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Afrique

Visa : Marcello Baricordi

Jeune Afrique / Finance - Mon, 09/04/2018 - 14:28
Formé à l'université Ca' Foscari de Venise, cet Italien a fait ses armes au sein de Telecom Italia Mobile et EY avant d'occuper des postes de management chez A.T. Kearney et First Data International. Il vient d'être nommé directeur général pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord de l'entreprise Visa, qu'il a intégrée en 2009.
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Pour se venger de son épouse : Il brûle son enfant de deux ans

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 13:12

Il y a des histoires à peine croyables, comme celle-ci qui n’est pas le produit de l’imagination d’un écrivain de séries policières, mais celui d’un vécu cruel et d’un geste barbare commis par un… père. Difficile de croire qu’un homme puisse sans état d’âme verser un liquide inflammable sur son enfant d’à peine 2 ans, jeter la flamme qui va consumer son petit corps avant de se diriger vers la mosquée pour la prière du matin. Ce père indigne existe bel et bien. Il est âgé de 28 ans et est originaire de Sétif, plus précisément du village de Béni Diab, dans la commune de Guidjel. A l’origine de son acte, une simple dispute avec son épouse qui a décidé de quitter le cocon familial pour se rendre chez ses parents, afin d’exprimer sa contrariété. Une altercation d’un jeune couple, sans lendemain, même si l’épouse a refusé d’accompagner son époux, vendredi dernier, alors qu’il s’est présenté chez ses beaux-parents pour la ramener à la maison. La femme était contrariée et avait sûrement besoin de plus de temps. Le mari a alors demandé à sa femme de lui permettre de prendre leur petit enfant, Zaïd, pour passer la nuit avec lui car, comme il le dira, «son enfant lui manque beaucoup». Sitôt demandé, sitôt accepté. La jeune mère n’avait aucune raison de refuser la demande de ce jeune père, connu dans tout le village, par sa droiture et son comportement exemplaire. Très pieux et pratiquant, le jeune homme jouait souvent à l’intermédiaire entre les couples pour régler les différends. Il lui arrivait même de remplacer l’imam lorsque ce dernier s’absentait. Rien ne laissait pressentir donc que le jeune père allait se transformer en un horrible monstre. Ce dernier et après avoir passé toute la soirée avec son enfant, s’est réveillé dans la matinée de samedi dernier, a étranglé le bébé, l’a enveloppé dans une couverture sur laquelle il a versé un produit inflammable. Il y met le feu et quitte les lieux pour aller prier. A son retour, il informe son vieux père de son acte. L’horrible nouvelle a vite fait le tour du village et les éléments de la gendarmerie, une fois alertés, ont arrêté le coupable et ouvert une enquête, selon le quotidien Ennahar. Certains habitants affirment que le jeune père a déclaré, après son acte, être le «messie attendu». Est-ce juste pour prétendre à la folie après avoir commis l’innommable?

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Syrie : Une attaque chimique présumée du régime suscite l’indignation

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:55

Une attaque chimique meurtrière présumée du régime syrien sur la ville rebelle de Douma a suscité dimanche l’indignation des Etats-Unis et du pape François, malgré les démentis du pouvoir de Bachar al-Assad et de son allié russe.

Douma est le dernier secteur sous contrôle des rebelles dans la vaste région de la Ghouta orientale, située aux portes de Damas et que le régime est déterminé à reprendre totalement coûte que coûte, avec l’aide de Moscou. Samedi, les Casques Blancs, des secouristes en zones rebelles, un groupe insurgé ainsi que l’opposition en exil ont accusé le régime d’avoir mené une attaque chimique à Douma. Dans un communiqué commun avec l’ONG médicale Syrian American Medical Society, les Casques Blancs ont affirmé que 48 personnes avaient péri dans cette attaque aux «gaz toxiques». Ils ont également fait état de «plus de 500 cas, la plupart des femmes et des enfants», qui présentent «les symptômes d’une exposition à un agent chimique». Les patients souffrent de «difficultés respiratoires», de «brûlures de la cornée» et dégagent «une odeur semblable à celle du chlore». Une vidéo postée par les Casques blancs sur leur compte Twitter et présentée comme tournée après l’attaque chimique présumée montre un enchevêtrement de corps sans vie, dont ceux de femmes et d’enfants, allongés à même le sol, les yeux parfois écarquillés et de la mousse blanche s’échappant de leur bouche. Sur une autre, tournée dans un hôpital, des enfants en bas âge sont déshabillés et respirent grâce à des masques à oxygène. Firas al-Doumi, un secouriste de Douma a évoqué «des scènes effroyables». «Il y avait de nombreuses personnes en train de suffoquer, certaines sont mortes immédiatement», a-t-il dit à l’AFP.

«Instruments d’extermination»
«C’était un massacre. Il y avait une très forte odeur sur les lieux qui a entraîné des difficultés respiratoires chez les secouristes». Il n’était pas possible de confirmer ces informations de source indépendante. Le régime a qualifié ces accusations de «farce» et de «fabrications». Moscou a «démenti fermement cette information».
L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), qui dispose d’un réseau de sources dans le pays en guerre, a lui indiqué ne pas être en mesure de confirmer une attaque chimique du régime. Néanmoins, plusieurs voix se sont élevées pour condamner le recours présumé à des substances chimiques. «Des nouvelles terribles nous parviennent de la Syrie avec des dizaines de victimes, dont beaucoup de femmes et d’enfants. Tant de personnes sont frappées par les effets des substances chimiques contenues dans les bombes», a déclaré le pape devant des milliers de fidèles rassemblés place Saint-Pierre. «Il n’y a pas une bonne guerre et une mauvaise, et rien, rien ne peut justifier l’usage de tels instruments d’extermination contre des personnes et des populations sans défense», a-t-il ajouté. «Ces informations, si elles sont confirmées, sont effroyables et exigent une réponse immédiate de la communauté internationale», a indiqué le département d’Etat américain. «La Russie, avec son soutien sans faille au régime, porte la responsabilité finale de ces attaques brutales». La Grande-Bretagne a appelé «à une enquête urgente». «Si ces informations sont correctes, elles seraient une preuve supplémentaire de la brutalité d’Assad contre des civils innocents et du mépris de ses soutiens pour le droit international», ont estimé les Affaires étrangères. Le régime Assad a été maintes fois accusé de lancer des attaque au gaz sur des régions rebelles, ce qu’il a toujours nié. Déterminé à faire plier le dernier groupe rebelle de Jaich al-Islam retranché à Douma, le pouvoir syrien avait repris vendredi son pilonnage de la cité, tuant une centaine de civils selon l’OSDH.

