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Diplomacy & Defense Think Tank News

Vers la fin de l’opération Barkhane

Institut Montaigne - Tue, 17/11/2020 - 09:13

Lors de son déplacement à Bamako au début du mois de novembre, la Ministre des Armées, Florence Parly, a annoncé la réussite d’une mission de l’opération Barkhane, qui a mis "hors d'état de nuire plus de 50 djihadistes, soit l'équivalent d'une 'katiba'". L’occasion de faire le point sur cette opération, dans laquelle…

La liberalización comercial avanza en Asia-Pacífico

Real Instituto Elcano - Tue, 17/11/2020 - 07:53
Mario Esteban & Federico Steinberg. Comentario Elcano 39/2020 - 18/11/2020

El apetito por la liberalización comercial en Asia sigue siendo intenso más allá de la pandemia del COVID-19 y de las críticas a la globalización.

Biden y América Latina: cambios y continuidades

Real Instituto Elcano - Tue, 17/11/2020 - 07:26
Carlos Malamud y Rogelio Núñez. ARI 130/2020 - 18/11/2020

La victoria de Joe Biden en las elecciones de EEUU no sólo ha definido el rumbo del país en el próximo cuatrienio, sino que la nueva Administración influirá en el fondo y en las formas y el enfoque de la relación con América Latina.

El plebiscito constituyente en Chile

Real Instituto Elcano - Tue, 17/11/2020 - 03:30
Paulina Astroza. ARI 129/2020 - 17/11/2020

El 25 de octubre se vivió un momento histórico en Chile con el plebiscito realizado y el futuro proceso constituyente iniciado tras el triunfo de las opciones de “Apruebo” y “Convención Constitucional”.

Rente mit 67: Nötige Weiterbildung der Beschäftigten ist kein Selbstläufer

Zusammenfassung:

Länger arbeiten, aber wie? Diese Frage treibt viele um, wenn es um eine Erhöhung des Renteneintrittsalters geht. Weiterbildung ist essenziell, um Beschäftigte und Unternehmen gleichermaßen fit zu machen für einen späteren Renteneintritt. Eine aktuelle Analyse zeigt anhand der Abschaffung der sogenannten Rente für Frauen im Jahr 1999, dass das kein Selbstläufer ist. Damals stieg das vorzeitige Renteneintrittsalter für Frauen ab dem Geburtsjahrgang 1952 von 60 auf 63 Jahre. Davon betroffene Frauen haben in der Folge im Durchschnitt mit einer höheren Wahrscheinlichkeit an einer Weiterbildung teilgenommen. Aber: Während Frauen mit tertiärer Bildung stark profitierten, ist für Frauen mit geringerer Bildung fast gar kein Effekt messbar. Die Ergebnisse verdeutlichen, dass der Weiterbildung in höherem Alter mehr Priorität zugemessen werden muss. Andernfalls könnten immer ältere und gleichzeitig nicht mehr ausreichend qualifizierte ArbeitnehmerInnen zum Hemmschuh für die wirtschaftliche Entwicklung werden.


The Difficult Normalisation of Relations between Arab Countries and Bashar al‑Assad

SWP - Tue, 17/11/2020 - 00:00

The Syrian civil war seems to have been decided in favour of the regime of President Bashar al-Assad. Meanwhile, the process and the debate about the normalisation of relations between Arab states and Syria, as well as the country’s possible readmis­sion into the Arab League (AL), have already begun. A return to normality would help strengthen the legitimacy of the Syrian regime. This, however, would run counter to efforts by Germany, the European Union (EU) and the USA, who seek to force the Syrian regime by means of sanctions and isolation to negotiate a political solution to the con­flict. In addition to Syria’s contentious return to the AL, the articles examined here discuss the motives of those Arab countries wishing to normalise relations with Damascus, and the influence that external actors and the Covid pandemic exert on this process.

Avec Trump, la Chine perd un ennemi, mais un ennemi utile

Institut Montaigne - Mon, 16/11/2020 - 11:15

Les Chinois éprouvent une forme de soulagement à voir s'éloigner du pouvoir celui qui fut leur adversaire acharné pendant tout son mandat. Mais Donald Trump était aussi la preuve, pour le régime chinois, que le système occidental démocratique court à sa perte.

