Le gouvernement burkinabè a procédé à la signature et au renouvellement de Conventions avec plusieurs organisations internationales de développement intervenant au Burkina dans plusieurs domaines, ce jeudi 18 juillet 2024 à Ouagadougou. Parmi ces partenaires, l'Organisation non-gouvernementale ivoirienne, Afrique Secours et Assistance (ASA), présente au Burkina depuis 2021 dans les domaines de l'humanitaire, la cohésion sociale, l'autonomisation des femmes et de l'éducation. Un renouvellement de confiance dans un contexte de besoins énormes sur le terrain, comme l'ont souligné les parties elles-mêmes.
Avec pour vision de participer à la construction d'un monde sans violence et discrimination, où les populations vulnérables, notamment les femmes et les enfants ont équitablement accès aux biens élémentaires avec plus de dignité, l'Afrique Secours et Assistance (ASA) est une Organisation non-gouvernementale (ONG) créée en 1998 en Côte d'Ivoire, où elle a son siège. Elle intervient, outre en Côte d'Ivoire, dans plusieurs pays, comme le Mali, la République démocratique du Congo (RDC), le Niger, la Centrafrique... où elle a acquis de solides expériences dans ses principaux domaines d'intervention. Il s'agit de la protection humanitaire, la cohésion sociale, l'autonomisation des femmes, les moyens de subsistance (appuis aux communautés à travers des activités génératrices de revenus, à titre individuel ou collectif) et l'éducation.
Au Burkina Faso, ASA est présente depuis fin 2021, avec des interventions à proprement dites qui ont démarré en 2022. Elle a, à ce jour, plusieurs actions et acquis à son actif. On peut, en illustration et au titre du volet relatif à l'éducation, rappeler la prise en charge de plusieurs centaines d'élèves en classe d'examen et de déplacés internes ; l'implication d'enseignants et de responsables d'école ; l'accompagnement de structures locales d'enseignements primaire et non-formel ; la distribution de matériel didactique et appuis divers aux enseignants.
Dans le domaine lié à la “protection et assistance aux personnes vulnérables”, on liste également plusieurs milliers de personnes ayant bénéficié d'assistances multiples et diverses, parmi lesquelles, des personnes vulnérables (enfants, femmes) ; le maillage communautaire ; la formation et la mise en activité de volontaires associatifs ; la mise en place d'une trentaine de Comités de protection ; la tenue de 267 séances de sensibilisation sur la protection de l'enfance et la prévention des violences basées sur le genre (plus de sept mille personnes touchées).
En ce qui concerne le volet Cohésion sociale, qui a consisté au renforcement du mécanisme endogène, il s'est traduit par la mise en place de 60 comités de cohésion sociale, dix Observatoires villageois communaux/départementaux, 360 membres des comités ; la formation de 60 membres des observatoires ; l'organisation de 90 rencontres inter-communautaires.
ASA a également mené des activités de promotion et de consolidation de la paix, à travers notamment des émissions radios interactives ; l'organisation de théâtres communautaires interactifs ; la tenue d'événements culturels et de volontariat autour de la salubrité ; des séances de sensibilisation sur la promotion de la paix et de la cohésion sociale.
Quant au volet lié à la mobilisation communautaire autour de la cohésion sociale, les activités ont consisté en la mobilisation de 60 comités mixtes de cohésion sociale (redynamisation pour des activités de sensibilisation sur l'acceptation mutuelle, la tolérance et la cohésion sociale), au soutien aux “Ambassadeurs” culturels du HCR (Haut-commissariat des Nations-unies pour les réfugiés) et aux “Amazones”.
Césaire Ouédraogo se félicite de cette confiance renouvelée au bénéfice des populations, notamment celles vulnérables.Selon le directeur général de la Coopération, Inoussa Ouiminga, cette instance de signature de convention marque donc l'intérêt que le gouvernement accorde à ces organisations dans la prise en charge des populations en difficultés. “Face à la diversité et à la complexité des besoins sociaux, couplés à la situation sécuritaire et humanitaire difficile, le gouvernement ne saura impulser un développement économique et social conséquent sans la contribution de ses partenaires. Cet apport contribue à la réduction de la vulnérabilité des populations à travers des domaines et secteurs variés, tels que l'éducation, la santé, l'agriculture, les secours d'urgence et bien d'autres. (....). La mise en œuvre du Plan d'action pour la stabilisation et le développement (référentiel d'orientation actuelle du gouvernement) requiert l'implication et la participation de tous les acteurs de développement”, a mis en relief M. Ouiminga, qui a présidé la cérémonie de signature.
