Le secrétaire général de la commission épiscopale « Justice et paix », Abbé Hermann Ouédraogo, en compagnie de son équipe, était face à la presse, ce vendredi 9 avril 2021 à Ouagadougou. Objectif, annoncer la tenue d'un forum national sur le foncier qui se tiendra du 14 au 16 avril prochain autour du thème : « Etat de droit et gouvernance foncière : quels engagements de l'Etat et du citoyen pour une société apaisée ? ».
Le forum national de la commission épiscopale « Justice et paix » sur le foncier au Burkina vise plusieurs objectifs. Il s'agit notamment d'analyser les connexions et implications entre la cohésion sociale, la question foncière et la crise de gouvernance. Autres objectifs visés en plus de ceux-ci, c'est également de mettre en discussion des expériences des acteurs en matière de gestion foncière, d'analyser les perspectives et possibilités de faire évoluer le cadre juridique sur le foncier.
Selon le secrétaire général de la commission épiscopale, Abbé Hermann Ouédraogo, il s'agit d'une part, de produire une analyse contextualisée sur les enjeux et défis actuels de la gouvernance foncière et d'autre part, de formuler des propositions ainsi que des recommandations susceptibles de contribuer à la prise de décisions au niveau national.
Plus spécifiquement, il est attendu de ce forum une compréhension partagée des défis actuels de la gouvernance foncière et leurs corrélations avec les questions de cohésion sociale. A cela s'ajoutent, selon les organisateurs, une meilleure connaissance des pratiques des acteurs en matière de gouvernance foncière, un regard prospectif sur les évolutions possibles du cadre juridique dans la gestion foncière.
Pour ce faire, près de 150 participants sont attendus durant ces 72 heures au cours desquelles, il y aura une communication introductive sur le thème « État de droit, gouvernance foncière et cohésion sociale : rôles et responsabilités des acteurs ». Cette communication introductive sera sous-tendue par cinq panels. Il s'agit, entre autres, des thèmes sur le foncier urbain, le foncier rural, du foncier et de la cohésion sociale, du droit foncier à l'épreuve de la réalité sociale et des perspectives en matière de gestion foncière. En plus de ces panels, il y aura également des travaux de groupe autour de trois autres thèmes notamment l'aménagement urbain, la gestion du foncier rural et les mécanismes de lutte contre la corruption et la prévention des conflits liés au foncier.
Fruit du programme action pour la paix et la justice sociale
Le forum national sur le foncier est organisé dans le cadre d'un programme triennal dénommé « Programme action pour la paix et la justice sociale à l'horizon 2021 (PAPJ) » et exécuté par la commission épiscopale du Burkina (CJP-Burkina). Ce programme couvre huit diocèses et s'exécute à travers trois axes, selon Abbé Hermann Ouédraogo.
Des axes concernant la consolidation de la paix sociale par le développement d'une culture du civisme et de la citoyenneté ; la prévention des conflits violents liés au foncier rural ; la protection des droits des femmes et des jeunes filles victimes d'accusation de sorcellerie et du mariage forcé. Les zones concernées par sa mise en œuvre sont les régions des Cascades, du Centre-Ouest, des Hauts-Bassins, du Centre-Est, du Centre-Nord, du Sud-Ouest et du Centre.
Yvette Zongo
Lefaso.net
Une conférence-débat sur le mouvement féministe s'est tenue ce jeudi 8 avril 2021 à Ouagadougou, à l'initiative du Centre de recherche et d'intervention en genre et développement (CRIGED), avec l'appui technique et financier d'Oxfam au Burkina Faso.
Cette conférence-débat placée sous le thème « les différents moments de l'histoire du féminisme » s'inscrit dans le cadre des activités de la commémoration du 8-Mars 2021. Elle a vu la participation des organisations féminines. Les panelistes étaient au nombre de trois dont Dr Nestorine Sangaré, agent à l'Agence nationale pour la valorisation des résultats de la recherche ; Assétou Sawadogo, la secrétaire permanente du Conseil national pour la promotion du genre, et la magistrate Julie Rose Ouédraogo, conseillère à la Cour d'appel de Ouagadougou.
Dr Sangaré a planté le décor en brossant dans une première partie, l'histoire du mouvement féministe, son évolution au niveau mondial depuis le 19e siècle jusqu'à nos jours. Puis, elle a saisi cette opportunité pour mettre le doigt dans la plaie. « Nous assistons depuis environ cinq ans à un renouveau du féminisme. La plupart des partenaires bilatéraux disent qu'ils appliquent une politique féministe de coopération. Mais nous n'avons pas l'occasion pour les entendre dire qu'est-ce qu'ils entendent par féminisme. Or, il y a plusieurs courants féministes. Aujourd'hui, le féminisme radical est le plus dominant. C'est celui qui porte le mouvement homosexuel en l'occurrence », constate la paneliste Sangaré.
Elle plaide pour un débat ouvert sur la question afin d'éviter toute amalgame. « Nous aurions souhaité qu'il y ait un débat ouvert sur la question pour pouvoir savoir qu'est-ce que chaque partenaire met dans son approche féminisme. Si c'est une façon de nous amener des valeurs auxquelles nous n'adhérons pas, que ce soit clair et que nous puissions prendre position. Maintenant si c'est vraiment pour lutter contre les violences faites aux femmes, promouvoir la participation politique des femmes, l'autonomisation économique des femmes, ce sont des choses que nous, nous reconnaissons et dans lesquelles nous sommes engagées depuis des années », a-t-elle indiqué. Féminisme dans l'âme, Dr Sangaré va plus loin en posant un tas de questions : « Nous voulons que ce soit clair. Qu'est-ce qu'on attend par féminisme ? Qu'est-ce qu'on défend ? Et si cela est conforme à nos valeurs et comment nous pouvons adapter cela ? ».