"La Chine est soulagée, mais elle demeure inquiète à très court terme et sans illusion à moyen et long terme." En quelques mots, mon interlocuteur chinois…

Les forces libérales devraient s'imposer aux élections parlementaires du 6 décembre prochain en Roumanie

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 16/11/2020 - 01:00
Le 3 septembre dernier, les autorités roumaines annonçaient que les prochaines élections parlementaires seraient organisées le 6 décembre prochain. 18 981 242 personnes sont appelées aux urnes et 39 238 Roumains vivant à l'étranger (le Royaume-Uni est le pays qui compte le plus grand nombre d'inscri...

Qu’est-ce qu’il faut savoir sur la ceinture de grossesse ?

RMES - Sat, 14/11/2020 - 09:35

Les derniers moments d’une grossesse sont souvent assez rudes pour le corps de la femme. Le poids du bébé, de plus en plus lourd à porter, peut rendre pénible les mouvements. Pour aider les futures mamans, certains dispositifs ont été créés notamment la ceinture de grossesse.

La ceinture de grossesse : qu’est-ce que c’est ?

Spécifiquement conçue pour les femmes enceintes, la ceinture de grossesse est comme son nom le laisse entendre une ceinture de maintien. Certains des modèles qu’on peut retrouver sur le marché sont assez rigides ; d’autres le sont beaucoup moins. Les ceintures de grossesse existent sous plusieurs formes. La manière dont doivent être placées ces ceintures est déterminée par leur aspect. Ainsi, les ceintures de grossesse qui ne sont pas très larges peuvent être portées au niveau de votre bassin. Il faudra veiller à ce qu’elles soient placées juste sous votre ventre.

Vous pouvez aussi choisir de porter une ceinture de grossesse dont la bande est très large. Celle-ci couvre en général, tout le ventre. Vous pouvez également vous retrouver devant une ceinture de grossesse qui passe au-dessus et dessous de votre ventre. Certaines ceintures de grossesse ont par ailleurs, la forme d’un large bandeau extensible. Toutefois, ce n’est pas pour autant que vous devez confondre ceinture de grossesse et bandeau de grossesse. Ce dernier a un rôle purement esthétique. Il s’agit juste d’une bande de tissu extensible grâce à laquelle vous pouvez souligner la forme de votre ventre de femme enceinte. Vous voulez en savoir plus ? Alors, jetez un coup d’œil à ce site pour trouver des explications et des critiques approfondies sur les meilleures ceintures de grossesse.

Ceinture de grossesse : pourquoi ?

La principale raison qui pourrait vous pousser à acheter une ceinture de grossesse est que celle-ci va contribuer à corriger le déséquilibre qui peut se créer en fin de grossesse. C’est en soutenant de manière efficace le poids du ventre à l’avant que la ceinture de grossesse joue son rôle. En effet, plus bébé grandit et prend du poids dans le ventre de sa maman, plus le sens de gravité de celle-ci se déplace vers l’avant. C’est ce phénomène qui va créer le déséquilibre qu’on constate souvent. Notons également que ce déséquilibre peut être à la base des douleurs dans le dos que peut ressentir la femme à ce moment-là de sa grossesse. La ceinture de grossesse va donc aussi contribuer à soulager le dos.

Lire aussi : Juicy Bumbles – Un modèle à adopter ?

Une ceinture de grossesse peut également vous être prescrite pour lutter contre les douleurs ligamentaires, les problèmes circulatoires ou encore la sensation de pesanteur. De même, vous pourriez réduire votre envie de vous constamment aux toilettes ainsi que plusieurs autres maux en choisissant d’utiliser une ceinture de grossesse.

Ceinture de grossesse : pour qui ?

Ce n’est pas parce que vous êtes une femme enceinte que vous devriez forcément vous servir d’une ceinture de grossesse. C’est un dispositif qui est surtout conseillé aux femmes qui travaillent de longues heures debout.

Si vous souffriez déjà de maux de dos avant votre grossesse, une ceinture de grossesse pourrait également vous être utile. De même, il pourrait être judicieux de vous en procurer si la grossesse vous a fait prendre beaucoup de poids.