Négociations
Après des raids aériens dimanche matin, le régime a suspendu ses bombardements et ses représentants ont tenu une réunion avec ceux de Jaich al-Islam, selon les médias officiels syriens. L’objectif: l’évacuation des rebelles de Douma vers des zones aux mains des insurgés dans le nord syrien. Selon les médias, les autorités ont accepté ces négociations pour obtenir «la sortie des terroristes de Jaich al-Islam vers Jarablos (nord)». Le régime qualifie les rebelles de «terroristes». Jaich al-Islam est miné par des divisions internes, son aile radicale refusant d’évacuer Douma, selon l’OSDH. Le 18 février, le régime a lancé pendant plusieurs semaines une offensive dévastatrice sur l’enclave rebelle dans la Ghouta orientale, qui a coûté la vie à plus de 1.600 civils selon l’OSDH. Le pouvoir a ensuite laissé la place aux négociations sous l’égide de la Russie, qui ont permis d’évacuer plus de 46.000 combattants de deux autres groupes rebelles et civils, contraints de rejoindre Idleb (nord-ouest), une des provinces échappant au contrôle du régime. Grâce à l’appui militaire de Moscou, le régime contrôle déjà plus de la moitié de la Syrie, ravagée par une guerre qui a fait plus de 350.000 morts en sept ans.

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Nouvelle faculté de médecine d’Oran : Relancer le projet de construction du campus de 1 000 lits

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:53

Le wali d’Oran, Mouloud Cherifi a instruit le directeur des équipements publics de la wilaya, de relancer le plus vite possible le projet de réalisation du campus de 1 000 lits, un projet couplé à la nouvelle faculté de médecine d’Oran, gelé jusque-là pour des raisons financières. «Avec le dégel des projets de santé publique, il faut relancer cette opération, appuyée par la Direction de la santé et de la population, l’inclure dans le cadre du nouveau programme des équipements et prévoir l’ouverture de la nouvelle faculté de médecine pour la rentrée universitaire prochaine 2018-2019», a insisté le chef de l’exécutif de wilaya, en marge de la visite effectuée à la nouvelle Faculté de médecine. Le wali a aussi instruit le directeur des équipements publics à renforcer ce projet, qui sera édifié sur une superficie de 12 hectares, avec des crédits de paiement spécifiques. Implantée sur une superficie de 20 hectares, la nouvelle faculté de médecine d’Oran (10 000 places pédagogiques) dont le coût de réalisation avoisine 1,89 milliard DA, dispose de sept amphithéâtres et de 56 laboratoires (médecine, pharmacie, microbiologie, anatomie, chimie, biochimie, physiologie,…), selon une fiche technique. Mouloud Cherif, qui a visité un auditorium de 600 places de la nouvelle faculté de médecine, s’est félicité du rythme des travaux de réalisation confiés à une entreprise chinoise, sommant le directeur des équipements publics de la wilaya à suivre de près l’entreprise surtout pour l’équipement des structures pédagogiques et administratives, pour les livrer avant la rentrée universitaire prochaine. Le wali a également visité, à l’Etablissement hospitalier universitaire (EHU) «1er novembre 1954», l’unité d’allogreffes (greffes de moelles), une structure qui assure une spécialité très pointue au profit des malades atteints de leucémie ainsi que des blocs opératoires de chirurgie centraux dont trois en cours de réalisation. Selon la secrétaire générale de l’EHU, Amina Bahia, qui a mis en exergue l’importance des greffes des moelles, le nombre d’intervention est de 120 autogreffes par an, ajoutant que cet établissement dispose d’un personnel médical de 4 000 personnes dont 1 000 médecins. Auparavant, M. Cherif s’est rendu, au pôle universitaire de Belgaid, où il visité la Faculté des sciences islamiques devant ouvrir ses portes la semaine prochaine, la faculté des lettres et des arts en cours de réalisation et la Faculté des langues étrangères. En compagnie d’une délégation composée du président d’APW d’Oran, des chefs de daïras d’Es-Seina et de Birr El Djir, des recteurs de l’université d’Oran 1 et 2, il avait sommé les gestionnaires de l’université d’Oran à donner un lifting à la façade du restaurant de l’université de Belgaïd. Un total de 20.000 places pédagogiques reparties sur plusieurs facultés et 8.000 lits seront fin prêts avant la fin de l’année en cours, a annoncé le wali à l’issue de sa visite.

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Écoles primaires à Boumerdès : 780 millions de dinars pour les opérations de développement

