie pour sauvegarder la paix et et la sécurité dans la région soulignant l’importance de la concertation entre l’Algérie et la France qui sont deux pays confrontés à des défis communs, à leur tête la lutte antiterroriste.
La France salue les efforts de l’Algérie pour trouver des solutions pacifiques et durables aux crises dans la région notamment son succès à résoudre la crise malienne », a fait savoir la parlementaire française soulignant que ces efforts ont évité aux deux pays les retombées de la crise sur la sécurité de la région.
Elle a appelé à fournir l’appui nécessaire au pays sahelo-sahariens pour les aider à surmonter leur crise rendant hommage à l’Algérie pour son soutien a certains pays de la région, telle la Tunisie, pour transcender leur difficultés et préserver leur sécurité.
ALGER- Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a reçu mercredi à Alger, Mme Elizabeth Guigou, présidente de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, en visite en Algérie, indique un communiqué des services du Premier ministre.
Cette rencontre a permis de « procéder à un large échange de vues, notamment dans le domaine parlementaire. Les deux responsables ont convenu de consolider les bonnes relations traditionnelles de coopération qu’entretiennent les deux pays », précise la même source.
L’entretien a ensuite porté sur « un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun, les conflits dans la sous-région. L’accent a été mis sur l’importance de la concertation et de la coordination pour la recherche des solutions viables et durables à même de garantir la paix et la stabilité dans la région », ajoute-t-on.
L’audience s’est déroulée en présence de la ministre des Relations avec le parlement, Ghania Eddalia.
ALGER- Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a salué, dans un message de condoléances à la famille du Moudjahid, Djelloul Khatib, décédé mardi à l’âge de 79 ans, les qualités du défunt et son parcours militant pour la libération du pays du joug colonial et son dévouement dans l’édification de l’Etat national moderne.
« C’est avec une profonde affliction que j’ai appris le décès du frère Djelloul Khatib, l’un de nos militants qui ont voué leur jeunesse à la libération du pays du joug colonial et contribué avec abnégation et dévouement à l’édification de l’Etat national moderne pour que vive l’Algérie dans la dignité », écrit le Président Bouteflika.
« Nous perdons l’un des compagnons de la première heure qui ont répondu à l’appel de la patrie, et contribué après l’indépendance aux efforts d’édification nationale », ajoute le chef de l’Etat.
« Que pouvons nous face à la volonté de Dieu sinon que de nous résigner et prier Le Tout Puissant d’accorder au défunt sa Sainte miséricorde, de l’accueillir dans son vaste paradis aux cotés de ceux qu’Il a comblés de Ses bienfaits et entourés de Sa grâce éternelle », a ajouté le Président Bouteflika.
De même, que je prie Allah de « prêter réconfort à tous les membres de sa famille, à ses porches, amis et compagnons et m’associe à leur douleur et peine », conclut le chef de l’Etat dans son massage.
ALGER- L’ancien chef de gouvernement, Smail Hamdani, décédé dans la nuit de lundi à mardi à l’âge de 86 ans, a été inhumé mercredi au cimetière d’El-Alia à Alger.
Les obsèques du défunt se sont déroulées en présence de plusieurs hauts responsables de l’Etat dont le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci et le ministre d’Etat, Directeur de cabinet à la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, outre les membres du gouvernement et d’anciens chefs de gouvernement.
Etaient également présents des représentants de partis politiques, d’organisations nationales, d’amis et de compagnons du défunt, ainsi qu’une foule nombreuse de citoyens.
Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa a salué, dans son oraison funèbre, les qualités et les contributions du défunt au service de la Nation, affirmant que « ce grand homme, honnête et fidèle à sa partie, était à la hauteur des missions dont il était investi à travers les différents postes qu’il avait eu à occuper ».
« Les qualités du défunt demeureront un modèle pour les générations à venir », a-t-il dit.
