Lundi 27 mars s’ouvrent à l’ONU les négociations pour « un traité d’interdiction des armes nucléaires conduisant à leur élimination totale ».
Le 21 mars, le groupe Rhenus a acquis 40 % des parts de l'entreprise ARKON Shipping GmbH & Co. KG dans le cadre d'une augmentation de capital et a créé une société d'investissement commune avec la compagnie maritime qui gère une flotte de plus de 120 navires.
ARKON Shipping, fondée en 1995, est spécialisée dans les porte-conteneurs et les caboteurs pour le transport maritime à courte distance en Europe, ainsi que dans le transport maritime de projets industriels et de colis lourds. Aussi cette prise de participation s'inscrit dans une stratégie de croissance.
Le 21 mars, le groupe Rhenus a acquis 40 % des parts de l'entreprise ARKON Shipping GmbH & Co. KG dans le cadre d'une augmentation de capital et a créé une société d'investissement commune avec la compagnie maritime qui gère une flotte de plus de 120 navires.
ARKON Shipping, fondée en 1995, est spécialisée dans les porte-conteneurs et les caboteurs pour le transport maritime à courte distance en Europe, ainsi que dans le transport maritime de projets industriels et de colis lourds. Aussi cette prise de participation s'inscrit dans une stratégie de croissance.
La Russie a exporté 15 milliards de dollars d’armes à travers le monde en 2016 La Russie est toujours une très grande nation dès lors qu’il s’agit de parler d’armements et d’exportation. En effet nous apprenons que le pays, dirigé d’une main de fer par Vladimir Poutine a conforté sa place d’exportateur numéro deux mondiale
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Bruno Barrillot, vient de nous quitter ce samedi 25 mars à Tahiti, entouré par ses amis polynésiens, des suites d’un cancer. Je perds un ami.
Patrice Bouveret directeur de L’Observatoire des Armements qu’il a fondé avec Bruno en 1984, lui rend hommage.
Je tombe ce soir sur "Bibliothèque Médicis," une émission intello sur Public Sénat. Benoit Chantre nous parle de René Girard, avec qui il a écrit "Achever Clausewitz" qui, à l'époque, ne m'avait pas convaincu (voir billet même si je n'ai justement jamais fait de fiche de lecture sur l'ouvrage). D'une façon surprenante, d'ailleurs, étant à la fois clausewitzien et girardien. Et puis une illuminationm'est venue car on y revient sur la notion de rivalité.
Chantre rappelle tout d'abord que tout le travail de Girard vient de la littérature et de son analyse du sentiment amoureux (je n'ai plus le titre de la première oeuvre de Girard en tête). Or, celle-ci est à la source du futur désir mimétique car il est d'abord question de désir, et de désir de quelque chose qui n'est pas forcément l'autre, mais un objet (ou plus exactement, on désire tous les deux le même objet ce qui provoque la rivalité). Il y a ainsi une déviation du désir, ce qui provoque tous les quiproquos, les envies, les triangulations passionnelles classiques de la llittérature. Le plus important pour Girard n'est alors pas ces échaffaudages mais la question du désir. Le désir est à la source de la rivalité, là est le point le plus significatif. Car du coup, c'est la rivalité qui devient centrale, bien plus que son expresion. La rivlaité est source de la violence (d'où le deuxième livre, La violence et le sacré).
Mais cette rivalité est interpersonnelle, interindividuelle. Cela étant, Girard explique que cette rivalité peut s'élever au niveau de la foule, d'où sa théorie du bouc émissaire. On passe alors de l'un au multiple. A l'intérieur, toutefois, d'un cadre donné, celui d'une société constituée.
Or, la géopolitique est classiquement l'étude de la rivalité des puissances sur des territoires. J'ai toujours été frappé par la négligence des géopolitologues envers cette question de la rivalité. Elle est pour moi centrale et explique pourquoi la géopolitique n'est pas simplement affaire de géographes, mais aussi de strtaégistes : si j'avais à contribuer à al théorie géopolitique, ce serait el thème de mes recherches. Le stratégiste, en efet, analyse forcément la conflictualité. Il a conscience de la rivalité intrinsèque entre armées. Le conflit est justement un moyen de résoudre cette rivalité. Alors que le bouc émissaire permet à la commuanuté de se défouler (aux deux sens du terme, comme le remarque habilement Chantre dans l'émission de ce soir : non seulement expulser le surcroît de pression passionnelle mais aussi quitter le mécanisme de foule qui porte à l'ascension aux extrêmes), la guerre permet aux deux rivaux collectifs d'expulser leur rivalité.