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:49

Une dotation d’au moins 780 millions DA a été affectée pour la réalisation de 244 opérations de développement au profit des écoles primaires de Boumerdès, a-t-on appris de l’inspecteur général de la wilaya. Sur ce total d’opérations programmées, 94 ont été concrétisées ces dernières années, parallèlement à quatre clôturées, a indiqué Mohamed Zerrouki qui présentait un rapport sur la situation des écoles primaires à Boumerdès lors d’une rencontre l’ayant réuni avec les directeurs des établissements du primaire et les autorités locales. Vingt-huit autres opérations sont actuellement en cours de réalisation, contre 12 à l’arrêt et 106 non encore lancées, selon le rapport élaboré par une commission ad hoc, grâce à des visites de terrain. Selon le responsable de la wilaya, les visites effectuées aux écoles primaires de la région ont permis de constater de nombreuses insuffisances en leur sein, en dépit de l’importante dotation affectée à leur réhabilitation, a-t-il indiqué, citant parmi les lacunes constatées, la «surcharge» des classes au niveau de 25 écoles primaires, soit plus de 40 élèves par classe, contre une moyenne de 25 élèves/classe à l’échelle de la wilaya. Le rapport fait cas de 59 écoles accusant des insuffisances en matière d’aménagement et d’équipement contre 83 écoles ayant besoin de réparations pour leurs fenêtres et portes, au moment ou 82 enregistrent des pannes d’éclairage et 30 sont réalisées en préfabriqué. Il a été constaté également que 138 écoles de la wilaya de Boumerdès ne disposent pas de «toilettes adéquates», au moment ou 97 autres accusent des infiltrations d’eau, 57 sont sans clôture, 47 manquent d’eau ou ne sont pas raccordées au réseau AEP, 179 ne sont pas raccordées au réseau de gaz naturel et 186 ne sont pas raccordées aux réseaux téléphonique et internet. Parallèlement, 99 écoles ont besoin de restauration de leurs classes et 98 autres manquent de cours de récréation et de surfaces vertes, au moment ou 16 écoles ont été fermées pour divers motifs, 100 n’ont pas de directeurs dûment désignés et 104 n’ont pas de gardiens, ni d’agents de nettoyage et de cuisine. Au volet restauration, le même rapport indique que 194 écoles n’ont pas de cantines, au moment ou 45 autres disposent d’une cantine non équipée, parallèlement à 220 écoles n’offrant pas de repas aux élèves, contre 110 écoles offrant des repas chauds, et 45 n’offrant que des repas froids. Par ailleurs, quelque 124 écoles de la wilaya ne disposent pas de transport scolaire, au moment ou un nombre considérable d’établissements manquent d’équipements en tous genre (chauffages, tables, armoires, chaises). Dans son intervention lors de cette rencontre, le wali Abderrahmane Madani Fouatih, a souligné l’objectif de cette réunion, visant, selon lui, «l’examen de l’état des lieux du secteur en toute transparence, en vue de la mise au point d’une feuille de route pour venir à bout des insuffisances progressivement, notamment concernant les zones reculées de la wilaya». Le wali a, également, insisté sur l’impératif de mettre en œuvre des programmes de développement destinés au secteur de l’éducation et de l’exploitation des dotations financières affectées à cet effet.
Le directeur de l’éducation de la wilaya, Nedir Khesssous, a souligné, pour sa part, que le problème de surcharge des classes dans certaines régions de la wilaya, est dû à l’»extension urbanistique ces dernières années qui n’a pas été accompagnée par la réalisation d’établissements supplémentaires».

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Restauration de 14 000 vieilles bâtisses à Blida : Près de 55 millions de dinars affectés

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:48

Une enveloppe de près de 55 millions de dinars, été affectée pour la restauration de 14 000 vieilles bâtisses à Blida, dont la construction remonte à l’ère coloniale et à la présence ottomane en Algérie, a-t-on appris auprès de la direction de l’Urbanisme, de l’Architecture et de la Construction.

Une grande partie des bâtisses est implantée dans les communes de Blida, Boufarik et Mouzaia, selon un exposé présenté au conseil exécutif de la wilaya consacré au dossier de l’urbanisme et de la construction, au chef-lieu de wilaya, faisant état de l’existence de plus de 12 000 vieilles bâtisses remontant à l’ère coloniale, notamment au niveau des vieux quartiers de la ville de Blida. L’opération de restauration profitera également aux bâtisses de Hai Douirette, dans le centre ville de Blida. Un vieux quartier édifié au 15ème siècle (présence ottomane en Algérie), à propos duquel le wali Mustapha Layadhi a souligné l’impératif lancement d’un plan de restauration susceptible de préserver son cachet architectural original. A cela s’ajoutent près de 1 500 autres bâtisses de la commune de Boufarik et 300 autres à Mouzaia également concersnées par l’opération de restauration, qui fera l’objet d’un avis d’appel d’offres, dès parachèvement de l’étude y afférente, selon le même rapport. Durant la session de l’APW, le chef de l’exécutif a recommandé la mise au point d’un nouveau cahier des charges relatif aux promoteurs immobiliers privés, portant standardisation du nombre d’étages et de la couleur des façades pour les immeubles construits dans une même rue, avec obligation de disponibilité de parkings et d’écoles pour les projets englobant plus de 200 logements. à noter que la wilaya de Blida compte 5.392 unités de logements de ce type, dont 4 173 actuellement en chantier à travers nombre de communes, particulièrement au chef-lieu de wilaya, théâtre, ces dernières années, de la démolition de nombreuses villas remontant à l’ ère coloniale qui seront remplacées par de nouvelles constructions.

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Maroc : quels dividendes pour les principaux actionnaires à la Bourse de Casablanca ?

Jeune Afrique / Finance - Mon, 09/04/2018 - 12:43
L'heure est à la distribution des dividendes pour les actionnaires des entreprises inscrites à la Bourse de Casablanca, qui se partagent cette année 22 milliards de dirhams. Classement.
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Pétrole : le prix du panier de l’OPEP à 64,82 dollars

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:43

Le prix du panier de référence du brut de l`Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) s`est établi vendredi à 64,82 dollars le baril, contre 65,18 la veille, a indiqué lundi, cette Organisation sur son site web.

Introduit en 2005, le panier de référence de l’Opep comprend quatorze (14) types de pétrole, dont le Sahara Blend (Algérie), l’Iran Heavy (Iran), Es-Sider (Libye), Basra Light (Irak), Bonny Light (Nigeria), Arab Light (Arabie Saoudite), Girassol (Angola) et le Mery (Venezuela).

Les cours de l’or noir  avaient chuté vendredi en raison des tensions commerciales entre la Chine et les Etats-Unis et de l’ampleur de la production américaine.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin a fini la semaine à 67,11 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,22 dollar par rapport à la clôture de jeudi.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour le contrat de mai a cédé 1,48 dollar à 62,06 dollars.

Sur la semaine le WTI a reculé de 4,64% et le Brent de 4,65%, la plus forte baisse hebdomadaire depuis deux mois pour les deux types de contrats.

Ils retrouvent leurs niveaux d’il y a deux semaines, avant un mouvement de forte hausse des cours.

Par contre, les cours de l’or noir  étaient orientés à la hausse, lundi matin en Asie.