Pour sa part, M. Ouyahia a affirmé dans une déclaration à la presse, que le défunt Smail Hamdani était « un nationaliste qui a voué sa vie au service de l’Algérie ».
« Le défunt a su perpétuer le message des chouhada et transmettre à plusieurs générations de diplomates, sa riche expérience dans ce domaine », a indiqué le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra.
Le Secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbas a indiqué que le défunt Smail Hamdani « a toujours été au service de son pays, notamment dans les moments difficiles », rappelant qu’il avait répondu à l’appel de la Nation, lorsqu’il avait occupé le poste de chef de gouvernement (décembre 1998) dans une conjoncture difficile.
Le défunt « a dûment accompli son rôle, en tant que moudjahid et militant au service de sa patrie », a-t-il affirmé.
Né le 11 mars 1930 à Bordj Bou Arreridj, Smail Hamdani a occupé plusieurs hautes fonctions de l’Etat dont, notamment, celle de chef de gouvernement du 15 décembre 1998 au 23 décembre 1999.
Il a assumé plusieurs autres postes depuis 1962, parmi lesquels celui de Conseiller juridique du ministre de l’Information (1962-1963), Secrétaire général du gouvernement (1977-1979) et Conseiller à la Présidence de la République (1980-1983).
Diplomate aussi de carrière, il a occupé le poste d’ambassadeur auprès du Danemark, de la Norvège, de la Finlande, de l’Espagne et de la France.
BOUMERDES- La wilaya de Boumerdes a entamé, cette année, de façon précoce la mise en oeuvre du dispositif inhérent aux préparatifs de la saison estivale 2017, en vue d’en garantir « la réussite », a-t-on appris du directeur du tourisme et de l’artisanat.
Ce dispositif, examiné mardi au conseil exécutif de la wilaya, préconise en premier lieu, le réaménagement et le nettoyage de toutes les plages autorisées à la baignade de la région, dont le nombre sera porté à 38, cette année, ainsi que leur dotation en commodités nécessaires (douches, salles d’eau et eau potable), a indiqué Zoulim Nour.
Il s’agira, également, a-t-il ajouté, d’instruire les communes côtières concernées en vue de « gérer et valoriser » leur plages de façon à s’assurer des revenus supplémentaires, tout en mettant un terme à l’exploitation illégale de ces espaces, en plus de la mise en place de centres mobiles pour la Protection civile et la Gendarmerie nationale .
Parallèlement, le même dispositif prévoit l’aménagement des accès aux plages et leur dotation en panneaux signalétiques et autres panneaux publicitaires, tout en garantissant l’éclairage public au niveau des plages et des routes y attenantes, des parkings pour les véhicules et l’aménagement des aires destinées à la vente.
Une mesure spéciale a été prise, à l’occasion, en vue d’interdire le « camping anarchique », à travers la création prochaine d’une commission chargée de déterminer les espaces destinés pour ce faire, sur le littoral et dans les forêts de la région.
Des session de formation et des actions de sensibilisation seront, en outre, destinées aux gérants des structures d’accueil, établissements hôteliers et agences touristiques de la wilaya, pour améliorer leurs prestations, avec la prise d’une option pour encourager la formule de l’hébergement chez l’habitant, ainsi que l’affectation d’espaces pour la vente des produits de l’artisanat local sur les plages de la wilaya.
Selon le bilan de la saison estivale 2016, présenté par M Zoulim, à l’occasion, la wilaya de Boumerdes a accueilli 10,2 millions d’estivants, l’année dernière, un flux en baisse comparativement à la saison précédente(2015) durant laquelle elle avait accueilli près de 11 millions d estivants.
Le responsable a cité le « climat instable ayant caractérisé de longues périodes de l’été dernier, comme étant la cause principale de ce recul, ajouté à la diversité des offres touristiques assurées, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays », a-t-il indiqué.
