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Défense

Liban : Une compagnie finlandaise intégrée au bataillon français de la FINUL

Zone militaire - Sat, 01/04/2017 - 10:04

Après les attentats de Paris et de Saint-Denis, le 13 novembre 2015, les autorités françaises invoquèrent l’article 42-7 du Traité de l’Union européenne afin demander aux pays membres une aide militaire, sous la forme d’une participation accrue sur les théâtres extérieures où la France est engagée. Cet article 42-7 n’est pas contraignant pour 5 pays […]

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L'OTAN aujourd'hui (podcast)

EGEABLOG - Fri, 31/03/2017 - 23:44

Vous savez que je fournis régulièrement une brève chronique de géopolitique dans la revue Conflits. Celle-ci a eu l'idée de mettre en ligne de longs podcasts sur son site. Pour les auteurs et spécialistes, c'est pain béni : d'abord, on est à la radio, média bien plus agréable que la télévision. Surtout, on a le temps de parler, donc d'exposer, d'expliquer, de nuancer, de rendre visible les lignes de force, les paradoxes, les complexités.

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C'est ce qui s'est passé l'autre soir avec l'entretien que m'a demandé J- Baptiste Noé, jeune géopolitologue qui nous avait donné une excellente "Géopolitique du Vatican" dont j'avais rendu compte dans ces colonnes. Il m'interrogeait sur l'OTAN, son actualité, ses difficutlés, et ses réactions face à Trump, la Russie, les opérations, le Moyen-Orient, la France, l'Europe.

Vous pouvez écouter cette conversation de 45 minutes ici.

O. Kempf

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La paix par la redéfinition des frontières ?














Entretien pour LeMonde.fr   Lors du premier débat présidentiel, Jean-Luc Mélanchon a évoqué l'idée d'une conférence sur la sécurité en Europe en évoquant la question des frontières, en prenant exemple sur l'annexion de la Crimée par la Russie. S'achemine-t-on vers une acceptation du fait accompli russe ?
Cette idée émise rapidement, sans beaucoup de détails et tard dans le débat, a de quoi surprendre. Elle rappelle une sensibilité très datée : il s’agissait de l’époque où l’ex-URSS, dans les années 1980, promouvait la thématique d’une « maison commune européenne », et cherchait à découpler l'Europe occidentale des Etats-Unis, en misant sur le relai de mouvements écologistes et pacifistes notamment. Ensuite, cette proposition, présentée en creux comme ce qui serait une sorte d’initiative française dont on devine qu’elle trouverait un écho favorable en Russie, vient après plusieurs réquisitoires du candidat contre l'Union européenne : or on imagine mal une telle initiative sans concertation préalable entre Européens. Ce serait maladroit diplomatiquement et grave pour l’esprit de l'Union, qui reste notre principal cercle d’appartenance. Enfin, on a constaté que cette proposition a été immédiatement soutenue par François Fillon. Si un tropisme pro-russe déjà largement commenté rassemble les deux hommes, la question de la concertation entre européens aurait dû être posée, au moins par le deuxième candidat.
2. La paix passe-t-elle par une redéfinition des frontières ?
Cela dépend où, et comment. En Europe, la remise en cause des frontières est toujours un sujet délicat. Ces frontières ont trop souvent été modifiées par la force dans le passé, à l’inverse les grandes initiatives de paix ou de détente, un peu plus tard, consacraient l'inviolabilité des frontières nées de la Seconde Guerre mondiale (c’était le cas des accord issus de la conférence d’Helsinki en 1975), enfin le retour au révisionnisme et à la remise en cause des frontières, depuis 2008 (Géorgie) et 2014 (crimée, Ukraine), marque le retour des tensions et du tragique sur le continent européen. Estimer que la paix passe par la redéfinition des frontières, dans ce contexte, est donc surprenant.
3. Quels sont les litiges territoriaux à l'ordre du jour des Européens ? Des litiges interétatiques ou infraétatiques ? Et sont-ils de nature à bouleverser la stabilité européenne ?
Dans les années 1994-95, un Pacte de stabilité, promu par le Conseil de l'Europe à l’initiative de la France, visait à consolider les relations de voisinage, les problèmes de frontières et de minorités, en Europe centrale et orientale. Cette initiative avait été considérée comme un succès. Elle avait permis de dresser une liste préventive des points de tensions, et de les déminer par des accords souvent bilatéraux. Mais justement, cela a déjà été fait. Y revenir aujourd’hui, dans un contexte de montée des nationalismes et de peur, et inclure la Russie dans ce processus, pourrait rouvrir des portes dangereuses, remettre en question ce qui a été acté il y a plus de vingt ans, et transformer des tensions encore gérables en crises et revendications incontrôlables. On sait que la Russie souhaite réviser un certain nombre de processus engagés au lendemain de la chute de l’URSS, qu’elle estime préjudiciables à ses intérêts, car imposés par l’Occident dans un moment de faiblesse russe. C’est compréhensible, mais ce n’est pas une raison pour que l’on aille à ce point au-devant de ce souhait.