Le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en mai gagnait 23 cents à 62,29 dollars dans les échanges électroniques en Asie.

Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en juin, prenait 25 cents à 67,36 dollars.

Selon des analystes, le bon respect des objectifs de réduction de production de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole(OPEP)  et de leurs partenaires, comme la Russie est un facteur positif pour les cours du pétrole.

Selon le Comité ministériel conjoint de suivi de l’accord de réduction de la production pétrolière des pays OPEP et non OPEP (JMMC), les pays participant à l’accord ont atteint un nouveau record de respect des objectifs de limitation de la production, qui a atteint un niveau de 138%.

Pour rappel, les pays producteurs de l’OPEP, associés à dix autres producteurs non membres de l’OPEP dont la Russie, s’étaient pour leur part mis d’accord fin 2016 pour limiter leur production afin de contenir la chute des cours.

Dans son dernier rapport, l’OPEP a revu en hausse de 0,28 million de barils par jour (mbj) son estimation de la production non-OPEP cette année ; elle devrait atteindre 59,53 mbj, soit une croissance de 1,66 mbj sur un an. APS

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Le directeur du matériel de traction de la SNTF : 117 milliards de dinars pour réhabiliter le parc roulant et acquérir de nouvelles locomotives

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:41

Pour assurer le transport de ses voyageurs et celui des marchandises, la Société nationale de transport ferroviaire dispose actuellement de 200 locomotives, de 22 à 32 ans d’âge, dont la maintenance est assurée par sept ateliers disséminés dans diverses régions du pays.

Le directeur du matériel de traction au sein de la Société nationale de transport ferroviaire rappelle que ce parc roulant a été renforcé par l’acquisition récente de 30 locomotives, ainsi que celle de 17 autorails de type Coradia, parmi lesquels huit sont déjà entrés en exploitation sur les lignes reliant Alger à Oran et à Constantine notamment.

Intervenant, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Abderrezak Mekerbi signale qu’en dehors des locomotives en exploitation, il en existe 200 autres qui sont immobilisées, mais dont certaines, dit-il, pourraient être réhabilitées après la relance de l’économie.

Pour assurer la réhabilitation de 202 compartiments destinés aux voyageurs, celle de 12 locomotives ainsi que faire l’acquisition de 30 locomotives et des 17 Coradia, il indique que la SNTF a bénéficié d’un crédit de 127 milliards de dinars.

S’exprimant à propos de la vitesse des convois ferroviaires, maintenue actuellement aux alentours de 120 à 140 km/heure, celui-ci explique qu’elle ne pourra être augmentée qu’après qu’aient été réaménagés les  passages à niveau, dont les disfonctionnements de certains parmi eux a été, explique-t-il, à l’origine de plusieurs accidents entrainant des dégâts matériels causés à ces derniers.

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Quatre narcotrafiquants interceptés et plus de 180 kg de kif traité saisis à Tlemcen et Bechar (MDN)

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:35

ALGER- Quatre (4) narcotrafiquants ont été interceptés dimanche à Tlemcen et Bechar par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) qui ont également saisi 184 kg de kif traité, indique lundi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.

« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements de l’Armée nationale populaire ont intercepté le 8 avril 2018, quatre (4) narcotrafiquants et saisi 184 kilogrammes de kif traité à Tlemcen (2e Région militaire) et Bechar (3e RM) », précise la même source.

Par ailleurs, à In Guezzam et Bordj Badji Mokhtar (6e RM), des détachements de l’ANP « ont saisi un camion, trois (3) motocyclettes, dix  (10) tonnes de ciments, une (1) tonne de denrées alimentaires et divers outils d’orpaillage », alors que d’autres détachements « ont saisi à Ouargla et El Oued (4e RM) 7.199 unités de différentes boissons ».

Par ailleurs, « treize (13) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été appréhendés à Tlemcen », rapporte également le communiqué.

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Les documents administratifs retirés sur Internet avant fin 2018

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:33

Le lancement du service de retrait de documents administratifs via Internet se fera avant la fin de l’année en cours, a annoncé, mercredi à Oran, Henni Abderrazak, directeur général de la modernisation au ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire. Interrogé en marge du 6e Sommet africain sur la cybersécurité, qui se tient à Oran, Abderrezak Henni a rappelé que cette opération a été initiée dans le cadre du projet du gouvernement pour la modernisation de l’administration e-commune. Toutefois, la réalisation de ce projet a été entravée par l’absence d’une autorité de certification en mesure d’authentifier les signatures électroniques, a-t-il ajouté. Les autorités de certification sont en cours de mise en place par le gouvernement, a affirmé Henni, ajoutant que le projet e-commune sera lancé dès l’installation de ces établissements, avant la fin de l’année en cours. Sur les enjeux de la cybersécurité en Algérie, le DG de la modernisation au ministère de l’Intérieur a estimé qu’il est important d’investir dans la sécurisation des data center. Il a souligné la nécessité d’élaborer une charte sécuritaire interne, incluant des mesures de sécurité que doivent adopter les utilisateurs pour éviter des infiltrations ou attaques. Dans le même sillage, Henni a noté que l’Algérie est en pleine phase de modernisation de son administration. La prochaine étape porterait sur la création et la sécurisation des cloud et des data center.

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Huit individus ont été écroués à Oran : Ils terrorisaient les habitants des « Amandiers »

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:29

Les habitants ont vécu le calvaire instauré par les deux gangs rivaux, les «Sanafir» et leur ennemi de toujours s’identifiant à l’organisation terroriste «Daesh».