Les camps et centres de vacances et autres auberges de jeunes de la wilaya ont assuré, à la même période, une offre de 20.000 lits, à laquelle s’ajoutent près de 10.000 lits assurés, au niveau d’établissements scolaires de la région.
Par ailleurs, près de 250 familles ont accueilli des touristes au titre de la formule « loger chez l’habitant » et 20 établissements hôteliers de Boumerdes ont accueilli 115.000 estivants, ayant passé à leur niveau 120.000 nuitées, dont 3.500 nuitées sont le fait de touristes étrangers.
ORAN- Une convention dédiée à la formation a été conclue entre l’Université des Sciences et de la technologie d’Oran Mohamed Boudiaf (USTO-MB) et l’entreprise Lafarge Ciment d’Oggaz (LCO), a-t-on appris mercredi des responsables de cet établissement d’études supérieurs.
Cette action de partenariat qui s’inscrit dans le cadre du rapprochement entre l’université et le secteur industriel a été signée mardi au niveau du site de l’entreprise LCO (wilaya de Mascara), a précisé à l’APS Amine-Bouziane Hammou, vice-recteur de l’USTO-MB chargé des relations extérieures et de la coopération.
Les documents définissant ce partenariat ont été paraphés par la rectrice de l’USTO-MB, Nassira Benharrats, et le directeur financier de LCO, François Lemaire, a indiqué M. Hammou.
Un programme de formation bénéficiant aux deux parties constitue l’objectif essentiel de cette convention, a-t-il signalé, expliquant que l’USTO assurera des séminaires et ateliers de travaux pratiques au profit du personnel de l’entreprise LCO.
Les étudiants de l’USTO bénéficieront, quant à eux, de stages pratiques et de fin d’études au sein de cette entreprise, a fait savoir M. Hammou, rappelant que son établissement et le Groupe Lafarge-Algérie sont également liés par une précédente convention qui a permis l’ouverture, en 2011, d’un parcours de master professionnel en Chimie des matériaux industriels.
L’USTO-MB compte, selon le même responsable, 48 conventions de dimension internationale et 37 autres à caractère national dont 16 conclues avec le secteur industriel.
SAN FRANCISCO – Le réseau social « Facebook » a mis à jour une nouvelle fonction de sécurité « Safety Check » en offrant la possibilité aux utilisateurs de demander de l’aide ou de prêter main forte pendant une catastrophe naturelle ou accidentelle.
Cette nouvelle fonction « Community Help » ouvre un forum sur lequel les victimes d’inondations, de tremblements de terre, d’incendies ou tout autre type de catastrophes, peuvent demander de l’aide, a expliqué la vice-présidente de Facebook, Naomi Gleit. « En temps de crise, être connecté est plus important que jamais », dit-elle.
Facebook active son « Safety Check » après avoir reçu des alertes des agences mondiales de signalement de crise et un volume important de messages concernant un incident sur le réseau social. Dans l’hypothèse d’une catastrophe naturelle ou accidentelle, l’outil d’aide communautaire sera également déclenché, assure Naomi Gleit.
Le réseau social a lancé son « Safety Check » en 2014 pour permettre aux membres du réseau social d’indiquer à leur famille ou leurs amis qu’ils sont en sécurité lors d’événements dramatiques.
« Community Help » permet maintenant aux membres du réseau de trouver ou d’offrir de l’aide, par exemple de la nourriture, un abri ou un moyen de transport, pendant une crise.
« Safety Check a été activée des centaines de fois, mais nous savons que nous pouvons faire plus pour donner à la communauté les moyens de s’entraider », ajoute Mme Gleit.
Cette nouvelle fonction a été inspirée par les membres de Facebook qui utilisaient le réseau social pour organiser l’aide aux personnes après des catastrophes telles que les inondations à Chennai, en Inde, à la fin 2015.