Complémentarité entre le genre et le féminisme
La SP du CONAP/Genre, Assétou Sawadogo, a relevé que la complémentarité entre le genre et le féminisme a permis d'engranger des résultats fort encourageants sur le terrain. Pour preuve, dans le domaine de l'éducation, il y a la parité en ce qui concerne l'accès, même si au niveau du maintien et de l'achèvement il y a toujours des difficultés. Au niveau de la santé, il y a de l'évolution que ce soit le taux de mortalité maternelle ou infantile.
Sur le plan économique, la pauvreté a toujours le visage féminin mais de plus en plus les femmes arrivent à tirer leur épingle du jeu. Concernant la politique, l'on note l'engouement des femmes pour la chose politique. Malgré tout, d'énormes défis restent à relever dont les plus importants concernent le seuil minimal critique de 30% de femmes à l'Assemblée nationale, les grossesses non-désirées, les violences basées sur le genre, le faible statut de la femme et la persistance des pesanteurs sociale et culturelle.
Donner du contenu et une démarche au concept
Pour sa part, la magistrate Julie Rose Ouédraogo pense au contenu et à la démarche à donner au féminisme au Burkina Faso : « Est-ce que nous pouvons nous particulariser au sein du mouvement féminisme ? Si oui, de quelle manière ? Parce que c'est un mouvement qui véhicule plusieurs mouvements de pensées.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il y a une certaine méfiance. Il y a une forme de rejet de ce mouvement féminisme au Burkina. Et lorsqu'on se présente féministe, finalement on ne sait pas de quel bord on est ? Quel courant de pensée on veut véhiculer ? ». Néanmoins, elle est persuadée que si l'on arrive à se comprendre sur ce concept à polémique, les féministes pourront mieux asseoir la lutte pour la promotion des droits des femmes.
Aïssata Laure G. Sidibé
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Le « Collectif de Tchadiens indignés au Burkina » est visiblement contre le 6e mandat du Maréchal du Tchad Idriss Deby. Les jeunes tchadiens sont montés au créneau ce vendredi 9 avril 2021 au siège du Balai citoyen à Ouagadougou, pour dire non à la candidature de « l'homme fort » du Tchad. Ils prévoient une marche le samedi 10 avril devant leur ambassade au Burkina.
« Oui à l'alternance », « Deby dégage », « Non au 6e mandat », ce sont des slogans qu'on pouvait lire le vendredi 9 avril 2021, au cours de la conférence de presse du « Collectif de Tchadiens indignés ». Nzengar Masbé, Nadjitoïde Arnaud et Douswe Bagao ne sont pas allés du dos de la cuillère pour décrier la gouvernance du président du Tchad.
En effet, selon les conférenciers du jour, sur le plan politique, après 31 ans de règne, le régime de Deby a « cultivé la violence, la terreur, la peur, les assassinats, le mépris et l'arrogance » vis-à-vis de la population tchadienne. En course pour l'élection présidentielle du 11 avril prochain, s'il est réélu, il sera président jusqu'en 2033 soit 43 ans de pouvoir. Car la nouvelle Constitution promulguée en 2018 lui permet de se représenter au terme de son mandat actuel en 2021 pour deux autres mandats consécutifs de six ans. Alors qu'à l'entendement des conférenciers du jour, « sous le long règne sans vision, le Tchad à presque tout perdu en politique, sur le plan social et économique »,
« La situation sociale est invivable. La vie est trop chère avec de maigres salaires abattus sous des grèves perlées », a déploré Nzegar Masbé, membre du Collectif. D'après lui, le président Idriss Deby a travaillé à diviser les Tchadiens du nord au sud juste pour assoir son pouvoir, c'est-à-dire diviser pour mieux régner.
Au plan économique, conformément à la Banque mondiale, le nombre de personnes pauvres a augmenté de 4,7 millions en 2011 à environs 6,5 millions en 2019. En plus, en 2018, ce sont 42% de la population qui vivaient en dessous du seuil de la pauvreté.
C'est ainsi que Nzengar Masbé et ses camarades résument la situation économique du Tchad alors que le pays exploite le pétrole depuis près de 20 ans.
Fort de tout cela, « Deby doit partir et il partira » ; il est indéniablement le foyer de toutes les pathologies du sous-développement du Tchad, foi du Collectif. « Notre liberté naitra de notre courage », ont lancé les jeunes tchadiens. Ils prévoient d'ailleurs une marche le samedi 10 avril 2021 devant l'ambassade du Tchad au Burkina.
Obissa Juste MIEN
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Le ministère des Ressources animales et halieutiques, à travers son Secrétariat technique de l'apiculture (STA), organise du 6 au 10 avril 2021 à Bobo-Dioulasso, un atelier de formation au profit des spécialistes sur la santé des abeilles. Cette activité rentre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest volet Burkina Faso (PACAO-BF).
Cette session vise à renforcer les capacités techniques des participants, en vue de contribuer à l'amélioration de la santé des abeilles et de la qualité des produits de la ruche. Elle concerne non seulement des agents du Laboratoire national d'élevage disposant des compétences de base en santé et en production animale, mais aussi des techniciens de laboratoire, des vétérinaires, des techniciens d'élevage issus des laboratoires régionaux d'élevage et des directions régionales en charge des ressources animales.
A en croire le formateur, Dr Bénéwendé Aristide Kaboré, spécialiste en production animale et développement durable, durant les cinq jours de formation, il s'agira plus spécifiquement de renforcer les capacités des participants sur le diagnostic des maladies des abeilles, sur la réalisation des prélèvements pour le diagnostic de laboratoire et sur le contrôle qualité des produits de la ruche. Dans le cadre de cette formation, il est prévu également une sortie terrain dans un rucher pour plus de pratique.
L'apiculture, une filière prometteuse
Selon les acteurs de la filière apicole, dans le contexte actuel de lutte contre la pauvreté et de préservation de l'environnement, l'apiculture mériterait d'être promue comme une alternative économique et écologique probante et de choix pour une gestion durable des ressources naturelles. En effet, selon le recensement 2018 du STA, cette activité occupe environ 16 000 apiculteurs avec une production moyenne annuelle de 1000 tonnes qui équivaut à une valeur de près de trois milliards de FCFA pour l'économie nationale.