Le représentant adjoint de ASA, Césaire Ouédraogo (à gauche) et le directeur général de la Coopération, Inoussa Ouiminga, présentant la convention après la signature.Le représentant adjoint de ASA, Césaire Ouédraogo, s'est, lui également, félicité de cette confiance renouvelée par les autorités burkinabè, la pensée tournée vers les nombreux besoins des populations sur le terrain. “ASA est une ONG ivoirienne..., du coup, comme la Côte d'Ivoire est voisine au Burkina, et pour paraphraser un adage en mooré : lorsque notre voisin a besoin d'aide, il est de notre devoir de répondre présents et de lui apporter notre soutien. Voilà pourquoi, l'ONG a décidé, en 2021, de venir s'installer au Burkina et d'aider particulièrement dans le domaine humanitaire, en apportant un secours surtout aux enfants, aux femmes et aux personnes déplacées internes”, a soutenu le représentant à l'issue de la signature, précisant que l'ONG ASA, qui avait ciblé au départ la région du Centre-nord, intervient aujourd'hui partout où le besoin se trouve.
Pour mener ses actions de façon efficace et efficiente, ASA s'appuie sur des organisations locales sur le terrain et les communautés elles-mêmes.
O.L
Lefaso.net
La première session du comité de pilotage du programme « Cohésion sociale, sécurité et État de droit » (COSED), s'est tenue ce jeudi 18 juillet 2024 à Ouagadougou. Cette session de pilotage, première de l'année 2024, va adopter le rapport d'exécution de l'année 2023 et examiner celui de l'année 2024. Mis en œuvre par le Programme des nations unies pour le développement (PNUD), en partenariat avec le gouvernement burkinabè, le programme vise à renforcer la cohésion sociale et l'Etat de droit au Burkina Faso.
Après six ans de mise en œuvre dans un contexte sécuritaire difficile, le COSED continue de dérouler son programme jusqu'en 2025. A l'ouverture de cette session, la présidente du comité de pilotage, Augustine Denise Bado, par ailleurs directrice générale de l'administration judiciaire, s'est réjouie de l'extension du programme jusqu'en 2025. « Si l'on peut se réjouir de l'extension du programme COSED jusqu'en fin 2025 pour permettre la réalisation de toutes les activités prévues, un défi reste cependant, à relever. Il s'agit de la mobilisation des fonds, car certains partenaires, tout en marquant leur accord pour l'extension du programme, ont conditionné l'utilisation de leurs fonds respectivement jusqu'en fin septembre et fin décembre 2024. Ce qui appelle à une mobilisation de ressources additionnelles pour couvrir la période 2025 et pour laquelle une forte collaboration s'impose », a-t-elle souligné. La prorogation est une preuve de la pertinence de ce programme, a-t-elle ajouté. Pour cela, elle a traduit sa gratitude aux autorités pour cette prorogation qui atteste de la pertinence du programme COSED et de sa contribution aux efforts du gouvernement.
La présidente du comite de pilotage, Augustine Denise Bado a salué l'engagement des partenaires« Je voudrais également réitérer au Programme des nations unies pour le développement (PNUD) et ses partenaires, notamment l'Allemagne, la Suède et les Etats-Unis d'Amérique, la reconnaissance du gouvernement du Burkina Faso pour leur accompagnement qui a permis d'obtenir des résultats probants dans les trois composantes du programme que sont la justice et les droits humains, la sécurité et la cohésion sociale et la réconciliation nationale », laisse-t-elle entendre.
Le déroulement du plan d'action du COSED n'a pas été un fleuve tranquille. La mise en œuvre des actions du programme COSED en 2023 et durant le premier semestre de l'année 2024 a été impactée par un contexte national marqué par les crises sécuritaires et politiques que connaît le pays. « A l'instar des différentes actions de développement exécutées au Burkina Faso, en effet, le Programme COSED a été fortement impacté par la crise sécuritaire avec pour conséquence le ralentissement de la mise en œuvre des activités surtout dans sa composante 2 (sécurité) dont plusieurs activités n'ont pu être totalement réalisées », explique Augustine Denise Bado .
Losseni Cissé, a représenté le Représentant Résident Adjoint du PNUD Éloi KouadioPar la voix du représentant résident adjoint du PNUD, Losseni Cissé a indiqué que la tenue des sessions de comités de pilotage des projets et programmes, au-delà de répondre à une exigence réglementaire, constitue un moment d'une importance capitale. Car ces sessions, affirme t-il, offrent un cadre de concertation, d'échanges et surtout d'orientation stratégique de l'exécution des projets et programme. « Ces sessions permettent en outre, de maximiser les chances de succès de la mise en œuvre du projet, en suivant de près son état d'avancement et en prenant des décisions de commun accord entre tous les acteurs », a-t-il conclu.