PARIS- La France et les pays de l’Union européenne doivent dire « non » à l’opération de « blanchiment » et à l’extension « accélérée » de la colonisation israélienne des territoires palestiniens, a appelé mercredi à Paris l’Association France Palestine Solidarité (AFPS).
« La France et les pays de l’UE, qui ont soutenu la résolution 2334 du Conseil de sécurité, doivent aujourd’hui dire non. Non à cette opération de +blanchiment+ et à l’extension accélérée de la colonisation, crime de guerre au regard de la 4ème Convention de Genève », a affirmé l’association dans un communiqué parvenu à l’APS.
Le 6 février, une loi a été adoptée en Israël « légalisant » le vol des terres au profit des colonies qui n’étaient pas jusqu’ici officiellement reconnues par l’Etat hébreux, rappelle-t-on. Une mesure que l’AFPS considère comme « un feu vert et un encouragement donné à la frange la plus extrême des forces au pouvoir en Israël ».
« Elle est une provocation et un défi lancé à toutes les nations comme à l’opinion mondiale », a-t-elle ajouté, critiquant l’attitude de l’Union européenne, avançant l’argument d’une absence de consensus en son sein, pour reporter le Conseil d’association prévu pour le 28 février « dont l’objet pouvait aboutir à un +rehaussement+ de fait des relations UE-Israël ».
Pour cette association, qui milite pour les droits du peuple palestinien, aucun Etat européen « ne doit s’abriter derrière des divergences entre pays membres pour fuir ses responsabilités » devant cette situation qui réclame des réactions « urgentes ».
« La France, qui avait réuni en janvier à Paris 70 pays pour rappeler les paramètres d’une solution politique sur la base de la coexistence de deux Etats, ne peut se borner à répéter mécaniquement sa condamnation de la colonisation alors que les faits accomplis sur le terrain la minent chaque jour un peu plus », a-t-elle affirmé, l’appelant à « prendre des mesures politiques à hauteur de la gravité de la situation ».
« Elle peut et doit interdire l’entrée sur son territoire des produits et services issus de la colonisation. Elle peut et doit immédiatement cesser toute relation commerciale avec les colonies israéliennes en Palestine occupée », a-t-elle recommandé.
Dans une déclaration mardi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, a condamné l’adoption de cette loi « visant à légaliser des milliers de logements construits sur des terrains privés palestiniens en Cisjordanie », estimant qu’elle « pérennise notamment l’existence de dizaines de colonies et avant-postes en voulant leur donner une base juridique pour leur développement futur ».
Pour le chef de la diplomatie française, cette loi « constitue une nouvelle atteinte à la solution des deux Etats, dont 75 pays et organisations internationales ont rappelé à Paris le 15 janvier qu’elle seule apportera une paix juste et durable au Proche-Orient » et « risque d’aggraver encore les tensions dans la région ».
Le Général-major Cherif Zerad, Chef du Département Emploi-Préparation à l’état-major de l’armée nationale populaire algérienne a souligné mardi, lors d’un colloque sur les « Migrations de crises et sécurité régionale : quelles perspectives pour l’espace Euromaghrébin » la gravité du phénomène de l’immigration clandestine et de ses liens avec la criminalité organisée.
« L’aggravation de ce phénomène est devenue une source d’inquiétude pour plusieurs pays à cause de la difficulté de contrôle d’immenses flux de migrants d’une part, et d’autre part, la crainte de l’exploitation de ces migrants par des terroristes et les responsables de la criminalité organisée, et qui constituent un danger pour la sécurité et la stabilité de la région » a souligné le général-major Cherif dont les propos sont rapportés sur le site du ministre de la défense.
Le général-major a mis en exergue le rôle joué par l’armée algérienne à « travers le contrôle de nos frontières nationales et nos côtes maritimes, et par son rôle à travers le sauvetage des migrants qui ont risqué leurs vies à bord des embarcations de la mort » et a salué l’aide apporté par l’Etat algérien au pays du Sahel pour le » le développement local, la sécurité et la stabilité des citoyens.»