En février 2018, le gouvernement burkinabè a obtenu son inscription sur la liste des pays autorisés à exporter son miel vers l'Union européenne. Ce qui permettrait d'améliorer les conditions de vie des apiculteurs et de réduire le taux de chômage. De ce fait, il s'avère primordial de veiller sur la santé des abeilles et la qualité des produits de la ruche, afin de garantir une production optimale de qualité au niveau des ruches. D'où la nécessité de disposer de compétences nationales en matière de surveillance, contrôle et lutte contre les maladies des abeilles et le contrôle de la qualité des produits de la ruche.
« C'est pourquoi nous avons voulu organiser cette formation dans le cadre du projet PACAO. Pour avoir du miel de qualité, il faut pouvoir tracer ce miel depuis la ruche jusqu'à la cuillère du consommateur. Si on retrouve des produits nuisibles tels que les pesticides dans le miel, cela peut affecter la santé des consommateurs. Et nous avons un maillon qui est très important, il s'agit des laboratoires d'analyses qui sont gérés par des laborantins spécialistes. Nous avons voulu leur donner ainsi une formation en santé des abeilles pour qu'ils puissent participer au diagnostic, faire le prélèvement sur le terrain et transmettre les échantillons pour qu'on décide de les analyser », a expliqué le secrétaire technique de l'apiculture, Issoufou Nana.
A l'en croire, l'Union européenne, à travers le PACAO, apporte son soutien au laboratoire national en matière d'équipements, dans le but de faciliter le travail pour les agents. « Nous avons des équipements, mais le plateau technique n'est pas suffisant. Et nous travaillons pour que le laboratoire soit accrédité et qu'on acquiert des appareils pour le processus. Pour l'analyse des pesticides, nous n'avons aucun laboratoire accrédité au Burkina Faso pour le faire. Nos laboratoires peuvent le faire, mais ils ne sont pas accrédités et cela ne sera pas reconnu », renseigne Issoufou Nana.
Au cours de cette formation, les participants ont évoqué un certain nombre de préoccupations notamment l'acquisition d'équipements leur permettant de mieux travailler sur le terrain. Et le secrétaire technique de l'apiculture de les rassurer que quelque chose sera fait très rapidement car, dit-il : « Nous sommes en négociation avec notre bailleur et nous pensons pouvoir avoir un équipement minimum pour que les agents puissent travailler sereinement ».
Renforcer les capacités techniques des participants
Cette session de formation a connu la présence du directeur régional des ressources animales et halieutiques des Hauts-Bassins, Seydou Koanda, qui n'a pas manqué de souligner l'importance de la filière apicole dans la région. Il a affirmé d'ailleurs que les Hauts-Bassins sont une région mellifère avec beaucoup de production apicole et un grand nombre d'unités de transformation.
Cependant, cette filière est confrontée à d'énormes difficultés liées notamment à l'utilisation des pesticides. Toute chose qui nuit, selon lui, à la santé et à la mentalité des abeilles. C'est pourquoi il a apprécié positivement cette formation qui, de son point de vue, va permettre de renforcer techniquement les capacités des participants de sorte à ce qu'ils appréhendent mieux et contrôlent aussi la santé des abeilles. Ce qui va participer à la qualité des produits apicoles.
Augmenter les capacités de production du miel
Cette formation qui fait partie d'une série d'activités de renforcement de capacités, rentre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest volet Burkina Faso (PACAO-BF). Ce projet PACAO, dont le financement est assuré par l'Union européenne et mis en œuvre par la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso (CCI-BF) appuie trois filières au pays à savoir la grappe huilerie coton, l'énergie solaire et le miel. Le volet Burkina Faso est financé à hauteur de cinq milliards de FCFA, dont 4,5 milliards de l'Union européenne et une contribution de la CCI-BF à hauteur de 500 millions.
Pour le chef du projet PACAO, Saydou Namanégué, ledit projet vise à augmenter les capacités de production en qualité des sociétés coopératives de la chaine de valeur apiculture, de transformer et de commercialiser le miel et dérivés conformes aux exigences des acheteurs sur les marchés extérieurs. Il a invité les participants à suivre la formation avec intérêt afin de pouvoir agir utilement dans leurs activités de prélèvement pour permettre aux consommateurs d'avoir un « produit fini viable et sain ».
Pour rappel, le STA a été créé en 2016 pour booster la production apicole au sein du ministère des Ressources animales. Cette structure appuie les apiculteurs en matière de matériels, de renforcement de capacités et de mobilisation des acteurs et des bailleurs. Le STA a pour mission de concevoir et mettre en œuvre la stratégie nationale de développement durable de la filière apicole, d'assurer la qualité et la sécurité sanitaire des produits de la ruche, de promouvoir l'enseignement et la recherche en apiculture. Il est chargé d'exécuter toutes les activités et de rendre compte à l'unité de coordination du projet PACAO-BF.
Romuald Dofini
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La grande famille Sawadogo à Tikaré, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Côte d'Ivoire ;
Mr. Sawadogo lalo tasséré à kolgnaba ;Mr Sawadogo omer à linonghin ;
Mme Sawadogo Suzane à tanghin ; Mme Ouédraogo Pauline à tampuy ;
Dr Sawadogo Nongoba Christophe ; Dr Ouédraogo Henri Gauthier ; Mr. Sawadogo Toumanegba Alfred ; Mr Ouédraogo Béga Urbain à Ouaga ;
Les familles alliées ; Sankara, zoungrana, Compaoré à Ouagadougou ;
Les familles Zagré, Kagambega à Koudougou, Ouagadougou, Abidjan ; Monsieur Zagré André à Ouaga, Mme Ouédraogo Claire née Zagré à Ouaga, Mr Kagambega Toussaint à Ouaga ;
Hadja Ouédraogo Alizeta Gando et famille ;
Monsieur Le colonel Sawadogo Laurent à la retraite à Ouagadougou, ses enfants Lydia Romain, Florence, Christine, Catherine, ses frères et sœurs, neveux et nièces, ses petits-fils ;
Vous réitèrent leurs remerciements et leur profonde gratitude pour toutes les marques de compassion et les soutiens multiformes que vous leur avez témoignés, lors du rappel à Dieu le Lundi 23 mars 2020 suivi de l'inhumation le mardi 24 Mars 2020 de leur épouse, belle-sœur, fille, sœur, belle-mère, grand-mère, tante.
