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Union européenne

L’Europe de l’asile en panne avant le Conseil européen

Euractiv.fr - Thu, 21/06/2018 - 11:08
Les Etats-membres sont tentés par des solutions temporaires comme des amendes pour les migrants qui passent les frontières et des plate-formes d'accueil de migrants en dehors de l'UE. L'idée d'une agence européenne des migrations appelée de ses voeux par la France ne séduit guère.  
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Qu’a-t-on fait des Green Bonds à la française?

Euractiv.fr - Thu, 21/06/2018 - 11:08
Dans un rapport publié le 20 juin, l’Agence France Trésor (AFT) dresse un premier bilan des obligations d’Etat vertes. Un article de notre partenaire le Journal de l'Environnement. 
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Engie doit 120 millions d’euros d’impôts au Luxembourg

Euractiv.fr - Thu, 21/06/2018 - 10:09
Le Luxembourg devra récupérer environ 120 millions d’euros de taxes impayées auprès du géant énergétique français Engie, après que la Commission européenne a déclaré le Grand-Duché coupable d’avoir enfreint les règles strictes en matière d’aides d’État.
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Ángel Gurría : « les citoyens européens sont en colère et frustrés »

Euractiv.fr - Thu, 21/06/2018 - 10:07
Le secrétaire général de l’OCDE blâme les gouvernements pour la montée du populisme et la fragmentation politique de l’UE. Selon lui, ils n’ont pas non plus tenu leurs promesses vis-à-vis des citoyens.
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90/2018 : 21 juin 2018 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-557/15

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 21/06/2018 - 10:01
Commission / Malte
Environnement et consommateurs
En ayant adopté un certain régime dérogatoire permettant la capture de sept espèces d’oiseaux sauvages, Malte a manqué aux obligations qui lui incombent en vertu du droit de l’Union

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89/2018 : 21 juin 2018 - Conclusions de l'avocat général dans les affaires jointes C-391/16, C-77/17 et C-78/17

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 21/06/2018 - 10:00
M
Espace de liberté, sécurité et justice
Selon l’avocat général Wathelet, les dispositions de la directive sur les réfugiés permettant à un État membre de refuser ou de révoquer le statut de réfugié sont compatibles avec le droit de l'UE

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Stéphane Travert : "20 pays portent une ambition légitime pour la PAC"

Toute l'Europe - Thu, 21/06/2018 - 09:51
C'est dans les jardins de la rue de Varenne que la rédaction de Toute l'Europe a rencontré le 19 juin le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, Stéphane Travert, au lendemain d'un Conseil des ministres européens placé sous le signe de la politique agricole commune (PAC). Détendu suite au ralliement de 14 nouveaux Etats membres contre la réduction de 5% du budget de la PAC, il est revenu sur les grands enjeux agricoles européens.
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Villeroy de Galhau s’inquiète du protectionnisme croissant

Euractiv.fr - Thu, 21/06/2018 - 09:44
Le gouverneur de la Banque de France s'alarme des risques de guerre commerciale, des États-Unis au Royaume-Uni avec le Brexit. Les relèvements de tarifs et le climat d'incertitude pourraient peser sur la croissance mondiale. Un article de notre partenaire La Tribune.
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Benoît Hamon : « l’année des Européennes sera celle de notre éclosion »

Euractiv.fr - Thu, 21/06/2018 - 09:38
Le fondateur de Génération-s, candidat du Parti socialiste à l’élection présidentielle de 2017, mise sur les élections européennes de 2019 pour faire grandir son mouvement. Un article de notre partenaire Ouest-France.
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[Reportage] Turquie: la descente aux enfers d’un fonctionnaire ordinaire

RFI (Europe) - Thu, 21/06/2018 - 03:57
J-4 avant les élections législatives et présidentielles en Turquie. Des élections sous état d’urgence, il a été renouvelé en avril pour la 7e fois. Des élections sous une répression forte, l’ONG Amnesty International évoque « un climat de peur glaçant » : quasiment plus de médias qui ne soient pas affiliés au pouvoir et une société qui vit au rythme des procès et des mises au ban. C’est que depuis la tentative de coup d’État de juillet 2016, le président Erdogan a lancé de vastes purges : plus de 100 000 fonctionnaires ont été relevés de leurs fonctions, certains ont fait ou font encore de la prison, la plupart ont perdu quasi tous leurs droits élémentaires. Rencontre avec un gardien de prison accusé sans preuve d’être membre de la confrérie Fethullah Gulen, celle officiellement visée par les purges. Récit anonyme de la descente aux enfers d’un fonctionnaire ordinaire.
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[Reportage] Eurogroupe: les attentes des Grecs