Selon le communiqué du MDN, le colloque a été l’occasion de plusieurs interventions axées sur les « les défis sécuritaires de l’immigration clandestine en Algérie, à travers une approche géopolitique, l’émigration et la sécurité régionale, les mécanismes juridiques pour la lutte contre l’immigration clandestine et l’avenir de ce phénomène dans l’espace Euro-Magrébin à l’ombre des mutations régionales que connaît la région. »
Selon le communiqué du MDN, les participants ont analysé et débattu de ce « phénomène transfrontalier qui est devenu la préoccupation majeure pour les différents pays, à l’instar de l’Algérie qui fait face ces dernières années à une vague sans précédent d’immigrants clandestins, ce qui fait appel à des stratégies bien étudiées pour contenir ce phénomène. »
La « plateforme libyenne »
Pour rappel, l’agence chargée des frontières extérieures de l’Union européenne (Frontex) a souligné dans un rapport début janvier la hausse « record » du nombre de migrants arrivés d’Afrique par la Méditerranée centrale, avec 181 000 personnes en 2016, soit une augmentation de 20 % par rapport à 2015.
Si la méditerranée centrale via la plateforme libyenne a connu une hausse, le nombre global des migrants qui ont traversé la mer pour l’Europe en 2016 a chuté des deux tiers à 364 000 personnes par rapport à 2015 avec une nette baisse des arrivées par la Grèce. Une baisse liée à la mise en œuvre d’un accord entre l’UE et la Turquie.
L’agence Frontex a souligné a pression migratoire « croissante » en provenance d’Afrique, en particulier de l’Afrique de l’Ouest notamment des migrants nigérians parmi les plus nombreux. En 2016, 503 700 personnes ont été arrêtées tentant d’entrer illégalement en Europe par ses frontières externes, selon Frontex.
La Libye est la principale plateforme de migration vers l’Italie. 90 % des arrivées, des subsahariens dans leur écrasante majorité, vers l’Italie viennent à partir du littoral libyen.
Les importations de sucre et de ses matières premières (sucres blanc, roux, de betterave brute, de canne à sucre, sirop de lactose…) ont augmenté à 871,7 millions de dollars (usd) en 2016 contre 714,76 millions usd en 2015, a appris l’APS auprès des Douanes.
Quant aux quantités des importations de sucre, elles ont également marqué une hausse à 2,03 millions de tonnes (Mt) contre 1,93 Mt, selon le Centre national de l’informatique et des statistiques des douanes (CNIS).
Ainsi, le coût des importations de sucre a grimpé de près de 22% en 2016 tandis que les quantités importées ont augmenté de 5,25%.
Cette hausse de la facture du sucre s’explique non seulement pas l’augmentation des quantités importées mais aussi par le renchérissement des prix à l’importation par l’Algérie de cette denrée alimentaire.
En effet, le prix moyen à l’importation du sucre roux a été de 398 usd/tonne sur les 10 premiers mois de 2016 contre 358 usd/t à la même période de 2015, soit une hausse de 11,2%.
Même tendance pour le sucre blanc dont le prix à l’importation a augmenté à 522 usd/t contre 506 usd/t (+3,2%).
Sur les marchés mondiaux, les cours du sucre continuent à flamber: dans son dernier rapport, l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a indiqué que l’indice des prix de ce produit alimentaire avait fait un bond spectaculaire de près de 10% en janvier 2017.
Ceci s’explique par un resserrement de l’offre sur une longue période au Brésil, en Inde et en Thaïlande.
Ça nous est toutes arrivé au moins une fois dans notre vie de tâcher tout le pourtour de l’ongle lorsqu’on veut appliquer notre vernis. Voici une astuce très efficace pour que cela ne se reproduit plus!
