Die im DIW Berlin angesiedelte forschungsbasierte Infrastruktureinrichtung Sozio-oekonomisches Panel (SOEP) sucht zum nächstmöglichen Zeitpunkt eine studentische Hilfskraft (w/m/div) für 10 Wochenstunden.
Katars Politik beruht seit den 1990er Jahren auf drei Grundlinien: Das Emirat baut seine Gasförderung aus und liefert verflüssigtes Gas in möglichst viele Länder; es versichert sich des militärischen Schutzes durch die USA, indem es Stützpunkte bereitstellt; es führt eine »Soft Power«-Kampagne in Form von Investitionen in Medien und Sport. Während des Arabischen Frühlings ging Katar in die Offensive, was einen Bruch in seiner Regionalpolitik darstellte. Damals zielte es auf nichts weniger ab als eine Revision der regionalen Ordnung in der arabischen Welt. Seit dem Amtsantritt von Emir Tamim 2013 hat Doha seine Ambitionen zwar zurückgeschraubt, will aber weiter als Regionalmacht anerkannt werden. Katar versucht Regionalkonflikte zu entschärfen, indem es sich als Vermittler positioniert. Es unterhält gute Beziehungen zu Iran, zu dessen Verbündeten in der Region sowie zu militanten Gruppen wie der Hamas und den Taliban. Dies und seine Unterstützung der Muslimbruderschaft provoziert immer wieder Konflikte mit Saudi-Arabien und anderen Nachbarn. In der Folge hat Katar die Türkei als neue Schutzmacht identifiziert. Katar ist ein attraktiver Partner für Deutschland und Europa und kann ein wichtiger Gaslieferant werden, etwa wegen seiner Flexibilität bei Lieferungen und seinem Interesse am europäischen Markt. Es war ein schwerer Fehler deutscher Politik, nicht viel früher auf katarisches Gas zu setzen. Langfristige Bestellungen desselben könnten ihn korrigieren. Wenn es tatsächlich eine sicherheitspolitische »Zeitenwende« geben soll, muss Deutschland sich auch auf Gefahren einstellen, die aus dem Nahen Osten drohen (Stichworte: Migration, Terrorismus, nukleare Proliferation). Dazu gehört, dass Deutschland und Europa prowestliche Verbündete benötigen – wie Katar.
Zwischenwahlen in den USA sind nicht nur Stimmungsbarometer für den Erfolg einer Präsidentschaft. Die Machtverhältnisse im Kongress entscheiden über den Handlungsspielraum des Präsidenten: Ein divided government – in dem mindestens eine Kammer des Kongresses nicht von der eigenen Partei kontrolliert wird – schränkt dessen Fähigkeit ein, Gesetzesvorhaben zu realisieren. Zwar sind die Aussichten für die Republikaner im Hinblick auf die Wahlen am 8. November besser, doch für verlässliche Prognosen ist deren Ausgang zu ungewiss. Die sogenannten Midterms sind noch aus einem anderen Grund bedeutsam: In den Bundesstaaten werden die Weichen für nationale Wahlen bis hin zur Präsidentschaftswahl gestellt. Da die Legitimität von Wahlverfahren zunehmend selbst zum Gegenstand parteipolitischer Auseinandersetzung wird, ist wichtig, wer solche Verfahren beaufsichtigt. Vor diesem Hintergrund ist es problematisch, dass eine klare Mehrheit in der Republikanischen Partei dem Mythos anhängt, die Niederlage von Präsident Trump sei das Resultat einer »gestohlenen Wahl« gewesen, und versucht, ihren Erfolg an der Urne mit zweifelhaften Methoden zu sichern.
Que s'est-il réellement passé à Prague le 6 octobre ? Cette question taraude les analystes européens depuis le dîner organisé dans la capitale de la République tchèque, en marge de la première réunion au sommet de de la Communauté politique européenne.
Entre la presse internationale et les 44 chef...
Pour faire face à l'augmentation des prix de l'énergie, les États membres et l'Union européenne ont pris des mesures. En Belgique, la Chambre des députés a approuvé le 27 octobre un chèque énergie pour les ménages, de 135 € pour le gaz et de 61 € pour les mois de novembre et décembre 2022. En Slovénie, le gouvernement a introduit une limitation des prix du chauffage urbain alimenté au gaz naturel. La Fondation vous propose une carte pour tout comprendre. Elle est régulièrement complétée, mise à jour et actualisée.
La Commission a approuvé le 27 octobre un premier versement de 2,6 milliards € à la Roumanie dans le cadre du programme européen NextGenerationEU mis en place pour faire face aux conséquences de la pandémie de Covid-19. Ce fonds de relance de 672,5 milliards €, baptisé "facilité pour la reprise et la résilience", est destiné aux États membres sous forme de subventions et de prêts. Les plans de 26 pays ont été approuvés, et 10 pays ont reçu des versements. La Fondation vous propose une carte interactive des plans pays par pays, pour en connaître les montants, les calendriers et les priorités..