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Quels sont les critères à prendre en compte pour l’acquisition d’une montre ?

RMES - Sat, 14/11/2020 - 09:23

Vous avez envie d’une montre et vous ne savez pas laquelle choisir. Vous avez envie d’une montre de qualité et au meilleur prix. Pour la trouver, vous devez connaître les différents critères à prendre en compte pour faire un choix idéal et trouver la montre qui vous convient. Entre autres critères de choix d’une montre, vous pouvez avoir le mécanisme de la montre, la marque de la montre, ses fonctionnalités, etc.

Le mécanisme

Il est important d’avoir une idée sur les différents mécanismes d’une montre avant d’en choisir une. En effet, il existe des montres de type :

  • Mécanique
  • Numérique
  • Automatique
  • Quarts
  • Analogique…

Pour un usage à la mode, celles numériques, automatiques et analogiques sont préférables à celles mécaniques qui elles, sont d’une époque révolue. Mais les plus pratiques sont les montres quartz. Très pratiques parce que fonctionnant à l’aide d’une pile, elles sont plus accessibles parce que très peu couteux comparativement aux montres mécaniques, analogiques et numériques.

Les fonctionnalités

À l’ère des montres connectées, de nouvelles options rapportées sont proposées chaque jour. Cela vous offre la possibilité de faire un choix bien considéré. Les fonctionnalités les plus prisées aujourd’hui sont principalement :

Le modèle

  • L’écran (tactile, aiguille, Amoled…)
  • La qualité de la navigation
  • Le système GPS
  • L’autonomie de la batterie
  • La qualité des capteurs
  • L’accéléromètre
  • Le manomètre

Que ce soit l’autonomie de la batterie, de nouveaux capteurs ; des accéléromètres, un manomètre, un GPS ou le design, autant d’options qui pourraient vous aider à faire un choix esthétique répondant à vos envies.

Lire aussi : Quels sont les critères à prendre en compte pour choisir une palme ?

L’étanchéité

Gadget très fragile, une montre doit être choisie en tenant compte de sa perméabilité à l’eau. Peut-être bien que vous ne nagez pas très profondément, mais l’idéale est une montre qui résiste à l’eau quand vous transpirez, prenez une douche ou faites un moment de détente à la piscine. Vérifiez donc (pour la plupart sur le boitier), les inscriptions sur la qualité de l’étanchéité de votre montre. Par exemple pour une inscription « étanche 40 mettre », votre montre est capable d’offrir une résistance sur une profondeur de 40 mettre sous liquide. Généralement, ces types de montres disposent d’un boitier en acier oxydable auquel est fixé un verre épais.

Une montre neuve ou d’occasion ?

Quel type de montre voulez-vous ? En effet, les montres d’occasion vous offrent la possibilité d’acquérir des produits de qualité à un prix abordable. Vous avez ainsi, en achetant une montre d’occasion, la capacité d’avoir des produits de qualité à des prix très accessibles. Cependant, il est primordial de vérifier l’état du garde-temps, s’il y a des travaux éventuels de réparation à faire et enfin, il est surtout conseillé de l’acheter à un professionnel, car cela présente plus de garanties. Mais si vous désirez acheter une montre neuve, vous devrez accorder votre budget avec la marque choisie. Ainsi, pour un budget compris entre 50 et 600 euros, vous ne pourrez surement vous offrir que des montres quartz.

Le bracelet

Le bracelet permet de tenir à votre poignet. Il détermine également le look et l’apparence que vous voulez vous donner. Par exemple, si vous optez pour un look chic, un bracelet en métal ou en cuir est tout indiqué alors que ceux en caoutchouc sont beaucoup plus adaptés pour un usage sportif. Mais rassurez-vous ! Qu’il soit en métal, en caoutchouc ou en cuir, aujourd’hui il est très simple d’en changer si celui de votre montre ne répond plus à vos envies. Vous voulez en savoir plus ? Sur ce blog, vous trouverez un aritcol plus approfondi à propos de ce sujet !