RFI (Europe) - Thu, 21/06/2018 - 02:37
Serait-ce enfin la fin des plans d'aide et des programmes d'austérités en Grèce ? C'est la décision que doivent normalement prendre les ministres des Finances de la zone euro lors d'une réunion de l'Eurogroupe ce jeudi soir au Luxembourg. Des mesures de réduction de la dette du pays qui représente plus de 175% du PIB sont également attendues. Mais en Grèce, on observe les évènements avec un certain recul.
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Royaume-Uni: 450 morts prématurées dans un hôpital du sud du pays

RFI (Europe) - Wed, 20/06/2018 - 22:06
Au Royaume-Uni, plus de 450 patients sont morts prématurément à l’hôpital Gosport dans le sud du pays dans les années 1990 après avoir reçu de trop fortes doses de calmants administrés sans aucune justification médicale. Ce sont les conclusions sans appel d’un rapport indépendant qui accuse les principales institutions du pays d’avoir fermé les yeux.
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Demandeurs d’asile: une opportunité économique pour l’Europe

RFI (Europe) - Wed, 20/06/2018 - 19:45
Alors que les questions migratoires déchirent l’Europe, une étude vient à l'encontre des idées reçues : l'un des arguments avancés par les partisans d’une fermeture des frontières est que les économies européennes ne peuvent pas faire face à l’arrivée des migrants. Ces derniers représenteraient un « fardeau » en termes de dépenses et en termes d’emploi, dans des pays où le taux de chômage reste encore élevé. Cette étude, publiée dans la revue scientifique américaine Science estime au contraire que la crise migratoire en cours peut être une opportunité économique pour l’Europe.
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Le CESE défend le budget de la politique de cohésion européenne

Euractiv.fr - Wed, 20/06/2018 - 17:52
Le Conseil économique, social et environnemental s’oppose aux coupes budgétaires prévues par la Commission européenne pour la programmation 2021-27, dans un avis adopté à la quasi unanimité.  
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Berlin et Paris veulent un budget pour la zone euro

Coulisses de Bruxelles - Wed, 20/06/2018 - 17:40

La ténacité d’Emmanuel Macron a fini par payer. Angela Merkel a enfin accepté, mardi, lors du sommet franco-allemand de Meseberg (nord de Berlin) d’approfondir la zone euro comme le propose depuis un an le Président de la République, une perspective qu’elle rejetait, ou plus exactement freinait, il y a quelques mois encore de peur de créer une « union de transferts » entre le nord et le sud. Bien sûr, la chancelière n’a pas donné son feu vert à toutes les propositions du chef de l’État français : ainsi, le parlement de la zone euro et le ministre des finances européen passent à la trappe. Mais elle s’est ralliée, et c’est le plus important, au principe d’un budget propre aux dix-neuf pays qui ont adopté la monnaie unique et est enfin prête à achever l’Union bancaire. La dynamique franco-allemande est donc enfin relancée, l’Allemagne reconnaissant que l’inachèvement de la zone euro menace son existence même en cas de nouvelle crise, ce qui nuira à ses intérêts vitaux (la déclaration franco-allemande est ici, la feuille de route des ministres des finances pour la zone euro est là, la position commune sur la fiscalité est aussi ici).

Méfiance allemande

Le sommet de mardi, auquel a été convié le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, afin de montrer qu’il ne s’agit pas de scinder l’Union en deux, a largement été préparé par les ministres des finances allemand, le social-démocrate Olaf Scholz, et français, l’ex LR Bruno Le Maire, qui ont négocié d’arrache-pied. Comme d’habitude, les Français proposaient et les Allemands refusaient, soupçonnant leur partenaire de vouloir faire main basse sur « le bon argent allemand ». Il a fallu des centaines d’heures de palabres pour qu’ils admettent enfin qu’il ne s’agissait pas de « faire payer l’Allemagne », un fantasme en vogue outre-Rhin, mais simplement d’assurer la pérennité de l’euro. Une résistance d’autant plus curieuse que l’accord de Grande Coalition (GroKo) signé entre le SPD et la CDU-CSU prévoyait bien d’achever la construction monétaire européenne, comme l’a reconnu la chancelière lors de la conférence de presse finale : « tout ce qui a été convenu aujourd’hui est dans le contrat de coalition ». Mais le négociateur SPD de l’accord de coalition, Martin Schulz, s’est retiré du jeu politique, et son successeur, Olaf Scholz, n’est absolument pas familier des questions européennes et, surtout, il a gardé auprès de lui les faucons qui entouraient son prédécesseur, l’intraitable Wolfgang Schäuble.