Madame SAWADOGO/ZAGRE Françoise.
Ils ont l'honneur d'informer que les offices religieux pour le repos de son âme sont programmés pour les 16 et 17 Avril 2021 à Ouagadougou selon le chronogramme suivant :
Vendredi 16 Avril 2021, veillée de prière à 20heures à la chapelle saint Gabriel à 200m à l'est du domicile ;
Samedi 17 Avril 2021 à 08 heures, grande messe de requiem à la paroisse Saint Pierre de Gounghin ;
. 11 heures bénédiction de la tombe au cimetière municipal de gounghin ;
. La famille recevra à partir de 12heures.
UNION DE PRIERES
« Moi je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. » (Jean 11, 25-26)
8 avril 2011 – 8 avril 2021
Il y a 10 ans que s'endormait dans la paix du seigneur
Traoré née Lengane Awa
A l'occasion de ce triste anniversaire, ses enfants Aida Justine et Rachid Dieudonné ; sa mère Adja Lingani/Dabone Fatoumata ; ses frères et sœurs Assetou, Kassoum, Orokia, Mamadou Éric, Maminata, Kadiatou ainsi que ses neveux et nièces vous demandent d'avoir une pensée pieuse pour elle.
Pour la même occasion, des messes pour le repos de son âme seront dites :
« …Très chère maman, tu nous manques… »
Union de prière
Le 11 Avril 2020 – 11 avril 2021, voilà un an que Dieu-Père rappelait à lui son fils SABA Yahya dit Jimmy, précédemment Ingénieur mécanicien à la retraite, Officier de l'ordre National, dans sa 67ème année à Ouagadougou.
A l'occasion de ce triste anniversaire, Sa majesté El Hadj NAABA KIIBA, Roi du Yatenga, et famille à Ouahigouya, la grande famille royale du Yatenga, la grande famille KONSAMYIRI, SABA, OUEDRAOGO, DIALLO, SAVADOGO, OUATTARA à Ouahigouya (Secteur 6 Bangrin), Ouagadougou, Peni, Reka, Bobo-Dioulasso, Paris et Abidjan,
Les familles alliées, MAÏGA et DAKAMBARY, NAMA, DIALLO, OUEDRAOGO, GUIRO, BARRY, SIDIBE, TIROUDA, BANCE, SAWADOGO, TRAORE, ZERBO, ZOUNGRANA, SOULLI, SANOU, SOMDA, TAPSOBA, THIEBA, GUIRA, ZAMPALEGRE, KINDA, SAGARA, GANAME à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya, Gourcy, Lilligomdé, Niamey, Abidjan et Bamako,
La veuve SABA Mariam née MAÏGA, les enfants Boubacar Sidik, Bachir Aly, Maibatou Nongodo, Madi Salim Adams, les frères, sœurs, cousins, cousines, neveux, nièces, et les petits-enfants, réitèrent leurs remerciements et leur sincère gratitude à tous ceux qui leur ont témoignés leurs soutiens multiformes et leur compassion depuis ce douloureux évènement.
En sa mémoire, ils vous informent qu'une Doua pour le repos de l'âme du défunt aura lieu le dimanche 11 Avril 2021 à partir de 08 h 00 mn à son domicile à Ouagadougou, au quartier Pissy, secteur 26.
Union de prières.
Les premiers responsables de la Télévision nationale du Burkina (RTB/Télé) étaient face aux hommes de média ce vendredi 9 avril 2021 pour annoncer les couleurs des journées portes ouvertes de la chaîne. Ces journées qui se dérouleront du 16 au 18 avril 2021 dans l'enceinte de la RTB/Télé donneront l'occasion aux téléspectateurs de découvrir les coulisses de la chaîne au cœur des grands événements.
Les téléspectateurs de la RTB/Télé auront l'occasion de découvrir et comprendre comment elle fonctionne à l'occasion des journées portes ouvertes qui auront lieu du 16 au 18 avril 2021 au siège de la chaîne à Ouagadougou.
Doyenne des télévisions en Afrique de l'Ouest avec ses 58 ans d'existence, ces journées portes ouvertes post-insurrectionnelles se veulent être un cadre de communion et d'échanges avec le grand public. Il s'agit également de renforcer non seulement la cohésion et la solidarité entre les agents de la télévision publique du Burkina mais aussi de renforcer les relations entre la chaîne et ses partenaires.
Durant 72 heures, les téléspectateurs auront donc l'occasion de découvrir les locaux de la télévision, les nouveaux studios et surtout échanger avec les journalistes et animateurs de la RTB/Télé. De nombreuses activités seront au programme pour agrémenter ces journées selon Evariste Combary, directeur de la télévision nationale.
Selon ses dires, il y aura de nouvelles émissions, comme « Retour à l'écran » qui permettra de rendre hommage aux aînés du 12 au 15 avril 2021 sur les antennes de la RTB/Télé. Des expositions de vieux matériels techniques de la chaîne publique, des conférences publiques, des compétitions sportives notamment du Maracaña, un cross populaire, des jeux de société, une journée de salubrité, une soirée dédiée aux partenaires et enfin un concert avec en tête d'affiche, les jeunes stars de la musique burkinabè comme Amzy, Kayawoto, Miss Tanya, Razben, Hugo Boss, Djozi, etc., sont autant d'activités inscrites au programme des ces journées portes ouvertes de la chaîne au cœur des grands évènement.