Huit personnes, impliquées dans une bataille de gang, viennent d’être placées sous mandat de dépôt après avoir été arrêtées par les policiers de la 13e sûreté urbaine. Les mis en cause sont accusés d’obstruction de la voie publique, utilisation des armes blanches dans une bagarre ayant opposé deux gangs. Tout a commencé lorsque les belligérants ont créé les hostilités en proférant des injures et des menaces, d’où le déclenchement d’une véritable «guérilla» qui a abouti à la blessure de plusieurs «membres» des deux groupes, d’où l’intervention, à temps, des policiers de la 13e sûreté urbaine et l’arrestation de huit individus. De telles batailles ne sont pas nouvelles dans les quartiers de la ville que l’on veut baptiser au nom de «havre de paix». N’était-ce l’intervention rapide des forces de sécurité, imposant le calme, plusieurs bidonvilles et autres artères seraient transformés en arènes regroupant très souvent des «gladiateurs» de tout bord pour se disputer la notoriété du terrain. C’est le cas du bidonville géant de Sidi El Bachir, dont les habitants ont vécu le calvaire instauré par les deux gangs rivaux, les «Sanafir» et son ennemi de toujours s’identifiant à l’organisation terroriste «Daesh». Ces deux bandes de malfaiteurs, ayant semé la terreur pendant des mois entiers, ont été totalement décapités et mis hors d’état de nuire. Cette décapitation a fait suite à l’arrestation de leurs derniers résidus, en l’occurrence leurs deux chefs, Larbi Chekchaka et son bras droit portant le pseudo de «Saddam». Les deux têtes pensantes ont, après une courte cavale, fini par être arrêtées dans leur lieu de repli situé dans un autre quartier populaire de l’ouest d’Oran, «Les Amandiers». Souvenons-nous-en, leur arrestation a été opérée par les éléments de la police en charge de la lutte contre la criminalité de la sûreté de wilaya d’Oran. Dans cette offensive, déclenchée suite à des informations exploitées par les policiers, trois membres du gang, dont une jeune fille mineure, sont tombés. Dans le tas, les policiers ont saisi plusieurs armes blanches et une arme de poing. Cette opération a coïncidé avec une autre offensive d’envergure, qui n’est pas des moindres, menée simultanément par les éléments de la Gendarmerie nationale dans le quartier de Sidi El Bachir à l’issue de laquelle cinq autres individus, recherchés, ont été arrêtés. Dans cette opération, les gendarmes ont mis la main sur deux bandits appartenant au groupe criminel de Château s’autoproclamant «Daesh» et trois autres du groupe des «Sanafir». Les deux groupes se disputant la notoriété du territoire ont, dans leur passif, un palmarès très riche en matière de chefs d’inculpations contenus dans le Code pénal comme racket des populations, détention et consommation de drogue, vols et agressions, port d’armes prohibées et troubles à l’ordre public. D’ailleurs, les deux groupes se sont livré une bataille des plus acharnées dans laquelle les armes blanches, allant du coutelas jusqu’aux sabres et antennes paraboliques, ont été les seuls moyens de communication. Dans ce violent affrontement, les deux gangs ont imposé un climat de couvre-feu pendant plus de huit heures, tellement la bataille était marquée par une agressivité inouïe. Les membres du premier groupe criminel s’identifiant au groupe terroriste Daesh, animés d’une grande animosité vis-à-vis de leur rival des «Sanafir», ont opéré une descente nocturne et mis le feu au marché de fruits et légumes situé dans le quartier se trouvant sous l’influence de la bande des «Sanafir». Ces derniers n’ont pas tardé à riposter violemment en repoussant d’abord l’offensive menée par le groupe «Daesh», tout en usant de tous les moyens comme les cocktails Molotov et autres armes blanches. Dans les deux camps, plusieurs blessés ont été enregistrés. Pour se venger de leur défaite, les membres de «Daesh», n’ont rien trouvé de mieux à faire que d’effectuer, tôt dans la matinée du lendemain, une deuxième descente punitive, ciblant cette fois les habitants du quartier abritant la troupe des «Sanafir». Dans leur acte hautement criminel, ils ont intercepté un bus assurant la ligne 41 et soumis ses passagers à une fouille, tout en les délestant de leurs biens. Pris de rage, les membres composant le groupe se prénommant «Daesh» se sont mis à leur tour à venger «l’honneur» de leur quartier «bafoué» en encerclant le quartier Château habité par la bande «Daesh». Comme premières mesures qu’ils ont prises, ils ont instauré un climat de terreur digne des années de la tragédie nationale en dressant d’abord un barrage devant l’entrée du quartier, empêchant les populations de sortir de leurs domiciles. Ces attaques ont donné lieu à l’intervention de la Gendarmerie nationale qui a mobilisé en force et en nombre ses effectifs, avant de procéder à une vaste offensive. Chacune des opérations a abouti à l’arrestation des membres des deux groupes jusqu’à la décapitation totale de leurs têtes pensantes en fin de semaine dernière. Ce n’est pas tout. Aucun des habitants du quartier populaire de Derb n’est près d’oublier de sitôt la plus longue «guerre» qui a opposé les gars de «Mitota» et de Messaoud, affublé localement du nom de «Massoud». A Oran, on ne contrarie pas la jeune fille du quartier, du moins pas par des membres du gang rival. Dans le cas contraire, toute la bande opère une descente… punitive.

Par Wahib AïT OUAKLI

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El-Bayadh : Un programme supplémentaire de 500 logements LPA

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:22

par Hadj Mostefaoui

La wilaya d‘El-Bayadh vient de bénéficier d’un programme de 500 logements de type promotionnel aidé (LPA) au titre de l’année 2018. Cette rallonge s’ajoute à une première tranche de 600 unités déjà acquis dont 74 seulement ont été achevés et livrés. Le reste, soit 526 logements, sont en chantier. Le nouveau programme sera judicieusement réparti entre les sept chefs-lieux des daïras en fonction des besoins exprimés par chacun d’eux.

Des bureaux d’accueil ont été ouverts dans chacun d’eux pour enregistrer les dépôts de dossiers des souscripteurs, qui une fois étudiés et passée la période de recours, seront retenus.

