La Cour du Naaba en partenariat avec l'Union européenne (UE) a organisé une conférence de presse ce lundi 9 octobre 2023, à Ouagadougou. Il a été présenté le projet du collectif Nos voix pour la paix.
9 artistes ont utilisé leur art sur le titre « Nos voix pour la paix ». Alif Naaba, Floby, Amzy, Kawayoto, Fleur, Flora Paré, ATT et Sissao, Sydyr ont participé à cette création musicale.
Comme son nom l'indique, cette œuvre vise à promouvoir la cohésion sociale et la paix au Burkina. Une tournée est prévue dans 8 villes du Burkina Faso afin que ces artistes puissent communier avec le public tout en le sensibilisant sur les thématiques citées en amont. Il s'agit des villes de Ouagadougou (21 octobre lors du grand concert de clôture des REMA), Kaya (28 octobre), Tenkodogo (4 novembre), Pô (11 novembre), Gaoua (18 Novembre), Koudougou (25 novembre), Ouahigouya (1er décembre) et Bobo Dioulasso (9 décembre). En plus du collectif nos voix pour la paix, durant les tournées, des artistes locaux vont également prester dans les différentes villes.
La culture, le ciment de la paix
Il est également prévu un tournoi de Maracana qui va débuter le jour de l'ouverture des REMA, le 19 octobre 2023. « Toutes les guerres du monde se terminent sur la table de la négociation. La culture a toujours été le ciment qui va contribuer à apporter la paix. Je suis convaincu que la musique peut apporter un changement de comportement. Tous les artistes qui ont travaillé sur ce projet ont des milliers de fans. Ils peuvent donc contribuer à apaiser la situation. Si vous entendez le refrain de cette chanson, vous entendez également l'espoir » a déclaré convaincu Alif Naaba, initiateur du projet « Nos voix pour la paix ». Il faut souligner que sur ce titre, plusieurs langues nationales sont chantées afin que le message soit entendu par la majorité.
Dans son allocution, le chef de coopération de l'UE au Burkina Faso Diego Escalona Paturel a justifié le choix d'accompagner un tel projet. « Cette initiative qui nous tient à cœur, est l'expression de notre engagement, aux côtés du gouvernement burkinabè, à contribuer au retour de la paix et au renforcement de la cohésion sociale au pays des hommes intègres.
L'Union européenne s'est engagée à appuyer le gouvernement burkinabè pour s'attaquer aux causes profondes des difficultés auxquelles le pays est confronté, tout en renforçant les éléments structurels contribuant à la stabilité et au développement.
La tournée dans les 8 villes du Burkina permettra non seulement de porter le message de paix aux populations, mais aussi de créer des cadres d'échanges francs et de convivialité entre filles et fils du même pays, autour du sport et de la culture » s'est-il exprimé.
Au-delà de la thématique de la paix, d'autres sujets tels que : la solidarité, la démocratie, la protection de l'environnement, la justice, et l'égalité seront abordés durant cette série de concerts.
Lire aussi : Rencontres musicales africaines (REMA) : La 6e édition se tiendra du 19 au 21 octobre 2023
SB
Lefaso.net
Le réseau citoyen Po na Congo a tiré, lundi 9 octobre, la sonnette d’alarme sur la prolifération actuelle dans l’opinion, des discours de haine, des menaces, et autres manipulations politiques.
Cette plateforme d’organisations de la société civile a lancé cet alerte dans un mémorandum qu’elle a remis lundi au bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à Kinshasa.
The U.S. Mission in Ouagadougou, Burkina Faso is seeking eligible and qualified applicants for the position of Guard (Unarmed) in the Regional Security Office.
Opening Date : October 11, 2023
Closing Date : October 15, 2023
Open to : All Interested Applicants/All Sources
Work Schedule : Full-time (40 hours/week)
SALARY : *Ordinarily Resident (OR) : CFA 5,581,411p.a. (Starting Salary)
(Position Grade : FSN-03)
ALL ORDINARILY RESIDENT (OR) APPLICANTS MUST HAVE THE REQUIRED WORK AND/OR RESIDENCY PERMITS TO BE ELIGIBLE FOR CONSIDERATION.
BASIC FUNCTION OF POSITION :
Provides security for Embassy personnel and facilities by conducting access control and visitor screening duties as a member of a local guard program. Prevents unauthorized access ; protect life ; maintain order ; deter criminal attacks against employees ; dependents and property and terrorist acts against all U.S. assets ; and prevent damage to Government property.
