If asked in which international arena the great power conflict over global order has become most salient in recent years, most would probably point to the United Nations Human Rights Council or the Security Council. In contrast, the U.N.’s development cooperation has so far been spared diplomatic conflicts of similar intensity. But as China has become more articulate about “building international relations of a new type” which will be less dominated by Western powers and norms and give greater voice to developing states, tensions are rising in this field too. It was a major success for China when in 2019 a Chinese candidate, Qu Dongyu, was elected director-general of the Food and Agriculture Organization (FAO). Three years into Qu’s tenure, a worrisome, multi-pronged diplomatic brawl has erupted between FAO leadership and Western members, highlighting the challenging path for China toward a new type of international relations.
If asked in which international arena the great power conflict over global order has become most salient in recent years, most would probably point to the United Nations Human Rights Council or the Security Council. In contrast, the U.N.’s development cooperation has so far been spared diplomatic conflicts of similar intensity. But as China has become more articulate about “building international relations of a new type” which will be less dominated by Western powers and norms and give greater voice to developing states, tensions are rising in this field too. It was a major success for China when in 2019 a Chinese candidate, Qu Dongyu, was elected director-general of the Food and Agriculture Organization (FAO). Three years into Qu’s tenure, a worrisome, multi-pronged diplomatic brawl has erupted between FAO leadership and Western members, highlighting the challenging path for China toward a new type of international relations.
Das Team Informationstechnik der Abteilung Forschungsinfrastruktur gibt den Mitarbeitenden des DIW Berlin einen sicheren und stabilen Zugang zu modernen Informations- und Kommunikationstechnologien. Außerdem berät und unterstützt es die wissenschaftlichen Abteilungen bei der Auswahl und Einrichtung individueller Computer- und Softwarelösungen für Forschungsprojekte.
Gesucht wird zum nächstmöglichen Zeitpunkt ein/e SystemadministratorIn (w/m/div) (39 Wochenstunden), Teilzeit möglich.
Die Abteilung Energie, Verkehr, Umwelt sucht im Forschungsbereich „Transformation der Energiewirtschaft“ zur Mitarbeit in verschiedenen Forschungsprojekten ab dem 1. Oktober 2022 studentische Hilfskräfte (w/m/div) für 10 Wochenstunden.
A succession of disruptions to world trade have put the reorganisation of international supply chains high on the political agenda. The difficulties began with the trade war between the United States and China, deepened with the Covid-19 pandemic and culminated in the sanctions and export controls imposed by Western countries after Russia’s invasion of Ukraine. The increased risk of interruption of supplies forces businesses today to price in political factors and respond to political demands. However, realistic timeframes for reconfiguring supply chains are largely incompatible with the rapid responses expected by political decision-makers, especially where chains are long and complex. A process needs to be developed for dealing more effectively with political supply chains risks. It should be transparent for all involved.
Dans le cadre de la tournée africaine du président français Emmanuel Macron – au Cameroun, au Bénin et en Guinée-Bissau – Caroline Roussy, directrice de recherche à l’IRIS, responsable du programme Afrique/s, interroge Dr Christian Pout, Ministre Plénipotentiaire, président du Think Tank camerounais CEIDES.
Dans la séquence de décryptage de l’organisation de la tournée d’Emmanuel Macron en Afrique, on a pu lire, par exemple, que le président français souhaitait bloquer l’influence de la Russie en Afrique ou qu’il sacrifiait la démocratie. Comment depuis Yaoundé lisez-vous ces analyses ?
Les moments de mésententes et d’incompréhensions du contexte camerounais qui ont marqué les relations franco-camerounaises ces dernières années ont largement influencé les lectures de quelques analystes, notamment, sur les réseaux socio-numériques, au point de réduire leurs capacités à rendre compte convenablement des réalités. Au regard de l’importance que peut représenter la visite officielle d’un Chef d’État qui préside aux destinées d’une grande puissance occidentale dans un pays africain, il est tout à fait compréhensible que des rapprochements se fassent avec le contexte international. Le Cameroun entretient des relations multidimensionnelles, anciennes, privilégiées et conviviales avec la Russie, qui ont d’ailleurs connu une consolidation avec le renouvellement de l’Accord de défense liant les deux pays en avril 2022, et la volonté manifestée par la Russie d’accompagner le Cameroun dans la réhabilitation de la Société nationale de raffinage (SONARA), victime d’un incendie le 31 mai 2019. Malgré les impacts de la crise russo-ukrainienne sur le Cameroun, les relations bilatérales entre la Russie et le Cameroun n’ont pas connu de perturbations notables. En rapprochant la constance de ces rapports avec la percée de la Russie, ou plutôt son repositionnement dans les États africains, en particulier dans des pays considérés par le passé comme « le précarré français », à l’exemple de la République centrafricaine, on parvient à déceler l’origine des réserves émises sur la visite du Président Macron. En ce qui me concerne, ces réserves ne font pas honneur à la profondeur des relations franco-camerounaises, et surtout, à l’intensité des échanges économiques, culturels, sociaux, intellectuels, voire même politiques, en termes de coopération décentralisée. C’est à vrai dire ces derniers aspects qui sont au cœur de la visite du Président Macron au Cameroun.