Un budget pour les Dix-neuf

Alors que la Commission, dans son projet de « cadre financier pluriannuel » (CFP) 2021-2027, avait simplement proposé d’affecter à la zone euro au sein du budget communautaire une ligne budgétaire de 30 milliards d’euros sur 7 ans, ce qui donnait un droit de regard aux 9 pays non membres de la monnaie unique, le couple franco-allemand exige un budget propre à la zone euro : les recettes et les dépenses seraient décidées à 19 même si elles seront exécutées par la Commission qui a l’habitude de ce travail.

Ce budget serait destiné à investir dans « l’innovation et le capital humain » et pourrait « financer des nouveaux investissements et venir en substitution des dépenses nationales », comme l’écrit la « feuille de route franco-allemande pour la zone euro » rendue publique hier soir. Il pourrait aussi jouer le rôle de « stabilisation macroéconomique », soit par le biais d’une « suspension temporaire de la contribution au budget de la zone euro pour les pays touchés par un choc significatif », soit en alimentant un « fonds européen de stabilisation du chômage » qui pourrait faire des prêts aux systèmes nationaux afin que l’État touché par une augmentation brutale du chômage ne perde pas ses capacités de manœuvre. Dans les deux cas, l’État qui aura bénéficié de cette aide d’urgence devra ensuite la rembourser.

Ce budget, qui devrait voir le jour en 2021, pourrait être alimenté par la taxe sur les transactions financières (TTF) « sur le modèle français » (qui taxe les achats d’actions uniquement), par le futur impôt qui frappera les géants du numérique, par une partie de l’impôt sur les sociétés et par la fameuse ligne budgétaire de 30 milliards d’euros prévus par la Commission. Si aucun chiffre n’a été avancé, ce budget ne devrait pas dépasser les 100 milliards sur 7 ans, ce qui reste largement insuffisant. Mais un pas symboliquement important aura déjà été franchi.

Un Mécanisme européen de stabilité renforcé

En cas de crise grave, le couple franco-allemand propose un système à deux paliers. D’une part, si un pays de la zone euro est confronté à un simple problème d’accès aux marchés alors que ses comptes sont en bon ordre, ce qui a été le cas de l’Irlande ou de l’Espagne, lors de la crise de la zone euro, il aura accès à une « ligne de crédit de précaution » qui sera créée au sein du Mécanisme européen de stabilité (MES, doté d’une capacité d’emprunt de 700 milliards). Une telle ligne existe au sein du FMI et elle est censée permettre à un pays de faire face à un coup de vent violent et à rassurer les marchés.

En revanche, si le pays est au bord de la faillite parce qu’il a un déficit excessif ou une dette importante, il pourrait, comme aujourd’hui, faire appel au MES que Berlin et Paris proposent d’intégrer dans les traités européens (pour l’instant, c’est un accord intergouvernemental ad hoc), ce qui permettra au Parlement européen de le contrôler. L’État qui fera appel aux prêts du MES serait soumis à un programme d’austérité destiné à le ramener à l’équilibre comme aujourd’hui, mais le MES aura un rôle moteur dans sa conception. Pour l’instant, c’est la Commission qui est à la manœuvre, mais elle n’a pas vraiment convaincu les États de sa capacité à gérer efficacement le redressement d’un pays… La volonté allemande de le renommer « Fonds monétaire européen », sur le modèle du FMI, est abandonné : on se dirige plutôt vers « Fonds européen de stabilité » ou quelque chose d’approchant. Il n’est plus question d’une restructuration automatique des dettes, mais simplement d’analyser leur soutenabilité et d’inclure dans les futurs emprunts d’Etats des clauses d’action collective permettant aux créanciers d’arriver plus facilement à un accord de restructuration.

Achever l’Union bancaire

Le couple franco-allemand propose de donner au MES un nouveau rôle dans le cadre de l’Union bancaire, celui de « backstop » ou de « filet de sécurité ». En effet, le « fonds de résolution unique » (FRU), alimenté par les contributions des banques, peut se révéler insuffisant en cas de faillit d’une banque systémique. Dans ce cas, il pourra faire appel au MES dans la limite des fonds du FRU : actuellement de 20 milliards d’euros, ils atteindront 55 milliards en 2024, date proposée d’entrée en vigueur de cette fonction de backstop, soit en tout 110 milliards. Comme à terme le FRU disposera de 70 milliards d’euros, ce seront 140 milliards qui pourront être mobilisés pour sauver les banques. Pour donner un ordre de comparaison, aux États-Unis, le « backstop » géré par la SEC (qui mélange deux fonctions totalement séparées dans l’Union, celles de fonds de garantie des dépôts et de fonds de résolution unique) se monte à 100 milliards de dollars. Si le MES est sollicité, le secteur bancaire sera ensuite mis à contribution pour rembourser les sommes mobilisées dans les trois ans, cinq ans au maximum.

