Emmanuel Macron va répondre aux questions de France TV et Radio France mardi soir, juste avant le début des Jeux olympiques. L'occasion pour le président français de s'exprimer sur le résultat des législatives anticipées et d'en dire plus sur son idée de "trêve politique" pendant la compétition.
Une proposition de loi va être déposée pour abroger la réforme des retraites, a annoncé mardi la présidente du groupe La France insoumise (LFI) à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, alors même que les négociations au sein du Nouveau Front populaire restent dans l'impasse sur la désignation d'un candidat pour le poste de Premier ministre. Le texte sera voté par le RN, a fait savoir Laurent Jacobelli, cadre et député du parti de Marine Le Pen.
Les chefs de file de la droite parlementaire disent toutefois vouloir rester «indépendants», hors de toute coalition gouvernementale.
Le maire de Saint-Denis a annoncé que le rappeur américain Snoop Dogg figurera parmi les porteurs de la flamme olympique vendredi pour l'ultime journée de relais en Seine-Saint-Denis, avant de regagner Paris. L'actrice Laetitia Casta et le rappeur Mc Solaar officieront également comme porteurs.
Stéphane Séjourné, ministre français des Affaires étrangères, a déclaré lundi que la délégation israélienne était la bienvenue aux Jeux olympiques de Paris, répondant aux propos tenus par un député La France insoumise jugeant sa participation problématique en pleine guerre à Gaza. Environ 90 sportifs israéliens doivent prendre part à une quinzaine de disciplines. Le Comité olympique palestinien a annoncé lundi avoir formellement demandé au CIO "l'exclusion immédiate" d'Israël.
RÉCIT - Alors que les discussions patinent à gauche depuis deux semaines, les socialistes poussent pour un consensus autour d’une personnalité issue de la société civile.
RÉCIT - Les députés du Rassemblement national n’ont obtenu aucun poste-clé au Palais Bourbon. Il s’agit pourtant du parti politique le plus représenté dans l’hémicycle. Un «déni de démocratie», fustigent de nombreux sympathisants du parti à la flamme.
RÉCIT - Après une semaine de tensions et de tractations, les députés se sont réparti les postes clés de l’institution. Et se donnent rendez-vous en septembre, sans grandes perspectives législatives.
RÉCIT - Elle convoitait la présidence de l’Assemblée mais n’a pas pu s’opposer à la victoire de Yaël Braun-Pivet.
La cour d'assises spéciale de Paris a confirmé jeudi la peine de 18 ans de réclusion criminelle prononcée en première instance contre Mohamed Ghraieb et Chokri Chafroud. Les deux hommes avaient apporté un "soutien logistique et idéologique" à Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, auteur de l'attentat au camion-bélier sur la promenade des Anglais, à Nice, le 14 juillet 2016.
Pour 145 euros, il est désormais possible d'admirer les berges de la Seine, du Louvre à la tour Eiffel, à bord d'un bateau-taxi. Lancée en vue des Jeux olympiques, l'expérimentation du "Taxi Seine Paris" sera ensuite pérennisée.
Nous revenons sur les dernières heures rocambolesques chez Les Républicains (LR), dans la perspectives des élections législatives en France. Exclu de son propre parti pour avoir pactisé avec l’extrême droite, Eric Ciotti, le patron de LR, assume et refuse de quitter ses fonctions. À gauche, on tente de gommer les divisions affichées lors des européennes. L'alliance baptisée le Front populaire prend forme, mais sur quel programme et avec quelle incarnation ?... On en parlons avec l’historien Jean Guarrigues et le journaliste Lucas Jakubowicz.
Alors que le feuilleton de l'éviction ou non d'Éric Ciotti de la présidence du parti Les Républicains dure depuis deux jours, la justice est désormais saisie et un nouveau bureau politique se réunit. Et au milieu de ce marasme, François-Xavier Bellamy a jugé opportun d'affirmer qu'il voterait "bien sûr" pour le Rassemblement national en cas de duel face au nouveau Front populaire de la gauche.
Fatigué mais souriant, le Français Louis Arnaud, ex-otage en Iran, est arrivé à Paris jeudi, après avoir été libéré la veille par Téhéran. Arrêté au moment des protestations contre la mort de Mahsa Amini, il a passé plus de deux ans et demi dans les prisons iraniennes.
À 17 jours du premier tour des élections législatives anticipées du 30 juin, le grand bouleversement des droites et l'union de la gauche sont à l'œuvre. À gauche, les discussions ont abouti sur un "programme de gouvernement". À droite, le bureau politique des Républicains visant à entériner l'exclusion d'Éric Ciotti, a été reporté à vendredi. Le camp d'Emmanuel Macron, lui, a lancé la coalition "Ensemble pour la République". Retour sur les événements de la journée de jeudi.
Gabriel Attal a lancé jeudi dans le Pas-de-Calais la campagne de la majorité présidentielle sur le terrain, tandis que la gauche a abouti à un "programme de rupture" commun pour son "Nouveau Front populaire", loin des fractures persistantes à droite.
Le parti Les Républicains, proche de l'implosion, a connu mercredi une journée "surréaliste", avec des cadres en guerre ouverte contre leur président Éric Ciotti, isolé dans son choix de s'allier au Rassemblement national mais déterminé à rester en poste, malgré son exclusion.
Emmanuel Macron a donné une conférence de presse en fin de matinée, lors de laquelle il a appelé à un large "rassemblement" autour de sa majorité pour défaire à la fois la France insoumise et le Rassemblement national. Il a justifié la dissolution de l'Assemblée nationale en affirmant qu'il s'agissait d'un choix de clarification. Côté LR, Éric Ciotti a été exclu des Républicains "à l'unanimité" par un bureau politique du parti. À gauche, le Parti socialiste a confirmé dans un courrier envoyé à ses adhérents qu'un "accord de principe" avait été trouvé entre les différents partis de gauche constitutifs du nouveau Front populaire. Quelle est la stratégie d'Emmanuel Macron pour la campagne des législatives ? Peut-il inverser la tendance après sa défaites aux européennes ?
La justice française a condamné mercredi quatre militants d'ultradroite pour une agression homophobe commise à Paris dans la nuit de dimanche à lundi, alors qu'ils "fêtaient" la victoire du Rassemblement national aux élections européennes.
C'est encore une journée folle que l'on vient de vivre ici en France. En l'espace de quelques heures, le dirigeant du principal parti de droite a fait ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait osé faire, en s'alliant avec les héritiers du lepénisme... La gauche, elle, après s'être entre-déchirée durant des mois, a reconstitué une unité de façade autour de LFI dans un nouvel attelage. On va plus loin dans l'Essentiel avec Patricia Allémonière et Antoine Mariotti.
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