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Union européenne

La BCE reconnait l’impact négatif de ses décisions sur l’Allemagne et l’Espagne 

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 11:51
Alors que la profitabilité des banques de la zone euro inquiète, la BCE indique que les décisions monétaires adoptées après la crise financière n’ont eu au mieux aucun effet. En Espagne et en Allemagne, l’impact a même été négatif.
Categories: Union européenne

Phil Hogan estime que les Britanniques ne changeront pas d’avis sur le Brexit

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 11:50
L’UE a accepté que le processus du Brexit était irréversible selon le commissaire irlandais, Phil Hogan.  
Categories: Union européenne

Douma : Macron et Trump pour une réaction ferme de la communauté internationale

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 11:48
Emmanuel Macron et Donald Trump ont réaffirmé lors d’un entretien téléphonique lundi soir leur souhait d’« une réaction ferme de la communauté internationale » après l’attaque chimique présumée perpétrée à Douma, en Syrie, rapporte l’Élysée.
Categories: Union européenne

La paix se heurte toujours aux murs à Belfast

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 11:28
En Irlande du Nord, les « murs de la paix » dressés entre quartiers catholiques et protestants sont toujours là, vingt ans après les Accords du Vendredi saint, le 10 avril 1998. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
Categories: Union européenne

39/2018 : 10 avril 2018 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-320/16

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Tue, 10/04/2018 - 10:10
Uber France
Rapprochement des législations
Les États membres peuvent interdire et réprimer pénalement l’exercice illégal de l’activité de transport dans le cadre du service UberPop sans notifier au préalable à la Commission le projet de loi incriminant un tel exercice

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38/2018 : 10 avril 2018 - Conclusions de l'avocat général dans l'affaire C-89/17

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Tue, 10/04/2018 - 10:08
Banger
Citoyenneté européenne
Selon l’avocat général Bobek, lorsqu’un citoyen de l’Union retourne dans son État membre d’origine, ce dernier est tenu de favoriser l’entrée et le séjour du partenaire non UE avec lequel ce citoyen a développé ou renforcé des liens familiaux dans un autre État membre

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37/2018 : 10 avril 2018 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-191/16

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Tue, 10/04/2018 - 10:07
Pisciotti
DISC
Un État membre n’est pas tenu de faire bénéficier tout citoyen de l’Union ayant circulé sur son territoire de l’interdiction d’extradition vers les États-Unis dont bénéficient ses propres ressortissants

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Stockholm taxe désormais le CO2 aérien

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 09:52
Depuis le 1er avril, les passagers prenant l’avion en Suède doivent s’acquitter d’une taxe carbone. Un article de notre partenaire, le Journal de l'environnement
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Les emballages alimentaires snobent le plastique recyclé

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 09:51
Tetra Pak, l’omniscient fabricant d’emballage suédois, n’utilise pas de plastique recyclé en contact avec les aliments. De nouvelles règles européennes pourraient cependant le pousser à se jeter à l’eau.
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Le Royaume-Uni rêve du Commonwealth pour ses échanges commerciaux post-Brexit

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 09:29
Les eurosceptiques britanniques estiment que les autres pays du Commonwealth deviendront les principaux partenaires commerciaux du Royaume-Uni après le Brexit.  
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L’aide au développement française revient à son niveau de 2012

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 09:28
En 2017, l’aide au développement française a reprise une courbe ascendante. Mais après des années de baisses successives, cette reprise a seulement ramené la solidarité internationale de l'Hexagone au niveau de 2012.  
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Victoire de Viktor Orbán en Hongrie : le malaise européen

Toute l'Europe - Tue, 10/04/2018 - 08:45
La victoire du parti conservateur Fidesz en Hongrie aux élections législatives entraîne la reconduction du très controversé Premier ministre Viktor Orbán à la tête du pays. Au-delà des félicitations d'usage, plusieurs de ses alliés l'ont appelé à garantir l'État de droit dans le pays.
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L’industrie européenne est-elle payée pour polluer?

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 07:40
Au lieu de poursuivre de véritables plans de décarbonation, les industries énergivores européennes ont réussi à transformer la pollution en profit. Le Réseau Action Climat dénonce le marché du carbone, les aides fiscales et des soutiens divers.    
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2,7 millions d’Européens touchés par le scandale Cambridge Analytica

Euractiv.fr - Tue, 10/04/2018 - 07:31
L’entreprise Cambridge Analytica aurait collecté les données personnelles de 2,7 millions d’utilisateurs européens de Facebook, selon la Commission européenne.
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Législatives en Hongrie: l’inquiétude monte à Budapest après le triomphe d’Orban