J.E.Z
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Programme des journées portes ouvertes
Abdallah Boureima, président de la commission de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), a été reçu ce vendredi 9 avril 2021 par le chef de l'État burkinabè. A sa sortie d'audience, il a affirmé être venu non seulement féliciter le président Kaboré pour son élection à la tête de la conférence des chefs d'État de l'Union, mais aussi pour lui remettre le bilan de la feuille de route du collège des commissaires.
Le président du Faso, Roch Kaboré, a été porté à la tête de l'UEMOA par ses pairs le 25 mars 2021, lors du sommet des chefs d'État et de gouvernement. C'est pourquoi, Abdallah Boureima est venu, au nom des membres des organes de l'Union, le féliciter et lui assurer l'accompagnement des organes de l'Union pour cette mission qui lui a été confiée. Il n'a pas manqué d'exprimer ses remerciements et sa gratitude au président Kaboré pour la confiance placée aux commissaires et surtout pour le soutien dont ils ont bénéficié tout au long de leur mandat débuté en avril 2017 et qui s'achève en mai 2021.
Et parce qu'ils seront en fin de mandat, le collège des commissaires de l'UEMOA a élaboré un document faisant le bilan de la feuille de route dressée par la conférence des chefs d'État. Avec sa délégation, Abdallah Boureima a saisi l'occasion de l'audience pour remettre deux exemplaires du bilan de leurs activités au chef de l'État, Roch Kaboré.
Pour les années à venir, plusieurs défis se présentent à l'Union selon le président de la commission de l'UEMOA. Il s'agit de la question sécuritaire, la lutte contre le coronavirus ainsi que la reprise de l'activité économique, car la croissance économique est passée de 6 à moins de 1% en 2020. « Sur tous ces sujets, la conférence des chefs d'État réunie le 25 mars a pris des décisions importantes notamment sur l'harmonisation des conditions de circulation des citoyens de l'Union dans l'espace. Ces conditions sont actuellement difficiles en ce qui concerne la reconnaissance des tests (Covid-19) par les autres pays, les coûts de ces tests et la durée de validité en ce qui concerne le transport aérien. Mais le plus important c'est la réouverture prochaine des frontières terrestres qui concerne le monde entier », a-t-il confié.
Le président du Faso trouve donc sur sa table, à l'entame de son mandat, des dossiers importants qu'il va s'atteler à prendre en charge, en trouvant des solutions idoines avec ses pairs.
Armelle Ouedraogo
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Dans le cadre de sa mission dans la mise en œuvre du projet « Dialogue et changement social », l'association IQRA (qui signifie lire en langue arabe) tient du 9 au 10 avril 2021 à Ouagadougou, un atelier de renforcement des capacités des responsables de ses cadres de dialogue et cohésion sociale. Le but est de mieux outiller ces responsables de sorte qu'ils puissent programmer des activités allant dans le cadre de la prévention et de la gestion des conflits. L'ouverture a eu lieu, le vendredi 9 avril 2021, en présence du représentant de la directrice pays de Diakonia, Alexandre Ouédraogo.
L'association IQRA œuvre dans la promotion de l'éducation en faveur des couches défavorisées de la population, en particulier les apprenants des foyers coraniques, les enfants en situation de rue et les femmes. Elle participe de ce fait, depuis 2018 avec un consortium d'ONG, à la mise en œuvre du « projet d'amélioration de l'inclusion sociale des apprenants des foyers coraniques par l'éducation et le dialogue, en abrégé ‘'Dialogue et changement social'' ».
Financé par l'Union européenne, et avec pour partenaire technique l'ONG Diakonia, ce projet a pour objectif de contribuer, à travers l'éducation, à l'amélioration des conditions de vie sociale et économique des jeunes filles et garçons en vue de réduire les risques de radicalisation au Burkina Faso.
Selon la coordinatrice d'IQRA, Hawa Guira/Bissiri, la mission de l'association dans la mise en œuvre du projet consistait à créer des instances de dialogue fonctionnelles qui participent à la sensibilisation des communautés et au suivi de l'éducation. Ce qui a été fait. Un cadre de dialogue et de cohésion sociale a été mis en place par l'association dans les quatre régions couvertes par le projet, à savoir la Boucle du Mouhoun, les Hauts-Bassins, le Nord et le Sahel. Ces cadres répondent à la question de la mobilisation des communautés dans la mise en œuvre dudit projet. D'où l'initiative de cet atelier en faveur des responsables de ces cadres de dialogue.
A en croire la coordinatrice, il leur permettra non seulement un renforcement de capacités en matière de prévention des conflits, mais aussi sera une opportunité pour eux de faire le bilan de leur plan d'action et un partage d'expériences. « Ces cadres sont constitués de différentes composantes de la communauté pour mener la réflexion sur l'inclusion de ces personnes marginalisées que sont les talibés. Ils mènent aussi des activités de sensibilisation de la communauté », a déclaré Hawa Guira/Bissiri. Elle précise que l'association mène aussi des activités génératrices de revenus (AGR) en vue d'accroitre la résilience de ces communautés.
Il s'agira donc pour les participants, au cours de ces 48 heures, de présenter le bilan des activités des différents cadres ; de clarifier les différents concepts clés de conflits, de paix ; d'identifier et analyser des facteurs entravant la cohésion sociale ainsi que les valeurs communes nécessaires au vivre-ensemble.
Des cadres de dialogue à encourager
Selon le représentant de la directrice pays de Diakonia, Alexandre Ouédraogo, ces cadres de dialogue sont à encourager en ce sens qu'ils constituent des actions concrètes sur le terrain favorisant l'inclusion des personnes défavorisés. « Cet atelier est très important, car qu'il permettra à ces personnes qui sont déjà sur le terrain de mieux orienter leurs actions pour un meilleur impact sur le terrain », a-t-il souligné. Pour lui, ce projet demande l'implication de tout le monde vu qu'il défend une cause nationale.