QUALIFICATIONS REQUIRED :
1. EDUCATION : Completion of Primary School (CEP) is required.
2. EXPERIENCE : A minimum of 2-year experience in the military or as a police officer, or security guard required.
3. LANGUAGE : French : Good working knowledge is required. English : Rudimentary knowledge is required. This may be tested.
4. SKILLS AND ABILITIES : Ability to understand the security control panel and to operate emergency alarms and the public address system. Ability to use state-of-the-art security and radio communication equipment. Ability to use Automated External Defibrillator. Ability to use fire extinguisher. Ability to use personal protective equipment (i.e., batons, pepper spray, handcuffs, and flexi cuffs, etc.). Ability to walk and/or stand in a wide variety of weather conditions for an extended period of time. Ability to work flexible shift schedules, to include nights, days, weekends, and/or holidays. This may be tested.
5. JOB KNOWLEDGE : Knowledge of the emergency response procedures and notification process, familiarity with state-of-the-art security equipment and processes, awareness of cultural norms and customs required.
HOW TO APPLY : Applicants must complete the following application process to be considered :
• Create an account on the Electronic Recruitment Application (ERA) Website at https://erajobs.state.gov/dos-era/bfa/vacancysearch/searchVacancies.hms
• Choose Announcement Number Ouaga-2023-035 Guard (Unarmed) and complete the online application.
• Upload any additional documentation that supports or addresses the requirements listed above (e.g., degrees, work attestations/certificates, wok permits & SF 50 if applicable) into the Electronic Recruitment Application system.
For more information on how to apply, visit the Mission internet site : https://bf.usembassy.gov/jobs/
Required Documents : Please provide the required documentation listed below with your application :
All Applicants :
• Residency and/or Work Permit (If applicable)
• Completion of Primary School (CEP) is required.
• Copies of Relevant Work attestations and Certificates.
• Other documents
Eligible Family Member Applicants :
• Copy of Sponsor's Orders/Assignment Notification (or equivalent)
• Passport copy
• DD-214 - Member Copy 4, Letter from Veterans' Affairs, or other supporting documentation (if applicable)
• SF-50 (if applicable)
What to Expect Next : Applicants who are invited to take a language or skills test or who are selected for an interview will be contacted via telephone calls and email.
FOR FURTHER INFORMATION : Contact the Human Resources Office at 25 49 53 00.
Note :
• All applications must be for an open/advertised position.
• Only shortlisted applicants will be contacted.
EQUAL EMPLOYMENT OPPORTUNITY : The U.S. Mission provides equal opportunity and fair and equitable treatment in employment to all people without regard to race, color, religion, sex, national origin, age, disability, political affiliation, marital status, or sexual orientation. The Department of State also strives to achieve equal employment opportunity in all personnel operations through continuing diversity enhancement programs. The EEO complaint procedure is not available to individuals who believe they have been denied equal opportunity based upon marital status or political affiliation. Individuals with such complaints should avail themselves of the appropriate grievance procedures, remedies for prohibited personnel practices, and/or courts for relief.
Le Centre Africain d'Expertise en Gestion, Économie et Innovation (CAGEI) informe le public de l'ouverture d'une session de formation certifiante en Management & Gouvernance des Marchés publics (MGMP).
Objectif
Ce certificat vise à offrir une couverture complète du processus de management des marchés publics, allant de la planification à l'exécution en passant par la phase cruciale de contrôle. Il offre aux participants de solides repères sur les principes et les techniques fondamentaux, modernes et opérationnels de management des marchés publics.
Public cible
Tous les acteurs de la chaine des commandes publiques.
Toute personne amenée à pratiquer dans le domaine et souhaitant acquérir de solides connaissances techniques.
Contenu et programmes de formation
Le certificat s'organise autour de 8 modules sur un volume horaire total de 165 heures. Il dure 3 mois et est administré en mode cours du cours soir du lundi au vendredi de 18 h à 21h 30.