RFI (Europe) - Mon, 09/04/2018 - 23:58
Si le Fidesz, le parti ultraconservateur de Viktor Orban, a de nouveau triomphé dans les campagnes, dans la capitale les habitants sont beaucoup plus favorables aux partis d'opposition. Le Fidesz est accusé d'avoir muselé depuis 2010 de nombreuses institutions et contre-pouvoirs du pays, comme les médias et la justice, mais aussi l'économie et la culture. Le tout légalement, grâce à sa super-majorité au Parlement et sans s'émouvoir des critiques de la Commission européenne et de nombreux observatoires internationaux. A Budapest, au sein de la population, l'inquiétude est palpable. Reportage.
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Le PPE droit dans les bottes d'Orbán

Coulisses de Bruxelles - Mon, 09/04/2018 - 22:51

Tout le parti populaire européen (PPE) s’est réjouit de la large victoire de Viktor Orbán en Hongrie, à l’image de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, membre éminent du PPE. Se retrouver sur la même ligne que l’extrême-droite, du Front National au VVD néerlandais, n’a suscité aucun état d’âme apparent parmi les conservateurs européens. Dès avant le scrutin, le Français Joseph Daul, patron du PPE, avait affiché son soutien au Premier ministre hongrois dans un tweet : «Tous mes vœux au Fidesz et au KDNP [Parti populaire démocrate-chrétien, ndlr] pour les prochaines élections législatives en Hongrie. Le Premier ministre, Viktor Orbán, et les partis de droite continueront à apporter stabilité et prospérité aux citoyens hongrois.». Deux jours plus tard, le président du groupe PPE au Parlement européen, l’Allemand Manfred Weber, a fait un clin d’œil appuyé à Orbán, toujours dans un tweet: «Si nous voulons défendre notre mode de vie, nous devons savoir ce qui nous détermine. L’Europe a besoin d’un débat sur son identité et sur sa culture dominante.»

Ces tweets ont été postés après les propos antisémites du Premier ministre hongrois qui, le 15 mars, s’est livré à une sortie digne d’un parti fasciste de l’entre-deux-guerres: «Nous avons affaire à un adversaire qui est différent de nous. Il n’agit pas ouvertement, mais caché, il n’est pas droit, mais tortueux, il n’est pas honnête, mais sournois, il n’est pas national, mais international, il ne croit pas dans le travail, mais spécule avec l’argent, il n’a pas de patrie parce qu’il croit que le monde entier est à lui […]. Nous avons fini par renvoyer chez eux le sultan et ses janissaires, l’empereur Habsbourg et ses fidèles, les soviets et leurs camarades, et maintenant nous allons en faire autant avec l’Oncle George (Soros, NDA) et son réseau.» Des propos qui n’ont suscité aucune réaction de réprobation au sein du PPE, même pas un froncement de sourcil.

Berlin ne veut pas rompre les liens avec son hinterland

«Il faut bien voir qu’Orbán fait partie de la famille PPE et donc la famille le soutient», analyse Charles de Marcilly, le responsable bruxellois du think tank Robert Schuman. Autrement dit, la place d’un Fidesz illibéral, antimusulman et antisémite au sein du PPE n’est pas un sujet de discussion, même si son aile gauche, représentée par une partie des Français (LR), les Belges ou encore les Nordiques a régulièrement de discrets états d’âme face à sa dérive extrême droitière, mais pas au point de demander son exclusion ou de menacer de quitter les rangs du PPE.

Ce soutien sans faille n’est pas récent: dès 2001, le Fidesz a obtenu le statut d’observateur au sein du PPE (le parti, pas le groupe) avant d’en devenir membre lors de son adhésion à l’Union en 2004 et de siéger sur les bancs du groupe politique PPE au Parlement européen. Il est vrai qu’à l’époque, Orbán dirigeait un parti assez proche des idées démocrates-chrétiennes. Mais, depuis qu’il a entamé, à partir de 2010, sa lente dérive vers l’extrême droite et la transformation de la démocratie hongroise en «démocrature», le PPE n’a jamais pris ses distances. Pourtant, le Fidesz n’est pas déterminant dans le poids du groupe: 12 députés sur 219, pas de quoi changer le rapport de force au sein de l’Assemblée, les socialistes étant loin derrière avec 187 sièges.

Alors, comment l’expliquer? Il faut se souvenir qu’Helmut Kohl, l’ancien chancelier allemand, avait pour projet de transformer le PPE, qui était alors un rassemblement de partis démocrates-chrétiens, en famille d’accueil de toutes les droites européennes, un projet poursuivi depuis par la CDU-CSU: les gaullistes, par exemple, l’ont finalement rejoint en 2004, sous Jacques Chirac. Kohl avait aussi pour ambition que le PPE soit présent dans tous les Etats membres afin de marquer la réunion politique du vieux continent. Couper aujourd’hui les ponts avec la Hongrie mettrait à mal cette vieille ambition allemande, d’autant que Berlin ne veut pas rompre les liens avec ce qui constitue son hinterland.