4. Pourquoi est-il dangereux de redessiner les frontières alors que le droit à l'autodétermination est un droit international ?
La question du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes a été évoquée par François Fillon dans le débat. Dire qu’il est difficile d’éviter ce débat, quand on est une démocratie libérale, est juste. Vouloir le relancer au moment le plus difficile pour l'Europe, et sans doute le plus propice pour son voisin russe, est néanmoins étonnant.
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Crise de leadership, crise de politique étrangère : les Alliés dans la tourmente

















Chronique pour The Conversation.fr

Quels sont les liens possibles entre un leadership politique fort et une action efficace de l’État à l’étranger dans une démocratie occidentale libérale ? La force de l’exécutif, dans ce type de régime, se manifeste entre autres par l’existence d’une légitimité reconnue, une stabilité de la situation politique interne, une popularité sondagière, une perspective d’action à long terme, y compris par un renouvellement de mandat… Lorsqu’une telle solidité est observable, elle peut contribuer de plusieurs manières au développement d’une politique étrangère efficace.
Le leadership politique national, une ressource de politique étrangèreD’abord, un exécutif fort et reconnu permet de bénéficier d’un consensus interne, véritable socle de légitimité pour agir à l’extérieur au nom d’un pays tout entier, et non d’une seule vision partisane. Thème cher à la rhétorique gaullo-mitterrandienne en France, ce consensus de politique étrangère est plus souvent qualifié de « front domestique » par la science politique anglo-saxonne, par exemple dans la célèbre étude de Robert Putnam et de ses collègues sur la « double-edged diplomacy » (« diplomatie à deux faces », qui met en lumière l’importance de la construction négociée d’un accord interne sur la politique étrangère avant son déploiement sur la scène internationale.
Ensuite, et bien au-delà des seules démocraties occidentales, des dirigeants dont la position est bien assise et qui inspirent la confiance sur leur vision stratégique, parviennent mieux à réduire les doutes en cas de crise internationale, et peuvent même se permettre quelques revers ou retards temporaires dans l’action, par exemple lors d’une opération extérieure longue ou risquée. Plusieurs leaders du Sud (le roi Hussein de Jordanie, le roi Hassan II du Maroc, par exemple), mais aussi du monde occidental (George H.W. Bush dans la guerre du Golfe de 1991, le général de Gaulle en France…) avaient obtenu cette confiance de la part de la population, soit parce qu’ils étaient réputés avoir sauvé le pays (de Gaulle), soit pour jouir d’une réputation internationale d’habile diplomate (Hassan II, Hussein), soit pour avoir une longue expérience reconnue en la matière (George H.W. Bush).
Le roi Hussein de Jordanie en 1956. On trouve, enfin, des cas où le chef de l’exécutif lui-même devient une icône internationale, célébrée à l’extérieur pour sa sagesse : Obama récemment, autrefois Gorbatchev à Moscou et la « gorbimania » par lui générée. Mais c’est le cas aussi, auprès d’autres segments de la population, pour une combinaison plus cynique d’habileté et de dureté : Thatcher en son temps au Royaume-Uni, Netanyahou ou avant lui Sharon en Israël, et naturellement, dans un autre cadre politique, Poutine aujourd’hui en Russie.
Dans l’absolu, le lien entre exécutif fort et politique étrangère réussie n’est pas automatique : on se souvient d’une Union soviétique aux dirigeants âgés et malades, accumulant pourtant les avancées stratégiques dans les années 1970 (au Vietnam, en Angola, au Mozambique…) ou, à l’inverse, de leaderships forts commettant des erreurs internationales tragiques. Mais en démocratie, un exécutif fort bénéficiant du soutien populaire domestique constitue, au moins initialement, une ressource de politique étrangère importante.
L’inconnue TrumpLire la suite sur The Conversation.fr