Module 1 : Cadre juridique et institutionnel des Marchés publics (Animé par Mr Yaméogo M., Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP)
Module 2 : Typologie et procédures de passation des marchés publics (Animé par Mr Yaméogo G., Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP)
Module 3 : Définition des besoins et planification des marchés (Animé par Dr Kafimbou H., Enseignant- Chercheur à l'UNZ, Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP)
Module 4 : option secteur public/Élaboration des dossiers d'appel à concurrence/ Option secteur privé /Montage des dossiers de soumission (Animé par Mr Kambou O., Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP)
Module 5 : Évaluation des dossiers de soumission (Animé par Mr Zongo A., Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP)
Module 6 : Élaboration des documents contractuels et suivi administratif et technique de l'exécution des contrats (Animé par Mr Ouédrogo S., Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP)
Module 7 : procédures de passation des bailleurs internationaux ( BM, BAD, etc…) Animé par Mr Yaméogo J., Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP
Module 8 : Les infractions relatives à la commande publique (Animé par Mr Thiombiano A., Expert formateur et praticien certifié de l'ARCOP)
NB : les intervenants sont certifiés MSFP (Manager Spécialiste en Formation Professionnelle)
Conditions d'accès
L'accès aux certificats est ouvert aux candidats titulaires d'au moins le BAC. Une dérogation est possible pour les candidats n'ayant pas le BAC mais justifiant d'une expérience professionnelle dans le domaine.
Conditions de validation du certificat
La validation du certificat est soumise à des conditions très strictes. Une moyenne générale minimale de 12/20 doit être obtenue pour la délivrance d'un certificat.
Programme de la session
Inscription : 30 octobre 2023
Cours : Novembre- Mi-janvier 2023
Régime : En Présentiel et En ligne
Période de cours : 18h- 21h30 du lundi au vendredi
Coût de la formation
450 000 F CFA pour les candidatures individuelles
500 000 F CFA pour les candidatures institutionnelles
Les frais sont payables en plusieurs tranches (50% au démarrage des cours)
NB : Les TDRs de la formation sont disponibles sur notre site web à travers le lien suivant
https://lecagei.com/wp-content/uploads/2023/10/Tdr-Gouvernance-des-marches-public-novembre-2023-1-1.pdf
Formulaire d'inscription
https://forms.gle/Uvqcgm35i7tFwAax9
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Selon un nouveau rapport publié par Plan International, Entre le vrai et le faux (The Truth Gap en anglais), une fille sur cinq (soit 20 %) se sentirait physiquement en danger en raison des fausses informations qui circulent sur Internet.
Cette étude s'appuie sur une enquête menée auprès de plus de 26 000 filles et jeunes femmes de 26 pays, qui révèle également que le fait d'être exposées à des mensonges et à des demi-vérités influence fortement la manière dont elles appréhendent les sujets d'actualités tels que la pandémie de COVID-19 et la politique générale.
Plan International, qui affirme que les conclusions du rapport mettent à nu les « conséquences réelles » de la mésinformation et de la désinformation sur les filles et les jeunes femmes, appelle les gouvernements à enseigner aux enfants et aux jeunes à maîtriser les outils numériques.
Une personne sur trois déclare se sentir stressée, soucieuse et angoissée du fait de la publication de fausses informations sur Internet et affirme que sa santé mentale s'en trouve affectée.
Les entretiens approfondis menés par Plan International indiquent que les filles ont le sentiment d'être en danger parce que les échanges en ligne augmentent les tensions sociales au sein des communautés.
D'autres ont déclaré se sentir inquiètes en apprenant par les réseaux sociaux que des événements fictifs, susceptibles de les mettre physiquement en danger, étaient organisés ou en découvrant en ligne des conseils médicaux erronés susceptibles de nuire à leur santé.
Plus d'un quart (28 %) des personnes interrogées affirment qu'on leur a fait croire à un mythe ou à une « information mensongère » à propos de la COVID-19, et une personne sur quatre (25 %) se demande si elle va se faire vacciner contre le virus.
Une personne sur cinq (19 %) déclare que les demi-vérités sont si répandues qu'elle se méfie des résultats des élections, tandis qu'une personne sur cinq (18 %) a fini par se désintéresser de la vie politique ou de l'actualité.
Les filles et les jeunes femmes des pays à revenu faible ou intermédiaire sont plus susceptibles d'être affectées par des informations erronées ou mensongères et elles courent deux fois plus de risques de remettre en question leur vaccination (31 %) que les filles et les jeunes femmes des pays à revenu élevé (16 %).
La première étude mondiale à grande échelle visant à analyser l'impact genré de la mésinformation et de la désinformation en ligne a révélé que près de neuf filles ou jeunes femmes sur dix (87 %) pensent qu'elles ont eu une incidence négative sur leur vie.