Vu du Cameroun quels sont les enjeux ? Qu’est-ce qui resurgit dans la presse ? Est-ce qu’il y a des attentes précises ?
Le Cameroun est engagé dans l’implémentation de son ambitieux programme de développement, tel qu’énoncé dans sa Stratégie nationale de développement 2020-2030 (SND 30). En évaluant ses capacités et ses besoins, il a depuis longtemps fait le choix d’accorder une place de choix à tout partenaire disposé à l’accompagner de bonne foi et dans le strict respect de sa souveraineté, dans la réalisation de ses objectifs stratégiques en matière de développement. Les répercussions de la pandémie de Covid-19, la morosité économique, les secousses provoquées par la crise russo-ukrainienne et d’autres difficultés conjoncturelles internes confortent la pertinence de cette ouverture aux partenariats extérieurs. Il m’apparaît donc que les enjeux de la visite du Président Macron sont multiples et tout au moins justifiés. Ceux-ci concernent bien sûr la redynamisation des rapports entre la France et le Cameroun, après quelques sons de cloches discordants. Mais aussi, plus traditionnellement, la revue des actions de la France au Cameroun, de l’assistance technique, des relations économiques et commerciales. Sur ce dernier point, il est important de noter que la chaine de centres commerciaux Casino a inauguré il y’a quelques jours au Cameroun l’une des plus grandes surfaces commerciales d’Afrique centrale. C’est donc dire l’intérêt pour la France d’aborder les sujets économiques avec les plus hautes autorités camerounaises. La présence d’hommes d’affaires français dans la délégation officielle témoigne aussi de l’importance de ces enjeux. Concernant les volets politiques et stratégiques, j’aimerais rappeler qu’au cours des dernières décennies, les contacts entre la France et le Cameroun ont particulièrement porté sur les questions de sécurité et de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent. Le Cameroun s’efforce en effet de juguler sur son territoire la violence meurtrière orchestrée par des groupes irrédentistes dans les régions anglophones et par la secte Boko Haram dans l’Extrême-Nord. A cet effet, l’appui d’un pays ami comme la France continue d’être apprécié, d’autant plus qu’il est aujourd’hui prouvé que certains financiers de ces groupes opèrent depuis l’étranger.
C’est aussi, entre autres, l’une des interpellations qui revient au sein de l’opinion publique camerounaise, à savoir que les puissances qui disent compatir aux pertes en vie humaine et aux dégâts matériels générés par ces groupes armés consentent à extrader, à défaut de poursuivre sur leur sol, les citoyens d’origine camerounaise qui financent lesdits groupes pour la logistique, l’achat des armes et autres matériels militaires.
Il est évident que le peuple camerounais a souvent été heurté par les propos désobligeants tenus en France, sur incitation d’activistes, contre le Chef de l’État, Paul Biya. En Afrique, le respect dû aux hauts responsables et aux personnes qui ont atteint un âge respectable est de rigueur. Les attentes populaires concerneront donc aussi le changement de ce qui s’apparente à une tolérance excessive et soupçonnée complice du Cameroun bashing.
Sous d’autres aspects, les retours qui nous reviennent des attentes de la jeunesse touchent à la saisine des meilleures opportunités d’insertion, de financement de projets et de formation au sein d’institutions de référence française disposant d’une expertise qui n’est pas encore pour l’instant totalement acquise au Cameroun. Cette jeunesse est aussi très impatiente de profiter des possibilités offertes par la décentralisation et espère tirer profit de l’expérience française pour mieux s’impliquer dans la gestion des affaires publiques.
En tant que président du CEIDES, quels sont les enjeux pour les trois pays hôtes (Cameroun, Bénin, Guinée-Bissau) ? Pour l’Afrique ?