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Lutte contre le commerce de stupéfiants : 63 kg de kif saisis et un réseau de dix trafiquants démantelé

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:20

par K. Assia

Dans le cadre de l’application de la stratégie de la Direction générale de la Sûreté nationale visant à lutter contre le crime sous toutes ses formes dont la commercialisation et le trafic de stupéfiants, les éléments de la police judiciaire de la Sûreté de la wilaya sont parvenus à neutraliser plusieurs réseaux spécialisés dans le trafic de stupéfiants, a annoncé hier le commissaire Rahmani, responsable du département de la communication à la Sûreté d’Oran, lors d’une conférence de presse animée à l’occasion. Dix individus âgés entre 33 et 50 ans, des repris de justice et dont certains faisaient l’objet de mandats d’arrêt, ont été arrêtés par les services de la police judiciaire, a ajouté le responsable, précisant que cette affaire a permis aux enquêteurs de saisir une quantité de 63 kg de kif traité, quatre véhicules qui permettaient aux membres de réseau de se déplacer et d’acheminer le produit prohibé. Des sommes d’argent dépassant les 258 millions de centimes et 20.000 euros provenant de la vente des stupéfiants ont été aussi saisies. Les policiers ont aussi récupéré des produits qui permettaient la falsification des billets de banque. Les membres du réseau seront présentés au tribunal une fois les investigations achevées. Par ailleurs et toujours dans le cadre de cette lutte sans merci engagée contre le trafic de drogue, les services de la Sûreté d’Oran ont saisi, la semaine dernière, 29 kg de kif, 130 g de cocaïne et 360 g de marijuana et l’arrestation de trois individus, a ajouté le responsable. Les mis en cause ont été présentés au tribunal et placés sous mandat de dépôt. Au total, ces deux affaires ont donné lieu à l’arrestation de 13 individus et la saisie de 92 kg de kif traité en plus de 130 g de cocaïne et 360 g de marijuana, des sommes de 20.000 euros et plus de 258 millions de centimes. L’enquête suit toujours son cours pour identifier d’autres complicités Le responsable rappelle qu’un numéro vert, le 1548, est mis en place pour venir en aide à la population en matière d’orientation, d’information et surtout de prévention contre la criminalité.

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Lutte contre la criminalité de la route : 306 motos mises en fourrière depuis le début de l’année

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:12

par K. Assia

Le renforcement du dispositif de contrôle quant au respect de la réglementation pour la mise en circulation des motos, a permis de livrer ses premiers résultats. En effet, depuis le début de l’année, pas moins de 306 motos ont été saisies par les services de la voie publique, relevant de la Sûreté de la wilaya a-t-on appris, hier, auprès du Divisionnaire Brahimi responsable du service. Ces motos ont été mises en fourrière pour différentes infractions dont l’absence de casque, l’absence de documents entre autres. A vrai dire, les opérations de contrôle sont lancées et vont se poursuivre, a noté le responsable. Ces motos sont souvent à l’origine de plusieurs accidents de la route ce qui nécessite la multiplication des actions de prévention et de sensibilisation et aussi de contrôle. Le bilan élaboré de 2012 à 2017 a permis, selon notre interlocuteur, de mettre en fourrière pour une durée d’un mois quelque 10.716 motos pour différentes infractions.

Tout en axant sur l’impact du travail préventif, le responsable a rappelé que ces opérations viennent en application du code de la route 01-14, du décret exécutif 04-381 et l’arrêté de la wilaya, de novembre 2007 entre autres.

La semaine dernière, pas moins de 66 motos ont été mises à la fourrière en une semaine, pour défaut de casque de sécurité par les services de la voie publique. Les policiers ont procédé au contrôle des conducteurs pour s’assurer s’ils sont en possession des documents nécessaires pour circuler. Souvent, c’est soit le manque de documents, ou le non port du casque qui sont constatés. Les motos dont des grosses cylindrées et autres de dimensions moyennes, dépourvues pour la plupart de dispositifs silencieux, causent de nombreux désagréments aux habitants, notamment la nuit. Ces opérations, toujours en cours, visent aussi, les propriétaires de motos qui n’ont pas, encore, régularisé leurs situations administratives, sachant que ces derniers circulent avec des récépissés et des procurations caduques. Certains conducteurs n’ont même pas le certificat d’assurances, ce qui représente une autre infraction punie par la loi. Les deux roues sont devenues des instruments de mort mettant, ainsi, en danger la vie des passants. Plusieurs personnes ont été percutées par des motos roulant à de grandes vitesses. Ces scènes sont constatées, quotidiennement, devant les lycées et autres établissements scolaires.

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Enseignement supérieur : Orientation des bacheliers, Un casse-tête

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 12:08

par Yazid Alilat

Devant le taux d’échec important des étudiants en 1ère année universitaire et souvent l’inadéquation des formations par rapport aux besoins du marché, mais surtout aux potentialités des nouveaux bacheliers, le ministère de l’Enseignement supérieur

et de la Recherche Scientifique (MESRS) va organiser, mercredi et jeudi prochains, des ‘’journées portes ouvertes sur l’Université».