À voir …

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L’intelligence artificielle contre le Covid-19 : améliorer la recherche et accélérer le diagnostic

Institut Montaigne - Fri, 13/11/2020 - 16:16

L'Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) prévoit d'utiliser l'intelligence artificielle pour passer au crible les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 dans les mois à venir, puisque le pays se prépare, comme la France, à un programme d'inoculation d'une ampleur sans précédent. Un contrat gouvernemental montre que l'…

Frapper fort, frapper vite : les leçons de la gestion néo-zélandaise du Covid-19

Institut Montaigne - Fri, 13/11/2020 - 12:16

La Nouvelle-Zélande, qui a enregistré seulement 1709 cas et 25 morts du Covid-19 (sans compter les cas détectés à la frontière dans les zones de quarantaine gérées par l’État [Managed Quarantine Facilities]), fait pour l’instant figure d’exemple dans sa gestion du Covid-19.

En effet, la Nouvelle-Zélande a pu profiter de son statut de pays insulaire et isolé pour observer les débuts de la pandémie à l’étranger ; ainsi,…

Quand la démocratie rencontre l'efficacité : communiquer pour mettre fin à la pandémie

Institut Montaigne - Fri, 13/11/2020 - 12:04

Parmi les retours d’expérience à mener pour réussir la sortie de ce deuxième confinement, la question de la communication de crise apparaît centrale, puisqu’elle est le socle de l’action collective face au virus. Trois chercheurs de l’University of British Columbia au Canada ont récemment publié une très riche étude comparative sur les stratégies de communication de crise dans neuf pays…

Russia’s Stake in the Nagorno-Karabakh War: Accident or Design?

SWP - Thu, 12/11/2020 - 18:00

As the world discusses the sudden cessation of fighting in Nagorno-Karabakh and the deployment of Russian “peacekeepers”, one critically important question is overlooked. Why did Russia not discourage Azerbaijan’s military offensive? A powerful security rationale implies a strong Russian interest in deterring a war that might change the regional status quo. Preserving a favorable status quo – by strategic logic – is the central security interest of a regional hegemon like Russia. The war has instead weakened Armenian control over Nagorno-Karabakh, which had endured for over two decades only because it served Russia’s interests. The risk of spill-over across the volatile Caucasus presents another security threat to Russia. The war has altered the balance of interests in the region – unfavorably to Russia – creating openings for regional interventions by Turkey, the United States, and others. So what objectives are worth the Kremlin taking such risks?

Indirect pressure and controlled chaos

Russia’s ultimate goal in the post-Soviet space is to politically reintegrate its former satellites into an interstate union. Yet its attempts to achieve this over the past three decades have produced only failures. The most recent experience with Belarus suggests it might be possible where an authoritarian leadership feels extremely threatened. Heightening insecurity in the population has historically been another favorable condition for political integration. Moscow’s ability to put pressure on Armenia’s prime minister Nikol Pashinyan has been limited. A recent report reveals that the Kremlin views Pashinyan as a “Soros appointee” and accuses him of “promoting pro-American politicians”. The Kremlin’s Armenia desk apparently receives its information from agents representing actors Pashinyan excluded from power. They discreetly sold Kremlin the idea that Pashinyan needs to be replaced by a more loyal politician.

The war and the Azeri territorial gains in and around Nagorno-Karabakh create a context favorable to Russia. First, it allows blame for defeats to be projecting onto Armenia’s present prime minister. Russian media have broadcast statements from Russian political and security experts asserting that Pashinyan is responsible for the war losses and the restrained Russian reaction on account of his unfriendly attitude towards Russia and his favoritism towards the West. They also promoted claims concerning mounting domestic opposition. These signals suggest that Russia’s first goal is to bring to power a more loyal Armenian prime minister. A second goal is to create insecurity among the population, propagating the idea that Armenia cannot survive as a state without Russia. To produce the necessary feeling of threat, Russia allowed Azerbaijan to recover all its territories around Nagorno-Karabakh, making the enclave’s future defense extremely difficult. The defeat by Azerbaijan also underlines the military vulnerability of Armenia itself. Russia will exploit this sense of vulnerability to persuade Armenia’s population and leadership to agree to closer integration with Russia, likely similar to the Union State of Russia and Belarus.