La tournée subsaharienne du Président Macron suscite davantage d’intérêt dans la mesure où elle se positionne comme une manifestation profonde des réajustements opérés dans la politique extérieure africaine de la France. Le deuxième mandat récemment entamé par Emmanuel Macron semble vouloir surpasser le précédent en accordant aux partenaires africains, notamment aux pays-pivot des espaces régionaux comme le Cameroun, une place plus respectueuse de leur importance réelle. Les trois pays que vous évoquez ont en commun leur ferme détermination à capitaliser leurs atouts, à l’exemples de leurs richesses naturelles et humaines, pour atteindre les objectifs de développement qu’ils se sont fixés, et ainsi, améliorer le bien-être de leur population. Les enjeux prennent donc une forte coloration économique, sociale et beaucoup moins politiques, puisqu’il s’agit de pays globalement stables, bien que les préoccupations sécuritaires restent au centre des débats avec ces pays. Pour le Cameroun et le Bénin en particulier, les enjeux sont aussi ceux de trouver des solutions consensuelles pour rapidement restituer à ces pays leurs biens culturels, un engagement pris par le Président Macron et qui avait été unanimement salué.
Je conclurais en disant que les autres États africains observent attentivement le déploiement des actions stratégiques retenues par la France dans l’entretien des rapports dont elle a appelé à renouveler les bases. La manière avec laquelle les autorités françaises aborderont le nouveau partenariat avec l’Afrique influencera assurément dans un sens positif ou négatif – on le souhaite moins – la montée de plus en plus visible d’un sentiment anti-français. Cela est d’autant plus crucial que la crise qui oppose la Russie et l’Ukraine tend à s’enliser, et à pousser les États africains à redéfinir leurs positions, de même qu’à revoir leurs relations avec certains partenaires.
Der Nato-Gipfel von Madrid im Juni 2022 hat eine umfassende Neuausrichtung der Allianz auf den Weg gebracht. Das zeigen drei zentrale Beschlüsse: die Verabschiedung des neuen Strategischen Konzepts, die angekündigte Aufnahme Finnlands und Schwedens sowie die militärische Neuaufstellung. Der russische Angriffskrieg gegen die Ukraine wirkte dabei teils als Auslöser (Norderweiterung), teils als Katalysator, der Entwicklungen beschleunigt, die sich bereits seit langem abzeichnen (militärische Neuaufstellung). Ausgangspunkt für diese Beschlüsse ist die Feststellung, dass Russland derzeit die größte Bedrohung darstellt. Folglich priorisiert die Nato jetzt klar kollektive Verteidigung im euroatlantischen Raum, während das zuvor dominierende internationale Krisenmanagement (etwa in Afghanistan) an Bedeutung verliert. Dieser Fokus wird das kommende Jahrzehnt prägen. Deutschland hat dafür einen Führungsanspruch formuliert. Um ihn umzusetzen, muss sich die Bundeswehr mit Blick auf Ausstattung, Einsatzbereitschaft und Finanzierung besser aufstellen.
En réponse à la publication de ma vidéo, jeudi dernier, sur les sanctions décrétées par les Occidentaux à l’encontre de la Russie, certaines personnes m’ont accusé à tort d’être un porte-parole de la propagande prorusse. Je le répète encore une fois, les sanctions, surtout si elles sont purement occidentales, ne sont pas suffisantes pour modifier le cours d’une politique. C’est un constat et cela ne pardonne en rien l’action militaire russe en Ukraine. Cette guerre est illégale et immorale et ces accusations ne correspondent en rien à ce que j’ai pu déclarer ou écrire. Cela montre bien qu’il faut continuer à réfléchir dans la complexité et non dans la complaisance, l’émotion ne doit pas nous faire perdre la raison…Réflexions et Analyse.
Even during his 2018 election campaign, Jair Bolsonaro promised a fundamental shift in Brazilian foreign policy. Since taking office as Brazil’s president on 1 January 2019, foreign policy change has been ever present in Bolsonaro’s discourse and, in some cases, is evident in policy decisions. Foreign policy change is not just about modified rhetoric, but rather about a targeted policy with ideational foundations and supporting actors. The change is being driven by members of the government’s so‑called ideological wing. Some of the shifts that have already taken place during this political change should be seen less as a break with the policies of the previous government than as an intensification of developments that had already been underway for several years. Some foreign policy goals of the ideological wing fail because of the interests and interventions of the other two government wings, the technocratic and the military wing. Several contextual factors, such as China’s growing economic importance, also delimit the sought after foreign policy change.