À l'échelle mondiale, la plupart des personnes interrogées n'avaient pour l'obtention d'informations fiables en ligne aucune référence à disposition en qui elles avaient confiance.
Les médias traditionnels, sélectionnés par 48 % des personnes interrogées, représentent la source d'information la plus fiable, inspirant davantage confiance que les établissements d'enseignement, les membres de la famille et les gouvernements nationaux.
L'enquête a révélé que Facebook était considérée comme étant la plate-forme de médias sociaux contenant le plus de mésinformation et de désinformation, selon 65 % des filles interrogées, suivie de TikTok, WhatsApp et YouTube – chacune représentant 27 % du total des réponses.
Pour Charlotte*, âgée de 23 ans et originaire du Pays de Galles, la grande quantité de fausses informations sur Internet peut rendre les gens « très, très vulnérables ».
« Je pense qu'il y a parfois un véritable manque de responsabilisation dans le monde en ligne où les gens peuvent agir sans devoir rendre des comptes », explique-t-elle.
Bhagyashri Dengle, directrice exécutive de la politique de sexotransformation chez Plan International a déclaré : « L'Internet façonne l'opinion que les filles ont d'elles-mêmes ainsi que les questions qui les préoccupent et le monde qui les entoure. Notre étude montre clairement que la diffusion de fausses informations en ligne a des conséquences réelles. Ce phénomène est dangereux et affecte la santé mentale des filles, et il constitue un obstacle de plus à leur participation à la vie publique. »
« Chaque jour, les filles et les jeunes femmes dans toute leur diversité sont bombardées de mensonges et de stéréotypes en ligne ayant trait à leur corps, à leur identité et à la manière dont elles doivent se comporter. Les images et les vidéos sont manipulées de façon à les réduire à de simples objets et à les humilier. Les rumeurs qui se répandent sont une forme d'abus. Et les filles craignent vraiment que des événements ou des profils fictifs les amènent à se mettre en danger hors ligne. »
Dans le cadre de sa campagne Girls Get Equal, Plan International soutient les filles du monde entier en appelant les gouvernements à prendre des mesures immédiates afin d'accroître la culture numérique des enfants et des jeunes, en les dotant des connaissances et des compétences nécessaires pour identifier les fausses informations et interagir avec confiance dans les espaces en ligne.
L'enquête de l'organisation a révélé que sept filles et jeunes femmes sur dix (67 %) n'ont jamais appris à repérer les expressions de mésinformation et de désinformation à l'école.
Mia, 20 ans, et originaire du Kenya, a déclaré : « Nous vivons dans un monde où tout se fait sur Internet. Tout se fait de manière numérique. Je pense donc que [l'alphabétisation numérique] devrait être enseignée dans les écoles, des écoles primaires et secondaires aux universités, pour mieux appréhender l'usage des plateformes numériques à l'âge adulte. »
Bhagyashri Dengle a ajouté : « Il est essentiel que les filles aient accès à des informations fiables pour prendre des décisions sûres et maîtriser et contrôler leur vie. Mais la situation est telle que les filles ne savent pas quoi croire, à qui faire confiance, ni où trouver la vérité. »
« Nous devons préparer les filles et tous les enfants à un monde de plus en plus numérique. C'est pourquoi nous soutenons l'appel des filles réclamant que l'alphabétisation numérique soit incluse dans leur éducation. »
La pétition des filles peut être signée en cliquant sur ce lien : https://plan-international.org/signer-petitions-filles
*Les prénoms ont été modifiés
Pour obtenir plus d'informations, des études de cas et des entretiens, veuillez contacter :
Anna Mac Swan
Attachée de presse mondiale
E-mail : anna.macswan@plan-international.org
Portable : +44 0790 822 5389
NOTES AUX RÉDACTEURS
• L'étude Entre le vrai et le faux – Les effets de la mésinformation et de la désinformation en ligne sur la vie, l'apprentissage et le leadership des filles et des jeunes femmes (« The Truth Gap – how misinformation and disinformation online affect the lives, learning and leadership of girls and young women ») a été menée dans 33 pays. Elle comprend une enquête menée auprès de plus de 26 000 filles et jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans dans 26 pays, menée par Ipsos et GeoPoll pour le compte de Plan International entre le 5 février et le 19 mars 2021, et une série supplémentaire de 22 entretiens approfondis dans 18 pays.