La guerre devient ainsi une pulsion qui extériorise, entre deux commuanutés et non plus à l'intérieur de l'une, une rivalité qui s'exprime.
Une limite toutefois : la cause de la rivalité est chez Girard le désir. Or, on distingue classiquement trois causes de guerre : les ressources, l'honneur et la peur. La rivalité est évidente pour la première cause, mitigée pour la seconde, peu évidente pour la troisième. Il reste que la rivalité peut expliquer à la fois les guerres civiles et les guerres extérieures. Elle n'explique pas tout de ces guerres mais si elle permet d'en expliquer par un facteur commun une partie des deux, voici déjà un progrès. C'étiat la découverte de la soirée...
O. Kempf
A la suite des dégâts causés par le passage du cyclone Enawo le 7 mars 2017, le patrouilleur Le Malin a été déployé pour une mission d’assistance aux populations, en réponse à la demande des autorités malgaches. Au total, 45 tonnes de fret humanitaire ont été acheminées depuis La Réunion vers Madagascar. Retour sur cette mission.
A la suite des dégâts causés par le passage du cyclone Enawo le 7 mars 2017, le patrouilleur Le Malin a été déployé pour une mission d’assistance aux populations, en réponse à la demande des autorités malgaches. Au total, 45 tonnes de fret humanitaire ont été acheminées depuis La Réunion vers Madagascar. Retour sur cette mission.
Les premiers tanks britanniques (re)débarquent sur le continent (Crédit : MOD UK)
(B2) Français et Britanniques commencent à se déployer en Estonie dans le cadre du redéploiement de l’OTAN destiné à rassurer les pays baltes. Les premiers véhicules britanniques ont ainsi débarqué en Estonie après avoir fait une halte à Emden, en Allemagne, pour embarquer des véhicules de combat d’infanterie Warrior, des chars Challenger 2 et des canons d’artillerie automoteurs AS90, ainsi que des véhicules de génie Terrier, Titan et Trojan. Les véhicules ont pris la route vers Tapa, la destination finale du battlegroup. Un premier détachement de 120 personnes, du 5e Rifles sous le commandement du lieutenant-colonel Mark Wilson, sont arrivés à la fin de la semaine dernière.
Les Français ont eux choisi la voie ferrée pour rejoindre l’Estonie. L’acheminement des matériels militaires « se poursuit » a précisé l’état-major des armées lors de son dernier point de presse. Le premier train emportant les véhicules blindés légers (VBCI) arrive en fin de semaine à Tallin. Après les VBCI, ce sont les chars Leclerc qui sont aujourd’hui en phase de chargement en métropole. Le transfert durera jusqu’à la fin mars, avec un dernier complément par voie aérienne. Un échelon précurseur de 50 militaires du 2e RIMA (le 2e régiment d’infanterie de marine) est déjà arrivé sur place, lundi (20 mars), par avion (avec les bons vieux Transall toujours de service), chargé de préparer l’accueil du matériel en transit. Début avril, ils vont « recevoir le renfort des 250 militaires qui vont compléter ce déploiement ».
Le battlegroup franco-britannique va compléter les forces de défense estoniennes. Un vaste éventail d’exercices et d’opérations sont ainsi prévus avec la 1ère brigade d’infanterie estonienne, précise-t-on à Londres. « C’est le début d’un des plus grands déploiements en Europe de l’Est depuis la guerre froide – a souligné le secrétaire à la Défense britannique, Michael Fallon. « A la fin du mois prochain, nous aurons 800 soldats britanniques armés avec des chars prêts à rassurer nos alliés et à souligner notre engagement à la sécurité de l’Europe. »
(NGV)