Rien d’étonnant, dès lors, à ce que le PPE ait fait bloc, en 2014, pour empêcher la Commission présidée par Jean-Claude Juncker, lui aussi membre du PPE, de chercher noise à la Hongrie sur le respect de l’Etat de droit. D’autant qu'«Orban sait négocier et reculer quand c’est nécessaire. Il tend l’élastique, mais ne le rompt pas», analyse un responsable du PPE. En outre, Orbán fait régulièrement valoir qu’il est l’ultime barrage contre les néonazis du Jobbik. Surtout, s’il critique l’Europe à domicile, il se comporte plutôt en bon élève à Bruxelles et n’hésite pas à venir s’expliquer devant les eurodéputés quand il est mis en cause. Ainsi, jamais la Hongrie n’a brandi son véto ou menacé de sortir de l’Union, car elle sait trop ce qu’elle a à perdre en termes d’aides régionales (3,4% de son PIB) et en accès au marché intérieur.

Manière forte

C’est toute la différence avec la Pologne gouvernée par le PiS (Droit et justice), le parti de Jaroslaw Kaczynski, qui n’est pas membre du PPE (mais du groupe eurosceptique ECR). Elle n’a donc pas bénéficié de la protection de la «famille» pour empêcher, en décembre, le déclenchement de la procédure de l’article 7 du traité sur l’Union sur le «risque clair de violation grave» des valeurs européennes. Pour ne rien arranger, le PiS refuse de négocier, cherche sciemment l’affrontement avec l’Union et n’hésite pas à brandir son veto en toutes occasions. Tout ce que le très malin Orbán évite de faire pour rester maître chez lui.

Son appartenance au PPE n’a pas empêché de fortes tensions en 2015 avec l’Allemagne au moment de la crise des migrants, Orbán employant la manière forte pour stopper le flux de réfugiés pendant que la chancelière Angela Merkel ouvrait ses frontières. Un différend désormais oublié, les pays européens s’étant alignés sur la Hongrie au point de sous-traiter la politique d’asile à la Turquie… «On peut parler d’«orbanisation» du PPE sur l’immigration ou l’identité européenne», juge Charles de Marcilly: «Le curseur du parti a nettement glissé vers la droite.» D’ailleurs, l’alliance entre les conservateurs autrichiens, membres du PPE, et les néonazis du FPÖ n’a suscité aucune réserve ni du PPE ni de la Commission, Jean-Claude Juncker accueillant même avec les honneurs le chancelier Sebastian Kurz à Bruxelles. On comprend mieux dès lors qu’une déclaration antisémite d’Orbán ne dérange pas outre mesure la digestion des caciques du PPE.

Photo: REUTERS/Leonhard Foeger TPX

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Allemagne: des grèves dans la fonction publique annoncées pour ce mardi

RFI (Europe) - Mon, 09/04/2018 - 18:06
Plusieurs syndicats allemands de la fonction publique ont appelé lundi 9 avril à des « grèves d'avertissement » qui devraient toucher dès mardi 10 avril plusieurs villes et régions allemandes, pour peser sur les négociations en cours sur les salaires.
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Consommation: quand les vins italiens s'exportent bien... en France

RFI (Europe) - Mon, 09/04/2018 - 17:26
Les vins italiens s'exportent en France. L'an dernier, ces exportations ont atteint 170 millions d'euros. Un niveau record, selon le communiqué de la Coldiretti, la confédération des syndicats agricoles italiens, grâce notamment à des vins pétillants. Les fameux proseccos sont de plus en plus appréciés par les consommateurs français.
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L'économie russe secouée par les nouvelles sanctions américaines

RFI (Europe) - Mon, 09/04/2018 - 17:07
De nouvelles sanctions américaines ont été prises contre Moscou, accentuant la tension entre la Russie et les Occidentaux. Vendredi 6 avril, Washington a annoncé des mesures contre 7 oligarques et 12 entreprises russes considérées comme proches du Kremlin pour les punir de leurs activités malveillantes contre les démocraties occidentales. Résultat : ce lundi 9 avril, une nette dégringolade de la Bourse de Moscou.
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Législatives en Hongrie: Orban en tête dans tout le pays... sauf à Budapest

RFI (Europe) - Mon, 09/04/2018 - 14:42
Avec près de 49% des suffrages sur plus de 95% des bulletins dépouillés, le Fidesz, le parti du très populiste et très conservateur Premier ministre hongrois Viktor Orban remporte haut la main les législatives organisées ce dimanche 8 avril, il obtient même quatre points de plus qu'il y a quatre ans, lors des dernières élections. Le résultat est une majorité des deux tiers au Parlement et un nouveau mandat. Viktor Orban tout puissant ou presque dans la plupart des régions hongroises… sauf à Budapest. Dans la capitale, l'opposition remporterait 12 des 18 sièges à pourvoir, selon les derniers résultats toujours provisoires.
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