Quant au choix des quatre régions, cela se justifie par le fait que ces dernières ont beaucoup abrité les foyers coraniques ces dernières années. Ainsi, il fallait partir de là pour avoir un impact important à travers la mise en place des AGR qui permettront aux foyers coraniques d'avoir de la compétence, la qualification professionnelle afin d'être autonomes dans les jours à venir. Pour l'occasion, il a invité les participants à de fructueux échanges pour l'atteinte des objectifs du présent projet qui, au-delà de ses attentes, doit servir à toutes les communautés à la base qui connaissent aujourd'hui des mouvements qui se voient à travers les médias.
Judith SANOU
Lefaso.net
Dans le cadre de la mise en œuvre des programmes portés par son Institut de Soutien et d'Accompagnement des Initiatives Educatives (ISAIE), l'Agence de Conseil de Services et de Formation (ACSF-AFRIQUE) et le Cercle de Réflexion d'Echange et de Partage/Parents A l'Ecole (CREP/PAE) organisent le vendredi 09 avril 2021 de 10h00 à 12h15 au Complexe d'accueil LES LAURETTES, un panel autour du thème « Connaître et comprendre ensemble la situation et le contexte actuel de l'éducation, cerner la subculture des enfants-élèves pour agir efficacement et faire face aux nouvelles menaces contre l'avenir : un défi pour les parents, les acteurs et les partenaires du système éducatif ».
Ce panel sera co-animé par le Ministère de l'Education Nationale de l'Alphabétisation et de la Promotion des langues Nationales (MENAPLN), le Ministère de la Femme de la Solidarité Nationale, de la Famille et de l'Action Humanitaire (MFSNFAH), le Procureur du Faso près le TGI OUAGA I, le Secrétariat National de l'Enseignement Catholique, l'Association des Elèves du Secondaire de Ouagadougou (AESO) et le Cercle de Réflexion d'Echange et de Partage/Parents A l'Ecole (CREP/PAE) avec Messieurs Bernard BOUGOUMA de 3TV et WAT FM et Paul Miki ROUAMBA de la LCA et OUAGA FM.
Au-delà de l'idée d'aider les parents à connaitre le contexte conjoncturel qui prévaut actuellement dans le secteur de l'éducation, ce qui leur permettra de comprendre d'une part les motivations et les enjeux des mesures relatives aux examens de fin d'année, prises par les autorités, et d'autre part de cerner les raisons et les craintes qui ont suscité les réactions et les contestations toujours vives d'une association d'élèves, ce panel est organisé pour susciter un réel engagement des familles Burkinabé et une véritable implication notamment des parents dans la création d'un environnement social qui garantit à tous les niveaux et dans tous les contextes une bonne éducation qui assurera aux enfants et à toute la nation un meilleur avenir.
Si l'on peut affirmer que le tableau de l'éducation tel qu'il se présente est la conséquence de l'évolution et des mutations qu'a connu notre pays (qui subit à l'instar des pays du nord, rentrés après l'étape de la modernité les deux pieds dans l'ère post moderne), il n'en demeure pas moins que ce contexte est aussi le fait de toutes les pesanteurs de certaines traditions et donc d'une certaine culture et d'une mentalité endogène propre à notre pays.
En poussant un peu plus loin l'analyse du contexte, il s'impose à tous de savoir et de reconnaitre que les maux que subissent les familles et l'école sont d'abord présents dans la société et sont aussi le fait de l'action ou de l'inaction d'autres acteurs et donc de l'interférence des autres institutions sociales. C'est pourquoi en lançant cette invitation à tout parent et après eux aux dirigeants et aux syndicats du secteur de l'éducation, aux chefs d'établissements, aux enseignants et autres praticiens du système éducatif, aux différentes associations d'élèves et d'étudiants… il convient d'appeler tous (les partenaires également) à se questionner sur la situation de l'éducation au Faso.
Pour Le CREP/PAE et ACSF-AFRIQUE
Roger VALIA
Sociologue
Le prince Philip, époux de la Reine Elizabeth II du Royaume Uni, est décédé ce vendredi 9 avril 2021, à 99 ans, rapporte le journal « Le Parisien ».
« C'est avec un profond chagrin que sa majesté la reine annonce la mort de son époux bien aimé le prince Philip, duc d'Edimbourg », a annoncé le palais de Buckingham, précisant que le prince « s'est éteint paisiblement » au Château de Windsor.
Après l'annonce du décès, le Premier ministre Boris Johnson a salué la mémoire du défunt.
« Avec son diplôme du duc d'Edimbourg, il a inspiré des milliers de jeunes britanniques. On se souviendra du duc pour tout ce qu'il a fait, notamment pour son soutien à la reine, en tant qu'époux et c'est à sa majesté et sa famille que toute la GB pense aujourd'hui », a-t-il indiqué.
Né le 10 juin 1921 à Corfou (Grèce), le Prince Philip est arrivé en Angleterre, en compagnie de son père.
Il a épousé la princesse Elizabeth le 20 novembre 1947 et ils ont eu quatre enfants.
Lefaso.net
Dans une réflexion publiée sur sa page facebook, Bila Moussavou, journaliste sportif, donne des astuces pour une qualification des Etalons à la Coupe du monde 2022.
Selon l'ancien employé de Canal 3 et de 3TV, les Burkinabè devront commencer par éviter de faire de la surenchère dans la recherche de la qualification du Pays des hommes intègres à une phase finale de la Coupe du monde.
Le commentateur de Canal+ appelle aussi l'encadrement technique à étudier sérieusement les adversaires et les joueurs à travailler dur dans leurs clubs afin d'être en forme pour aborder les qualifications.
L'Algérie est l'équipe qui pose problème au Burkina dans son groupe. En 2014, elle avait mis fin au rêve des Burkinabè de participer à un Mondial. Face à l'ogre algérien, Bila Moussavou propose aux Etalons de jouer à fond cette rencontre.
Le Burkina Faso a un effectif vieillissant. Pour pallier cela, le journaliste sportif propose de « tester et responsabiliser les jeunes » que sont Bertrand Traoré, Edmond Tapsoba, Zakaria Sanogo, Hassane Bandé qui signe son retour avec les Etalons, Hervé Koffi et bien d'autres.