Connais-tu la colle blanche multi-usages qu’on utilise sur du papier, bois ou autre matériel ? Et bein cette colle constitue une astuce ultra-utile pour se vernir les ongles de manière super facile.
Cette astuce est particulièrement utile lorsque tu veux mettre du vernis sur ta main dominante, c’est à dire, si tu es droitière par exemple, tu es éventuellement moins habile à tenir la petite brosse à vernis de la main gauche. Mais avec l’aide de cette colle qui protège les contours, les petites gaffes ne se verront pas !
Comment faire ?Commence d’abord par te nettoyer les ongles avant d’entamer ta manucure. Ensuite, prends ta colle et applique la sur le contour de l’ongle de sorte à l’encadrer, sans pour autant empiéter sur l’ongle à vernir lui-même et laisse sécher le tout pendant plusieurs minutes.
Une fois la colle sèche, tu peux alors commencer à appliquer ton vernis à ongles (une ou deux couches selon tes préférences). Lorsque ton vernis est sec, tu peux à présent retirer les bandes de colles autour de tes ongles.
La colle blanche, l’assistante parfaite pour des manucures sans bavures!
Qu’elle soit grasse, sèche ou mixte, la peau a besoin d’une fond de teint adapté pour éviter d’avoir un rendu qui ne soit pas naturel avec un produit inadapté, voire contre-indiqué.
Voici quelques conseils pratiques pour choisir la texture idéale qui convient à notre type de peau:
La peau sècheUne peau sèche doit être suffisamment hydratée pour conserver sa souplesse. Les fonds de teint crèmes sont parfaits pour nourrir l’épiderme tout en sublimant le visage. L’application des pinceaux est idéale pour ce type de fond de teint et de peau, ça permet aux agents hydratants de mieux pénétrer l’épiderme. Il faudra éviter les textures mousses et poudreuses ne conviennent pas aux peaux sèches car celles-ci risquent de provoquer des plaques et sécheresses.
La peau grassePour éliminer les brillances, les peaux grasses peuvent s’orienter vers un produit matifiant non comédogène. Les fonds de teint « mousse » sont parfaits; très légers, ils sont agréables et permettent d’unifier la peau avec transparence. Les poudres compactes sont aussi parfaites pour corriger les imperfections et masquer l’excès de sébum. En revanche, les formules huileuses sont à éviter : trop nourrissantes, elles risquent d’aggraver le phénomène, voire de favoriser l’apparition de boutons.
Peau normale à mixteLes peaux mixtes doivent privilégier un fond de teint non gras à base d’eau, qui apporte un effet mat sans irriter les zones sèches.
La BB cream est idéal pour prendre soin de la peau tout en la respectant, ce produit magique permet d’éclairer le visage tout en corrigeant les imperfections. D’une texture peu couvrante, elle peut être utilisée tous les jours comme base de maquillage. Pour un teint zéro défaut, l’application d’une poudre compacte peut être nécessaire en cas de brillances marquées, comme cela est souvent le cas sur la zone T. La cushion cream, un fond de teint à la texture très aérienne, est lui aussi un produit pratique adapté aux peaux normales.
Peau à problèmesEn cas de rougeurs ou d’imperfections prononcées, le fond de teint crème ou sous forme de poudre est plus adapté.
Attention, l’utilisation d’une trop grande quantité de produit a tendance à ternir le teint. Pour bannir l’effet plâtre, on n’hésite pas à corriger localement les zones à imperfections à l’aide d’un fond de teint stick . Pour une finition parfaite, on termine sa mise en beauté du teint par une touche d’anti-cernes.
Cinq personnes décédées et 13 blessées dans dix accidents de la route constatés durant la journée du 7 février, par les unités de la Gendarmerie nationale (GN), à travers neuf wilayas du pays, indique un communiqué de la GN.
Les accidents ont été enregistrés à M’Sila, Oran, Illizi, Jijel et Sétif, dont des incidents mortels à Sidi Bel Abbès, Biskra, Béjaia et Mila, provoquant les blessures de treize personnes et d’importants dégâts matériels à 14 véhicules impliqués.