Lire aussi : Paix et cohésion sociale : Le PNUD lance le programme COSED.
S.I.K
Lefaso.net
A l'horizon 2026, La Poste du Burkina Faso entend être leader de la chaîne logistique postale et des services financiers de proximité, mais aussi, créatrice de valeurs pour le client et la nation à l'ère du numérique. Pour cela, l'institution dirigée par Ibrahim Saba veut savoir compter sur la presse nationale, afin de porter haut ses différentes actions entreprises au profit des Burkinabè. C'est du moins ce qui est ressorti des échanges voulues par le directeur général de La Poste Burkina ce jeudi 18 juillet 2024, autour d'un déjeuner de presse.
L'insécurité a touché tous les secteurs de la vie au Burkina Faso. Au niveau de La Poste, une vingtaine d'agences ont dû fermer. Et pour s'adapter au contexte, plusieurs stratégies s'appuyant sur la force du numérique ont été développées, non seulement pour réemployer les personnes qui officiaient dans ces agences, mais aussi, pour poursuivre l'objectif premier qui est la satisfaction du client.
« Le recrutement pour les postes au sein de la Poste Burkina Faso se fera dans la transparence » Ibrahim Saba« Nous avons saisi cela pour développer les services à valeur ajoutée et nous positionner comme le livreur au dernier kilomètre. Il faut aussi savoir que le numérique ne dématérialise pas tout. Il faut, à la fin, livrer quelque chose. Et pour livrer cette chose, la poste du Burkina Faso joue un grand rôle, tout en utilisant aujourd'hui, le numérique pour améliorer nos processus, et toucher beaucoup plus de populations », a laissé entendre le directeur général de La Poste Burkina Faso, Ibrahim Saba.
Ainsi, le développement des plateformes numériques, le positionnement sur le E-commerce, la mise en place de FasoRanana qui permet de commander et de se faire livrer un article à domicile, de E-Doc qui permet d'établir des actes de naissance et de les faire livrer, et le développement du mobile banking pour faire un dépôt ou un retrait, sont autant d'innovations de La Poste Burkina Faso, pour satisfaire sa clientèle.
Une vue des hommes de presse présents à cette rencontreEt en rencontrant la presse ce mercredi 18 juillet 2024, Ibrahim Saba a voulu qu'elle accompagne toujours son institution à toucher beaucoup plus de Burkinabè car dit-il : « on a fait de la résilience et on est en train de faire de l'extraordinaire. » Jadis intermédiaire entre l'Etat et les administrés pour la livraison de certains actes administratifs tels que les casiers judiciaires, La Poste Burkina Faso a profité de l'occasion pour lancer un appel à l'Etat afin que cette activité puisse reprendre son cours.
Erwan Compaoré
Lefaso.net
Le président Abdelmadjid Tebboune a officiellement déposé son dossier de candidature pour l’élection présidentielle prévue le 7 septembre. Cet événement important a eu lieu jeudi […]
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La réunion du Comité de conjoncture économique de ce jeudi 18 juillet a annoncé la relance de certains projets phares du Gouvernement notamment le projet PDL 145 territoires.
Le comité a également mis en place des mécanismes contre la fraude minière et pétrolière pour maximiser les recettes de l'État.
Des directeurs des systèmes d'informations (DSI) des ministères et institutions du Burkina Faso sont réunis ce jeudi 18 juillet 2024, à Koudougou, dans le cadre d'un séminaire de formation et d'échanges autour du thème : « Le DSI, catalyseur de la dématérialisation des procédures de l'administration publique ». Les travaux, qui s'étalent sur quatre jours, devraient permettre avec l'accompagnement du Cabinet Yilys, de fournir aux DSI, des outils nécessaires pour une gestion efficace des projets de digitalisation, pour un management performant de leurs équipes et pour une meilleure collaboration avec les métiers. Ce séminaire est placé sous le patronage du ministre de la fonction publique, Bassolma Bazié, et sous la présidence de la ministre de la transition digitale, des postes et des communications électroniques, Dr Aminata Zerbo.