En rappel, les Etalons sont dans le même groupe que l'Algérie, le Niger et Djibouti.
Lefaso.net
Calendrier des Étalons
Niger - Burkina : 5-8 juin 2021
Burkina - Algérie : 11-14 juin 2021
Djibouti - Burkina : 1-4 septembre 2021
Burkina - Djibouti : 4-7 septembre 2021
Burkina - Niger : 6-9 octobre 2021
Algérie - Burkina : 10 - 12 octobre 2021
Barrage d'accès à la coupe du monde 2022 : novembre 2021.
Les Grandes familles TOUGOUMA, KABORE, SONGRE, BAMOGO
Sa Majesté le KIIBYAOGA, Chef de Gounghin/Koupéla ;
Le Malgr-Naaba à Gounghin Natenga
Les familles alliées, KABORE, YOUGBARE, KIMA, SANDWIDI, MONDRE, ZONGO, SANFO, KEÏTA, SANA à Ouagadougou, Koupéla, Gounghin-koupéla, Bobo Dioulasso, Abidjan, USA, Canada, France, Hollande.
Monsieur TOUGMA Siméon et son épouse à Ouagadougou
Monsieur TOUGMA Raymond et son épouse à Gounghin Koupéla
Monsieur YOUGBARE Dieudonné et son épouse à Ouagadougou
Monsieur TOUGMA Cyprien et son épouse à Ouagadougou
Monsieur TOUGOUMA Eugène et son épouse à Ouagadougou
Monsieur KABORE Jean et son épouse à Ouagadougou
La veuve TOUGOUMA/KABORE Delphine à Ouagadougou
Les enfants Yannis, Yohann et Divine
Très touchés par les nombreuses marques de sympathie, de solidarité et de compassion ainsi que la grande mobilisation que vous leur avez témoignée lors du rappel à Dieu le 16 mars 2021 à Douala au Cameroun et de l'inhumation le 27 mars 2021 à Ouagadougou de leur fils, frère, beau-fils, époux, et papa : TOUGOUMA Touwendé Jean Bernard, Magistrat, spécialiste des affaires judiciaires et pénitentiaires au sein de la MINUSCA en République Centrafricaine.
Vous expriment leur profonde gratitude
Ils remercient :
Madame la Ministre de la Justice, des droits humains et de la promotion civique
Monsieur le Secrétaire Général du Ministère de la Justice
Les représentant(es) du système des Nations Unies au Burkina Faso, au Cameroun, en RCA, la MINUSCA
L'ensemble du personnel du Tribunal Administratif de Ouagadougou
L'Honorable Roger DIMA
Monsieur le Directeur Général de la Garde de sécurité pénitentiaire
Monsieur le Directeur Général du FAFPA
Monsieur le Directeur Général de l'ONASER
Monsieur le Curé de la Paroisse Notre Dame du Perpétuel Secours de Kossodo
La Communauté des Rédemptoristes au Burkina et en Côte d'Ivoire
La communauté des Pères Jésuites en Côte d'Ivoire
Monsieur le Directeur du Centre de Formation et de Production du SND de Loumbila
La CCB Saint Maximilien Marie KOLBE de la Cité Expertis de Loumbila
Association pour le Kourittenga je m'Engage (AKE)
Les 12ème et 16ème promotions de la Magistrature
Les résidents de la cité Expertis de Loumbila
Tous les parents, amis, connaissances et collègues de Touwendé Jean Bernard venus de près ou de loin.
Que Dieu Tout Puissant rende à chacun, le centuple de ses bienfaits !
Ils vous informent par ailleurs que des messes sont programmées dans les paroisses suivantes pour le repos de son âme.
Programmes des messes pour le repos de l'âme du juge
TOUGOUMA Touwendé Jean Bernard
Que par la miséricorde de Dieu, l'âme de TOUGOUMA Touwendé Jean Bernard repose dans la paix du Christ Ressuscité !
Les grandes familles NIKIEMA, KAFANDO, DIBGOLONGO, COMPAORE à St Léon et Bilbalogho, NIKIEMA Adèle professeur de français à la retraite, Mme TAPSOBA née NIKIEMA Dorothée à la BCB bobo, Mme KABORE née NIKIEMA Thérèse à Ouagadougou, NIKIEMA Eric technicien de laboratoire à GEOTECH Ouagadougou.
La grande famille KONFE à St Léon et Dapoya, les familles alliées, TOGUYENI, OUEDRAOGO, REMEN, TAPSOBA, KABORE, SANKARA, DAHANI, KOIDIMA, LOMPO, DOUSSA à Ouagadougou ;
La Veuve NIKIEMA, née TOGUYENI Mina Yvette agent de santé à la retraite, ses enfants, Bruno et Innocente.
Vous remercient du soutien tant moral, financier et spirituel lors du décès de leur fils, frères, petit fils, époux, père et grand-père
COLONEL à la retraite NIKIEMA Blaise Marie Magloire domiciliée à Wayalghin décès survenu le lundi 29 Mars 2021 au CHU de BOGODOGO .
Elles évitent de citer des noms de peur d'en oublier !
Que le seigneur tout puissant vous rende au centuple vos bienfaits ; Merci pour vos prières et votre fraternité !
Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix.
La grande famille SAWADOGO à Sabcé, Pitenga (BAM), Ouagadougou, au Ghana, aux Etats-Unis, au Canada et en France.
Pegueyilba, Ali, Basga Roger, Kouka Emmanuel, Professeur Ram Christophe, Naroungba, Sylvain, Ousséni, Marceline, Victorine, Laurentine, Béatrice Missi, Jonas, Julienne, Jacqueline, Jean, à Goungla, Ouagadougou, Sabcé, Kongoussi, Vallée du Kou.
Les grandes familles NASSA, BOENA, OUEDRAOGO et SAWADOGO à Wédranguin, Sabcé.