C’est ce qu’a annoncé hier à la radio nationale le DG de l’enseignement et de la formation supérieure au MESRS, M. Noureddine Ghouali. Il a expliqué que ces journées portes ouvertes sur l’Université sont organisées pour mieux orienter et conseiller les futurs bacheliers dans le choix de leur formation universitaire. ‘’Sur la base d’un sondage, il est apparu qu’une grande proportion des bacheliers ne connaissent pas le système universitaire, les spécialités enseignées et les opportunités dans l’enseignement supérieur, hormis la médecine. Cette année, on a donc voulu mieux informer ces bacheliers sur les grandes écoles, leurs spécificités, l’organisation dans les universités et les spécialités universitaires peu connues», a expliqué M. Ghouali. Il a ajouté que ‘’l’expérience de l’année dernière a montré qu’en peu de jours, l’étudiant doit faire face à des choix, des démarches et, donc, il n’a pas le temps de bien choisir la filière qui lui correspond». Il a indiqué que ‘’pour nous, il faut surtout lutter contre le taux élevé des échecs universitaires dès la première année. Et, donc, il faut revoir radicalement les modalités d’orientation de l’étudiant et lui donner la spécialité qui correspond à ses connaissances», sachant que le coût d’un étudiant est de 120.000 DA/an. Sur le marché de l’emploi, il a reconnu que l’université ne répond pas aux besoins et à la demande du marché, et donc ‘’une commission nationale sera installée ce lundi 9 avril par le ministre pour revoir la carte de l’emploi, et ce problème sera examiné par cette commission», a annoncé M. Ghouali, qui a indiqué que ‘’la révision de la carte de la formation obéit aux objectifs économiques du pays, comme l’industrie, les mines, l’économie digitale, et ces spécialités ont des métiers qui leur sont propres, et donc on doit mettre en œuvre des programmes et les appliquer». Car pour le moment, s’il y a ‘’des villes universitaires, les formations assurées ne correspondent pas aux besoins et aux objectifs du moment, dès lors qu’il y a des spécialités qui ne forment pas selon ces critères, et qui ne répondent pas à la demande du marché de l’emploi. D’où une profonde révision de la situation, conformément à la feuille de route de la nouvelle carte universitaire», souligne le directeur général de l’enseignement supérieur au MESRS. En fait, il préconise ‘’une institutionnalisation de la relation universités-entreprises, car il y a de nouveaux métiers qu’on doit connaître et qu’on doit se rapprocher de tous les secteurs pour connaître leurs besoins, et donc mettre en place une ingénierie pédagogique». Sur le taux d’emploi des universitaires, il a estimé qu’il n’y a pas ‘’pour le moment de données exactes. On sait seulement qu’il y a 17,6% de chômage au sein des universitaires, mais on n’a pas de données précises pour chaque spécialité». Revenant sur les inscriptions universitaires pour l’année prochaine, M. Ghouali a indiqué que lors des ‘’journées portes ouvertes» sur l’Université (11, 12 avril) à travers les différents campus du pays, ‘’il y aura des explications sur toutes les modalités des inscriptions universitaires, et il y a de nouvelles mesures pour les inscriptions, notamment pour les services universitaires, comme la bourse et le transport. On va ainsi diminuer les recours et les difficultés rencontrées par les futurs étudiants». M. Ghouali a rappelé que jusqu’à ces dernières années, il y avait plus de 6.000 types de formations, ‘’et on les a réduits à 800 spécialités, pour une meilleure visibilité de l’enseignement universitaire et les opérateurs économiques». ‘’En clair, l’université algérienne ne forme plus selon les besoins des entreprises, de l’économie nationale», estime-t-il. Selon M. Ghouali, un bilan a été fait sur les réformes de 2004 avec l’introduction du système LMD. ‘’Ce bilan a été fait en janvier 2016 avec la conférence nationale élargie au secteur économique », a-t-il indiqué. ‘’Et on a constaté une pléthore de formations en déphasage avec la réalité et les besoins des secteurs économiques », a souligné M. Ghouali. Dans une précédente intervention à la radio nationale, il avait expliqué que ‘’nous avons constaté qu’il y a eu beaucoup de formations, plus de 7.000 en licences et masters, et il fallait clarifier cette situation, car il n’y avait plus de lisibilité, ni de visibilité ». ‘’Nous avons donc réduit le nombre de licences de 3.000 à 200 et les masters (LMD) de plus de 4.000 à 600 », ajoutant que ‘’ce n’était pas suffisant, car il y a un déphasage énorme entre les besoins et la formation ». Enfin, il a annoncé que les résultats définitifs d’une étude sur les raisons de l’échec des étudiants en 1ère année universitaire seront communiqués en juin prochain.

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Chafia Loudjici expose à ezzou’art galerie : Pureté d’un feuillage immaculé

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 11:55

Intitulée «Émeraude», l’expo qui dure jusqu’au 27 avril 2018 vous interpellera d’emblée par l’atmosphère naturellement épurée et de bien-être qui s’en dégage.

Après son expo photo autour de la Casbah qui s’était tenue il n’y a pas si longtemps à la galerie Sirius en compagnie de Valentina Ghanem, l’artiste photographe Chafia Loudjici récidive cette fois en vous invitant à découvrir sa nouvelle expo en solo dédiée exclusivement à la macrophotographie. Intitulée Émeraude, l’expo se tient à Ezzou’ Art Galerie et durera jusqu’au 27 avril 2018. En primeur ce qui frappe le regard lorsque vous pénétrez la galerie c’est la couleur verte épurée qui se dégage de ces photos. Une forme verdoyante naturelle qui rappelle la nature avec ce qu’elle comporte en elle comme bien-être et état d’esprit zen. Un feuillage non pas luxuriant, mais minimaliste, happe le regard. Il s’agit de feuilles parsemées d’étoiles d’eau, bien rendues sous l’objectif de la photographe. Artiste visuelle, Chafia Loudjici est une photographe autodidacte, vivant et travaillant à Alger. Elle a pour info à son actif de nombreuses expositions, notamment celle du Sofitel «El Jazaïr, Ombres et Lumières», où elle a immortalisé des scènes de vie de la casbah d’Alger. Son travail s’est également illustré par des clichés d’architecture mauresque et néomauresque, lors d’une exposition qui a reçu un bon écho, rappelons-le à la galerie Sirius en début de cette année. En plus de la pratique de la photographie, Chafia Loudjici s’adonne aussi à la peinture depuis son jeune âge, elle baigne dans le surréalisme où elle s’inspire de la nature pour lui apporter des figures imaginatives. Dans la photographie elle touche à toutes les catégories, et s’est également spécialisée dans la macrophotographie naturaliste. Elle confie: «La nature est ma plus grande source d’inspiration, j’ai toujours eu la volonté de la représenter, à travers la peinture et la photographie. Je pense que la photographie a emprunté à la peinture les règles de l’esthétique et l’art de la couleur pour les adapter à son outil, afin de créer des oeuvres instantanées et réalistes, et c’est là que la photo est devenue une expression importante de l’art figuratif. Il s’agit d’un témoignage de la beauté de la nature, c’est une fenêtre donnant sur un monde peu accessible, dans le secret, le magique et le pouvoir de faire découvrir une facette cachée de notre monde. Ce n’est pas juste un clic; la lumière, le cadrage, respecter les règles de l’esthétique, le sens de la couleur, des formes et des rythmes, car ce sont des éléments qui rentrent dans la composition d’une image harmonieuse. Il faut savoir mettre en évidence les détails pour obtenir une composition satisfaisante». Et de renchérir:
«La macrophotographie naturaliste, c’est la technique de photographier des plantes minuscules et des détails importants et intéressants de toutes espèces. Je me rapproche du sujet jusqu’à ne laisser qu’un seul centimètre de distance, et c’est ce qui m’a fait rapprocher encore plus de la nature, et m’a fait entrer dans l’intimité de la flore et de la végétation, je dirai que c’est ma plus grande passion.». A propos de cette expo à Ezzou’ Art Galerie elle indique: «Dans cette série je présente une douzaine de clichés de macrophotographies naturalistes, dans lesquelles j’ai photographié des plantes avec leurs tiges et feuilles, sur lesquelles j’ai figé les feuilles et les gouttes de pluie ainsi que la rosée en forme de perles où l’émeraude a fleuri. Une pierre précieuse qui apporte la paix intérieure et émotionnelle, elle est considérée comme un symbole de force vitale, permet d’exprimer clairement ce que l’on ressent et augmente la sagesse et la patience, elle est aussi apaisante et possède les mêmes vertus que la nature. Cette pierre rappelle les couleurs de la nature, selon ses nuances de vert; clair, intense et profond. Tout a un sens dans la nature, chaque odeur, bruit, chaque forme et couleur. Je fusionne littéralement avec elle et je n’ai absolument aucune crainte quand je suis en pleine nature car je sais que je lui appartiens et qu’elle veille sur moi, mère nature.» De cette expo en effet se dégage une forte émotion de sérénité qui vous fera oublier l’instant d’une flânerie le stress du quotidien. A visiter donc comme l’on visiterait un parc naturel. Avec en sus le regard aiguisé pour débusquer les détails et secrets qui se nichent derrière chaque feuillage de cet aura artistique du photographe.