La maturité numérique s'impose comme un défi majeur à relever par les États africains en vue d'accélérer le développement socioéconomique et nécessite également une mobilisation transversale de l'ensemble des acteurs de l'écosystème du numérique tant au niveau de l'administration que du secteur privé. Dans cette perspective, le gouvernement burkinabè a entrepris plusieurs projets conduits par le ministère de la Transition digitale, des postes et des communications électroniques (MTDPCE), de concert avec les autres départements ministériels, en vue de la transformation digitale de l'administration publique. Afin d'accélérer cette dynamique, des assises nationales sur la dématérialisation des procédures administratives ont été tenues du 11 au 13 avril 2024, à Ouagadougou, pour mobiliser et engager tous les acteurs en définissant une feuille de route à cet effet. Après une mise en œuvre de cette feuille de route et l'élaboration d'une autre au titre de l'année 2024, le MTDPCE, à travers la direction générale de la transformation digitale organise du 18 au 21 juillet 2024, à Koudougou, un séminaire au profit des directeurs des systèmes d'informations (DSI) des ministères et institutions du Burkina Faso.
Les participants ont posé pour la postéritéÀ l'ouverture des travaux, le patron de la cérémonie, le ministre de la fonction publique, Bassolma Bazié, a rappelé le rôle clé des DSI dans le processus de dématérialisation des procédures de l'administration publique. « Vous êtes les artisans de cette transformation, les garants de notre succès dans cette transition numérique. Votre expertise et votre engagement sont indispensables pour mener à bien cette mission. Vous avez la responsabilité de catalyser les efforts de digitalisation et de veiller permanemment pour que notre administration publique soit à la hauteur des attentes de nos citoyens et des exigences de notre temps », a indiqué le ministre Bassolma Bazié avant d'exhorter les participants à œuvrer pour une administration publique modernisée, souveraine et résolument tournée vers l'avenir, au service du développement durable de la nation et du bien-être des citoyens.
Le gouvernement est fermement engagé dans une démarche de transformation profonde de notre administration publique, a rappelé le ministre de la fonction publique, Bassolma BaziéPour la présidente de ce rendez-vous du donner et du recevoir, Dr Aminata Zerbo, la MTDP, la transition digitale n'est plus une option, mais une nécessité impérieuse pour que les pays puissent saisir les immenses opportunités offertes par le numérique et ainsi accélérer leur développement. « Les pays africains, plus que les autres, se doivent de ne pas rater cette révolution. Et notre pays, le Burkina Faso, fait partie de ces pays engagés à ne pas rater ce train. Et plus que jamais, le Burkina Faso a une chance inouïe d'atteindre cet objectif, cette chance c'est la compréhension et l'engagement de ses premières autorités pour ce processus », a-t-elle déclaré.
Aussi, pour relever les défis de l'heure, les acteurs doivent retrousser encore plus les manches et se doter de tous les mécanismes et outils, selon elle. C'est dans cette dynamique et à la suite de plusieurs autres initiatives que s'inscrit le présent séminaire qui a pour thème : « Le DSI, catalyseur de la dématérialisation des procédures de l'administration publique ». Un thème qui renvoie à la responsabilité des DSI mais également au rôle central qu'ils jouent dans ce processus.
« Ensemble, faisons de la transition digitale une réalité tangible pour la souveraineté et pour le développement socio-économique de notre nation », a lancé la ministre de la transition digitale, Dr Aminata ZerboEn effet, malgré les acquis importants, notamment dans la mise en œuvre de la feuille de route de la dématérialisation 2023, le chemin pour une transition digitale effective de l'administration burkinabè reste encore long et les insuffisances qui subsistent méritent d'être relevées afin que des solutions idoines soient trouvées, constate la ministre de la transition digitale. « La mise en ligne des plateformes est l'objectif recherché. Mais cela doit se faire en prenant un minimum de dispositions pour protéger non seulement l'administration elle-même, mais également les usagers », a-t-elle fait remarquer. La première responsable du département en charge de la transition digitale a saisi l'occasion pour exhorter au respect des dispositions du décret encadrant la mise en exploitation des plateformes de l'administration. Ceci en vue de mettre en ligne des plateformes efficaces et sécurisées mais également avoir de la cohérence dans les actions de dématérialisation.
Vue des participants lors de la cérémonie d'ouvertureLa mise en ligne des plateformes est projetée d'ici le 31 décembre 2024. La ministre Zerbo a réaffirmé sa disponibilité à accompagner les acteurs dans ce processus et à mettre tout en œuvre pour trouver des solutions idoines et dans la mesure du possible aux difficultés qui sont les leurs. Ce séminaire, qui s'achèvera le 21 juillet prochain, va consister d'une part en des communications suivies d'échanges et d'autre part en des séances plénières.
Il est attendu des DSI, une pleine participation aux travauxLes communications porteront, entre autres, sur les rôles et responsabilités des DSI dans le processus de dématérialisation des procédures administratives ; les rôles des différents acteurs de l'écosystème dans ce processus, les relations et la nécessaire synergie d'actions entre lesdits acteurs ; les outils à mettre en place pour une gestion efficace des projets de digitalisation.
Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net
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