La grande famille OUEDRAOGO du Royaume de Rissiam ;
Sa majesté Naaba KAONGA, Dima du Rissiam ;
Le Naaba Kom, chef de Wazélé, frères et sœurs ;
Les enfants :
Siméon SAWADOGO, ministre de l'Environnement, de l'Economie Verte et du Changement Climatique ;
Martin SAWADOGO, DTN de la fédération Nationale de cyclisme ;
Désiré SAWADOGO, Associé-gérant de société CIBEXI-IC ;
Grégoire SAWADOGO, Directeur de société ;
Madame KONSEIM/SAWADOGO Emilienne, Directrice provinciale de l'enseignement primaire d'Oubritenga/Ziniaré ;
Madame YAMEOGO/ SAWADOGO Agnès à Dédougou ;
Isabelle SAWADOGO à Sabcé.
Les neveux, nièces, cousins et cousines, petits-enfants et arrière-petits-enfants ;
Les familles alliées : SAWADOGO, OUEDRAOGO, ROUAMBA, SOMTORE, ZONGO, SOMDA, KABORE, ZIDOUEMBA, GANDEMA, KONSEIM, YAMEOGO, NIKIEMA, SAGNON, ZAGARE, DRABO, AGUIT-ABAL, BATIENE, ZAN, NANA, MADRIGAL et KIMPOSSO.
Très touchés par les nombreuses marques de compassion, de solidarité, d'amitié et de soutien que vous leur avez témoigné, lors du décès le 19 mars 2020 et de l'inhumation le 24 mars 2020 de leur épouse, sœur, mère, grand-mère et arrière-grand-mère, MADAME SAWADOGO/OUEDRAOGO Gompalioussédé Georgette.
Vous renouvelez leurs sincères remerciements et vous convient aux célébrations suivantes tenant lieu de funérailles chrétiennes à l'église de la paroisse de SABCE/BAM :
Vendredi 16 avril 2021 à 17 heures, veillée de prières ;
Samedi 17 avril 2021 à 08 heures, messe de requiem.
Que Dieu exhausse nos prières et nous comble de ses grâces.
Amen !
INNA LILLAHI MA AKHADHA WA LAHOU MA ATA, Wa KOULLOU CHAY-INE INDAHOU BI AJALIN MOUSSAMA FAL TAGBIR WAL TAHTASSIB
« Nul ne disparaît si son souvenir demeure ancré dans nos cœurs. »
10 avril 2020-10 avril 2021
Voilà déjà un (1) an que nous a quittés dans la paix du tout puissant,
Hadja Mariétou SIRA NACOULMA.
A l'occasion du 1er anniversaire de son décès,
Les grandes familles El Hadj Ousmane Sibiri Ouédraogo à Ouagadougou, à Salogo, au Bénin, en France et en Côte-D'Ivoire.
La famille du Cheick El Hadj Aboubacar Maïga 2 à Ramatoulaye et à Ouagadougou.
Les familles Nacoulma à Ouagadougou à Ouagadougou et à Manga.
Sa majesté le Mogho Naaba Baongo.
Son excellence Monsieur Roch Marc Christian Kabore, président du Faso.
Sa majesté le Naaba Boulga de Salogo.
Les familles alliées Congo, Touré, Faivre, Marien et Gouzit.
Renouvellent leurs sincères remerciements aux parents, amis et connaissances pour le soutien qu'ils leur ont apporté lors de ce douloureux évènement. Qu'Allah le miséricordieux dans son infinie bonté vous rende au centuple, vos bienfaits.
Ils vous invitent à vous joindre à eux pour un doua le dimanche 11 avril à 08h à la maison sise côté ouest de la grande mosquée de Ouagadougou.
Union de prière.
INNA LILLAHI WA INNA ILAYI RAJI-ÔUNE
« Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » Jean 11,25
Le Kossodo Naba-Sanem,
Les grandes familles NACOULMA, ILBOUDO, OUEDRAOGO, KOUKOUMZIMBO, BOUGOUMA et NIKIEMA, à Ouagadougou, Dakar, Cote d'ivoire et France,
Le Samand-Naba de Koupela,
Les grandes familles YOUGBARE et KOURAOGO à Ouagadougou, Koupela, Italie et France,
Les familles alliées et amies : YAMEOGO, ILBOUDO, NIKIEMA, ZONGO, OUEDRAOGO, COMPAORE, BAMBARA à Palogo-Koudougou, Congo-Brazza, Doulgou, Guirgo, Gouangin, Pabré, Duo, Rayongo, Ouagadougou,
Ses frères NACOULMA Vital Emeric, Onésime Cédric, Boris Aurèle, et sa belle-sœur Elisabeth Arielle
Le docteur Marius NACOULMA au CMA de Pissy et son épouse NACOULMA/YOUGBARE Marie Aline à la SONABEL,
Remercient du fond du cœur les parents, amis et connaissances qui ont compati à leur douleur lors de la perte brutale de leur fille : NACOULMA Audrey Emeraude Benewendé, élève en classe de 1ère G2 au Lycée Technique Charles Lavigerie, décès survenu le 30 Mars 2021 suivi de l'absoute et de l'enterrement le 31 Mars 2021.
Ils remercient particulièrement :
les Abbés Ernest Marie ILBOUDO, Anatole TIENDREBEOGO,
le Père Célestin POUYA, le Frère Emmanuel KIENTEGA,
la sœur supérieure de la congrégation des Filles du Cœur Immaculé de Marie (FCIM),
le Directeur Général de la SONABEL et l'ensemble du personnel,
le personnel du CMA de Pissy,
la sœur Directrice du Lycée Technique Charles Lavigerie, son personnel et les élèves,
la sœur Directrice du collège Notre Dame de Kologh-Naba,
Le frère Directeur du Collège Saint Jean Baptiste de La Salle et les élèves,
les étudiants de l'ISGE
les voisins de Ouaga 2000, Somgande, Nonsin et Bilbalogo.
Des messes pour le repos de son âme seront dites selon le calendrier sous-dessous.
Puisse le Dieu de miséricorde récompenser chacun au centuple de ses bienfaits.