Hubert COUDURIER, Jean-Yves LE DRIAN. Le glaive du président




H. COUDURIER, Jean-Yves LE DRIAN. Le glaive du président, Plon, 2017

Déjà auteur de plusieurs ouvrages sur la politique étrangère de la France, le directeur de l’information du Télégramme (de Brest) et de télévision Bretagne Ouest nous offre à la fois une biographie de l’homme et un panorama de la plupart des dossiers récents qu’il a eu à traiter. L’exercice est utile : rares sont les publications sur un ministre de la défense encore en exercice à l’heure de la parution. Il n’est pas trop technique, et en cela différent d’autres travaux plus volumineux (mais tout aussi indispensables) sur les opérations militaires françaises.
Le Drian le Breton, Le Drian le socialiste, Le Drian le proche de François Hollande, Le Drian l’Africain, sont ainsi racontés tout à tour. Le Mali, le Tchad, la Centrafrique, les régimes africains, les rivalités avec le Quai, l’imbroglio libyen, les exportations d’armes et leurs méandres proche-orientaux et en particulier golfiques, constituent l’essentiel de la seconde partie de l’ouvrage, celle qui traite du quinquennat. Plus rapidement, sont évoqués les relations avec l’Amérique, la gestion de la crise ukrainienne, les relations avec Poutine sur la Syrie, le lien franco-algérien si particulier. On aurait sans doute aimé un mot de plus sur l’épisode syrien de 2013 (la France qui s’apprête à frapper, l’Amérique qui recule), sur la gestion du ministère lui-même en ces temps difficiles, ou sur les discours du ministre au Shangri La Dialogue de Singapour, dans lesquels il annonça par deux fois - sans doute de façon optimiste – le retour de la France comme puissance en Asie (2012), ou des initiatives européennes en Mer de Chine du Sud (2016). Mais au final, c’est une synthèse utile des cinq années du ministre à l’hôtel de Brienne que nous tenons ici.
Quelques petites erreurs étonnantes – de relecture sans doute - parsèment le livre. La célèbre phrase polémique de Manuel Valls sur le jihadisme « Expliquer, c'est déjà vouloir un peu excuser », devient « expliquer c’est déjà comprendre » (p.25 – ce qui eut été moins problématique!), le malheureux chef de bataillon Damien Boiteux n’a pas été « gravement blessé » mais hélas tué dans l’opération Serval (p.127), la formule de Lionel Jospin sur l'Afrique n’était naturellement pas « mi-ingérence mi-indifférence » (mais ni-ni – p.151), Michèle  Alliot-Marie ne fut pas ministre de la défense de Nicolas Sarkozy mais de Jacques Chirac (p.201), etc. Mais le contexte est néanmoins bien resitué. Le portrait de l’homme paraît honnête, à la fois admiratif et sans masquer quelques critiques (un Le Drian qui n’aime pas l’opposition, s’en prend aux journalistes du Monde ou de Canal Plus) ; le portrait de son équipe fait peut-être preuve de moins de distance, mettant en scène les différents conseillers d’une manière qu’ils ne désapprouveraient sans doute pas (on s’éloigne alors du portrait « sans concession » promis en quatrième de couverture).
L’ouvrage de Coudurier s’inscrit dans la lignée de ces livres de journalistes utiles sur la gestion en cours ou récente de l’action extérieure. Des travaux plus universitaires devraient leur emboîter le pas. 