Le mécanisme est encore vague et suscite encore de nombreuses questions : ainsi, l’Allemagne insiste pour que son Bundestag donne son feu vert à chaque utilisation du backstop, comme c’est le cas pour toute activation du MES. Une exigence qui freinera son automaticité, alors même que l’argent public allemand n’est pas mobilisé. Surtout, cela donnera un droit de véto au seul Bundestag, ce qui pose un réel problème démocratique… La France demande donc que le Bundestag donne son accord une fois pour toutes pour l’utilisation du MES comme backstop. On comprend mieux pourquoi l’Allemagne persiste à refuser un parlement de l’eurozone : pour elle, le Bundestag joue déjà ce rôle…

Le dernier pan de l’Union bancaire reste encore en jachère, celui de la « garantie européenne des dépôts bancaires » à laquelle les caisses d’épargne allemandes s’opposent avec virulence (et leurs liens avec le monde politique sont incestueux). Pour l’instant, les fonds de garantie sont uniquement nationaux et l’Allemagne pose comme préalable à une mutualisation une quasi-élimination des risques bancaires, ce qui revient à la renvoyer sine die. Mais elle accepte au moins de commencer des négociations politiques sur le sujet après le conseil européen de juin.

Reste maintenant à Berlin et à Paris à convaincre leurs dix-sept partenaires qu’ils retrouveront les 28 et 29 juin lors du Conseil européen de Bruxelles. Les Pays-Bas ou la Finlande risquent de trouver que cela va trop loin, alors que l’Italie, l’Espagne, la Grèce ou le Portugal jugeront que seule une petite partie du chemin a été parcourue. C’est sans doute la force du compromis franco-allemand : même s’il ne satisfait personne, chacun peut s’y retrouver en partie.

Photo: AFP

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Brexit : 2 ans après, où en est-on ?

Toute l'Europe - Wed, 20/06/2018 - 15:15
Le 23 juin 2016, 52% des Britanniques ont décidé de quitter l'Union européenne. Deux ans après, les négociations pour préparer la sortie du pays sont toujours vives entre l'UE et le Royaume-Uni. Combien le Brexit coûtera-t-il ? Quel partenariat envisager ? Quel sort pour l'Irlande du Nord ? Le point sur les questions qu'il reste à trancher.
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Highlights - DROI Chair regrets the US withdrawal from UN Human Rights Council - Subcommittee on Human Rights

Following the recent developments, the Chair of the Subcommittee on Human Rights, Pier Antonio Panzeri (S&D, IT), stated: "I deeply regret the withdrawal of the United States from the United Nations Council on Human Rights, which is all the more regrettable as it comes the year we celebrate the 70th anniversary of the Universal Declaration of Human Rights for which Eleanor Roosevelt was the driving force..."
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Statement - EN
Statement - IT
Source : © European Union, 2018 - EP
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Paris et Berlin s'accordent sur un budget de la zone euro

Toute l'Europe - Wed, 20/06/2018 - 12:07
Mardi 19 juin, Emmanuel Macron et Angela Merkel, réunis dans la ville allemande de Meseberg (au nord de Berlin), ont trouvé un accord censé apporter des solutions à la fois pour la stabilité de la zone euro et pour la gestion de la crise migratoire. Les modalités restent toutefois encore à définir.
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"30 jours pour comprendre l'Europe" : Les élargissements [n°9]

Toute l'Europe - Wed, 20/06/2018 - 11:45
Vous n'êtes pas spécialiste des questions européennes ? Toute l'Europe vous explique l'essentiel ! Brexit, zone euro, populismes... découvrez ou redécouvrez l'Union européenne avec un article par jour, du lundi au samedi. Aujourd'hui : "les élargissements".
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Publications - On the occasion of the World Refugee Day - Subcommittee on Human Rights

On the occasion of the World Refugee Day, Pier Antonio Panzeri (S&D, IT), Chair of the Subcommittee on Human Rights stated:

"Today we pay tribute to the strength and resilience of all those men, women and children who have been forced to flee their homes because of violence, persecution, war and natural disasters. I am shocked by the levels of displacement currently on record. Around 65.5 million people around the world have been forced from their homes..."


Press statement - IT
Press statement - EN
Source : © European Union, 2018 - EP
Categories: Union européenne

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