Par O. HIND

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Babylone en show à Constantine : Le groupe explose la scène

Algérie 360 - Mon, 09/04/2018 - 11:53

Découvert dans une émission radio algérienne, Serial Taggeur, Babylone a fait parler de lui avec son premier single Zina.

Fabuleux tout simplement, le show donné samedi dernier par le groupe Babylone à la grande salle de spectacle de Constantine. Tant attendu par les Constantinois, le groupe invité à se produire par l’Office national de la communication et de l’information (Onci) a été explosif sur scène devant un public venu en force comptant près de 3000 spectateurs. Séduit, charmé par l’excellente interprétation, ce public a dansé au rythme d’une musique variée au timbre purement algérien où les artistes du groupe mêleront du blues, du jazz, de la country et du rock aux belles notes des genres chaoui et gnawa.
Des mélodies paisibles à l’écoute, chantées par Amine qui s’est produit en grande star et saura faire durer le plaisir quand il décide de chanter la chanson la plus populaire du groupe, Zina, qui a fait le buzz et qui a été traduite en sept langues. Une chanson qui a même été reprise par Chimène Badi et fera le tour du monde. Amine qui s’est prononcé au nom du groupe a déclaré à L’Expression en fin de spectacle «Waw! Je suis frappé par ce public merveilleux, c’est le meilleur à mes yeux. Je constate qu’il s’agit d’un public sélectionné, subtil et réceptif, franchement je ne m’attendais pas à ça.» Après Alger et Oran, le groupe découvre la profondeur de l’amour que leur portent les Algériens. Amine ne manquera pas d’ajouter: «J’ai connu les Constantinois à travers un ami au moment où je passais mon Service national, c’était aussi un artiste, un batteur et pas des moindres, je confirme aujourd’hui que je ne me suis pas trompé, ce public est magnifique, pourtant, j’avais fait avec mon groupe un passage à Constantine en 2012 et là je savoure mieux la finesse de nos fans dans cette ville historique.» A la question de savoir pourquoi avoir attendu tant d’années pour revenir, et si les propositions manquaient, Amine nous déclare: «Non, nullement, les propositions ne manquent pas, sauf que la stratégie du groupe a fait qu’on prenne ce retard dû sûrement à notre calendrier et puis on est très exigeant en ce qui concerne l’aspect technique, je veux dire, son, lumière et autres, mais là avec cette salle qui répond aux normes universelles pour se produire dans des conditions sereines, il n’y avait plus de raison et nous sommes heureux et fiers d’être à Constantine.» Le groupe qui s’est produit en Algérie, mais aussi à l’étranger, en France comme au Liban, sera le seul groupe algérien qui se produira à Carthage en 53 ans, sachant que uniquement trois chanteurs algériens ont pu y participer (Khaled, Mami et Kader Japonais). Sur leur futur projet, Amine répond que «le groupe est en train de préparer un nouvel album, ça prendra un ou deux ans, mais cet album sera aussi un véritable succès». Amine s’est également confié à L’Expression pour dire que la musique est un moyen qui nourrit l’âme et l’esprit, c’est une arme qui permet de transmettre des messages et «notre message pour le monde c’est la paix, l’amour et la quiétude», déclare Amine qui venait avec son groupe de réaliser l’un de leurs plus beaux spectacles.
A noter que le groupe s’est formé en 2012. Il est composé de trois amis, à savoir Amine, Mohamed, Djemal le chanteur, auteur et compositeur, ainsi que son copain d’enfance Rahim El Hadi guitariste-compositeur issu d’une famille artistique, originaires tous les deux de Gouraya, et leur ami de faculté Ramzy Ayadi, originaire de Aïn Beida, guitariste-né et également compositeur du groupe Babylone. Sur Wikipédia l’on souligne que le groupe est doté d’un line-up complet et homogène avec les arrivées de Rafik Chami (guitariste), Fouad Tourki (percussionniste) et Redouane Nehar (bassiste de session), Babylone se stabilise et entame l’écriture de son premier album studio. C’est en juin 2013 que sort Brya (La lettre), album composé de 10 chansons, et avec lequel le groupe a gagné le Prix algérien Music Awards 2014, où il a remporté le Prix du meilleur groupe de l’année et celui de la meilleure chanson.
Découvert dans une émission radio algérienne, Serial Taggeur, le groupe fait parler de lui avec son premier single Zina, réalisé par Aswatt Studio. Le tube fait le buzz sur la Toile en l’espace de quelques mois.

Par Ikram GHIOUA

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