COS : une IM pour aller plus vite

Le mamouth (Blog) - Fri, 31/03/2017 - 19:22
Une instruction ministérielle va permettre de donner un nouveau cadre aux procédures d'achats
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Trump rouvre le marché des données personnelles

Défense en ligne - Fri, 31/03/2017 - 18:38

En ratifiant le texte adopté par le Sénat américain, qui permet aux opérateurs de télécommunications de vendre les données de leurs citoyens, Donald Trump affaiblit-il le rôle des États-Unis sur la Toile mondialisée ?

- Silicon circus / , , , , ,
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Irak : Les artilleurs français ont franchi le seuil des 600 missions

Zone militaire - Fri, 31/03/2017 - 17:14

Ces dernières semaines, les artilleurs français de la Task Force Wagram, qui mettent en oeuvre 4 CAESAR (Camions équipés d’un système d’artillerie de 155 mm) depuis une position située au nord de Mossoul, ont connu une activité intense, avec, en moyenne, pas moins d’une cinquantaine de missions effectuées en moyenne par semaine. La tâche assignée […]

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Alain Barluet nouveau président de l’Association des journalistes de défense

Blog Secret Défense - Fri, 31/03/2017 - 16:53
Pierre Julien (RTL) et Jean-Dominique Merchet sont vice-présidents
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Airbus mise sur une coopération européenne pour le successeur du chasseur-bombardier Tornado

Zone militaire - Fri, 31/03/2017 - 16:30

En 2016, le gouvernement allemand a demandé à Airbus d’envisager un successeur au chasseur-bombardier Panavia Tornado, un appareil développé à la fin des années 1970 dans le cadre d’une coopération entre Berlin, Londres et Rome. Pour le ministère allemand de la Défense, ce programme, appelé Next Generation Weapon System, est désormais prioritaire, les Tornado actuellement […]

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Le colonel Laurent Phelip a pris le commandement du GIGN

Zone militaire - Fri, 31/03/2017 - 15:48

Depuis le 30 mars, le Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) a un nouveau chef, en la personne du colonel Laurent Phelip, qui était alors le numéro deux de cette unité d’élite. L’officier a pris la succession du général Hubert Bonneau lors d’une cérémonie organisée en présence du Directeur général de la Gendarmerie (DGGN), […]

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Une autonomie de décision accrue pour les forces américaines engagées contre les jihadistes somaliens

Zone militaire - Fri, 31/03/2017 - 14:02

Dès 2007, des « conseillers » militaires américains ont discrètement été envoyés à Mogadiscio afin d’appuyer la Force de l’Union africaine déployée en Somalie (AMISOM) ainsi que les autorités intérimaires somaliennes à combattre les jihadistes des milices Shebab, liés à al-Qaïda. Depuis, les forces américaines ont multiplié les opérations contre la mouvance jihadiste somalienne, en visant notamment […]

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Les rangs des casques bleus vont s'éclaircir (actualisé)

Lignes de défense - Fri, 31/03/2017 - 12:47

Les Etats-Unis vont profiter de leur présidence du Conseil de sécurité de l'Onu à partir d'avril pour passer en revue l'efficacité des missions onusiennes de maintien de la paix. C'est ce qu'a promis la nouvelle ambassadrice américaine Nikki Haley qui, mercredi, a annoncé ne baisse de 4% de la contribution financière US et des coupes dans certaines missions onusiennes.

Dans le collimateur US, les missions en Haïti (que le chef de l'Onu veut remplacer par une présence onusienne réduite), en Côte d'Ivoire, au Liberia et en RDC.

Dans ce dernier pays, l'effectif théorique va passer de 19 815 à 16 215 hommes. La décision doit être votée par le Conseil de sécurité, ce vendredi. Ces coupes réduiront de 18% environ du nombre de militaires et de policiers de la force de maintien de la paix en République démocratique du Congo (RDC), la Monusco, la plus importante et plus coûteuse mission onusienne (photo Monusco). La France proposait 17 000, les Etats-Unis 15 000, selon des sources diplomatiques.