Dix-neuf contrebandiers ont été appréhendés par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP), mardi le 7 février, dans différentes wilayas du Sud algérien, a indiqué mercredi un communiqué du ministère de la Défense nationale.
Les contrebandiers ont été arrêtés à Tamanrasset, Bordj Badji Mokhtar, In Guezzam et Adrar, par les détachements de l’ANP, qui ont suite à cela, saisi deux camions, un véhicule tout-terrain, 46,3 tonnes de denrées alimentaires, 1000 litres de carburant, 18 groupes électrogènes, 16 marteaux piqueurs, 5 détecteurs de métaux et 2160 unités de produits cosmétiques, précise la même source.
Par ailleurs, des unités de l’Armée en collaboration avec des éléments de la Gendarmerie nationale, ont procédé à l’arrestation de 29 immigrants clandestins de différentes nationalités africaines, à Tlemcen, Adrar, Bechar et In Guezzam.
Les services du ministère de la Jeunesse et des Sports ont déclaré inéligibles Messaoud Mati et Rabah Bouzid candidats à l’élection à la présidence respectivement de la Fédération algérienne de judo (FAJ) et de la Fédération algérienne du tir sportif (FATS) pour «objectifs non atteints».
Ainsi, le président sortant de la FAJ, Messaoud Mati, était persuadé de briguer un nouveau mandat de quatre ans à la tête de la fédération, mais les services du MJS ont rejeté sa candidature. Etant le seul prétendant à sa propre succession, la fédération devrait trouver un autre candidat. «Les gens étaient nombreux à me demander de me présenter pour un second mandat et je ne suis pas resté insensible à toutes ces sollicitations. J’ai donc décidé de me porter candidat», avait indiqué Mati dans une déclaration au site de la FAJ, ajoutant que «le plus important» pour lui est que cette élection «se fasse dans la transparence, et la victoire sera avant tout celle du judo algérien». L’assemblée générale élective (AGE) de la FAJ devrait avoir lieu samedi 11 février, à la salle des conférences du stade du 5-Juillet, mais en l’absence de candidats, la commission de préparation des élections devrait sûrement reporter l’AGE. Un délai supplémentaire sera, par conséquent, ouvert afin que de nouvelles candidatures soient présentées.Selon des informations concordantes, MM. Nabil Oumalou (ancien champion d’Afrique et cadre du MJS) ainsi que Laâras Rachid (actuel président de la Ligue d’Alger) seraient parmi les candidats annoncés. Pour sa part, Rabah Bouzid, président sortant de la Fédération algérienne de tir sportif (FATS), était également seul candidat pour sa succession, avant que le MJS ne rejette son dossier, pour «objectifs non atteints». Bouzid avait annoncé sa candidature pour un nouveau mandat olympique avec l’intention de poursuivre la stratégie entamée depuis 2013. Après avoir organisé l’assemblée générale ordinaire de la Fédération algérienne de tir sportif jeudi dernier au siège du Comité olympique et sportif algérien (COA) à l’issue de laquelle les bilans moral et financier (2013-2016) avaient été adoptés, la FATS avait fixé la date de l’assemblée générale élective au 16 février courant au siège du COA. Seul candidat à sa succession, la FATS devrait également trouver de nouveaux candidats !
Mounir Benzegala, meneur du GS Pétroliers et de la sélection nationale, éloigné des parquets suite à sa blessure au genou, espère revenir à la compétition au plus vite. «J’ai contracté une blessure qui m’empêche de jouer dans l’immédiat. Je continue à me traiter, et je suis déterminé à revenir à la compétition au plus vite. J’espère être à 100% au milieu de l’été prochain», a écrit le natif de New-York sur sa page fan de Facebook qui remercie au passage tous ceux qui le soutiennent.