• Ipsos et GeoPoll ont interrogé des filles au Brésil, au Canada, en Colombie, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Finlande, aux Pays-Bas, en Espagne, en Suède, en Italie, en Indonésie, aux Philippines, au Vietnam, en Australie, au Népal, en Jordanie, en Équateur, au Salvador, au Pérou, au Burkina Faso, au Kenya, au Malawi, au Togo et en Zambie.
À propos de Plan International :
Plan International est une organisation d'aide humanitaire et de développement indépendante qui fait progresser les droits des enfants et l'égalité pour les filles.
Nous croyons au pouvoir et au potentiel de chaque enfant. Mais ils sont souvent réprimés par la pauvreté, la violence, l'exclusion et la discrimination. Et ce sont les filles qui sont les plus touchées. En travaillant avec les enfants, les jeunes et nos sympathisants et partenaires, nous œuvrons pour un monde juste, en nous attaquant aux causes profondes des défis auxquels sont confrontés les filles et tous les enfants vulnérables.
Nous soutenons les droits des enfants de la naissance à l'âge adulte. Et nous donnons aux enfants les moyens de se préparer – et de faire face – aux crises et à l'adversité. Forts de notre influence, de notre expérience et de nos connaissances, nous favorisons le changement dans la pratique et la politique aux niveaux local, national et mondial.
Nous développons de solides partenariats pour défendre la cause des enfants depuis plus de 80 ans et sommes présents dans plus de 75 pays.
Couverture santé universelle, maternité gratuite, mandat de la force de l’EAC ; les journaux parus ce mardi 10 octobre reviennent sur les sujets abordés lundi lors du briefing de la presse organisé par le porte-parole du Gouvernement conjointement avec le ministre de la Santé.
« La santé ne doit plus être un privilège mais plutôt un droit», a déclaré le ministre de la Santé, Samuel Roger Kamba, lundi 9 octobre au cours d'une conférence de presse conjointement animée avec le porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya.
Chaque Congolais doit accéder aux soins de santé de qualité, selon lui le sans se ruiner. Ce qui explique, selon lui, l'application de la maternité gratuite en RDC.
Dans une déclaration publique signée ce lundi 9 octobre, les agents de l'Office des voies de desserte agricole (OVDA) du Kasaï dénoncent la mauvaise gestion de leur établissement par le directeur provincial.
Ces agents l'accusent de détournement des fonds, notamment l'argent généré par le bac sur la rivière Lovua et du matériel livré par les partenaires.
Le tribunal militaire de garnison de Goma a condamné soixante-trois prévenus à de lourdes peines ce lundi 9 octobre, dans le cadre du procès relatif à la répression sanglante de Goma enregistrée le 30 août dernier. Huit personnes ont été condamnées à la peine de mort.
En revanche, 52 personnes ont été acquittées.
« Depuis le début de l'année, neuf personnes en moyenne ont été tuées par jour en République démocratique du Congo par les membres de groupes armés », a déclaré ce lundi 9 octobre la cheffe de la MONUSCO, Bintou Keita, au Conseil des droits de l'homme de l'ONU.
Lors de son intervention au Dialogue interactif renforcé sur la situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo, Bintou Keita, a affirmé:
Deux tiers de l’étendue du secteur de Bapere, dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu), ne sont pas couverts par le réseau téléphonique. Cette situation présente de nombreuses et graves conséquences, notamment sécuritaire, a indiqué Samuel Kakule Kagheni, président de la société civile de Bapere.
Deux des élèves bénéficiaires de ce don, n’ont pas caché leur sentiment de joie et exprimé leur reconnaissance.
Des crocodiles ont tué six personnes et blessés grièvement deux autres en l'espace de sept mois sur de l’îlot de Bilila, au bord du lac Tanganyika, dans le territoire de Kalemie.
Cette situation inquiète la population de cet îlot, située à une dizaine de kilomètres de la cité de Kabimba.
Pour le responsable de la conservation de la nature à la cellule de l’environnement de Kabimba, il est urgent de refouler ces animaux.
La route qui mène aux sites de pilonnes de télécommunication de la RENATELSAT et de plusieurs médias émettant Matadi (Kongo-Central) est délabrée, a constaté dimanche 8 octobre, un reporter de Radio Okapi.
Robert Makayi, un des notables du quartier Soyo, a estimé que si les autorités n'interviennent pas urgemment, au regard des pluies qui s'annoncent, cette route d'importance économique pour la ville portuaire sera coupée en deux.