Als die BRICS-Staaten – Brasilien, Russland, Indien, China und Südafrika – zu ihrem diesjährigen Gipfel zusammenkamen, bekräftigte Chinas Staatschef Xi Jinping den Wunsch, das Forum um weitere Länder zu erweitern. Unterstützung bekam der Gastgeber dabei von Russland, während die anderen Mitgliedstaaten das so nicht mittragen wollen. Denn eine Erweiterung würde die Gewichte im Innern verschieben und nach Außen eine geopolitische Wendung bedeuten. Brasilien, Indien und Südafrika sind jedoch aufgrund innenpolitischer Schwäche gegenwärtig nicht in der Lage, weltweite Gestaltungsrollen wahrzunehmen, auch wenn sie weiterhin bereit wären, sich von den G7 bei der Neuordnung der Weltpolitik abzusetzen.
Traditionell bemühen sich die BRICS-Staaten im Rahmen ihrer jährlich rotierenden Präsidentschaften darum, durch Einladung von Nachbarländern ihre regionale Reichweite auszudehnen, um dem Eindruck eines geschlossenen Clubs entgegenzuwirken. Die Verteilung der BRICS-Kerngruppe über vier Kontinente ist hier ein geopolitischer Vorteil. Institutionelle Verschränkungen im Bereich der Entwicklungszusammenarbeit wurden über die BRICS-Development-Bank gestärkt und gleichzeitig auch der Anspruch als Forum des Süd-Süd-Dialoges hochgehalten.
Das Interesse an einer BRICS-ErweiterungMit Chinas BRICS-Präsidentschaft hat sich nun die zweite Komponente des Outreach-Prozesses verstärkt, die unter dem Namen BRICS+ bekannt ist. Schon zum Außenministertreffen im Mai waren bereits Nicht-Mitgliedstaaten eingeladen worden – und die Liste war lang: sie reichte von Ägypten, Argentinien und Indonesien über Kasachstan, Nigeria und Senegal bis hin zu Saudi-Arabien, Thailand und den Vereinigten Arabischen Emiraten. Auf dem Treffen der Präsidenten im Juni wurde dann beschlossen, gemeinsame Kriterien und Verfahren festzulegen, um die Zusammenarbeit mit diesen nahestehenden Staaten zu verstärken.
Zentral ist dafür ein Konsens innerhalb der Kerngruppe zur Frage, ob eine Erweiterung möglich ist und wie sie aussehen könnte. So haben Argentinien und Iran bereits einen Antrag auf Mitgliedschaft in der BRICS-Gruppe gestellt. Argentinien will sich neben Brasilien und Indien als maßgeblicher Exporteur von Nahrungsmitteln positionieren, die eine ähnlich bedeutsame Rolle bei Soja beziehungsweise Reis einnehmen. Damit könnte dem Land mit Russland als großem Weizen- und Düngemittelexporteur sowie China als größtem Nachfragemarkt eine zentrale Koordinationsrolle bei der Gestaltung der Nahrungsmittelmärkte zukommen. Mit Blick auf die Politik der Notreserven für Ernährungskrisen könnte es eine regulierende Rolle übernehmen. Ähnliches ließe sich hinsichtlich der Energiezusammenarbeit unter Beteiligung des Iran darstellen, womit die BRICS-Staaten zu einem zentralen Akteur in einem weiteren globalen Risikofeld heranwüchsen. Attraktiv erscheint auch ein gemeinsames Forschungs- und Entwicklungszentrum für Impfstoffe, das sich insbesondere um die Frage der Patente und des Technologietransfers zwischen den fünf BRICS-Staaten kümmern soll. Solche Perspektiven würden auch den Beitrittswunsch anderer Staaten mit globalen Aspirationen wie Ägypten, Indonesien, Saudi-Arabien und der Türkei befördern.
Doch während sich mögliche Kandidaten warm laufen, ist ein Konsens zwischen den BRICS-Mitgliedstaaten in puncto Erweiterung bislang nicht in Sicht: Während China und Russland hier schnell vorankommen wollen, fürchten Brasilien, Indien und Südafrika einen relativen Bedeutungsverlust und spielen auf Zeit. Dafür ausschlaggebend sind auch traditionelle Konkurrenzverhältnisse zwischen China und Indien sowie Brasilien und einem möglichen Neumitglied Argentinien. Zudem möchten diese Staaten auch nicht in die wachsende Konfrontation zwischen den USA und China beziehungsweise Russland hineingezogen werden, weder im indopazifischen Raum noch in Afrika.