Le 25 octobre s'est tenue à Berlin une conférence internationale d'experts sur la reconstruction de l'Ukraine, sous l'égide de la présidence allemande du G7 et de la Commission européenne. La présidente de la Commission Ursula von der Leyen et le chancelier allemand Olaf Scholz ont réitéré le soutien à long terme de la communauté internationale à l'Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est intervenu en vidéoconférence et a demandé aux représentants politiques une aide financière pour faire face au déficit budgétaire de 38 milliards $ prévu l'an prochain. La création d'une plateforme de donateurs permettant de coordonner le processus de reconstruction est également prévue par les pays membres du G7.
Le 25 octobre a eu lieu à Zagreb le premier sommet parlementaire de la Plateforme internationale de Crimée, qui a pour but de renforcer la réponse internationale à l'occupation russe de la Crimée, de répondre aux menaces sécuritaires et d'accroître la pression sur la Russie. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé le chaos instauré par la Russie, ainsi que son impunité. De son côté, le Président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, Tiny Kox, est revenu sur l'importance de l'exclusion de la Russie du Conseil de l'Europe, et a rappelé que le Parlement russe, au même titre que le président et le gouvernement, est en partie responsable des conséquences de la guerre en Ukraine et des annexions illégales.
La Banque européenne d'investissement et le Programme des Nations unies pour le développement ont signé un accord à Berlin le 25 octobre, de 2 millions €, financé par le fonds multi-donateurs E5P. L'objectif est de financer l'efficacité énergétique dans les villes ukrainiennes, dans le cadre d'un prêt-cadre BEI de 300 millions €, dont l'Union est le principal contributeur. Ce prêt sera utilisé pour rénover les bâtiments publics pour améliorer leur efficacité énergétique, reconstruire les bâtiments détruits et adapter les bâtiments à l'accueil des populations déplacées par la guerre.
Le 26 octobre, la commission des transports et du tourisme du Parlement européen a voté en faveur de deux accords avec l'Ukraine et la Moldavie, déjà appliqués de manière provisoire depuis le mois de juin. Ces accords permettent aux transporteurs ukrainiens de conduire en Europe sans avoir à obtenir un permis international. Ils seront soumis pour approbation lors la prochaine session plénière.
Le 29 octobre, la Russie a décidé de suspendre sa participation à l'Initiative sur les céréales de la mer Noire, qui permettait d'assurer un passage sécurisé aux navires exportant des céréales d'Ukraine. A l'origine, cette initiative devait prendre fin mi-novembre mais pouvait être prolongée. Le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a engagé des "contacts intenses" avec la Russie pour la faire revenir sur sa décision.
Le président allemand Frank-Walter Steinmeier s'est rendu à Kiev le 25 octobre pour réaffirmer le soutien de l'Allemagne à l'Ukraine. L'objectif de ce voyage était notamment d'encourager les villes allemandes à conclure des partenariats avec des villes ukrainiennes pour financer leur reconstruction, et celle des infrastructures énergétiques.
Christine Lagarde, présidente de la BCE, a annoncé le 27 octobre un relèvement des taux directeurs de 75 points de base afin de contrer l'inflation, qui s'est élevée à près de 10% en septembre dans la zone euro. Afin d'assurer le retour au plus tôt de l'inflation vers son objectif de 2 %, la BCE a également resserré les conditions de financement des banques modifiant sa troisième série d'opérations ciblées de refinancement à long terme (TLTRO III).
La législation sur les services numériques (Digital Services Act, DSA), a été publiée au Journal officiel de l'Union européenne le 27 octobre. Elle impose de nouvelles obligations aux plateformes pour limiter les contenus et produits illicites, et interdit notamment les publicités ciblées.
La Commission a proposé le 26 octobre une révision des directives sur la qualité de l'air ambiant (plan zéro pollution) qui introduira, entre autres, l'indemnisation des personnes dont la santé est affectée par la pollution atmosphérique, ainsi qu'une révision de la directive sur le traitement des eaux urbaines résiduaires, et l'actualisation des listes de polluants à contrôler plus strictement dans les eaux de surface et les eaux souterraines.
La Commission a adopté le 27 octobre une proposition législative qui prévoit le déploiement des paiements instantanés, "en 10 secondes", abordables et sécurisés au sein de l'Union européenne. Il s'agit de rendre ces paiements accessibles aux particuliers et aux entreprises dans le but d'éliminer les éventuels frais connexes qui varient fortement d'un État membre à l'autre.
Le Conseil et le Parlement ont conclu un accord provisoire le 27 octobre durcissant les normes de matière d'émissions de CO2 pour les voitures et camionnettes. L'objectif fixé est une réduction de 55 % des émissions pour les voitures neuves et de 50 % pour les camionnettes neuves d'ici 2030, afin d'atteindre la fin des moteurs thermiques en 2035. L'accord doit maintenant être formellement adopté par le Conseil et le Parlement.
Les ministres de l'Énergie ont discuté, le 25 octobre, des propositions de la Commission pour lutter contre la hausse des prix. Ils ont rappelé la nécessité d'efforts rapides et coordonnés et sont convenus de se retrouver le 24 novembre.. Ils ont échangé sur le développement d'un marché intérieur efficace dans le domaine des énergies renouvelables et ont décidé de la révision de la directive relative à la performance énergétique des bâtiments.
Pages