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Les États maintiennent les pénalités pour l’A400M mais annoncent une possible flexibilité

Bruxelles2 - Fri, 31/03/2017 - 11:45
(B2) Réunis à Madrid, les sept principaux pays participants au programme de l'avion de transport militaire européen A400M ont cherché une solution face aux demandes de l'industriel, Airbus. Sans vouloir céder sur l'essentiel, les représentants allemand, belge, espagnol, luxembourgeois, britannique et turc, ont tout de même voulu, jeudi 30 mars, faire preuve d'une certaine flexibilité. […]
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Une conférence mardi à Nantes sur "la France et les questions de défense"

Lignes de défense - Fri, 31/03/2017 - 10:14

Mardi 4 avril, à la Faculté de Droit et de Sciences-Politiques de l'Université de Nantes, l'association des Étudiants de Sciences-Politiques de l'Université de Nantes accueillera quatre intervenants pour échanger sur l'état de la défense tricolore.

Il s'agit de:
- Daniel Reiner, Sénateur (PS) de la Meurthe et Moselle, Vice-président de la Commission des affaires étrangères, de la Défense et des Forces Armées du Sénat.
- Jacques Gautier, Ancien Sénateur (LR) des Hauts-de-Seine. Ancien Vice-président de la Commission des affaires étrangères, de la Défense et des Forces Armées du Sénat.
- Jean-Pierre Maulny, Directeur adjoint de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).
- et du rédacteur de ce blog.

Cette conférence s'articulera autour de trois interventions :
- État des lieux de l'armée française, où va-t-on et avec quels moyens ?
- Les politiques d'externalisation militaire, une réponse efficace au manque de budget ?
- Penser la défense en dehors du cadre national : l'Europe de la Défense et l'OTAN.

Entrée libre. Amphi B de la Faculté de Droit et de Sciences Politiques.

 

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Sofins (suite et fin)

Le mamouth (Blog) - Thu, 30/03/2017 - 20:47
Dernière émission depuis Bordeaux en direct du Sofins, avec la visite des VVIP et de la présentation
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A l’agenda de la ministérielle Affaires étrangères de l’OTAN (31 mars 2017)

Bruxelles2 - Thu, 30/03/2017 - 19:55
(B2) Les ministres des Affaires étrangères de l'OTAN se retrouvent de façon exceptionnelle, vendredi 30 mars. La réunion sera très courte – essentiellement une séance de travail et un déjeuner – et est essentiellement symbolique : accueillir le nouveau ministre américain. Une seule, et unique, séance de travail, est prévue le matin (10h50 / 12h45). […]
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Celacante : L'armement devra payer la dépollution de l'épave

MeretMarine.com - Thu, 30/03/2017 - 19:01

Le tribunal administratif de Rennes vient de rejeter la demande de l'armement Porcher qui demandait l'effacement de sa dette vis-à-vis de l'État suite aux opérations de dépollution après le naufrage du Celacante. Le navire s'était échoué aux Pierres Noires, au large du Conquet, dans la nuit du 21 au 22 mai 2014 après avoir porté secours à un voilier en détresse. Il avait coulé en juillet 2014, dans le Parc marin d'Iroise.

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Celacante : L'armement devra payer la dépollution de l'épave

MeretMarine.com - Thu, 30/03/2017 - 19:01

Le tribunal administratif de Rennes vient de rejeter la demande de l'armement Porcher qui demandait l'effacement de sa dette vis-à-vis de l'État suite aux opérations de dépollution après le naufrage du Celacante. Le navire s'était échoué aux Pierres Noires, au large du Conquet, dans la nuit du 21 au 22 mai 2014 après avoir porté secours à un voilier en détresse. Il avait coulé en juillet 2014, dans le Parc marin d'Iroise.

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La Russie et la Turquie jouent de la canonnière en mer Noire

Alors que des tensions sont apparues ces derniers jours entre Russes et Turcs dans le Nord de la Syrie, notamment au sujet des Kurdes, les flottes des deux pays jouent de la canonnière dans la mer Noire. La marine turque a commencé lundi 27 mars l'exercice...
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