BRICS+ als Gegenmodell zu den G7Neben der Erweiterungsdebatte standen beim virtuellen Gipfel auch der Krieg Russlands gegen die Ukraine und seine Folgen auf der Tagesordnung: So sollen Intra-BRICS-Lieferketten auf den Weg gebracht werden, zum Beispiel für Düngemittel. Zudem soll der Zahlungsverkehr untereinander vom US-Dollar unabhängig und eine Alternative zum SWIFT-System für Finanztransaktionen aufgesetzt werden.
Die Abkehr vom Westen führt hier zu einem neuen Rollenverständnis: Stark angelehnt an den chinesischen Diskurs sollen die BRICS zur zentralen Plattform des Süd-Süd-Dialogs werden. Dabei nimmt Chinas Staatspräsident Xi die Mitgliedstaaten der G20 aus dem Globalen Süden und vor allem Afrika in den Blick, nicht zuletzt mit Perspektive auf den im September geplanten China-Afrika-Gipfel. Viele Staaten des Globalen Südens befürchten, dass sie die Kosten des Ukraine-Krieges durch steigende Zinsen, Erhöhung von Nahrungsmittelpreisen und Verwerfungen an den internationalen Rohstoffmärkten zu tragen haben. Sie wollen Protektionismus und die Sanktionspolitik des Westens vermeiden. Im BRICS-Verbund erwarten sie eine bessere Absicherung.
Wie schon auf dem G7-Gipfel in Elmau zeigte sich, dass viele Länder des Globalen Südens der internationalen Isolierung Russlands nicht zustimmen – und auch nicht bereit sind, dem vom Westen vorgetragenen Lagerdenken zu folgen. Damit ist noch nicht der Weg der BRICS oder BRICS+ als strategische Alternative zu den G7 beschritten, aber ein klarer Schritt von einer Gruppe aufsteigender Wirtschaftsmächte zu einem sich geopolitisch artikulierenden Akteur getan. Der Westen sollte nicht den Fehler machen, diese neue Befindlichkeit im Feld der BRICS und BRICS+ zu übergehen.
Die Abteilung Forschungsinfrastruktur sucht zum nächstmöglichen Zeitpunkt eine studentische Hilfskraft (w/m/div) für 10 Wochenstunden.
Die Einstellung soll im Rahmen des durch die NFDI geförderten Projektvorhabens KonsortSWD_QualidataNet erfolgen.
Russlands Krieg gegen die Ukraine hat bewirkt, dass Kiew von den 27 Staaten der EU rasch und, wie Kritiker meinen, übereilt der Kandidatenstatus zugesprochen wurde. Einstweilen können Beitrittsverhandlungen nur auf einer Nebenbühne vorbereitet werden. Im Zentrum steht das Kriegsgeschehen, dessen Ausgang ungewiss ist. Für die EU heißt das, die Ukraine militärisch wie finanziell zu unterstützen und die internationale Hilfe für den Wiederaufbau mit zu organisieren. Vor diesem Hintergrund ist zu erwarten, dass die EU ihre Beziehungen zur Ukraine nicht allein nach bekanntem Erweiterungsdrehbuch gestalten wird. Sie sollte vielmehr drei Handlungsrahmen aufeinander abstimmen: die künftigen Beitrittsverhandlungen, den laufenden Assoziierungsprozess und mögliche neue Formate wie eine Europäische Politische Gemeinschaft oder einen Europäischen Politik- und Wirtschaftsraum.
Urbanisation offers great potential for Africa’s economic and social development: citizens earn twice as much in large cities compared to rural areas, and young urbanites receive on average between 2.5 and 4 years more education than their rural counterparts. At the same time, the rapid rise of the urban population is putting a strain on Africa’s cities. While on average, city dwellers have better access to services than their rural counterparts, more than half of all citizens in sub-Saharan African metropolises live in informal settlements without adequate access to basic infrastructure. Citizens have long demanded participation in urban governance that goes beyond elections in order to voice their concerns. Although participatory processes have become increasingly evident in many African countries in some cities and neighbourhoods, they are still far from being institutionalised at scale. This policy brief asks why participatory approaches have not been successful thus far and analyses the challenges regarding a political mobilisation of civil society organisations (CSOs), which often face weak and fragmented state institutions. It argues that participatory processes need to be thoroughly embedded in politics in order to move beyond particularistic gains towards a structural improvement of relations between citizens, CSOs, and local governments.