On the other hand, Russia did immense favors to Azerbaijan’s President Ilham Aliyev in choosing not to employ its electronic warfare capabilities against Azeri drones. This was key to Baku’s military success and clearly communicates to the Azeri audience that preserving their war gains is conditional on good relations with Moscow. This will not create the level of vulnerability found in Armenia, but it will start building a dependency.

Ankara’s open involvement in the war offers Russia opportunities to curtail Turkey’s growing regional ambitions or raise their costs. Armenia and the West view Turkey as a party to the conflict and will resist Turkish participation in internationally accepted peace negotiations and peacekeeping mechanisms. This could create an opportunity for Russia to later push for a UN Security Council authorization for its CSTO “peacekeeping forces”. That would be a historic first for Russia and another strategic gain.

Not an accidental escalation

It is legitimate to ask whether Russia acted opportunistically in response to war, or actively contributed to the emergence of the conflict. It is highly unlikely that Russia was unaware of Azerbaijan’s intentions. Russia has extensive intelligence-gathering capacities in the South Caucasus. Its ability to monitor military and civilian communications, movements of troops and materiel, and preparations for offensive operations in the region is pretty much unquestioned. Moreover, the Azeri offensive started on 27 September, one day after Russia’s Kavkaz-2020 strategic exercise ended. The Armenian military participated in various phases of the exercise both in Russia and in Armenia. This suggests great confidence on the Azeri side, in starting the offensive when considerable Russian forces were still deployed in the region. It is highly unlikely that Baku failed to consult Moscow beforehand, given the scale, intensity and far-reaching objectives of its military operation.

Any attempt to change the status quo in the post-Soviet space undermines Russia’s credibility and reputation. Russia has been quick to punish threats to the status quo, witness Georgia in 2008 and Ukraine in 2014. It also threatened Moldova after 2014 by increasing its military exercises in Transnistria from a few dozen to a few hundred per year. Russia reacted unexpectedly calmly to Baku’s invasion. Most surprisingly, it repeatedly rejected Yerevan’s request for military assistance on procedural grounds. Moscow’s ability to stop the Azeri offensive immediately after the fall of Shushi revealed its control. Russia would only have allowed the change of status quo if its expected gains exceeded the related risks and costs. This occurred, while the Kremlin used Baku to pull its chestnuts out of the fire.

Le populisme : une tentation française

Fondapol / Général - Thu, 12/11/2020 - 15:18

Idée. Foin de tergiversations érudites sur la nature et le contenu du populisme, un travail de la Fondapol s’attache aux perspectives possibles d’une victoire populiste en 2022. Alors qu’il a longtemps été psalmodié « la jeunesse emm… le Front national », aujourd’hui un quart des 18-24 ans se disent déjà certains ou presque de voter pour […]

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La revanche des invisibles

Fondapol / Général - Thu, 12/11/2020 - 12:31

Aux États-Unis, les sondages ses ont donc trompés deux fois : il y a quatre ans, en prévoyant l’élection de Hillary Clinton, et, cette année, en laissant présager une large victoire (entre 7 et 10 points d’avance!) de Joe Biden contre le président sortant. On en est loin ! Ces instituts, instruits par l’expérience, disaient […]

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Haut-Karabakh – premières leçons d’une paix russo-turque

Institut Montaigne - Thu, 12/11/2020 - 11:31

Lorsque fin septembre les forces azerbaïdjanaises ont lancé leur offensive sur le Haut-Karabakh, Bakou disposait d’un soutien puissant de la Turquie et d’un assentiment au moins implicite du Kremlin.

Il est facile de dire rétrospectivement qu’une reprise du conflit était inévitable. Mais il est vrai que le rapport des forces avait évolué depuis plusieurs années en faveur des Azerbaïdjanais, aux coffres remplis grâce aux…

Vaccination contre le Covid-19 : quelle stratégie pour la France ?

Institut Montaigne - Thu, 12/11/2020 - 10:21

L’immunisation progressive de la population face au Covid-19 ne pourra être véritablement effective qu’avec un vaccin sûr et efficace. Cependant, lors du lancement des programmes de vaccination contre le Covid-19, l'approvisionnement en vaccins sera limité et les efforts devront se concentrer sur certaines populations prioritaires. Le Center for Disease Control américain a publié fin octobre son "

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